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France et politique française - Page 3457

  • Nous n’avons pas à avoir honte d’être réactionnaires

    La malignité de la société médiatique, de l’immédiateté de l’information, a un effet pour le moins troublant qui fausse le jeu. Tout un chacun peut en faire l’expérience au quotidien. Lorsqu’on discute avec des proches, des amis, des relations, on s’aperçoit qu’à de rares exceptions près, la majorité, quelles que soient leurs opinions politiques, se retrouve sur une vision commune de la société, fort éloignée des délires progressistes qui sont passés au forceps par le gouvernement en place. Pourtant, lorsqu’on prend connaissance des sondages réalisés sur ces questions, comme le dernier en date sur la PMA, on peut voir qu’une majorité, plus ou moins courte se prononce plutôt favorablement.

    A cela, plusieurs raisons. Tout d’abord, il faut avoir à l’esprit que la gauche a fini par noyauter le monde de l’éducation, instillant le venin progressiste dans les esprits de nos jeunes, d’autant plus facilement que l’adolescence est une période de révolte contre l’autorité, l’ordre établi. Ensuite, le milieu culturel est également acquis à ces thèses, et les artistes ne manquent jamais une occasion d’en faire la publicité. Idem pour les médias et une bonne partie des intellectuels. De fait, les rares réactionnaires ayant accès aux micros se retrouvent dans la position inconfortable de l’infériorité numérique. Position fatale dans un régime démocratique qui a pour règle de donner raison à l’opinion majoritaire en dépit de toute autre considération.

    Ensuite, il faut avoir à l’esprit que toutes les réformes sociétales s’inscrivent dans une stratégie du « petit pas ». Chacune séparément apparaît alors comme assez mineure, une sorte de « compromis » acceptable pour la majorité des citoyens. Évidemment, le mensonge, il n’y a pas d’autre mot, réside dans le fait que cette stratégie n’est pas déclinée, que ce qui est présenté comme une action unique n’est que l’étape d’un plan concerté qui vise à mettre à bas ce qui reste de la société traditionnelle.

    Enfin, il ne faut pas négliger la puissance des tabous, la gauche a su développer un art consommé de la communication autour de la notion de « progrès ». Patiemment, elle a fini par inoculer dans les esprits que le « progrès » ne peut que constituer un bien, une avancée pour l’humanité. De fait, la critique du progrès a fini par constituer un tabou majeur, tous ceux qui s’y essaient se font médiatiquement étriller. Et lorsque le « progrès » a été intégré dans notre droit, comme l’avortement par exemple, sa critique est quasiment impossible, et ceux qui se livrent à cet exercice sont désignés à la vindicte populaire comme étant des personnages abjects qui veulent que la société retourne au moyen-âge, époque où sévissait l’obscurantisme de l’Église qui, c’est bien connu, génocidait à tour de bras, aidée en cela par la sainte Inquisition. Que ceux qui ont un doute visionnent « Inquisitio » la série de France Télévisions, ils auront un aperçu du parti pris, de la mauvaise foi, de l’art consommé de l’inexactitude historique des petits soldats médiatiques de ceux qui ont choisi de faire partie de cette « armée du Bien ».

    Nous n’avons pas de programme, car nous ne cherchons pas à accoucher d’une humanité nouvelle, nous ne cherchons pas à créer de nouveaux droits fantaisistes, sortis de l’imagination malade de progressistes qui n’ont pas encore résolu leur Œdipe. Notre combat doit porter sur ce qu’est une société humaine, s’opposer aux objectifs globaux des gouvernants progressistes, d’autant que maintenant ils n’en font plus mystère. Il ne sert à rien de manifester au détail, loi après loi, il nous faut attaquer de front leur projet de société, dans son ensemble, au lieu de se perdre dans une contestation au détail. Il convient de montrer que ces gens ne sont pas animés par la recherche du Bien Commun mais par un nihilisme moral auquel s’adosse une pulsion profanatrice. Haïssant le sacré, ils ne désirent rien tant que le salir, abaisser tout ce qui fait la beauté paisible d’une société humaine respectant la loi naturelle. Ils haïssent les vertus telles que l'honneur, le sacrifice de soi, la nécessité de respecter ses devoirs. Ils daubent les familles qui manifestent actuellement parce qu’elles montrent par l'exemple qu'être de bons parent n’est en rien une impossibilité physique. Immatures, incapables de supporter la moindre entrave à leurs désirs égoïstes, ils donnent libre cours à leur passion profanatrice, semblables à tous ceux qui brisent le miroir qui montre la beauté de la réalité, les renvoyant à leur laideur intérieure, parce qu'ils ne supportent pas de voir que cette beauté est accessible à ceux qui font l’effort de l’embrasser.

