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France et politique française - Page 3105

  • C'est l'Institut BVA relayé par LCI qui nous l'apprend ...

    Texte intégral publié par LCI le 30 août ... Sans commentaires !   

    VIVE LE ROI – Selon un sondage, une partie non négligeable de l’opinion serait favorable à ce que la fonction de chef de l’Etat soit assumée par un roi, comme c’est le cas dans de nombreux pays européens.

    Abolie en France il y a 168 ans, la monarchie conserve encore et toujours des adeptes. Un sondage réalisé par BVA et publié ce lundi, indique en effet que de nombreux Français pensent que la présence d’un roi au sommet de l’Etat serait bénéfique pour le pays. Près d’un Français sur quatre estime par exemple que cela aurait des conséquences positives sur l’unité nationale (39%) et la stabilité du gouvernement (37%).  Ils étaient à peine 23% en 2007, année où un sondage similaire avait été réalisé. 

    Pour 31% des Français, remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde (24% en 2007). L’institut de sondage note cependant un important clivage en fonction de la proximité politique de personnes interrogées. Sans surprise, les sympathisants de droite et du FN sont beaucoup plus ouverts à cette perspective que ceux de gauche. Quand à peine 20% des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 50% à droite et 55% au FN.  

    « Le contexte actuel pousse les Français à s’ouvrir à cette possibilité »

    Néanmoins, le changement de régime n’est pas pour de suite car seulement 17% des Français se déclarent réellement favorables à l’idée de voir un roi prendre les rênes du pays. Un chiffre qui lui n’a pas progressé depuis 2007. S’ils ne sont que 4% à gauche à être favorables au remplacement du chef de l’Etat par un monarque, ils sont en revanche 22% à droite. Un chiffre qui monte jusqu’à 37% pour les sympathisants FN. 

    Paradoxalement, si un tel remplacement peut avoir des conséquences positives aux yeux de certains Français, ces derniers ne sont pas tous favorables à une telle extrémité. A noter tout de même que près de trois électeurs sur dix (29%) se disent prêts à voter pour un candidat royaliste au premier tour de la présidentielle. « La série d’attentats qui a touché la France en 2015 et 2016 a mis au cœur du débat la question de l’unité nationale, dans un contexte de défiance à l’égard de l’exécutif, voire de la classe politique dans son ensemble. C’est probablement cette lassitude corrélée à de fortes attentes qui peut expliquer le regain d’intérêt pour un mode alternatif de régime », explique BVA.

    « Il apparaît donc que la proportion des plus convaincus par la monarchie est restée très stable en une décennie, que ce soit sur l’idée qu’un roi exerce la fonction de chef de l’Etat ou sur le vote certain pour un candidat royaliste. Pour autant, le contexte actuel pousse les Français à s’ouvrir à cette possibilité, surtout à droite et à l’extrême droite », conclut l’institut.   

    Enquête auprès d’un échantillon de 1099 Français, représentatif de la population française, âgés de 18 ans et plus et recrutés par téléphone puis interrogés par Internet du 22 au 23 août 2016. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • [Communiqué] La démission d’Emmanuel Macron

    La démission d’Emmanuel Macron ne saurait évidemment surprendre, tant ce ministre, nommé pour rajeunir le gouvernement et lui donner, par sa propre réussite de golden boy, l’image de la crédibilité financière, aura toujours joué sa propre partition.

    Son départ, à la veille d’une campagne électorale qui promet d’être rude, montre en tout cas le caractère artificiel de son recrutement. En décalage complet avec les caciques socialistes, il a su, parfois, surprendre en retrouvant des accents politiques en rupture totale avec les poncifs éculés de la république. Toutefois, nul ne sait encore si Emmanuel Macron n’a fait, par ses propos, qu’accompagner l’exigence, de plus en plus ouvertement exprimée au sein du pays réel, d’un retour de la nation et du politique. Son bilan gouvernemental est en effet des plus maigres et son action n’a obéi qu’à la sacro-sainte idéologie libérale de la dérégulation. Quant à son sourire de gendre idéal, il n’a pas réussi à dissimuler son mépris du pays réel, qu’il a exprimé à plusieurs reprises.

    Météore de la vie politique française ou jeune ambitieux promis à un brillant avenir, l’énigme Macron n’intéresse que les politologues. L’Action française se réjouira si ce dernier se décide un jour à mettre au service du relèvement du pays des compétences évidentes.

