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France et politique française - Page 3106

  • Grand Remplacement : la France menacée sur tous les fronts

    En ces jours de rentrée, un nouvel article est proposé par Clairefontaine : des cahiers d’écriture arabe.

    La communauté musulmane en France compterait entre 6 et 9 millions d’individus. Mais en 2014 déjà, selon un sondage Ipsos, les Français estimaient en moyenne la proportion de musulmans dans la population totale à 31 %. Et pas seulement en Seine-Saint-Denis ou dans certains quartiers de Lyon ou de Marseille.

    On pourrait déduire de cette surestimation colossale que les Français sont d’affreux racistes. On peut aussi se demander si cette perception erronée de la réalité ne provient pas de la multiplication de faits objectifs qui donnent aux Français l’impression qu’ils ne seront bientôt plus chez eux en France.

    Sans parler des attentats islamistes et autres crimes et délits en tous genres, les Français subissent quotidiennement des incivilités intolérables, qui vont de la musique arabe et des voitures poussées à fond à l’insulte raciste anti-français. Certains membres de la communauté musulmane crachent violemment, parfois au sens propre, leur mépris et leur haine de la France. Des Français ont dû déménager pour retrouver un peu de paix. Récemment, la chaîne ZDF diffusait un reportage sur des Allemands qui vont jusqu’à fuir leur pays pour échapper à l’invasion migratoire. À quand notre tour d’émigrer ? La politique migratoire de la France n’est, après tout, pas très éloignée de celle d’Angela Merkel.

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  • Il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane

    Jean-Marie Le Pen compte investir près de 60 candidats aux prochaines élections législatives. Les marques "Front National Libre" et "Front National Français" auraient même d'ores et déjà été déposées. Comment évaluer le potentiel de nuisance d'une telle décision ? Bruno Larebière explique surAtlantico :

    "[...] A ma connaissance, la constitution en association de "Front National Libre" n’est encore qu’au stade de projet, et, de toute façon, l’agenda judiciaire lui impose d’attendre encore un peu. Car pour l’heure, Jean-Marie Le Pen, exclu du FN en août 2015, se considère toujours membre du Front national et même toujours président d’honneur du FN. Or ce n’est que début octobre que sera plaidée sur le fond, devant le tribunal de grande instance de Nanterre, la contestation de son exclusion. Les dépôts de marque à l’Inpi ayant été effectués par un tiers, il peut toujours arguer qu’il n’y est pour rien. En revanche, il ne peut pas ne pas apparaître dans la nouvelle structure associative. Disons qu’il a anticipé par procuration sur un jugement qui lui serait défavorable mais il ne peut pas encore aller jusqu’au bout, sauf à offrir un argument juridique à la partie adverse.

    Ce "Front National Libre" est le prolongement des Comités Jeanne (ou comités Jeanne au secours selon l’intitulé officiel déposé à l’Inpi). Jean-Marie Le Pen est un politique mais c’est aussi un communicant. Il sait très bien que les Comités Jeanne, ça ne dit rien à personne, tandis que "Front National Libre" atteindrait rapidement un taux de notoriété important. Il est d’ailleurs vraisemblable que la direction du Front national ne manquerait pas de lui intenter un procès pour parasitage de marque.

    Ce "Front national Libre" – ou tout autre intitulé que Jean-Marie Le Pen déciderait de lui substituer – n’entend pas être un parti politique au sens classique. Jean-Marie Le Pen a bien précisé qu’il n’entendait pas mener "une action de développement national". Ce sera un peu comme une franchise, que Jean-Marie Le Pen accordera selon son bon vouloir à des candidats qui pourront s’en prévaloir pour les élections législatives de 2017. Mais comme l’a précisé Jean-Marie Le Pen, "investir, cela ne veut pas dire présenter des candidats", du moins pas nécessairement. Investir, c’est soutenir. Investir, c’est autoriser le candidat à se réclamer de la formation qui lui a accordé son investiture.

    [...] Cette annonce d’une "franchise Le Pen" pour les législatives de l’an prochain est à rapprocher de la volonté du Parti de la France (PDF) de Carl Lang, ancien secrétaire général du FN, de présenter des candidats à ce scrutin, ainsi que je vous l’avais indiqué en mai dernier, avec l’espoir d’atteindre les critères requis pour bénéficier du financement public : obtenir 1 % des suffrages dans au moins 50 circonscriptions. Il est probable que les candidats du PDF bénéficieront de ce label, qui peut les aider à obtenir de meilleurs résultats qu’aux législatives de 2012. A l’époque déjà, une soixantaine de candidats issus du PDF, du MNR et de la Nouvelle Droite populaire s’étaient présentés aux législatives, regroupés sous un intitulé commun et éphémère, à vocation purement électorale, Union de la droite nationale, et seuls une vingtaine d’entre eux avaient dépassé les 1 %.