    Il nous appartient de montrer qu’il n’y a aucune raison de rougir de l’appellation « réactionnaires » qui nous est décernée par tous ces progressistes à la petite semaine. Bien au contraire, nous devons montrer qu’il y a toutes les raisons d’en être fiers. La morale traditionnelle nous ancre dans la reconnaissance due à nos ancêtres pour ce qu’ils nous ont légué, ainsi que dans l’obligation morale de travailler plus pour nos descendants que pour nous-mêmes. A contrario, la gauche progressiste ne séduit que par son opportunisme, par la corruption morale, en proposant aux gens la voie de la facilité, du refus de l’effort, de la rigueur, de la conscience : assistanat, « droit au sexe », élimination de ce qu’ils considèrent comme des obstacles à la liberté égoïste de jouir (fœtus, malades, personnes âgées, etc.). Les « idées généreuses » de gauche ne sont que des alibis moraux pour consommer et coucher en s’affranchissant de la moindre idée de responsabilité.

    Pierre Guillemot

    http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/idees/692-nous-n-avons-pas-a-avoir-honte-d-etre-reactionnaires

  • Marine Le Pen : « Je suis l’anti-Merkel ! J’en accepte l’augure ! »

    Alors que Hollande, quelques minutes plus tôt, avait comparé "le souverainisme au déclinisme", la présidente du FN lui a rappelé que l’article 1 d’une Constitution qu’il était censé servir s’intitulait "de la souveraineté"…

    Au milieu du ronron bien-pensant, d’une Europe à la pensée prémâchée, le réveil a sonné mercredi au Parlement européen, il a retenti pendant quatre longues minutes, vissant dans leur siège Angela Merkel et son escort boy François Hollande, qui se sont vu donner par Marine Le Pen une leçon de souverainisme, une leçon de démocratie – certains diront une leçon de courage politique.

    Ce 7 octobre, en assemblée plénière à Strasbourg, madame Merkel et monsieur Hollande sont venus vanter aux représentants européens tous les bienfaits de la crise migratoire actuelle, façon Oui-Oui, Plus belle la vie.

    Il s’agissait d’ancrer profondément dans les consciences anesthésiées la nécessité d’accueillir grand, d’ouvrir largement des frontières qui déjà n’existent plus, sous fond de pseudo-charité dégoulinante d’hypocrisie. Contre recherche de main-d’œuvre à bas prix.

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  • Annulation de l’acte de naissance d’un enfant né de mère porteuse à l’étranger

    Lu ici :

    "Dans deux décisions rendues le 28 septembre 2015, la cour d'appel de Rennes confirme l'annulation des actes de naissance de deux enfants nés de mères porteuses à l'étranger, l'un en Inde, l'autre aux États-Unis.

    Une substitution de motifs est effectuée par les juges, en seconde instance, conformément à la position adoptée par la Cour de cassation, le 3 juillet dernier (Cass. ass. plén., 3 juill. 2015, n° 14-21.323 : JurisData n° 2015-015879. - Cass. ass. plén., 3 juill. 2015, n° 15-50.002 : JurisData n° 2015-015881 ; JCP G 2015, 965, A. Gouttenoire).

    La jurisprudence admet depuis que la convention de gestation pour autrui, conclue entre le parent d'intention et la mère porteuse, ne fait pas obstacle à la transcription de l'acte de naissance d'un enfant né à l'étranger issu d'une telle convention, dès lors que l'acte de naissance n'est ni irrégulier, ni falsifié et que les faits qui y sont déclarés correspondent à la réalité. La théorie de la fraude, telle que soutenue par le ministère public dans les deux espèces, est donc écartée en appel.