    L’ACTION FRANÇAISE

  • « O CORSE, ILE D’AMOUR », (AIR CONNU….)

    Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    L’été, qui n’est pas encore tout à fait terminé, a été fertile en évènements divers et variés. Nous n’aurions que l’embarras du choix pour les commenter. Si l’on met, provisoirement, entre parenthèses la tragédie niçoise du 14 juillet, d’autres faits scandaleux, intéressants ou tout simplement « clownesques », ont animé les pages de nos quotidiens. C’est ainsi que l’on aura noté que des touristes chinois et coréens ont été dépouillés dans notre si sympathique département anxiogène du « 9-3 », observé le rapprochement de la Turquie d’Erdogan avec Israël et la Russie qui a précédé l’irruption des chars de la première en Syrie, constaté l’inespérée défaite de l’African National Congress aux municipales de Pretoria, Le Cap, Johannesburg et Port Elisabeth qui a, peut-être , sonné le glas de l’ANC devenu le marigot des affairistes et autres corrompus comme le Président Jacob Zuma, ou encore souri aux lancements des campagnes présidentielles de Sarkozy et Montebourg ou à celle d’Emmanuel Macron , telle « une lessive qui lave plus blanc », oui tout aurait été prétexte à dissertations et autres exégèses ! Mais, ce qui a retenu mon attention, c’est la résistance de Corses en Corse, province française, face aux provocations d’origine « exotique » sur la plage de Sisco, près de Bastia. Et là, les ligues de vertu antiracistes étaient bien embarrassées.

    Les Corses ont démontré « qu’ils en avaient »….

    Je le confesse, je n’ai jamais eu une tendresse particulière pour les encagoulés du FLNC. Sans doute parce que les trois premières lettres de ce sigle me rappellent de mauvais souvenirs… Et puis, quel courage faut-il pour se déguiser en pénitent de Séville ou en Grand sorcier du Ku-Klux-Klan, la pétoire à la main, dans la fraicheur du maquis corse pour tenir une conférence de presse ? Mais j’avoue que là, l’avertissement « sans frais » adressé par les activistes du « Front de libération » aux terroristes islamistes potentiels, ont fait raisonner à mes oreilles, une fois n’est pas coutume, une petite musique qui m’est apparue soudainement bien sympathique ! Après l’affaire d’Ajaccio et la rixe de la plage de Sisco les iliens, unis dans leur respectable particularisme régional et linguistique, ont démontré massivement, qu’ils ne se laisseraient pas faire face aux agressions brutales dont les leurs sont victimes. Le ras-le-bol de la population s’était déjà librement exprimé avec vigueur et excès, peut-être, à la suite de l’agression de sapeurs-pompiers dans la nuit de Noël 2015 comme il s’est déchainé après que le samedi 13 aout, des jeunes et des moins jeunes, aient été frappés par des baigneurs, eux aussi d’origine maghrébine, sur une plage de Haute-Corse. Ce qu’a reconnu le Procureur de la République de Bastia, Mr Nicolas Bessone, dans sa conférence de presse explicative.(Sera-t-il muté pour cet acte courageux contre la doxa dominante ?). L’action rapide des villageois contre cette arrogance qui consistait à s’approprier une plage publique pour que les dames musulmanes puissent s’exhiber en toute quiétude dans leur camisole de scaphandrier, scelle peut-être l’acte 1 d’une reconquête territoriale et morale : à l’israélienne, « pour une dent, toute la g…le » ! (1). Les larmoyantes et sempiternelles ritournelles du « pasdamalgame » et du « bienvivrensemble » - vous inviteriez, vous, votre si sympathique voisin barbu en djellaba ? Moi pas ! - ont connu avec la manifestation de centaines de Corses scandant « on est chez nous », un coup d’arrêt peut-être décisif, en tout cas dans l’ile de beauté. Les Corses sont français depuis le XVIIIe siècle, bien avant Nice et la Savoie. Ces deux départements insulaires ont été le premier territoire français métropolitain libéré en 1943. Signe prémonitoire avant une nécessaire reconquête tout autant laïque et républicaine que morale ? Nous allons vivre des moments exaltants. L’Islam qui, ne l’oublions pas, est une religion d’importation contrairement à l’enracinement séculaire du christianisme et aussi, mais plus marginalement, du judaïsme, doit s’adapter au mode de vie de la majorité des Français (mœurs, usages et coutumes) : « à Rome vis comme un Romain ! ». C’est une évidence que, d’ailleurs, de nombreux musulmans ont assimilé.

