
On sait que l’assemblée nationale, réduite en réalité à 78 députés (sur 577 !), a voté le 28 mars dernier une proposition de résolution qui « condamne la répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l’autorité du préfet de police Maurice Papon le 17 octobre 1961 ». Polémia a déjà rendu compte de ce qu’il fallait penser de ce prétendu « massacre », régulièrement invoqué depuis des années par une gauche soucieuse de faire oublier qu’elle a inventé le colonialisme et par une macronie aux abois, avide de flatter à des fins électoralistes, l’importante diaspora algérienne de France.