    Je ne vois personne pouvant "sérieusement concurrencer" un candidat FN, mais cela ne veut pas dire que des candidats labellisés par Jean-Marie Le Pen seront dépourvus de tout pouvoir de nuisance. Je vais vous donner un exemple.

    Aux législatives, se qualifient pour le second tour les candidats ayant recueilli 12,5 % des suffrages des électeurs inscrits – ou, à défaut, les deux candidats arrivés en tête, quel que soit leur score. En 2012, dans la 6e circonscription de Moselle, Florian Philippot avait obtenu 26,34 % des voix au premier tour, mais il ne s’était qualifié pour le second tour que parce qu’il était arrivé deuxième (juste devant le candidat UMP, avec 25,02 %). Ses 26,34 % ne représentaient que 12,40 % des électeurs inscrits ! Or, à ce scrutin, il y avait un candidat dissident, soutenu par l’Union de la droite nationale, qui avait obtenu 4,09 % des voix, soit 1,92 % des électeurs inscrits ! Comme quoi de petites candidatures peuvent avoir de grands effets, mais cela, on le sait depuis la présidentielle de 2002 et les moins de 200 000 voix qui ont manqué à Lionel Jospin pour se qualifier pour le second tour du fait de la candidature de Christiane Taubira. [...]

    Dans le climat anti-islam que nous connaissons, et alors que le Front national vient de réitérer son désir que toutes les religions, y compris le christianisme, soient traitées de façon égale, au nom de la laïcité, il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane– ou, de façon positive, un traitement privilégié pour la religion chrétienne, consubstantielle à notre civilisation – et à défendre "la France éternelle", menacée de "submersion". C’est d’ailleurs ce que disait en substance Jean-Marie Le Pen ce jeudi sur LCI, en refusant d’entrer dans la polémique sur le burkini, qui n’est pour lui qu’une "petite conséquence" de l’ "immigration massive qui peut être mortelle pour notre pays". [...]"

    Il est certain qu'avec des déclarations comme celles de Florian Philippot (directeur du FNJ et membre du bureau politique du FN) ou Eric Domard (conseiller spécial de Marine Le Pen, membre du Bureau Politique du FN), qui se définit comme "laïc intransigeant- la République pour seule religion", le FN fait tout pour favoriser ses concurrents.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/il-y-a-un-espace-politique-pour-des-candidats-r%C3%A9solus-%C3%A0-r%C3%A9clamer-un-traitement-diff%C3%A9renci%C3%A9-de-la-rel.html

  • Prison ferme pour un couple qui avait fait une fausse déclaration de paternité

    Un Tunisien, qui a déclaré la paternité d'un enfant qui n'était pas le sien afin d'obtenir un titre de séjour, a été condamné à six mois de prison ce mardi. La mère, qui n'en était pas à son coup d'essai, a écopé de huit mois ferme. 
    C'est un délit, qui serait "en augmentation notable", à en croire la procureure de Marseille, Véronique Fabron. Ce mardi, au tribunal correctionnel, la magistrate devait faire ses réquisitions dans une affaire de "reconnaissance d'enfant pour l'obtention d'un titre de séjour ou d'une protection contre l'éloignement". 
    Le faux géniteur, un Tunisien de 43 ans qui avait reconnu frauduleusement un bébé pour obtenir des papiers, a été condamné à douze mois de prison dont six avec sursis et une interdiction du territoire français durant deux ans. Il espérait avec cette reconnaissance falsifiée obtenir une carte de séjour provisoire au titre de "parent d'enfant français". La mère d'Adelaïde, trois ans, une Française âgée de 27 ans qui avait été payée contre l'établissement de cette fausse déclaration,a, elle, écopé de huit mois de prison ferme en son absence. "A une époque où les flux migratoires sont extrêmement nombreux et confus", a commenté la procureure, "les réseaux criminels ont trouvé là encore un créneau d'activité illégale qui trouble l'ordre public"
    Trois fausses déclarations de paternité 
    Afin de se présenter avec la jeune femme, le 8 août 2013, dans une mairie d'arrondissement de Marseille, de reconnaître la petite Adelaïde née six jours plus tôt et d'obtenir un livret de famille, l'homme a reconnu avoir déboursé 4000 euros, avant de revenir sur ses déclarations. "Un dimanche matin, au marché aux puces, un homme surnommé 'Couscous' m'a demandé si j'étais gitane et si je voulais faire de fausses reconnaissances pour des Maghrébins, moyennant finances", avait relaté la mère devant les enquêteurs. 
    "Comme j'étais en difficulté financière, j'ai accepté pour élever mes enfants", s'était-elle justifiée. Elle aurait également monnayé des reconnaissances de paternité pour deux autres de ses enfants, pourtant tous nés de son mari comme l'ont démontré ensuite des tests génétiques. 
    "Victime d'une forme d'exploitation de la misère" 
    Les falsifications ont été repérées par la préfecture, qui s'était étonnée de la différence d'adresse entre les deux "parents", d'une différence d'âge de 17 ans et d'une reconnaissance tardive, six jours après la naissance. Lorsqu'il a été placé en garde à vue, le Tunisien a expliqué avoir adressé des mandats chaque mois dans le but de démontrer aux autorités préfectorales sa contribution à l'entretien de l'enfant. 
    Pour le président du tribunal, Fabrice Castoldi, ce Tunisien a été "victime d'une forme d'exploitation de la misère. Il a besoin d'une carte de séjour et quelqu'un lui laisse à penser que c'est facile de trouver une mère". La Police aux Frontières a été saisie d'une enquête sur le dénommé "Couscous", membre présumé d'un réseau.