    « La reconquista » ?

    L’heure n’est plus aux petites bougies et aux ridicules slogans du type « même pas peur », le moment n’est pas à la repentance de je ne sais quels actes d’un passé colonial dépassé, non, l’heure est à la « reconquista », tout simplement. La décision, redoutable, du Conseil d’Etat dans l’affaire dite du « burkini » est, à cet égard, un mauvais signal adressé dans la torpeur d’un été finissant. Est-ce pour nous étonner ? Les membres de cet organisme comme ceux qui siègent au Conseil constitutionnel, appartiennent tous à l’oligarchie dominante. Dominante pour l’instant ! Affaires à suivre….

    (1) Je ne juge pas sur le fond le conflit israélo-palestinien : je constate simplement la redoutable efficacité de certaines méthodes de l’Etat hébreu. Un exemple à suivre, sans scrupules !                    

     
  • La mauvaise foi des laïcistes

    L’islamisation de notre société n’a pas manqué de provoquer le débat cet été. Les polémiques sur le Burkini, l’agression antifrançaise de Sisco, les injonctions de l’Etat islamique et les milliers d’immigrés – légaux ou non – parvenant sur notre sol révèlent l’exaspération identitaire qui tenaille notre pays. A ce titre, l’installation de Jean-Pierre Chevènement comme président de la Fondation pour l’islam de France permet de désigner trois écueils dans le traitement fait par le politiquement correct de cet effet du Grand Remplacement. Par souci de précision, je rappelle que j’ai demandé à l’assemblée nationale la suppression de cet organisme qui milite pour l’imposition d’une partie des civilisations musulmanes dans notre pays à l’occasion d’une question au gouvernement et de ma proposition de loi instaurant un moratoire sur la création de mosquées en France.

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    La première analyse tient en l’incapacité de monsieur Chevènement à proposer une solution nouvelle devant l’islamisation. Ainsi, justifie-t-il aujourd’hui dans le Figaro son appel à la discrétion des musulmans : « J’ai recommandé la discrétion dans l’espace public de débat qui est un espace commun à tous les citoyens et ou j’incite non seulement les musulmans mais toutes les religions à s’exprimer de manière argumentée plutôt que par la proclamation de leur Révélation. » Cette explication est grotesque. D’abord, parce que la laïcité dont se prévaut l’ancien ministre veut s’établir, elle, comme une religion révélée alors qu’elle n’est, dans son acception actuelle, que la résultante d’une lutte politique des radicaux et des libéraux de la IIIème République contre l’Eglise. Une relecture de l’ouvrage, Mon ministère, du petit père Combes, permettrait à chacun de comprendre quelle fut l’ambiance à l’époque. La Révélation est l’Argument des religions, c’est ce qui fait d’elle non pas des émotions partisanes mais des promesses de Salut. Je ne doute pas que Druides ou moines préfèreront prêcher le Salut plutôt que diffuser la bonne parole des conseillers d’Etat. Ensuite, parce que l’Etat, du fait de sa captation par les idéologies et les partis, n’a plus du tout la légitimité nécessaire pour que les corps sociaux, religieux ou non, s’obligent à suivre ses diktats. Enfin, cette fondation servira de fait à diffuser les outils de transmission du Coran et de ses interprétations en promouvant la langue arabe, les centres culturels, et autres espaces d’expression de l’islam.

    La Seconde c’est la perpétuation d’une vue de l’esprit : le développement d’un islam de France. Sur quoi repose cette conviction ? Sur un état de fait bien réel : l’islam se métamorphose en fonction de ses terres de conquête. Avant et après le FLN, l’islam algérien ne fut ni le même dans sa pratique, ni le même dans son enseignement. De même, l’islam pratiqué en Oman est bien moins velléitaire que celui promu par les rebelles syriens tant choyés par les médias français. Mais ces pays, arabisés ou islamisés il y a longtemps, ont ceci en commun de ne pas participer du génie européen, et de ne pas appartenir à la civilisation française. Comment oublier le poids du temps long de l’Histoire, comment oublier que l’unification européenne par Charlemagne, les croisades ou les réseaux monastiques du Moyen-Age ont façonné nos manières d’être au monde ? Comme à l’habitude, Chevènement et les siens veulent l’arasement des fondements de ce que nous sommes au profit d’un nivellement relativiste de notre Histoire. Les moins malins, comme Florian Philippot, proclameront le danger majeur constitué par les grandes croix ostensibles. Les plus pernicieux, à la Rachid Nekkaz, se présenteront comme des « citoyens épris de liberté » (Valeurs Actuelles ) pour financer la résistance à la loi contre le port de la burka. Finalement, nous en arrivons à une situation ou les fossoyeurs de l’identité française se prennent à inventer un fantasme de définition de la France pour continuer à monnayer leur camelote.

