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France et politique française - Page 3027

  • 40 ans de reniement de la fausse droite illustrée en 2 minutes, et Juppé piégé dans ses mensonges

    Quand la fausse droite de Sarkozy et de Juppé était pour l’immigration et la préférence nationale…

  • Journal du Jeudi 3 novembre 2016 - Politique / Parti Communiste cherche candidat

  • Taxe foncière : des records de hausse

    Être propriétaire d’une maison ou d’un appartement, c’est avantageux. Cependant, n’oublions pas les charges qui vont avec. L’une des plus importantes est la taxe foncière, et le montant augmente de plus en plus chaque année, notamment dans certaines régions.

    La taxe foncière, c’est quoi au juste ?

    La taxe foncière est un impôt dont tous les propriétaires d’un bien immobilier doivent s’acquitter chaque année. Cette somme est ensuite remise aux régions respectives. Cet impôt est à payer en plus de la taxe d’habitation s’il s’agit de votre résidence principale. Le montant à payer dépend de chaque commune.

    À chaque commune sa taxe.

    En effet, le montant de la taxe à payer varie selon chaque commune. Elle fixe un taux d’imposition (qui est voté par les collectivités locales). C’est à partir de ce taux que le montant de la taxe est calculé, ainsi qu’en fonction de la valeur locative cadastrale du bien imposable.

    Pour faire clair, c’est ce taux d’imposition qui fait varier le montant de la taxe à payer par zone géographique.

    Évolution des taxes foncières.

    Si l’on se réfère aux chiffres publiés par l’UNPI (Union National des Propriétaires Immobiliers), les communes sont de plus en plus gourmandes en matière de taxes foncières. Entre 2010 et 2015, le montant de cet impôt a connu une forte hausse, et cela, sur toute la France (+14,7% en 5 ans).

    Résultat, la facture s’alourdit pour les propriétaires immobiliers, spécialement dans la défiscalisation immobilière. La plus forte hausse concerne les propriétaires de la région lilloise, où la taxe a augmenté de 23% depuis 2010. Les habitants d’Angers ne sont pas en reste, ainsi que ceux de Clermont-Ferrand, Lyon ou encore Créteil, avec une hausse respective de près de 20%.

    Toutefois, certaines villes ont choisi de ne pas mettre la barre trop haute. Des villes comme Grenoble, Nice ou encore Roubaix ont enregistré une hausse d’environ 7%, toujours depuis 2010.

    Et l’année 2016 ?

    Le bilan publié par l’UNPI le 13 octobre dernier est sans appel. Pour l’année 2016, la liste des départements qui ont choisi d’augmenter la taxe foncière s’est allongée par rapport à l’année 2015. Pas moins de 35 départements ont augmenté le montant de leurs taxes foncières cette année.

    La palme de la hausse la plus importante revient au département des Yvelines avec une augmentation de… 68%. C’est tout simplement le record en matière de taxe foncière.

    Cette hausse parait démesurée comparé aux chiffres enregistrés dans le Val d’Oise, le Nord, et le Loir-et-Cher, qui affichent pourtant des augmentations respectives de 30%, 27% et 26%.

    Toutefois, si les unes taxent plus leurs habitants, d’autres villes comme Nantes, Lille ou encore Argenteuil ont décidé de rester sous la barre des 15%. Mieux encore, d’autres communes, à l’instar de Paris, n’ont pas changé (ou presque) leurs taux d’imposition, pour le plus grand bonheur des propriétaires immobiliers.

    http://www.medias-presse.info/taxe-fonciere-des-records-de-hausse/62903

  • Calais : sus aux chrétiens !

    En attendant leur évacuation vers des centres pour mineurs partout en France, où ils seront pris en charge à nos frais par les services de l’aide sociale à l’enfance et pourront ainsi donner libre cours à leur christianophobie, quelque 80 mineurs clandestins afghans de la « Jungle » ont entrepris, mardi après-midi, de détruire l’église improvisée des migrants érythréens et d’en lyncher les fidèles.

    Selon un extrait de la synthèse quotidienne de la Sécurité publique, cette attaque ouvertement antichrétienne, qui a fait 11 blessés parmi les clandestins, s’est déroulée en deux temps. Vers 17 heures, d’abord, « un groupe de 70 à 80 jeunes afghans » s’est lancé à l’assaut de l’église catholique des Erythréens, provoquant alors « une importante rixe » et « obligeant les CRS à faire usage de moyens collectifs afin de disperser les assaillants ». Ceux-ci ayant été repoussés au bout d’une quarantaine de minutes, une centaine de fidèles érythréens ont décidé de dormir dans l’église, « afin d’en assurer la surveillance et la protection ».

