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Lorient (Breizh-Info.com) – Carl Lang, président du Parti de la France et Lorrain de Sainte Affrique, secrétaire Général des Comités Jeanne ont animé samedi 28 janvier dans le Morbihan un déjeuner / débat lors duquel ils ont annoncé 4 candidatures de ce parti pour les élections législatives en Bretagne administrative. Ainsi, seront candidats :
– Marie-Anne Haas sur la 6 ème circonscription du Finistère (29) – Jean-Paul Felix sur la 4 ème circonscription Ploërmel (56) – Alain Lyon sur la 3 ème circonscription Pontivy (56) – Jean-Marie Lebraud sur la circonscription de Redon (35)
Deux autres candidats, sur Vannes et Lorient, devraient également être investis prochainement.
Les candidats seront présentés sous une étiquette regroupant plusieurs partis, comités et associations qui défendront « La droite patriotique, nationaliste et souverainiste ». « Nous serons nombreux à défendre les valeurs de la vraie droite nationale en Bretagne et en France » ont déclaré les deux animateurs de la journée.
Carl Lang et Lorrain de Saint Affrique ont également annoncé que Jean-Marie Le Pen soutenait ces candidatures – qui pourraient constituer une concurrence, à la marge, vis à vis du Front national.
Estimant que le Front national prenait actuellement « un virage à gauche », et même « à gauche de Mélenchon », Carl Lang explique que « faire de la politique électoraliste ne correspond pas à nos valeurs, au PDF nous sommes là pour défendre la France, notre culture, notre histoire, nos familles.»
Les candidats appellent à « résister à la colonisation et à l’islamisation de notre pays » , estimant ne pas se reconnaitre dans les propos de Marine Le Pen qui avait déclaré que l’Islam n’était pas incompatible avec la République française. Ils appellent également à revoir la PAC et ses dérives mais insistent aussi sur l’interdiction de l’abattage Halal et plus globalement, sur le respect de la condition animale.
Sabine Faivre, psychologue et auteur du livre La Vérité sur l’avortement aujourd’hui, publié en 2006, est interrogée par Anne Isabeth dans Présent. Extrait :
"Que manque-t-il aujourd’hui à ce débat sur l’avortement ?
Il manque le rapport au réel : nous sommes enfermés dans des postures. Il faut en sortir pour avoir le courage d’affronter la réalité. Il y a très souvent un écart entre la théorie et la pratique en milieu hospitalier. Dans la plupart des cas, l’avortement est réduit à une pratique, un geste médical : c’est ce que l’on voit sur les sites officiels qui détaillent les techniques utilisées. On évacue ainsi l’humain. Or, les femmes veulent que l’on parle d’elles, qu’on les écoute et qu’on les rejoigne dans leurs difficultés.
Il y a un hiatus entre la loi et la façon dont les choses se passent dans la réalité des hôpitaux, et c’est précisément cela qu’il faut montrer. Il faudrait demander une mission parlementaire pour évaluer la pratique de l’avortement : son aspect médical, technique, psychologique, comme on le fait pour d’autres pratiques médicales. Cet argument est audible par n’importe qui : qu’on soit pour ou contre l’avortement.
Vous dites qu’en France, il y a un manque énorme d’études sur les conséquences, la dimension humaine de l’avortement. Pourquoi ?
C’est plus que cela : on ne trouve pas d’études sur la dimension humaine et psychologique de l’avortement, à cause d’un verrou idéologique.Il existe des recherches sur les fausses couches, la grossesse, l’accouchement. Rien sur l’avortement. C’est vraiment significatif. D’ailleurs, l’inspection générale des Affaires sociales l’a remarqué dans un de ses rapports, publié en 2010 : « La douleur est une préoccupation inégalement partagée selon les services et peu traitée dans les travaux d’étude, de même que le vécu par les patientes. » Une étude de 2016 a révélé l’ampleur de la souffrance des femmes après un avortement médicamenteux. Malheureusement, on peut se demander, à juste titre, si la loi sur le délit d’entrave numérique ne va pas tuer la recherche : les études montrent l’impact négatif d’un avortement sur les femmes, ce qui est forcément dissuasif. [...]"