    La troisième analyse, c’est la grave erreur commise par les communautaristes musulmans eux-mêmes. Aveuglés par le rendu médiatique de leurs actions, ils conçoivent de la France ce que leur en montre les agents du politiquement correct. Une France honteuse d’elle-même, culpabilisée, désireuse de s’offrir aux influences étrangères. Mais, à chaque confrontation avec le pays réel, cette conviction déchante. A Tremblay en France, à Sisco, ailleurs, ils remarquent que les Français sont exaspérés devant l’islamisation de leur pays. Ils n’acceptent pas que de fille aînée de l’Eglise, la France en vienne à se faire meilleure élève du cosmopolitisme matérialiste. Alors qu’ils pensaient imposer tranquillement des territoires perdus de la Nation, faire la loi dans des quartiers, comme avec la police de la charia à Avignon, voire instrumentaliser l’administration du pays pour soutenir le djihad international, ils se confrontent aux faits. Et ces derniers disent : nous ne sommes pas Chevènement, pas Hollande, par Laurence Rossignol, nous sommes un pays fier, dont vous réveillez des corps intermédiaires qui ne laisseront jamais la France être abandonnée à la charia. A ceux-là, je veux dire qu’une porte est ouverte : la ré-émigration.

    https://www.jacquesbompard.fr/mauvaise-foi-laicistes/

  • Reconquérir une hégémonie culturelle, sans passer par une organisation politique

    Riposte catholique analyse un article de Jean-Luc Pouthier (enseignant à Sciences Po et à l’Institut catholique de Paris), qui explique que les catholiques ne comptent désormais pour rien dans l’espace politique national mais qui constate une mutation liée à la fin de la démocratie chrétienne, mutation dont votre blog préféré est un signe :

    "Dans une Europe sécularisée, où le catholicisme est minoritaire mais persistant, l’absence de formations confessionnelles, de corps intermédiaires en quelque sorte, n’en pose pas moins à nouveau le problème du mode de relation de l’Eglise et de ses fidèles avec le monde politique. L’exemple de l’Italie est, à cet égard, intéressant.

    En 1995, le cardinal Camillo Ruini, président de la Conférence épiscopale italienne, a lancé le « projet culturel » de l’Eglise d’Italie. Le cardinal Ruini n’avait guère regretté, c’est le moins qui se puisse écrire, la disparition de Démocratie chrétienneaux élections de 1994 (qui virent le premier succès électoral de Silvio Berlusconi). Elle s’était révélée incapable, selon lui, de défendre les valeurs du catholicisme. En revanche, il encourageait ses ouailles à reconquérir une hégémonie culturelle dans la société italienne, sans que cela passe forcément par une organisation politique.

    Et du point de vue de l’Eglise, cette idée n’a pas si mal réussi.Non seulement des clercs ou des intellectuels défendent ses positions dans les médias italiens, mais « l’aire catholique » continue de peser sur les orientations politiques générales, par une multitude d’organisations susceptibles de mobiliser, sur certains sujets (lois bioéthiques ou mariage pour tous), des foules considérables. C’est au fond l’avenir qui a parfois été prédit en France à la Manif pour tous. Non pas une nouvelle présence électorale du catholicisme, mais une inscription plus visible dans le paysage des idées.

    Rien de tel ne s’est produit, si ce n’est la présence sur la Toile de sites dont l’audience est loin d’être négligeable, comme le Salon beige. Un discours néoconservateur se fait entendre sur les ondes, mais il emprunte peu au christianisme. Les néo-cons français ne sont pas des théo-cons. L’obsession de l’islam cristallise les débats autour de la laïcité, sans qu’un discours identitaire catholique ait beaucoup de prise sur l’opinion, y compris au Front national, où le traditionalisme maurrassien de Marion Maréchal-Le Pen n’est pas repris par la majorité des militants."

    Mais Riposte catholique décrypte :

    "Mais il faut se méfier de l’eau qui dort, car un nouveau souffle est en train, peu à peu, de limer ces vielles cordes et donner des ailes inattendues aux catholiques.