    Les actes de naissance litigieux sont annulés, en application de l' article 47 du Code civil , en ce qu'ils ne reflètent pas la vérité quant à la filiation maternelle des enfants. Chaque acte désigne comme mère de l'enfant l'épouse du père biologique, alors même que celle-ci n'a pas accouché de l'enfant. De ce chef, la cour d'appel déclare que « les actes de naissance ne font pas foi » et confirme les jugements déférés."

    Michel Janva

  • Les policiers interpellent Taubira après la permission accordée à un braqueur fiché "S"

    Un policier est dans "un état désespéré" après avoir été pris pour cible par un braqueur lundi matin. Ce dernier est un détenu fiché pour radicalisation et qui était en cavale après ne pas être revenu d'une autorisation de sortie.
    Lundi matin, deux braqueurs sont pris en chasse par la BAC. Une course-poursuite s'engage. Des coups de feu sont échangés. Un des policiers s'effondre. Il est depuis "dans un état désespéré". Un braqueur est lui mort. Il était en cavale et fiché "S" pour radicalisation. Quelques heures plus tard, les syndicats policiers demandent à Christiane Taubira d'expliquer comment un tel détenu a-t-il pu bénéficier d'une permission avant de fuir? 
     
    Le policier, blessé au cou dans la fusillade en Seine-Saint-Denis, était ce mardi dans un état jugé désespéré.afp
    Le braqueur était un détenu radicalisé et en cavale
    Agé de 24 ans, le malfaiteur connu pour une trentaine d'antécédents judiciaires, notamment des vols à main armée et des violences volontaires, était en cavale depuis mai. Les investigations sur son évasion avaient abouti à un signalement pour radicalisation. 
    "Il n'avait en effet pas réintégré son établissement pénitentiaire en mai après une permission de sortir. Il était recherché depuis lors, le parquet avait émis un mandat de recherche et il était donc inscrit au fichier des personnes recherchées", a indiqué le porte-parole de la Chancellerie, Olivier Pedro-José. 
    "C'est intolérable et cela veut dire qu'on aurait pu éviter que notre collègue se trouve aujourd'hui entre la vie et la mort", a expliqué le secrétaire général adjoint du syndicat policier Alliance (majoritaire), Frédéric Lagache. 
    "Angélisme pénal" contre "islamo-délinquance"
    "Il est moralement inconcevable qu'on puisse libérer pour une permission un individu aussi dangereux pour la société. Les policiers vont attendre de la ministre de la Justice des comptes car elle a le devoir de s'expliquer pour nous, policiers, mais surtout pour sa famille", a-t-il ajouté. 
    "L'angélisme pénal que nous dénonçons depuis des années n'est plus adapté face à l'islamo-délinquance", a déclaré Patrick Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie-officiers. "Ce qui est aberrant, c'est qu'un individu avec ce profil ait pu bénéficier d'un aménagement de peine et d'une permission sans garantie." 
    "Il va falloir expliquer comment un individu avec ce profil, visiblement en voie de radicalisation, a pu bénéficier d'une permission de sortie. Plutôt que d'avoir une fiche S a son sujet il fallait le garder sous les verrous", a déclaré le secrétaire général adjoint et porte-parole du syndicat SGP-FO Nicolas Comte.
    source

  • La grande peur des bien-pensants : le peuple souverain

    Le duo Merkel-Hollande a été particulièrement éreinté, lors de son passage mardi dans l’hémicycle du parlement européen de Strasbourg, par les réponses des députés patriotes et souverainistes à leurs discours, notamment ceux de Marine Le Pen et Bruno Gollnisch. En Allemagne même, la chancelière allemande subit une perte significative de sa cote de  popularité générée par l’afflux des immigrés. Selon les résultats du sondage d’Infratest Dimap rendus publics jeudi dernier, elle est  passée de 75% en avril   à 54%. Les largesses de Mme Merkel devraient conduire l’Allemagne à accueillir cette année, selon des estimations revues à la hausse,  environ un million et demi de demandeurs d’asile, idem en 2016…dans l’attente du regroupement familial qui fera gonfler mécaniquement la vague. Selon cette même enquête d’Infratest Dimap et par rapport à la même étude réalisée en septembre, ce sont 13% de plus d’Allemands qui expriment leur inquiétude devant cette arrivée massive de réfugiés que le ministre de l’Intérieur Thomas de Maizière qualifie comme des gens «(ne se comportant) pas du tout comme des gens dans le besoin». Selon des chiffres qui circulent actuellement dans les médias allemands, rapportait une dépêche du site russe Sputnik, «un réfugié sur trois est un faux Syrien» outre-Rhin et «les économistes ont évalué les dépenses approximatives des contribuables allemands pour les migrants à environ 11 milliards d’euros.»

