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France et politique française - Page 3024

  • ILS AIMENT LES IMMIGRÉS SANS LES CONNAÎTRE

    + raciste que le gaucho, tu meurs !

    Illégitimité du discours antiraciste des bobos de gauche…

    Après avoir démontré que le gauchiste est très généralement un membre de la bourgeoisie défendant en priorité ses intérêts de classe, grâce à « l’armée de réserve du Capital » (l’immigration), et décrit sa lutte éternelle contre la prise du pouvoir par le prolétariat,-aujourd’hui naturellement acquis à la cause nationale grâce à sa compréhension du rôle protecteur joué par un état patriote (les ouvriers votent FN)-, nous pouvons analyser les autres facettes de l’illégitimité foncière du gauchiste à parler d’un réel qu’il ne connait pas.

    L’argument souvent décrié par le gauchiste du « j’ai un ami noir ou arabe », prononcé par le prolétaire pour se défendre d’une accusation de racisme, est assez éloquent ; en effet, le bourgeois de gauche n’a que très peu côtoyé l’extra-européen au cours de sa vie, compte-tenu de sa caste sociale de naissance, que ce soit à l’école, dans les très coûteux établissements d’enseignements supérieurs qu’il a fréquentés ou à son travail de cadre, de banquier ou de fonctionnaire bien placé, sans parler de son habitat très éloigné des banlieues multiculturelles.

    Aussi, un simple coup d’œil sur sa liste d’amis Facebook démontre toute son hypocrisie par l’uniformité raciale des relations sociales qu’il entretient. Il n’est ami qu’avec des blancs, ce soi-disant amoureux du tiers-monde ! Le prolétaire, lui, va dans des écoles, et exerce métiers et loisirs de prolétaires… où il est bien plus à même de connaitre et d’échanger avec l’autre partie de la population défavorisée, comme il l’est lui-même. C’est à dire des noirs, des maghrébins, et des européens de l’est (polonais, balkaniques, roumains). 
    Le prolétaire peut parler du comportement et de la nature des immigrés, car IL LES CONNAIT VRAIMENT.

    L’immigré n’est pas un problème pour le riche possédant de gauche, il n’est en aucun cas un concurrent ou une source d’insécurité (puisque le bobo ne le croise jamais ou presque), bien au contraire en divisant le prolétariat et en empêchant toute lutte méritocratique pour le pouvoir et l’influence, il peut garder à jamais sa place de nanti ; en sa qualité de bourgeois, il sait pertinemment que la baisse des salaires (des prolétaires bien sûr) lui fera faire des économies qu’il pourra réinjecter pour son propre intérêt dès lors qu’il en aura besoin dans ses travaux, ses services ou ses biens de consommation au quotidien.  

    Sa « haine de soi » n’en est pas vraiment une. C’est un égoïsme bien dissimulé. C’est aussi et surtout un refus de la lutte hiérarchique entre les hommes ; il se sait parfaitement illégitime et faible dans la compétition pour la survie, et n’a aucun intérêt à démarrer une compétition avec ses semblables, c’est pourquoi il renverse le jeu en niant les différences qualitatives entre les êtres dans ses discours, et en rabaissant le prolétaire blanc, lui reprochant par une inversion totale des valeurs toutes les aliénations du Capital dont il est pourtant la clé de voûte contemporaine.

    D’où sa haine de la religion (1789 : lui, le bourgeois remplaçant l’aristocratie catholique), et encore une fois c’est assez ironique : pour en revenir à la problématique des migrants, ce sont bien aujourd’hui des familles catholiques et pieuses qui, contrairement aux riches gauchistes, prennent de leur temps et de leur énergie pour les accueillir chez eux, les nourrir et les aider à s’installer en France. Les « affreux religieux » sont les plus ardents défenseurs de la cause immigrationniste. Et pourtant, Mélenchon et toute sa clique continue de les détester viscéralement.

    Double voire triple illégitimité dans le débat public du bobo, nous rappelant l’aspect essentiel de l’appartenance de classe comme ciment idéologique, et la lutte constante entre le producteur sédentaire (fermier, salarié, ouvrier) et le nomade parasite et cosmopolite (travaillant à la fonction publique, à la solde de l’Etat avec tous les avantages qui vont avec)… 

    Les symboles communistes qu’il tend à montrer dans les manifestations et les défilés avec allégresse, c’est bien joli… mais a-t-il seulement et ne serait-ce qu’une fois, vu ou utilisé une vraie faucille ou un vrai marteau ?
    Je parle des outils qui permettent de travailler, pas de l’image d’Epinal qu’on voit sur les drapeaux rouges.