    Quand ce souffle aura eu raison de la peur, des scrupules et du confort (toutes armes aiguisées par le démon), l’influence des catholiques sera d’autant plus importante que leur socle de conviction est inébranlable et par nature destiné au bien commun.

    Nous avons de réels capacités d’action, de vrais apports pour le monde. Il manque aux catholiques de prier l’Esprit Saint pour leur donner ce don de force qui encouragera l’audace qui nous manque.

    Avec la manifestation prévue le 16 octobre, se pose la question stratégique : qu’allons-nous faire de cette démonstration de force ?"

    Michel Janva

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  • Douarnenez : Les organisateurs de la baignade “pro-burkini” croulent sous la rage populaire

    Les organisateurs du festival du cinéma de Douarnenez, proches de l’extrême-gauche, qui avaient organisé une “baignade pro-burkini” ont subi un torrent de protestations les obligeant à faire profil bas.

    Le journal socialiste Le Télégramme, ouvertement favorable aux islamistes, s’en émeut (source) :

    Relayée lundi dans nos colonnes et chez nos confrères des médias presse, télé et radio régionaux [La presse d’État pro-musulmane, NDLR], l’opération « Douarnkini » a suscité un raz de marée de réactions, donnant un écho démesuré à ce qui ne se voulait qu’un pied de nez un peu potache.

    « Je me doutais bien que les grincheux habituels allaient réagir. Je ne suis pas naïve mais un tel déferlement, j’avoue que je ne l’avais pas imaginé », commentait, lundi, Monique Prévost, responsable du Planning familial, à l’origine de ce rassemblement sur la plage des Dames, dimanche après-midi. Une opération imaginée la veille, lors de la soirée de clôture du Festival de cinéma. « Notre idée – nous baigner en jupes longues, foulards ou combinaisons de plongée – ce n’était surtout pas de défendre le burkini. Au contraire ! C’était un pied de nez pour dénoncer ce débat grotesque qui a tout de même conduit des élus à prendre des arrêtés et le Conseil d’État à trancher. À nos yeux, c’est un sujet ridicule, dont on a trop parlé au lieu de s’intéresser aux vrais problèmes ».

    Pour décrypter brièvement la phraséologie de l’organe de désinformation qu’est le journal socialiste Le Télégramme, nous résumerons : une poignée de gauchistes sexagénaires – frappés d’autisme et passablement saouls – ont, samedi soir, décidé de se livrer à une énième provocation “antifasciste” au profit des islamistes.

    Organisée par quelques vieilles biques ménopausées du planning familial – jadis adepte du droit des femmes à se libérer du “patriarcat” blanc et catholique – celles-ci ont trempé leur graisse flageolante devant des photographes de la presse d’État, présents pour l’occasion.

    Pensant marquer des points, c’est au contraire à un torrent de rage que se sont exposés les provocateurs d’extrême-gauche et les plumitifs complices de l’opération. Il ne fait pas de doute que si la foule avait été présente, la vingtaine d’anarcho-communistes précitée aurait été lynchée physiquement et probablement noyée.

    Une leçon à retirer

    Ce que les archéo-marxistes de Bretagne n’ont pas encore compris, c’est que le degré d’exaspération face à l’invasion migratoire et à l’islam radical a atteint un niveau qu’ils ne soupçonnent même pas.

    Se solidariser publiquement de l’islam comme de l’immigration afro-islamique, c’est faire le choix de s’opposer aux masses autochtones. Et s’exposer dès à présent à des conséquences dévastatrices dont nos ennemis vont devoir progressivement faire l’expérience.

    Source Breiz Atao cliquez ici

    Lire aussi cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le mouvement solidariste wallon NATION sera présent le dimanche 2 octobre à Rungis à la Xe Journée de Synthèse nationale

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  • George Soros paye pour influencer les évêques catholiques

    Extrait d'un article de Lifesitenews, traduit par Riposte catholique :

    "Des courriels publiés parWikileaks révèlent que le milliardaire mondialisteGeorge Soros – l’un des donateurs principaux de la campagne d’Hilary Clinton – a donné 650 000 $ dans le but « de faire évoluer les thèmes nationaux et les priorités dans la course à la présidence de 2016 ». Les fonds ont été alloués au printemps 2015 et le rapport sur les résultats suggère que des résultats positifs ont été obtenus, en particulier pour « obtenir l’assentiment individuel d’évêques et leur soutien public et plus ouvert aux thèmes de la justice raciale et de l’économie, de façon à créer une masse critique d’évêques alignés sur les positions du pape ».