  • L’actuelle diversion des socialistes aux abois : l’affaire du burkini...

    Bernard Plouvier

    En quatre années et demie de pseudo-exercice du Pouvoir par l’équipe de notre vénéré Président, les Français ont entendu énormément de sottises, énoncées sur un ton doctoral ou démagogique, mais - en cet été de l’An 2016, où un assassin issu de l’islam djihadiste a tué plus de 80 personnes et ruiné la vie de plus de cent blessés, sans compter celle des proches des victimes – le ténébreux Cazeneuve vient de dépasser ce que, dans le Canard enchaîné, l’on nomme le « mur du son de la connerie ».

    Selon notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes (médaille d’or de l’inefficacité face au terrorisme islamique : respect !), une « loi sur l’interdiction du burkini serait illégale, parce qu’anticonstitutionnelle ». Elle serait surtout ridicule, traitant l’énorme problème de l’islam en France par le tout petit bout de la lorgnette… d’autant qu’ôter de la vue des Européens les bourrelets adipeux de certaines musulmanes est plutôt une mesure esthétique qu’une manifestation d’ostentation cultuelle.

    Reportons-nous donc à ce texte que devrait connaître parfaitement tout ministre de la Ve République française : la Constitution du 4 octobre 1958.

    Dans l’article 2 du Titre premier, il est écrit : « La France est une République indivisible, laïque et démocratique »… ça commence mal pour les agités de la propagande islamique. La République « respecte toutes les croyances », mais « dans la stricte égalité de tous, sans distinction devant la loi ». Autrement dit : pas de particularisme religieux ou sectaire (qu’il soit islamique ou maçonnique), d’autant que la Loi de 1905, séparant l’État de tous les cultes et qui est toujours en vigueur, exige une stricte neutralité publique en matière religieuse, sans ostentation provocatrice (qu’elle soit chrétienne, juive, musulmane, maçonnique, etc.).

    Il est évident que nos très honorables compatriotes appartenant à la communauté juive (dont certains membres ont tant fait pour favoriser, puis accroître l’immigration africaine) feraient bien de réfléchir longuement avant d’arborer une kippa dans certains quartiers ou dans certaines rues de ce qui n’est plus une terre de liberté et tranquillité : la France. Il est des erreurs stratégiques, voire des vengeances qui se paient très cher.

    L’article 3 de ce même Titre premier spécifie : « Aucune section du peuple ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté »… autrement dit, pas de Diktat (comme l’on dit en allemand) d’origine communautaire ou sectaire. L’islamo-pétrodollar est extrêmement puissant, mais la Constitution de 1958 se moque éperdument de son pouvoir corrupteur.

    Ce n’est pas tout, loin de là ! Dans son Préambule, la Constitution de 1958 se recommande des célébrissimes Droits de l’homme, « tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789,… confirmée et complétée par le Préambule de la Constitution de 1946 ».

    Or ce texte du 27 octobre 1946 est dépourvu de la moindre ambiguïté, même pour les amateurs de finasseries juridiques : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme ».

    Enfin, il est bon de rappeler qu’à partir de la IIe République (soit depuis l’An 1848), l’esclavage est interdit sur l’ensemble des territoires administrés par l’État français.

    La conclusion s’impose d’elle-même. On se moque du burkini, incident mineur et grotesque de cette année pré-électorale, diversion pitoyable des politiciens qui font semblant de nous gouverner et des meneurs, plus ou moins légitimes, de la multitude des mahométans installés sur le sol français. Le problème de fond est infiniment plus grave.