     

    Plus largement,  c’est toute la Mitteleuropa qui se cabre devant cette folle xénomanie d’Angela Merkel avec la multiplication ces dernières semaines dans de nombreuses villes des manifestations contre l’immigration. En Autriche même, nos amis du FPÖ  ont obtenu il y a quelques jours plus de 30% des voix aux élections régionales de Haute-Autriche, multipliant leur score par deux. En Allemagne même, dans le land de Bavière, le premier sur le plan économique, le président du CSU bavarois, Horst Seehofer, formation alliée du CDU de Mme Merkel,  a dénoncé  cette politique d’invasion migratoire en présence du chef de l’Etat hongrois,  Viktor Orban. M. Seehofer a menacé de fermer les frontières de son land en cas de poursuite de cette invasion…. Un véritable coup de tonnerre, même si cette information, n’a pas été relayée dans nos « grands » médias.

    En France, les élections régionales apporteront, selon toute hypothèse, la confirmation dans les urnes de l’attachement des Français à une France française, libre et souveraine. Ce qui ne manque pas de déclencher la fébrilité des adversaires du FN qui, pour faire trembler dans les chaumières –mais quel aveu d’impuissance !- franchissent allégrement le point Godwin.

    Mercredi matin, sur Europe 1, invité de Jean-Pierre Elkabbach, le candidat de l’alliance LR-UDI-Modem en PACA, Christian Estrosi, a déclaré que l « le Front National était une entreprise de recyclage de nazillons locaux dans sa région »…recyclant pour sa part sans grande imagination les vieux fantasmes de l’extrême gauche et du PS. Plus c’est gros plus ça passe ? On peut aussi se le demander à l’écoute hier du chef de l’Etat en déplacement au site-mémorial du Camp des Milles (Bouches-du-Rhône), en présence de Najat Vallaud-Belkacem et de Christiane Taubira.

    Dans la foulée de son discours prononcé à Strasbourg, focalisé sur la dénonciation des nationaux et souverainistes, François Hollande a évoqué « les peurs et ceux qui utilisent les angoisses pour diviser, séparer et parfois détester, pour créer la suspicion, la défiance et conduire à l’impossibilité de vivre ensemble (…). Nous avons le devoir de refuser certains mots qui sont prononcés et dénoncer les effets de ces mots qui traduisent les divisions, les amalgames, le ressentiment, les discriminations ». La critique, note Bruno Gollnisch, pourrait être attribuée plus légitimement à certaines personnalités de sa famille politique, à commencer par Manuel Valls…

    Face aux «tentations, aux comportements, aux mots et aux actes ici, ailleurs et partout, nous devons enseigner et transmettre toute l’histoire avec exactitude face aux faussaires et face au négationnisme» a-t-il encore annoncé, précisant la mise sur le marché « d’ici la fin de l’année » d’ un énième texte pour faire de « toute inspiration raciste ou antisémite une circonstance aggravante pour une infraction ». Ce n’était pas déjà le cas ?! De qui se moque-t-on ? Des Français assurément.

    Le terrorisme idéologique, judiciaire, sémantique de la  gauche euromondialiste et/ou immigrationniste est de plus en pesant, insupportable pour nos compatriotes. Français qui sont dénoncés comme des déviants, des égoïstes, des xénophobes au simple motif qu’ils veulent rester maitres chez eux et transmettre un héritage.