La victoire de Benoît Hamon a rebattu les cartes dans des proportions peut-être encore plus importantes qu’attendu.
Branle-bas de combat à gauche. La victoire de Benoît Hamon a rebattu les cartes dans des proportions peut-être encore plus importantes qu’attendu. Première conséquence visible : une partie du courant des « réformateurs » du Parti socialiste, comprenant environ une soixantaine de parlementaires, pourrait franchir le Rubicon en soutenant officiellement Emmanuel Macron. À l’initiative de Christophe Caresche et Gilles Savary, une vingtaine de parlementaires, loyaux à François Hollande durant le quinquennat, ont signé un appel au « droit de retrait ». Certains d’entre eux pourraient, néanmoins, ne pas se précipiter, si leurs circonscriptions se trouvent dans des endroits ayant largement plébiscité le champion de la gauche culturelle. On le sait, les élus sont parfois courageux, mais rarement téméraires.
Toutefois, les récalcitrants ne masqueront pas la profonde division qui s’est fait jour au sein d’un Parti socialiste naguère uni, pour le meilleur et pour le pire. En effet, les pétitionnaires estiment que le discours de Benoît Hamon ne leur ressemble pas. Ainsi, le susnommé Gilles Savary a notamment dit : « On a l’impression qu’en trois jours, on a changé de parti sans que jamais nos militants n’aient été consultés. […] On ne se retrouve pas dans une valeur travail dépréciée et la promesse d’une société assistancielle dont on ne sait absolument pas comment elle serait financée. Par-dessus tout, ce quinquennat que Hamon juge insoutenable, nous l’avons défendu devant nos électeurs pendant cinq ans. Et il faudrait aujourd’hui défendre le contraire ? »
Cette critique fait écho à des rumeurs en provenance de l’Élysée. Il se murmure que François Hollande conditionnerait son soutien au fait que Benoît Hamon veuille bien assumer le bilan quinquennal de sa présidence. Un exercice d’équilibriste difficile qui contraindrait le Breton à revenir sur ce qui a fait l’essentiel de son succès, c’est-à-dire, très précisément, le rejet de François Hollande. Benoît Hamon réinvente le Parti socialiste français. Il en fait le véhicule d’une horreur conceptuelle absolue, une gauche 2.0 qui aurait totalement tourné le dos à la France de Renan. C’est habile. L’espace politique de cette formation n’étant plus aussi important qu’avant, Benoît Hamon s’enfonce dans les brèches toujours ouvertes.
Quant à Emmanuel Macron, nourri par les mêmes idées – celles de ses mentors et sponsors que sont, par exemple, messieurs Attali et Minc -, il tente, plus adroitement, d’unir la gauche Terra Nova au centre droit mondialisé. De Jean-Luc Mélenchon à Benoît Hamon, en passant par Emmanuel Macron, le nomadisme aura trois porte-étendard de différentes sensibilités pour le représenter en avril prochain.
La force d’Emmanuel Macron est qu’il a réussi à se défaire, par un habile tour de passe-passe, de l’étiquette qui devrait normalement lui coller à la peau. S’il vient de la gauche de gouvernement, comme le prouve d’ailleurs sa participation active au quinquennat de François Hollande, Emmanuel Macron n’y est curieusement plus assimilé. Par la grâce d’une communication bien huilée, avec l’appui de nombreux médias et relais d’opinions, l’ancien ministre de l’Économie s’est transformé en messie de l’omnilibéralisme, créature prométhéenne brandissant fièrement son optimisme communicatif. N’oublions pas qu’il a, longtemps, eu la passion du théâtre… En fait, son positionnement, mal compris sous nos latitudes, ressemble trait pour trait à celui d’une Angela Merkel. Il est un candidat de synthèse, dans les deux sens du terme, se rêvant en champion d’une coalition technocratique et utilitariste, animée par le « bon sens ». Bref, le rêve de la post-démocratie en marche.
