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France et politique française - Page 2925

  • France 2017 : la CAF ferme temporairement car il n’y a pas de vigiles

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    Alors que le système social français permet à de nombreux étrangers de vivre sans travailler, il n’est même plus possible pour certains bureaux d’ouvrir sans la présence de vigiles…

    Réouverture promise dès mardi 31 janvier. Tous les accueils du public de la CAF du Nord ont dû être fermés ce lundi, en raison de la défaillance d’une entreprise de sécurité.

    Confirmant une information de La Voix du Nord, une porte-parole de l’organisme indique que la fermeture est due à la faillite de l’entreprise qui emploie les vigiles présents à l’accueil. L’organisme avait initialement évoqué des « incidents techniques internes ».

    Or la présence de ces vigiles est devenue indispensable, précise à 20 Minutes l’agence de Roubaix-Tourcoing : « Sans eux, nous ne pouvons pas assurer l’accueil du public dans de bonnes conditions ».

    Selon nos sources, l’organisme avait été prévenu en fin de semaine dernière de la défaillance de son sous-traitant. « Nous avons aussitôt informé nos usagers, par un message sur le site Internet, et en contactant par téléphone ceux qui avaient rendez-vous », confie encore l’agence de Roubaix.

    Source
    http://www.contre-info.com/ |

  • Marion Maréchal : la voix des jeunes que nous n’avons pas protégés…

    marion-marechal-le-pen.jpgMarion Maréchal-Le Pen dénonçait, le 26 janvier, à l’Assemblée nationale, deux plaies dont sont victimes les jeunes de sa génération.

    Marion Maréchal-Le Pen dénonçait, le 26 janvier, à l’Assemblée nationale, deux plaies dont sont victimes les jeunes de sa génération : 47 % d’avortement pour cause économique, la charia régnant dans certaines villes françaises.

    Elle accusait les « féministes ringardes » de ne rien faire contre ces fléaux.

    Elle critique encore l’inconsistance philosophique des propos féministes, leur soutien à la GPA.

    Elle a raison, largement.

    Le combat des « féministes ringardes », dont celui contre l’abandon à la mort des femmes ayant avorté clandestinement, dont celui contre le sexisme du langage, était, est toujours indispensable. Mais…

    Mais quand Manuel Valls cherche des écrits intellectuels féministes pour défendre la laïcité, il trouve ceux de… deux militantes pour la GPA (voir leur pétition dans Le Monde du 12 décembre 2010) : Élisabeth Badinter et Caroline Fourest.

    Mais Laurence Rossignol, elle, se trompe de combat en décrivant comme une violence le fait de dire que l’embryon est vivant et qu’interrompre une vie correspond à la définition du meurtre. On ne défend pas les droits des femmes en niant des évidences biologiques.

    Le droit des femmes de ne pas avorter, de n’y être pas contraintes par un État, par un employeur, par l’injonction à avoir un meilleur « niveau de vie »… fort peu de féministes osent en parler. Pourtant, il s’agit bien là d’une violence économique et psychologique.

    Mais sur l’islam, sauf quelques grandes exceptions comme Alice Schwarzer et son magazine Emma en Allemagne, les moins ridicules des féministes bon teint en sont encore à prétendre « lutter contre l’islamisme », à mentir sur la charia. Leur première urgence est de menacer et harceler les quelques féministes alertant sur le contenu des textes sacrés et de la jurisprudence islamiques.

    Le combat des « féministes ringardes » est toujours indispensable sur bien des plans, contrairement à ce que croit Marion Maréchal-Le Pen.

    Mais, effectivement, il a été récupéré et détourné de son objectif principal à la fois par la gauche et par l’ultralibéralisme d’une part, et il s’est soumis d’autre part à l’interdit du blasphème contre l’islam.

    Je suis, comme nombre de féministes, de la génération qui a l’âge des premières victimes de l’idéologie pourrie de la pseudo-révolution sexuelle.