    Or, vers 18 heures, les clandestins afghans, plus nombreux encore, sont revenus à la charge et ont provoqué de nouveaux affrontements violents avec les Erythréens, nécessitant une seconde intervention des forces de l’ordre. Il faudra attendre 21 heures et la mise en place d’un dispositif policier assurant la sécurité de l’église pour que le calme revienne enfin dans la « Jungle ».

    Etant donné l’ampleur et l’extrême violence de ces affrontements, les médias pouvaient difficilement passer totalement sous silence ces événements. Et ils en ont effectivement parlé. Mais, bien sûr, suivant leur méthode habituelle. En cachant l’essentiel. En se bornant à parler de « heurts à proximité de l’église ». En jetant dans le même sac agresseurs et victimes. En dissimulant les motivations réelles des assaillants afghans, qui n’étaient autres que de détruire un lieu de culte chrétien et de lyncher ses fidèles. Bref, en transformant de manière scandaleuse une attaque ouvertement antichrétienne en banale « rixe entre migrants ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 4 novembre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • ZOOM - Général Antoine Martinez : "L'Etat de droit est un état de faiblesse"

  • La recomposition du spectre politique se fera au-delà des partis et sur la base du clivage doctrinal

    Guillaume Bernard, maître de conférences à l’ICES (Institut Catholique d’Études Supérieures) a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir à l’occasion de la parution de son nouvel ouvrage, La guerre à droite aura bien lieu (DDB, octobre 2016). Extraits :

    "Vous affirmez que le débat politique s’est déplacé à droite. La gauche continue pourtant encore d’imposer ses idées (Mariage pour tous, antiracisme, vivre-ensemble, etc.). Cela n’est-il pas contradictoire ?

    Ce que vous décrivez est le résultat de deux choses. D’une part, la force d’inertie du « système » : il existe une profonde distorsion entre les élites politiques et intellectuelles d’un côté et le peuple de l’autre. Les hommes de droite ont abandonné le terrain de la culture et l’instruction pendant des décennies. La reconquête du terrain intellectuel est donc lent ; cela n’a rien d’étonnant.

    D’autre part, la formation du spectre politique par sédimentation : pendant deux siècles, depuis la Révolution française, les idées nouvelles sont apparues par la gauche et ont repoussé sur la droite celles qui étaient apparues auparavant. Le résultat de ce mouvement sinistrogyre est que la droite est composite : elle a été en partie colonisée intellectuellement par la gauche. Il y a, en son sein, des idées anciennement de gauche même si elles sont classées électoralement à droite. Il existe une droite ontologiquement de droite (c’est la droite classique) et une droite classée à droite mais idéologiquement de gauche (c’est la droite moderne).

    Ce que je décris, c’est l’arrêt brutal de l’expansion des idées de gauche avec la chute du mur de Berlin et le changement de contexte (passage de l’affrontement Est-Ouest à une mondialisation incontrôlée). Désormais, l’innovation intellectuelle et la progression électorale viennent par la droite du spectre politique. C’est un processus sur le long ou du moins le moyen terme que j’ai proposé d’appeler le « mouvement dextrogyre ». Cela se traduit par un phénomène encore hybride : il n’y a pas que des idées ou des partis entièrement et uniquement classiques qui progressent. Mais, la philosophie classique retrouve voix de cité : elle se redéploie à nouveau. Le « dextrisme », c’est donc à la fois la droitisation de l’électorat et le glissement (désormais de droite vers la gauche) des idéologies sur le spectre politique. Le « mouvement dextrogyre », ce n’est pas un durcissement dans la modernité, c’est un retour en force des idées classiques. Toute une partie de la droite retrouve ses racines idéologiques.

    Or, sans qu’elle en soit forcément consciente, une grande partie de l’opinion publique est instinctivement classique : quand les Français veulent rester culturellement ce qu’ils sont, quand ils voient dans l’Europe une civilisation et rejettent la bureaucratie de l’UE, quand ils approuvent les crèches de Noël dans l’espace public, quand ils défendent la famille traditionnelle, etc., ils font de la philosophe classique sans même le savoir. La modernité a eu beau chercher à rendre tout artificiel (contractualisme social, positivisme juridique), elle n’a pas réussi à détruire l’ordre naturel des choses (elle ne peut que l’obscurcir) et à le déraciner entièrement du cœur et de l’esprit des hommes.