Les manœuvres élyséennes, fomentées par les Gantzer et les Jouyet, sont évidentes. Ils veulent Macron à l’Élysée et Hamon en poste au 10, rue de Solférino. Ils éliminent patiemment tous les obstacles qui pourraient se dresser face à eux. Jean-Luc Mélenchon devrait en pâtir, frappé par un phénomène d’usure qui affecte tous les protagonistes de l’élection présidentielle de 2012, à l’exception de la présidente du Front national. Une séquence que les Français semblent vouloir clôturer. Il reste un caillou dans la chaussure de ces marcheurs. Un petit village gaulois résiste, envers et contre tout. Marine Le Pen ne faiblit pas, sûre de son fait. Elle est la seule candidate proposant de s’attaquer frontalement à deux gros chantiers : l’Union européenne et la politique migratoire. Il faut, maintenant, exprimer une idée-force : l’égalitarisme tue le mérite, nivelle par le bas. Seules les libertés permettent aux Français de réussir. Si nous voulons que nos enfants aient des ailes, il faut leur donner des racines !
Après son témoignage en faveur de l’historien Georges Bensoussan, accusé d’avoir tenu des propos islamophobes sur l’antenne de France Culture en octobre 2015, dans l’émission « Répliques », Alain Finkielkraut a annoncé dimanche sa démission du comité d’honneur de la Licra.
Il a annoncé ce départ au micro d’Elisabeth Lévy, rédactrice en chef du magazine Causeur, lors de l’émission « L’Esprit de l’escalier », diffusée sur RCJ. Selon Alain Finkielkraut, la Licra s’est « déshonorée » en optant pour l’« inquisition » à l ‘égard de Georges Bensoussan et en s’alliant au Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF).
« La Licra, affirme-t-il, rejoint le parti du déni. Elle s’associe à tous les collectifs contre la liberté de pensée et le droit de regarder la réalité en face. Elle opte pour l’inquisition. Elle tombe corps et biens dans l’obscurantisme idéologique. »
Car la Licra, dirigée par Alain Jakubowitz, s’était constituée partie civile aux côtés du MRAP, de la Ligue des droits de l’homme et de SOS Racisme, après une plainte initiée par le Collectif contre l’islamophobie en France.
« J’invite tous les militants, tous les adhérents, tous les sympathisants de la Licra, ajoute Alain Finkielkraut, à tirer eux aussi les conséquences de l’ignominie qui vient d’être commise. »
A écouter particulièrement à partir de 14 minutes son réquisitoire à l’égard de « l’antiracisme dévoyé », qui considère que la racisme n’a qu’un visage, « celui de Dupont Lajoie ».
Détesté des universitaires qu’on ne voit jamais sur le terrain et attaqué régulièrement par Libération, ce qui indique un sens élevé de liberté intellectuelle, le géographe Christophe Guilluy continue, imperturbable, son examen socio-territorial de l’Hexagone. Après Fractures françaises en 2013 et La France périphérique en 2014, il vient de publier Le crépuscule de la France d’en haut chez Flammarion (253 p., 16 €), son ouvrage le plus politique.
Consultant réputé auprès des collectivités locales, l’auteur parcourt la France et constate de fortes déchirures géo-sociologique qu’il associe à une relance d’une nouvelle lutte des classes. Sous la contrainte conjuguée de la mondialisation, du libre-échange et de la mise en concurrence des salaires et de la main d’œuvre, l’espace français se scinde en trois aires inégales et disparates : des métropoles prospères et ouvertes au monde, des banlieues de l’immigration adossés aux métropoles qui profitent de leur dynamisme socio-économique, et des contrées périphériques déclassées, de loin les plus nombreuses et les moins aidées.
Ainsi disloquée, la France devient une véritable « société américaine ». « Les territoires métropolitains, explique Christophe Guilluy, ne sont pas seulement le lieu de captation du patrimoine, des richesses et de l’emploi, ils sont aussi de la production de la fabrication de la pensée unique, ce discours du système médiatique et politique que permet aux classes dominantes de dissimuler le réel, celui d’une société inégalitaire et sous tensions, derrière la fable de la société ouverte (pp. 15 – 16). » S’épanouissant dans de « nouvelles citadelles » métropolitaines, administrations centrales parisiennes et bobos défigurent par des projets coûteux, stupides et polluants la « France profonde » à Bure, à Notre-Dame-des-Landes, à Civens, à Roybon. Ils y installent même maintenant des immigrés clandestins tolérés. Ces manières détestables accroissent les tensions sociales.