    La génération Samantha Geimer, violée par Roman Polanski, dont la mère est toujours traînée dans la boue, parce qu’elle commit l’erreur de faire confiance à un homme célèbre et artiste, lui-même victime en tant que juif. La génération des violées de David Hamilton.

    Des « féministes ringardes » hurlèrent contre cette idéologie aux USA : Andrea Dworkin, l’avocat Catharine MacKinnon.

    Les féministes « génération 68 » et suivantes eurent donc fort à faire, à la fois contre le camp dit réactionnaire et contre le camp dit libertaire.

    Mais elles sont trop « à côté de la plaque », comme dit Marion Maréchal, sur des risques majeurs actuels.

      Son blog

    http://www.bvoltaire.fr/eliseelisseievna/marion-marechal-voix-jeunes-navons-proteges,309974

  • Piero San Giorgio - Interview de Charles Sannat à propos de l'état des marchés en début 2017

  • Le meeting de Jean-Marie Le Pen à Palavas-les-Flots

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • « Le Vrai Fillon » #3 : Vous comptez sur François Fillon pour lutter contre l'immigration ?

  • Lutte contre l'islamisme : Fillon "nomme les choses" sans avoir le courage de les nommer

    Voici une preuve de la différence de plus en plus évidente entre le candidat à la primaire François Fillon et le candidat du système LR-UDI François Fillon relevée par le Lab :

    "François Fillon prononçait ce dimanche 29 janvier le discours de son lancement de campagne présidentielle. Comme il est d’usage, le texte avait été envoyé à la presse, avec la mention "seul le prononcé fait foi". L’on peut tout de même s’interroger sur ce qui était inscrit sur le document mais n’a délibérément pas été prononcé lors du meeting, sur l’Arabie saoudite et le Qatar, à propos de la lutte contre l’islam radical.

    Voici le passage envoyé aux rédactions :

    L’Islam radical mine nos concitoyens musulmans. Il les infiltre, il les prend en otage. Les fanatiques détestent ce que nous sommes. Je les combattrai sans relâche et sans pitié. Je veux un strict contrôle administratif du culte musulman, tant que son ancrage dans la République ne sera pas pleinement achevé. Je veux la dissolution immédiate de tous les mouvements qui se réclament du 'salafisme' ou des Frères musulmans. Je veux la clarification de nos relations avec l’Arabie saoudite et le Qatar qui abritent les doctrinaires de l’Islam radical et les marchands de 'burkini'.

    Je nomme les choses. Je nomme le problème que nous avons avec l’Islam radical.

    Et voilà ce que François Fillon a effectivement prononcé :

    L’Islam radical mine nos concitoyens musulmans. Il les infiltre, il les prend en otage. Les fanatiques détestent ce que nous sommes. Je les combattrai sans relâche et sans pitié. Je veux un strict contrôle administratif du culte musulman, tant que son ancrage dans la République ne sera pas pleinement achevé. Je veux la dissolution immédiate de tous les mouvements qui se réclament du 'salafisme' ou des Frères musulmans. Je veux la clarification de nos relations avec les États qui abritent les doctrinaires de l’Islam radical et les marchands de 'burkini'.

    Moi, je nomme les choses. Je nomme le problème que nous avons avec l’Islam radical."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Politique et Eco n° 120 : L’Etat comme problème et non comme solution avec Me Jean-Philippe Delsol

  • Emmanuel Macron : les médias nous refont le coup du "3e homme"

    D'Eric Letty dans le dernier Monde & Vie à propos d'Emmanuel Macron :