    Cédric

    http://suavelos.eu/ils-aiment-les-immigres-sans-les-connaitre

  • La France Guerilla par Thierry DUROLLE

    La fiction rattrape-t-elle la réalité ou est-ce la réalité qui rattrape la fiction ? Lentement mais sûrement, l’état de la province France se désagrège et ce qui lui sert dorénavant de peuple reste, médusé, à contempler un naufrage inévitable. Dans les milieux de la droite nationale et radicale, nombreux sont ceux qui jacassent et fantasment, au choix, sur une future guerre civile ou une prochaine troisième guerre mondiale. Or nous sommes déjà en pleine guerre civile !

    Certes, cette guerre est larvée, de basse intensité. Elle s’émaille d’une liste interminable de faits-divers souvent tragiques et toujours symptomatiques de la société multiculturelle. Comme tous les conflits, elle connaît des fluctuations d’intensité, des accalmies plus ou moins longues et bien entendu une bataille finale. Guerilla de Laurent Obertone décrit justement la bataille finale de la province France. Ne vous fiez pas à ce titre qui évoque plutôt la tactique du harcèlement, ce que nous vivons actuellement à chaque fait-divers, à chaque attentats. Ce roman d’anticipation, très attendu, relate l’effondrement, le dernier souffle de l’animal. À moins que…

    Le début de la fin a curieusement un arrière-goût de novembre 2005. Il se déroule en effet dans une enclave ethnico-religieuse, dans une cité de la Courneuve, la «  Cité Taubira ». L’hommage de la vertu au vice sans doute ! Une brigade de police est appelée pour secourir une personne en danger de mort et les « sauveurs » deviennent les victimes. Des « jeunes » s’en prennent aux policiers, tuant l’un d’entre eux et le malinois les accompagnant. Il reste plus qu’une fliquette tétanisée par la peur et le doigt de son collègue sur la détente de son Sig Sauer. On vous laisse deviner la suite…

    Les événements s’accélèrent brutalement grâce notamment à la complicité des médiats avec l’envahisseur attaqué. Ces derniers jettent de l’huile sur le feu, la doxa crache son venin et une grande partie du peuple français aboie avec les chiens galeux contre le « fascisme policier ». Il faut sauver le « Très-bien-vivre-ensemble » avant tout, quitte à ce que le pays s’écroule et que la cohorte des cloportes tombe avec lui.

    Le pays que décrit Obertone est à la fois réaliste et grossièrement ridicule. L’auteur y exagère la moindre boursouflure si bien que la personne consciente des temps présents peut se dire qu’Obertone en fait trop. Peut-être. Néanmoins il est effrayant de réaliser qu’il ne faut pas grand-chose pour que notre société franchisse le pas. Toujours plus loin dans la haine de soi, la xénophilie, le manque de courage et de volonté politique. Des symptômes qui indiquent une maladie beaucoup plus grave et plus profonde qu’on ne le croit, et que Laurent Obertone met clairement en évidence. L’un des mérites du livre qui est en réalité une sonnette d’alarme et un livre ultra-politique, est la question de l’identité et du fait ethnique. On devine sans peine qui sont les « sauvageons », rien n’est camouflé. Aussi la culpabilité des Blancs crève les yeux du lecteur comme dans ce passage où l’une des protagonistes se trouve Gare du Nord : «  Elle était blanche, aisée, elle faisait partie des oppresseurs. Mal à l’aise, elle pensait payer là une sorte d’impôt sur sa couleur ». On se serait en revanche bien passé du cliché sur le camionneur russe faisant face à une horde de gauchistes, (pseudo)-symbole de virilité pour bon nombre de droitards aux réactions de femelles et incapable d’assumer leur rôle d’homme, de Vir au sens romain et plus largement européen. Le manque de courage c’est cela aussi.

    Relaté sur trois jours, ce roman catastrophe file comme le vent. Lecture fluide qui sacrifie le style pour mieux mettre l’emphase sur le mouvement et la rapidité de la chute, il ne faut pas s’attendre en effet à de la grande littérature. Mais est-ce ce que l’on cherche à travers la lecture de Guerilla ? Bien sûr que non, et Laurent Obertone ne souhaite probablement pas à rentrer à l’Académie française. Il est le témoin de l’interregnum que nous vivons. La violence de ce siècle est omniprésente dans son roman et nous ne parlons pas que de la violence physique. Le monde du dernier homme est intrinsèquement violent car profondément absurde et vide de sens. Les événements relatés dans Guerilla sont possibles car un énorme vide les invite à prendre place, la nature, c’est bien connu, ayant horreur du vide. L’une des questions qui vient forcément au lecteur est la possibilité d’une situation similaire à celle du roman. Oui, elle est possible tout en ayant peu de chance de se réaliser. Une telle convergence de catastrophes et l’écroulement du pays qui en découle nous semble irréalisable du simple fait que nous croyons à une intervention extérieure, une ingérence de l’OTAN par exemple, pour prendre le contrôle de la situation, chose qu’Obertone écarte trop facilement selon nous.