Frappées par des « polycrises » économique, sociale, identitaire et écologique, les catégories populaires et moyennes en voie de paupérisation accélérée — qui ne résument pas exclusivement aux Blancs —, répondent par une sécession tranquille qui se formalise en « contre-société » sédentaire et localiste. Les gens ordinaires comprennent en effet que la cohésion sociale, la décence commune et le sentiment d’appartenance au village, au bourg et au quartier représentent un modeste mais salutaire gilet de sauvetage. En l’absence d’une politique volontariste d’aménagement raisonné du territoire, deux sociétés potentiellement conflictuelles s’élèvent par conséquent sur le même sol. Le crépuscule de la France d’en haut annonce un horizon plus que tempétueux.
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 18, diffusée sur Radio-Libertés, le 27 janvier 2017.
Alors que son épouse, soupçonnée d’emplois fictifs, recevait dimanche le soutien de milliers de sympathisants à Paris, le candidat de la droite à la présidentielle est soupçonné d’avoir bénéficié de fonds occultes quand il était sénateur.
François Fillon a ainsi lancé à la tribune :
À trois mois de l‘élection présidentielle, comme par hasard, on construit un scandale. À travers Penelope, on cherche à me casser. Moi, je n’ai peur de rien. J’ai le cuir solide. Si on veut m’attaquer, qu’on m’attaque droit dans les yeux, mais qu’on laisse ma femme en dehors de ce débat politique.
Toutefois, un autre scandale pourrait entacher l’image de François Fillon. D’après Mediapart et Le JDD, le vainqueur de la primaire de la droite aurait touché lorsqu’il était sénateur des sommes indues en marge d’un système de « détournement » mis en place au Sénat.
COMMUNIQUE DE PRESSE DE RESISTANCE REPUBLICAINE ET RIPOSTE LAIQUE
Il suffit d’écouter les propos ahurissants et scandaleux du préfet Clavreul, mis en place par Manuel Valls à la tête de la Délégation Interministérielle à la Lutte contre le Racisme et l’Antisémitisme (Dilcra) pour comprendre ce qui se passe réellement en France.
Tenant des propos dignes des pires commissaires politiques de pays totalitaires, cet homme avoue crûment qu’il va « cibler un certain nombre d’adversaires, et ne plus les lâcher ». Et il désigne ceux qui, selon lui, inciteraient à la haine sur la toile. Or, dans l’idéologie de ce régime, à cause de la loi Pleven et de ses extensions, critiquer l’islamisation de la France serait inciter à la haine contre les musulmans.
On comprend mieux les conséquences du discours de Clavreul, quand on découvre le harcèlement judiciaire que décrit la présidente de Résistance républicaine, dans ce texte accablant pour un gouvernement qui instrumentalise sa police et sa justice pour réduire au silence les lanceurs d’alerte contre le péril islamique qui menace notre pays. Cliquez ici
Quant à Pierre Cassen et le site Riposte Laïque, cela dépasse les limites imaginables dans un pays dit démocratique. Ce régime ne digère pas que celui qui a fondé ce site en 2007 n’en soit plus responsable depuis qu’en 2012, l’association Riposte Laïque Suisse en a pris la responsabilité. Il ne peut supporter qu’une décision de justice, en mars 2013, ait officialisé cela. L’objectif de ce gouvernement, qui a mis en place un véritable cabinet noir pour lutter contre les islamo-critiques, est de le faire tomber par tous les moyens, y compris en prenant des libertés avec le droit. Pour cela, ce cabinet noir orchestre plaintes et procédures, n’hésitant pas à violer le secret de l’instruction pour alimenter toujours davantage de procédures contre Riposte Laïque, qui a dépassé ce jour le chiffre inimaginable de 40, alors que jusqu’en 2012, une seule plainte avait été déposée contre RL.