    L’argent a été distribué à deux fondations américaines attachées depuis longtemps à modifier « les priorités de l’Église catholique ». Les bénéficiaires sont le PICO National Network, un réseau d’ONG à caractère social [on trouve parmi ses organisations fondatrices : l’Open Society de George Soros et la Fondation Ford, très ouvertement mondialistes – note du traducteur] et Faith in Public Life (FPL), une association progressiste très à gauche travaillant dans les médias pour promouvoir des causes “de gauche”. On sait que Soros finance à travers le monde des associations libérales-libertaires qui travaillent à éliminer les lois “pro life” tout autour du globe.

    Le compte-rendu d’une réunion du bureau de l’Open Society de George Soros, à New York en mai 2015, révèle que, dans le cadre de la préparation du voyage du pape, le groupe avait prévu de travailler avec l’un des principaux conseillers pontificaux, le cardinal Oscar Rodriguez Maradiaga, dont le nom est cité explicitement dans le rapport, de façon à saisir l’opportunité fournie par cette visite aux États-Unis, afin, dit le rapport : « en apportant notre soutien à PICO et à ses activités, de pousser le pape à se prononcer sur les questions d’économie et de justice raciale, y compris en utilisant l’influence du cardinal Rodriguez, proche conseiller du pape, et par l’envoi d’une délégation au Vatican au printemps ou à l’été pour lui permettre d’être mis directement en lien avec les catholiques pauvres d’Amérique ».

    Le cardinal Rodriguez a repris à son compte les positions dePICO dans une vidéo diffusée à l’occasion de la visite dans son diocèse d’une délégation de cette association : « Je soutiens leurs efforts pour promouvoir des communautés de foi, disait-il, … s’il vous plaît, continuez à aider PICO ».

    Un bilan sur l’efficacité de l’investissement sur la visite pontificale a été publié en 2016. Il est intitulé : « Bilan 2015. Fonds occasionnels. » Le groupe Soros semble satisfait du résultat de leur campagne et considère que les déclarations de différents évêques contre les candidats qui « engendrent la peur » – référence explicite au Parti républicain, et probablement plus spécifique à Trump – comme un résultat de leurs efforts. « L’impact de ce travail et les relations qu’il a engendré peut se mesurer au nombre importants de leaders religieux qui ont dénoncé nommément les candidats à la présidentielle ayant « joué sur la peur », dit le rapport.

    Incidemment, le rapport ajoute que la campagne de subventions a aidé à contrer la « rhétorique anti gay dans les médias ». Le rapport affirme également que « l’efficacité de la campagne médiatique peut se mesurer à la rapidité avec laquelle l’équipe a pu réagir et contrer la rhétorique anti gay qui a suivi l’affaire Kim Davis (cette employée municipale du Kentucky qui avait refusé de délivrer des certificats de la mariage à des couples homosexuels) et qui avait rencontré le pape. [...]

    Deux évêques américains sont en pointe dans le combat de Soros pour détourner l’Église catholique de la priorité aux points non négociables : l’évêque de San Diego, Mgr Robert McElroy, qui répète sans arrêt que l’Église doit changer de priorités, avec le soutien du « fils préféré » du pape François, l’archevêque de Chicago, Mgr Blase Cupich. Mgr McElroy a provoqué une bronca à la dernière assemblée des évêques, en novembre dernier, par sa tentative de modification du document destiné à donner des consignes de votes aux catholiques américains.

    Il a en particulier souligné que le document n’était pas dans la ligne des perspectives du pape François – en particulier qu’il mettait trop l’accent sur l’avortement et l’euthanasie, et pas assez sur la pauvreté et l’environnement. Cupich a qualifié ensuite l’intervention de McElroy de « moment fort » de la conférence et appuyé l’idée qu’il fallait mettre sur le même plan l’environnement, la pauvreté globale avec l’avortement et l’euthanasie.

    Le groupe Soros, en concluant son rapport sur le succès de son intervention pour influer sur la visite apostolique, a exprimé sa grande satisfaction sur les résultats. Pour le futur, ils sont très confiants sur leur capacité à faire évoluer les priorités des évêques catholiques aux États-Unis : « Le mouvement est désormais lancé »."

    Michel Janva

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