    6a00e008d99039883401b8d25a539f970c-250wi.png"Les « grands médias » nous présentent ce dernier comme l’homme qui monte et sur lequel reposent les espérances de la gauche d’accommodement. On nous refait, en somme, le coup du « troisième homme », comme naguère avec Bayrou et comme hier avec Juppé. Macron, c’est en quelque sorte le Juppé de la deuxième chance. Or, on a vu ce que « pesait » réellement le maire de Bordeaux, que les journalistes et les sondeurs nous présentaient comme le probable vainqueur de la primaire de la droite. L’électorat de Macron, c’est peu ou prou celui de Juppé. Or, même avec l’appui de plusieurs centaines de milliers de voix venues de la gauche, ce dernier a échoué ; et sans cet appui, il n’aurait même pas figuré au deuxième tour face à Fillon. Certes, ce dernier s’est pris les pieds dans la pelote de Pénélope ; mais Macron aussi est éclaboussé par une « affaire » : deux journalistes l’accusent d’avoir dépensé 80 % de l’enveloppe annuelle accordée à son ministère au titre des frais de représentation, soit 120 000 euros en huit mois, principalement pour les besoins de sa communication personnelle.

    Surtout, sur qui peut-il compter ? Le centre droit et le centre gauche, dont il drague les électeurs en affirmant n’être ni de droite, ni de gauche ? Mais la France n’est pas au centre et il n’y a guère de chances ou de risques qu’elle le devienne en ce moment, alors que le pays ressemble à une cocotte sous pression d’où les passions sont prêtes à s’échapper comme d’une boîte de Pandore quand le couvercle sautera. Depuis douze ans au moins, les Français n’ont cessé de marquer par leurs votes la défiance que leur inspirent l’eurocratie, la technocratie et les oligarchies qui prétendent leur dicter leur avenir. Et ils éliraient un produit de la haute finance internationale, partisan avéré du primat de l’Europe de Bruxelles contre les nations, enfant prodige d’Attali, ancien secrétaire général de l’Élysée sous Hollande ? Même Cohn-Bendit affirme qu’il pourrait voter pour lui : c’est à cette aune que se juge la « jeunesse » des idées de Macron. Qui peut d’ailleurs dire précisément quelles idées agite le dernier espoir de la gauche bofric (bourgeoise-friquée) ? Pour l’instant, Macron se cantonne à ce qu’il sait et aime faire : la com’ et le flou ; mais comme les autres, il va devoir sortir du bois et préciser son programme. C’est là qu’il sera attendu."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Cazeneuve, Le Drian et Ségolène Royal soupçonnés d’irrégularités budgétaires

    Après avoir fait couler beaucoup d’encre en révélant la rémunération dont aurait bénéficié l’épouse de François Fillon, le Canard enchaîné révèle que trois ministres sont dans le viseur de la Cour des comptes pour un litige de 300 millions d’euros.

    Le 20 février, la Cour des comptes tiendra une audience au sujet d’une enquête portant sur 300 millions d’euros de crédits budgétaires qui auraient été utilisés de manière irrégulière par les ministres Bernard Cazeneuve, Jean-Yves Le Drian et Ségolène Royal, révèle le journal Le Canard enchaîné du 25 janvier.

    Dans la foulée, la Cour a publié un communiqué dans lequel elle « déplore […] des inexactitudes » dans l’article. Elle précise qu’elle enquête sur deux affaires portant sur «  certaines pratiques budgétaires en 2014 et 2015 » relatives au « maniement des deniers publics par une personne qui n’est pas un comptable public ».

    Si la Cour des comptes souligne que la « saisine ne met pas en cause l’intégrité personnelle des personnes concernées », le journal assure pour sa part que les trois ministres sont suspectés d’avoir « utilisé des fonds publics hors du contrôle d’un comptable public, seul habilité à manier l’argent de l’État ».

    De son côté, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian « aurait puisé dans le programme d’investissements d’avenir (PIA) […] pour boucler son budget 2013 ». Dans une note signée par lui-même et par Bernard Cazeneuve, alors secrétaire d’État au Budget, il aurait par ailleurs demandé à l’administrateur du Commissariat à l’énergie atomique (CEA), un organisme public de recherche, « de se livrer à un petit bonneteau budgétaire ».

    La ministre de l’Environnement Ségolène Royal, elle, « est accusée d’avoir pris, en 2014, quelques libertés dans la gestion d’une enveloppe de 1,5 milliard allouée au financement de mesures de transition énergétiques », pour un montant d’environ 80 millions d’euros.