Convoqué systématiquement à chaque plainte déposée contre ce site, qu’elle émane de Cazeneuve, Hidalgo, Bergé, Fourest, de préfets socialistes, d’associations dites anti-racistes ou musulmanes, de journalistes ou de maires de gauche, Pierre Cassen a été, d’autre part, victime d’une perquisition policière, en avril 2016, sur requête du juge Batoz. Son ordinateur et son téléphone portable ont été confisqués, dans un contexte où des milliers de djihadistes, sur le territoire français, sont prêts à passer à l’action, selon l’ancien juge Fenech.
Encore plus grave, s’appuyant sur le seul rapport de police de la Brigade de Répression de la Délinquance aux Personne (BRDP), des juges ont décidé de considérer que Pierre Cassen devait dès ce jour répondre, en tant que directeur de publication, de tous les procès intentés contre Riposte Laïque. Autrement dit, de manière totalement arbitraire, avant que ne se soit tenu le procès quant à son éventuelle responsabilité de directeur de publication, il est déjà considéré par la justice comme tel, et devrait en assumer les conséquences.
Ainsi, le préfet Clavreul a-t-il mis ses paroles (« cibler les adversaires, et ne plus les lâcher ») en actes. Il a déposé plainte contre Pierre Cassen en personne, lui réclamant 20.000 euros de dommages et intérêts, et lui exigeant de payer ses frais de justice, parce que, sur RL, une contributrice, Lucette Jeanpierre, l’a comparé, après ses propos (voir vidéo ci-dessus) à un « kapo de la toile » et a écrit qu’il aurait fait merveille sous Goebbels, Staline ou Pol Pot. Ils veulent donc juger Pierre Cassen à Versailles, suite à cette plainte du préfet socialiste proche de Manuel Valls. Suite à une autre plainte du procureur de la République en personne, après à deux articles de Maxime Lépante, Pierre est également convoqué devant la 17e Chambre, le 22 mars, pour y être jugé à nouveau en tant que directeur de publication.
C’est d’autant plus grotesque que la même 17e Chambre a condamné, en avril 2016, le président suisse de Riposte Laïque, coupable d’avoir diffusé un texte très critique d’un apostat de l’islam sur ce dogme. C’est d’autant plus ridicule qu’un autre jugement, ordonné par une ancienne collaboratrice de Christiane Taubira, le juge Caroline Kuhnmuch, a condamné, pour avoir publié la photo de deux caissières voilées d’H et M, peu de temps après, la directrice des éditions de Riposte Laïque, qui n’a pourtant rien à voir avec la responsabilité du site RL. Mais dans quel pays sommes-nous ? La justice est-elle encore rendue au nom du peuple français, ou en celui d’idéologues fanatiques qui se servent de l’appareil d’Etat pour régler leurs comptes, avant que le peuple de France ne se débarrasse d’eux ?
En accélérant les procédures, en prenant des libertés avec toute notion de droit, ce véritable cabinet noir, mis en place par ce gouvernement, confirme les propos du préfet Clavreul, et entend interdire, en pleine campagne électorale, toute dénonciation de l’islamisation de la France, sur laquelle la plupart des candidats observent un silence assourdissant.
Nos avocats vont bien évidemment contre-attaquer, dans les jours qui viennent. Quant à nous, nous allons communiquer massivement, sur la réalité du harcèlement que nous subissons, comme d’autres sites de la réinfosphère. Nous ferons connaître toute l’ampleur des plaintes qui nous submergent, et nous coûtent beaucoup d’argent et de temps. Nous organiserons, le mardi 14 février, à partir de 19 heures, une conférence de presse, à Paris, avec des avocats et des personnalités, pour défendre la liberté d’expression, donc celle de critiquer l’islamisation de notre pays, permise par l’invasion migratoire voulue par les mondialistes.
A cette occasion, nous interpellerons les candidats aux présidentielles, sur la nécessaire abrogation de la loi Pleven, condition indispensable à un retour d’une parole libre en France.