    Quels sont les camps qui au sein de la droite ne pourront qu’inévitablement se faire la guerre ?

    C’est au sein du camp classé à droite que passe la ligne de fracture entre les pensées classique et moderne. La première est de nouveau à l’offensive, tandis que la seconde est désormais sur la défensive. Voilà pourquoi il y aura la guerre. La droite classique est susceptible de retrouver son espace politique tandis que la droite moderne est en train de glisser vers le centre et d’envisager une alliance avec la gauche modérée(c’est la « grande coalition »). L’avenir d’une partie de la droite (la droite moderne), c’est de redevenir la gauche. Ce qui perturbe la compréhension de ce phénomène, c’est que la ligne de fracture ne passe pas entre les organisations partisanes mais en leur sein. Il y a, dans des proportions différentes, des partisans des deux philosophies dans tous les partis de droite, depuis le centre jusqu’au FN compris.

    La « guerre à droite », c’est donc, bien entendu, l’affrontement électoral entre les partis. Mais cette guerre là est quelque peu superficielle. La « vraie » guerre à droite est encore souterraine même si elle se révèle de plus en plus ouvertement : les distorsions au sein des partis apparaissent de plus en plus clairement (même si chacun d’eux cherche à maintenir en leur sein diverses tendances pour essayer de capter différentes strates électorales), la production intellectuelle qui se vend en librairie est clairement de droite (Villiers, Zemmour, Buisson et… moi, si vous permettez cette immodestie).

    La « vraie » guerre à droite, c’est l’affrontement idéologique entre les classiques et les modernes ou, si vous préférez, entre les réalistes d’un côté et les idéalistes ou utopistes de l’autre. Cette guerre va opposer la peuple de droite, la droite d’en bas, aux partis qui ont, eux, intérêt, au statu quo. Si elle est gagnée par la base, elle conduira à la recomposition du spectre politique de telle manière que le clivage entre partis recoupe les divergences doctrinales.

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dénonciation et repentance de l'esclavage passé : Valls oublie de condamner l'esclavage actuel...

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    Dans le monde entier : Plus la couleur est foncée, plus l'esclavage moderne est présent 

    Pour oublier peut-être le triste spectacle qu'offre son pauvre parti - encore appelé « socialiste », mais où les condamnés et mis en examen ne se comptent plus... - Valls est parti prendre l'air en Afrique de l'Ouest (Togo, Ghana, Côte d'Ivoire...). Evidemment, il en a profité pour condamner l'esclavage, montrant sur ce sujet la même inculture, la même ignorance dont il avait fait preuve lorsqu'il avait évoqué - toujours « à l'étranger », qui, décidément, ne lui réussit pas... - une république française qui savait accueillir les étrangers.

    Bien sûr, condamner l'esclavage d'hier, tout le monde est d'accord là-dessus. Valls a peut-être cru que s'aplatir et faire la carpette, sur ce sujet, devant le politiquement-historiquement-moralement correct serait bénéfique pour sa cote de popularité.

    Mais il n'a oublié qu'une chose : oh, trois fois rien, une paille, direz-vous. Pourtant, ce trois fois rien, cette paille mériteraient amplement d'être dénoncés : l'esclavage d'aujourd'hui, encore pratiqué dans plusieurs  pays d'Afrique. Seulement, voilà, il y a un problème de taille : les pays où subsiste encore l'esclavage, aujourd'hui, sont des pays noirs, arabes et, pour la plupart, musulmans. Alors, là, évidemment, c'est silence radio.

    Critiquer les Blancs, les Chrétiens, l'Europe... pas de problème ! Mais, des Noirs ! des Arabes ! des Musulmans ! Vous n'y pensez pas, c'est interdit dans le Code du politiquement correct, qui prime sur tous les autres.

    Et pourtant ! Puisqu'il était proche de ce pays, comme on aurait aimé entendre Valls dénoncer le gouvernement mauritanien : là-bas, treize Mauritaniens noirs proches de l’Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste ont été jugés pour « attroupement armé » et « rébellion »; jugés mais aussi torturés et condamnés à quinze ans de prison. Et, comme on aurait aimé, au moins, entendre Valls ne serait-ce que citer le nom de Biram Dah Abeid, la voix des esclaves modernes de la Mauritanie...