    Dans son dernier éditorial du bimensuel de l’AF, François Marcilhac cite Natacha Polony qui, dans Le Figaro, en date du 25 septembre, expliquait « pourquoi Libé  ou Le Monde s’en prennent avec une telle violence à des intellectuels pourtant de gauche qui constatent le retour du refoulé («le retour des logiques nationales », NDLR) et en prennent acte, sans nécessairement s’en réjouir. Le crime de Michel Onfray, de Jacques Sapir ou de quelques autres intellectuels cloués au pilori porte un nom : le souverainisme. »

    « Le vrai crime de Michel Onfray, de Jacques Sapir ou encore Christophe Guilluy se penchant sur la  France périphérique poursuit F. Marcilhac, est précisément de s’apercevoir, contre leur propre tradition idéologique, à la faveur, notamment, mais pas uniquement, d’une réalité migratoire qu’ils se mettent à interroger , que derrière un peuple souverain conceptuel, hors-sol, existe un peuple de chair, qui s’interroge, qui souffre, voire qui refuse sa disparition programmée ». Un peuple qui pour reprendre le contrôle de son destin, doit utiliser impérativement une arme (encore) autorisée : le bulletin de vote.

    http://gollnisch.com/2015/10/09/la-grande-peur-des-bien-pensants-le-peuple-souverain/

  • Et la haine des Français, c'est permis ?

    L'AGRIF sera face aux auteurs de Nique la France le 21 octobre 2015 à 13 h 30  à la cour d’appel de Paris. À cette occasion, l'AGRIF interpelle les parlementaires:

    "Madame, monsieur le député, 

    NLe 21 octobre prochain à 13 h 30, la cour d’appel de Paris entendra les plaidoiries dans le procès engagé contre les auteurs du brûlot et de la vidéo intitulés tous les deux Nique la France.  Le brûlot est un album d’images de personnages narquois avec le doigt levé – le « doigt d’honneur » – en un geste de haine à l’égard de la France.

    La vidéo publiée sur les plateformes de vidéo en ligne est tout aussi choquante et insultante, tant pour les citoyens Français que pour les symboles de la République et de la cohésion nationale. Elle a fait l’objet d’une diffusion non négligeable : elle a été en effet vue plus de 152 000 fois sur Youtube et plus de 77 000 fois sur Dailymotion.

    L’auteur des propos de cette « chanson » et de ce texte, Saïd Bouamama, appelle clairement à la provocation à la discrimination, à la haine et à la violence à l’égard des Français dit de souche, en raison de leur origine et de leur appartenance à  une race.

    Les Français y sont qualifiés, indistinctement, de « gros beaufs qui ont la haine de l’étranger », de « nazillons », de « petit gaulois de souche », ou encore de « bidochons ». La France est qualifiée de « pays puant, raciste et assassin ».  Les symboles républicains et les valeurs portées par la France y sont bafoués et salis : « Et c’que je pense de leur identité nationale, de leur Marianne, de leur drapeau et de leur hymne à deux balles, j’vais pas te faire un dessin, ça risque d’être indécent, de voir comment je me torche avec leurs symboles écœurants ». Au milieu de ce déversement de haine et de racisme, l’auteur n’hésite pas à faire référence à des groupuscules terroristes ultra-violents comme le sordide NKP : « Mais on va pas se laisser faire, se laisser bâillonner, on va pas lâcher l’affaire, comme l’élite du NKP ».

    Alors qu’actuellement des milliers de personnes quittent leur pays, leur famille et leurs biens pour rejoindre la France, parce qu’ils croient en elle, en ses valeurs et en son humanisme celle-ci peut-elle se laisser insulter, bafouer et piétiner ? Comment peut-on laisser de tels propos racistes et anti-français se déverser dans les librairies et être diffusées librement sur internet, alors que des milliers de personnes qui veulent devenir Français et qui font des efforts considérables pour s’intégrer à la vie de la cité le font, justement, parce qu’ils aiment la France ?

    Le racisme est un fléau de notre société. Il ne doit faire l’objet d’aucune  sympathie, parce que, derrière ce genre de propos, c’est une dialectique dangereuse de guerre civile et de destruction de la cohésion sociale qui est engagée. La lutte des races ne doit pas se substituer à la lutte des classes.

    Madame, monsieur le député, alors qu’approche l’audience du procès en cour d’appel, nous estimons en conscience de notre devoir de vous solliciter pour prendre une position publique sur cette affaire grave qui touche au fondement du pacte social et à l’essence universelle de la loi qui condamne  toutes les formes de racisme.