    En conclusion Guérilla est un bon roman. Il est surtout politiquement utile car il désigne l’ennemi et rend compte des réalités. C’est exactement ce dont a besoin tout citoyen lambada ; mais n’espérons pas que cela pèse dans la balance, du moins à lui tout seul. Il constituera peut-être une pierre de l’édifice à réveiller notre peuple. Seul l’Histoire nous le dira. Les événements récents tels la recrudescence des attaques à l’encontre des policiers, des églises, des rixes entre « itinérants » et de leurs assauts contre la population, leur implantation de masse dans nos campagnes témoignent d’une avancée vers des temps incertains. Demain serait-il le zénith de la France Guerilla ?

    Thierry Durolle

    • Laurent Obertone, Guerilla, Ring, coll. « Rig blanche », 2016, 425 p., 19,95 €.

    http://www.europemaxima.com/la-france-guerilla-par-thierry-durolle/

  • Les formations d'Ichtus commencent

    Ichtus est une association au service de la l'engagement des catholiques dans la Cité. Elle a pour mission de former, d'informer et d'aider dans leurs projets des entrepreneurs politiques, sociaux et culturels qui cherchent à servir le bien commun en se fondant sur une anthropologie juste et sur la doctrine sociale de l'Eglise. Sa mission est de former et de relier pour agir.

    Ce parcours de formation est un programme de découverte de l'anthropologie et de la doctrine sociale de l'Eglise à travers les grandes questions de l'existence et de la vie en société. C'est une véritable "écologie humaine" pour l'homme et pour tous les hommes. 

    Formation en 6 séances, le mardi soir de 19h30 à 21h30. 
    Première séance le 8 novembre 2016. 
    Lieu Ichtus 49, rue des Renaudes Paris 17

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    Cette formation s'adresse à tous ceux qui veulent transmettre par eux-mêmes à leurs enfants et/ou aux jeunes qui les entourent le précieux contenu du patrimoine français, européen, chrétien, dont ils sont les héritiers et que les programmes scolaires officiels n'enseignent que partiellement, voire pratiquement plus. Elle s'adresse ainsi aux parents, grands-parents, étudiants, enseignants, animateurs de groupes de jeunes. La transmission est à la portée de tous à condition d'éduquer son regard, d'apprendre à voir. 

    Formation en 17 séances, le mercredi matin de 9h00 à 11h00. 
    Première séance le 9 novembre 2016. 
    Lieu Ichtus 49, rue des Renaudes Paris 17. 

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    Michel Janva

  • Le grand gagnant de la primaire est… Marine Le Pen !

    Le système des primaires recrée une république oligarchique et censitaire.

    De nombreuses voix ont judicieusement dénoncé, sur Boulevard Voltaire, la dénaturation de la Constitution gaullienne de 1958 qu’opère le système de la primaire, avec le contournement du suffrage universel direct.

    Certes, les médias ont essayé de nous convaincre que ce système passionnait les Français car le deuxième débat aurait rassemblé cinq millions de téléspectateurs. Certes, on nous prédit la participation de 3 à 4 millions de votants. Mais cela ne représente qu’une petite minorité du corps électoral : 10 % maximum.

    Surtout, les sondeurs et les politologues, comme M. Fourquet dans Le Figaro, commencent à reconnaître le décalage sociologique important entre cette minorité mobilisée par la primaire et le corps électoral entier. Une minorité où les retraités et les classes supérieures aisées sont surreprésentées.

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  • Comment répondre aux mensonges autour des attentats islamistes (argumentaire III) ?

    Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un troisième document qui propose de répondre aux mensonges autour des attentats islamistes. Il s’agit de répondre à l’assertion selon laquelle la majorité des musulmans sont modérés

    Ils disent souvent « La majorité des musulmans sont modérés ». Mais pourquoi le disent-ils ?

    Répétée tel un exorcisme, cette affirmation n’a jamais été prouvée. Elle vise à faire croire qu’il n’y aucune sympathie dans la communauté musulmane pour les motivations des terroristes ou les thèses islamistes. Cet argument permet de dissocier l’immigration et le djihadisme, en
    opposant «musulmans» et «islamistes». Pourtant, l’équation est simple : sans immigration musulmane, pas d’islamistes en France.

    Pourquoi c’est faux ? Dans les études d’opinion : 54% des musulmans de France sont pour une application «totale» ou «partielle» de la charia en France. Presque 30% d’entre eux souhaitent son application intégrale.

    Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2016/10/argumentaire-iii-majorite-musulmans-moderes

    http://fr.novopress.info/

  • Dans le nouveau numéro (n°44, sortie mardi prochain) de Synthèse nationale : un entretien avec Steven Bissuel, porte parole du GUD

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  • Prise de parole d'un policier pendant la manifestation du 1er novembre 2016