    En 2014, l’ONG Walk free estimait qu’il y avait encore 4 % d’esclaves en Mauritanie, soit environ 150 000 personnes, tout de même... : une paille, trois fois rien, on vous dit. Et, le 20 août 2015, Biram Dah Abeid, figure emblématique de la lutte contre l’esclavage, était condamné à deux ans de prison, pour en avoir réclamé la fin.

    Cela, soit Valls l'ignore, ce qui est grave pour un Premier ministre; soit il le sait, et il le tait. Et, là, c'est encore plus grave...  
     
    A lire aussi dans Lafautearousseau

    Retour sur son passage à Barcelone : erreurs en série et ignorance crasse pour Manuel Valls

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Arbitraire persécutoire, carnet de cheikh, tout se tient

    Wallonie venait de décider de ne pas ratifier ce CETA, « Les dirigeants français n’ont pas renoncé à signer le TAFTA (…) leur objectif est toujours de signer le TAFTA, moyennant quelques changements mineurs qui pourraient rendre cet accord plus présentable ». « La signature de l’accord CETA (…) a pour but de préparer le terrain à une signature du TAFTA. »

    A l’instar de l’analyse faite par le Front National, l’économiste pointait trois types de conséquences à l’adoption de ce traité. D’abord le fait que  » le CETA est une espèce de cheval de Troie (qui permettra) à des produits agricoles canadiens, mais aussi américains de rentrer dans l’Union européenne, alors qu’ils ne respectent aucune des normes au sein de l’Union européenne. Il est très clair aujourd’hui que les marchandises qui sont produites sur le continent nord-américain – au Canada, mais aussi aux Etats-Unis, car il ne faut jamais oublier que le Canada est lui-même lié par un accord de libre-échange avec les Etats-Unis – peuvent être certifiés d’une certaine manière par les Canadiens très facilement. »

    Ensuite, « le CETA est très dangereux pour l’environnement« . Les études réalisées par « le GDAUqui est un grand institut de recherche aux Etats-Unis ( montrent) que la signature du CETA compromettrait de manière assez grave l’ensemble des législations environnementales qui sont aujourd’hui appliquées en Europe et qui sont parmi les plus restrictives – avec les législations russes. De ce point de vue-là, il y a un intérêt commun en Europe et en Russie à refuser ce type d’accord. »

    Enfin, « le CETA conduirait à l’établissement d’une cour d’arbitrage supérieur au droit des pays, ce qui permettrait aux entreprises canadiennes mais aussi américaines opérant depuis le Canada d’attaquer des lois en France et dans d’autres pays de l’UE devant ces juridictions d’arbitrage. Cela veut donc dire que ce ne seraient plus les citoyens des pays qui seraient souverains, mais de grandes multinationales qui deviendraient souveraines. »

    De souveraineté, d’indépendance il est encore question avec le dernier livre en date  des journalistes Georges Malbrunot et Christian Chesnot,  Nos très chers émirs. Au terme de leur enquête , ils  accusent un certain nombre de politiciens (sont notamment cités l’ancien premier ministre Dominique de Villepin, la sénatrice centriste Nathalie Goulet, le secrétaire d’Etat Jean-Marie Le Guen, les députés socialistes Nicolas Bays, Alexis Bachelay membres du groupe d’amitié France Qatar…) de compromissions et/ou de complaisances avec les émirs d’Arabie saoudite et/ou du Qatar… et leurs gros carnets de chèques.

    Le Point comme LCP l‘ont rapporté, Alexis Bachelay, député PS des Hauts-de-Seine, est accusé (par MM. Malbrunot et Chesnot) d’avoir  « cherché des financements pour sa campagne des législatives auprès de l’ambassade du Qatar ». Ce dernier a annoncé qu’il allait porter plainte pour diffamation.

    M. Bachelay, qui manie volontiers l’insulte quand il parle du FN,  membre par ailleurs du cercle de réflexion socialo-progressiste Terra Nova, est un des vice-présidents du groupe d’amitié France Qatar à l’Assemblée nationale présidé par le centriste Maurice Leroy. Un groupe qui compte une cinquantaine de membres majoritairement LR et UDI (mais aussi quinze socialistes), dont quelques figures connues comme Oliver Dassault, Georges Fenech, Razzi Hamadi, Yves Jégo,  Pierre Lellouche, Patrick Mennucci, Patrick Ollier, Rudy Salles, Thierry Mariani ou Alain Marleix.