    Veuillez recevoir nos salutations respectueuses,

    Le bureau de l'AGRIF"

    Michel Janva

  • Nicolas Sarkozy rentre bredouille de sa pêche aux adhésions

    Nicolas Sarkozy est victime du flou artistique qu’il a lui-même entretenu et continue d’entretenir autour de sa ligne politique.

    On ne se bouscule pas au portillon pour adhérer aux « Les Républicains ». Le nom, d’abord. Comment faire ? Que dire ? Je suis militant de « Les Républicains » ? La maladresse lexicale vous catalogue immédiatement attardé, benêt, simplet du village. Ça ne colle pas. Alors « je suis militant républicain ». Ce à quoi l’assistance répond : « Mais tout le monde, mon vieux ! Trouvez autre chose ! » Bon. Les adhésions baissent. La faute à qui ?

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  • Manuels scolaires : Vallaud-Belkacem veut supprimer les contes traditionnels

    Najat Vallaud-Belkacem, la piètre ministre de l’Éducation Nationale, a publié un communiqué mercredi qu’elle entendait traquer les stéréotypes de genre jusque dans les manuels scolaires. Ainsi les nouveaux programmes (CP jusqu’à la 3ème) « sont une occasion importante pour améliorer les manuels et ainsi prévenir les discriminations de stéréotypes qui alimentent les inégalités entre les élèves. ».

    La sinistre s’appuie sur une « étude » du centre Hubertine Auclert (association féministe militante) pour partir en guerre contre les contes traditionnels tel que Le Petit Chaperon rouge ou Cendrillon.
    Selon les harpies féministes « de nombreux contes issus de la culture populaire » sont « truffés de représentations sexistes, ils ont valeur d’autorité littéraire et cantonnent le plus souvent les personnages féminins à des rôles stéréotypés. »

    Le rapport en profite pour attaquer la représentation du couple homme-femme et réclament des « modèles familiaux diversifiés » dans les manuels scolaires pour enfants de 5 ans…

    http://www.contre-info.com/manuel-scolaire-vallaud-belkacem-veut-supprimer-les-contes-traditionnels

  • La défense de la vie par la Ligue du Sud au Département de Vaucluse

    Yann Bompard et la Ligue du Sud défendent la vie au Conseil Départemental de Vaucluse :

    L"Lors de la séance du 2 octobre, le groupe de la Ligue du Sud au département s’est élevé contre 4 sujets primordiaux pour notre territoire.

    Tout d’abord, il a été question de la convention liant le département avec l’association carpentrassienne AMADO. Cette association a perçue 55 000 € du département. Et une disposition de la convention nous a scandalisés. Pour mémoire :

    « AMADO proposera obligatoirement une rencontre de la conseillère du centre de Planification et d’Education Familiale (CPEF) cnventionné à Carpentras par le Conseil Général, aux femmes enceintes accueillies avant la fin du délai de recours à l’IVG ». Pas besoin d’être grand clerc pour comprendre que l’on incitera ces femmes, en situation de détresse, à recourir à l’avortement. Nous regrettons d’avoir été le seul groupe politique à voter contre. Tous les autres groupes ont voté pour.

    Nous avons également voté contre une subvention à hauteur de 30 000 euros à l’association AIDES en nous appuyant sur un rapport interne de l’association qui expliquait notamment sa gestion catastrophique  Ce rapport précisait que: « la situation actuelle est la conséquence d’une succession d’erreurs de pilotage qui fait peser un discrédit immense sur la direction et la présidence, grevant tant leur capacité à surmonter la crise actuelle qu’à assurer la survie de l’association dans le futur. »

    Au passage le budget de AIDES oscille entre 30 et 40 millions d’euros par an dont la moitié de financements publics, et ils achètent des espaces publicitaires sur la chaîne pornographique « Dorcel TV ». L’argent des vauclusiens irait mieux à l’aide à la recherche plutôt qu’au fonctionnement d’associations à la gestion contestée et contestable et aux ambitions douteuses.

    Ici encore, nous regrettons d’avoir été le seul groupe à voter contre cette subvention. [...]"

    Michel Janva