
Faisant fi du politiquement correct, comme le relate l'article de Raphaëlle Claisse, Alain Delon avait déjà essuyé quelques aboiements gauchistes. En 2019, une tribune de l’association « Women and Hollywood » avait recueilli presque 17.000 signatures : elle appelait à le priver d'une Palme d’or d’honneur à Cannes pour l’ensemble de sa carrière. Mais qui eût imaginé que ce monstre sacré du 7e art serait mis à l’index par les commissaires politiques autoproclamés, dès l'annonce de son décès ?