    Prônant ouvertement l’inégalité des droits entre les sexes et la pratique de l’esclavage, le coran et ses commentaires (les hadîths) sont anticonstitutionnels.   

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Qui aura vraiment le courage de tailler dans les dépenses de l'Etat ?

    Charles Wyplosz, professeur d'économie internationale à l'Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID) à Genève, directeur du Centre international d'études monétaires et bancaires, estime qu'il faut vraiment tailler dans les dépenses publiques :

    "[...] Chez Les Républicains, au moins, on accepte que le gouvernement est obèse. C'est important et nouveau, car la tradition jacobine y est aussi puissante qu'ailleurs sur l'échiquier politique, héritage gaulliste oblige. Sous Chirac, le poids des dépenses publiques avait légèrement baissé, passant de 54% à 52% du PIB, l'essentiel ayant été accompli durant le premier septennat, y compris durant la période de cohabitation. Sous Sarkozy, elles ont augmenté puissamment, de 52% à 57%, et elles ont très légèrement baissé à 56% sous Hollande. Plus de la moitié des dépenses en France sont publiques! En Allemagne, on n'en est qu'à 44%, alors qu'en 1995 le niveau était le même qu'en France. [...]

    On devrait pouvoir faire aussi bien avec moins, comme les Allemands. Or 10% du PIB, c'est 220 milliards de dépenses qu'il faut éliminer. En cinq ans, c'est faisable. C'est ce qu'a fait l'Allemagne entre 1995 et 2000 sous Kohl et Schroeder. Juppé, Sarkozy et Fillon manquent singulièrement d'ambition, Hollande on ne sait pas (mais on s'en doute). [...]

    Depuis des lustres, les septennats et les quinquennats se succèdent, marqués de ces petites et grandes compromissions qui ont créé la situation actuelle. Un jour ou l'autre, il va bien falloir s'attaquer à la taille du budget, pas seulement aux déficits. Pour cela, il va falloir sévèrement couper dans les recettes et les dépenses, ce qui va fâcher beaucoup de monde. Ce ne sera possible que si l'on annonce la couleur à l'avance. Mais comment gagner des élections en promettant du sang et des larmes? C'est la quadrature du cercle."

    Thibaut de la Tocnaye, Membre du Bureau politique du FN, Dirigeant-fondateur d’entreprises industrielles, dénonce l'annonce de Manuel Valls concernant une baisse de l’Impôt sur les Sociétés (IS) pour les PME :

    "le taux passerait, en 2018, de 33,3 % à 28 % sur une deuxième tranche de bénéfice compris entre 38 120 € (seuil actuel du changement de taux de 15 % à 33,3 %) et 70 000 € maximum; au-delà de ce deuxième seuil, on continuerait d’appliquer 33,3 %… On comprend donc que cette mesure est dérisoire… En effet, excepté le fait qu’elle aille dans le bon sens, la diminution du taux est très faible et surtout cette deuxième tranche de bénéfice est beaucoup trop étroite pour avoir un impact réel sur la fiscalité des PME et donc leur capacité à réinvestir une part significative de leur résultat et relancer l’embauche. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Demain, tous royalistes ? Une bonne nouvelle pour la rentrée

    VIVE LE ROI – Selon un sondage, une partie non négligeable de l’opinion serait favorable à ce que la fonction de chef de l’Etat soit assumée par un roi, comme c’est le cas dans de nombreux pays européens.

    Abolie en France il y a 168 ans, la monarchie conserve encore et toujours des adeptes. Un sondage réalisé par BVA et publié ce lundi, indique en effet que de nombreux Français pensent que la présence d’un roi au sommet de l’Etat serait bénéfique pour le pays. Près d’un Français sur quatre estime par exemple que cela aurait des conséquences positives sur l’unité nationale (39%) et la stabilité du gouvernement (37%). Ils étaient à peine 23% en 2007, année où un sondage similaire avait été réalisé.

    Pour 31% des Français, remplacer le président de la République par un monarque donnerait une meilleure image de la France dans le monde (24% en 2007). L’institut de sondage note cependant un important clivage en fonction de la proximité politique de personnes interrogées. Sans surprise, les sympathisants de droite et du FN sont beaucoup plus ouverts à cette perspective que ceux de gauche. Quand à peine 20% des sympathisants de gauche estiment qu’un roi à la tête de la France peut avoir des conséquences positives sur l’unité nationale, ils sont 50% à droite et 55% au FN.

    "Le contexte actuel pousse les Français à s’ouvrir à cette possibilité" […]

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  • Catholicisme social ? Egalité et Réconciliation vous convie à Ferney Voltaire (D. Viguier)