    La Cour des comptes décidera le 20 février des suites à donner, ou non, à cette affaire.

    Source: E&R

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/cazeneuve-le-drian-et-segolene-royal-soupconnes-dirregularites-budgetaires_177132.html#more-177132

  • Pour la droite patriote, il est grand temps de se poser les bonnes questions !

    Depuis dimanche soir, les Français partisans d’une France républicaine, souverainiste et patriote ont toutes les cartes en main.

    Depuis dimanche soir, les Français partisans d’une France républicaine, souverainiste et patriote ont toutes les cartes en main. De simples projections, sur la base des sondages actuellement disponibles, permettent de comprendre que notre pays peut facilement, en mai prochain, poursuivre sa catastrophique aventure gauchiste. En effet, la désignation de Benoît Hamon lors de la primaire de la gauche a fait évoluer les scénarios qui prévalaient jusque-là. Ainsi, le PS et ses alliés, qui se trouvaient relégués à la 5e place dans les intentions de vote, font maintenant jeu égal avec Mélenchon, le précédant même de peu dans certains sondages.

    L’élimination de Manuel Valls, même si on ne peut que s’en réjouir, mais comme on pouvait le craindre, renforce la position d’Emmanuel Macron qui, peu à peu, est rejoint par de nombreux socialistes. Désormais au coude-à-coude avec Fillon, encore empêtré dans son programme pour le moins austère, et dans l’affaire « Penelope », la possibilité d’un second tour Le Pen – Macron ne cesse de prendre corps.

    Si une telle situation est aujourd’hui possible, c’est grâce, d’une part, aux subtiles manœuvres politiciennes de la gauche, aidée en cela par une presse plus que dévouée. Mais aussi à cause d’une droite toujours aussi complexée et incapable de se parler pour trouver les ouvertures nécessaires à l’élaboration d’un programme minimum qui reprendrait ses grands points de convergence.

    Quel dommage que cette droite « hors les murs », pourtant bien présente dans notre pays, et prête à se mobiliser pour éviter que la gauche ne poursuive son œuvre destructrice, n’ait pu trouver une voix (et une voie) pour la représenter et la conduire aux élections. Faute de mieux, ses électeurs se disperseront ou s’abstiendront, et ne pourront constituer l’apport indispensable à la victoire de Marine Le Pen.

    Car ne nous y trompons pas : face à Fillon ou à Macron, au second tour de la présidentielle, dans le contexte actuel et au vu des expériences passées, la présidente du Front national sera battue. Sans doute pourra-t-elle se consoler avec le gain, aux législatives qui suivront, de quelques circonscriptions. Mais ce maigre succès ne compensera pas la perte d’un pouvoir, pourtant à portée de main. 

    En réalité, à ce jour, aucun des candidats en lice pour la prochaine élection présidentielle n’est maître de son avenir. Face à des alliances improbables et parfois antidémocratiques qui ne choquent, soit dit en passant, aucunement les partis du système. À la merci de journalistes plus préoccupés de faire valoir leurs convictions politiques que de diffuser une information objective. Confrontés à leurs propres réticentes idéologiques. Tous les prétendants sont condamnés à subir les œuvres du destin.

    Pour la droite patriote, à condition bien entendu qu’au-delà des ego et des manœuvres d’appareils elle soit encore capable, dans le peu de temps qui lui reste, de se remettre en cause et d’enfin tenir compte du message de ses électeurs, il grand temps de se poser les bonnes questions. Ses divisions permettront-elles le retour des thuriféraires de Valls et Hollande ? Ses querelles internes prendront-elles le pas sur le profond désir de ses électeurs d’enfin tourner la page socialiste ? Son incapacité à se rassembler sur les valeurs fondamentales qui font son socle la repoussera-t-elle dans une opposition stérile et inutile pour de nombreuses années ? Là, et seulement là, résident les bonnes interrogations. Alors, à bon entendeur…

    http://www.bvoltaire.fr/olivierdamien/droite-patriote-grand-temps-de-se-poser-bonnes-questions,310541