     Jean-Marie Le Guen,  député PS et secrétaire d’Etat chargé des relations avec le parlement, a également annoncé qu’il saisissait la justice, s’estimant diffamé. En effet, toujours selon Le Point, « les auteurs racontent notamment comment Jean-Marie Le Guen a proposé à l’ambassadeur du Qatar en France de lutter contre le  Qatar bashing  à l’Assemblée nationale auprès des députés socialistes. À une condition: que l’ambassadeur du Qatar fasse appel aux services d’une société de lobbying présidée par l’un de ses proches. »  La manœuvre aurait  consisté à  contrôler-museler la parole politique sur un  Etat accusé de manière récurrente de financer le terrorisme djihadiste, le prosélytisme islamique jusque dans nos banlieues  et de bafouer les droits humains les plus élémentaires  sur son propre sol.

    Curieusement, ce sont très souvent ces mêmes bonnes âmes qui ont les yeux de Chimène pour le Qatar, l’Arabie saoudite, les Sarkozy, les Valls, les  Juppé, les Hollande, qui expliquent aux Français qu’il est vital de faire la peau au régime Laïque syrien de Bachar el-Assad, que Vladimir  Poutine est un autocrate-boucher d’Alep, Donald Trump un démago taré et xénophobe infréquentable, le FN un danger pour la démocratie, et bien sûr que notre allégeance à l‘Union européenne et à l’Otan  est notre seul planche de salut. Après tout reconnaissons-leur une certaine logique; comme dirait  Bruno Gollnisch, tout se tient… 

    http://gollnisch.com/2016/11/03/arbitraire-persecutoire-carnet-de-cheikh-se-tient/

  • RÉINFO DU 31 OCTOBRE 2016

    Bienvenue pour ce nouveau numéro de Réinfo, le journal d’information du Parti de la France, du 31 octobre 2016.
    Au sommaire de ce numéro : 
    • Arnaud Montebourg se dit fier de son grand-père, un héros du FLN qui a combattu contre la France. Et il ne souhaite rien de moins que d’être le futur président de la république. Et oui, ça ose tout… et c’est même à ça qu’on les reconnaît.
    • France télévision étrillée par la cour des comptes pour sa gestion du personnel, ses investissements et son manque de réforme technique. Mais ce qui préoccupe à France télévision, ce n’est pas l’argent public, c’est la surreprésentation de l’homme blanc, hétéro et de plus de cinquante ans.
    • Policiers en colère. Les manifestations qui ont fait suite à la terrible agression d’un véhicule de police dans l’Essonne, ont mis aussi en lumière les conditions indignes, dans lesquelles les forces de l’ordre sont obligées de travailler, et les contraintes juridiques qui ne leur permettent pas, d’assurer notre sécurité.
    • Négociation du CETA. On a cru au miracle avec la résistance du parlement wallon en Belgique. Mais cela n’aura été que de la poudre aux yeux. Le nouvel ordre mondial est bien toujours en marche.
    Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement

     

  • Les « migrants » s’échappent : prenons exemple sur l’Australie

    Canberra pratique une politique de tolérance zéro, rejetant tous les bateaux de « migrants » qui tentent de rejoindre illégalement ses côtes.

    Les centres d’accueil et d’orientation étaient prêts à les recevoir, ils ont pourtant décidé de s’évaporer dans la nature. Ceux que les locuteurs de novlangue présentent comme de simples « migrants » n’ont pas voulu des hébergements coûteux que l’État socialiste avait mis à leur disposition, préférant repartir vers Calais pour tenter, coûte que coûte, de franchir la Manche ou se cacher dans les squats que les associations sans-frontiéristes leur prêtent. Ainsi, à Fouras, près de Rochefort, en Charente-Maritime, la moitié des 22 migrants mineurs accueillis sont repartis par leurs propres moyens. Un cas loin d’être isolé…

    D’autres clandestins avaient anticipé, fuyant la jungle de Calais avant qu’elle ne soit démantelée afin d’éviter d’être amenés dans des centres trop éloignés des passages vers le Royaume-Uni. Certains d’entre ces « migrants » se sont, notamment, installés à Paris, dans un quartier Stalingrad plus sinistré que jamais. Le plus souvent afghans, ces déserteurs ont parfois de la famille en Albion.

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