France et politique française - Page 3595
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France 4 - Reportage sur l'Action Française
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Acte de naissance : les «fantômes de la République» n’existent que dans la rhétorique pro-GPA
Adeline le Gouvello, avocat au Barreau de Versailles, écrit sur Boulevard Voltaire :
"[...] En tout état de cause, l’absence de transcription de l’acte de naissance n’a pas de portée pratique pour la vie de ces enfants :les « fantômes de la République »n’existent que dans la rhétorique bien huilée des promoteurs de la GPA. Ces enfants ont un état civil : celui qui a été établi à leur naissance dans le pays où ils sont nés. Leurs parents d’intention français demandent d’ailleurs la « transcription » d’un acte d’état civil déjà existant, et non pas la « création »d’un acte en vue de donner un statut à un enfant qui en serait dépourvu.
De nombreux Français d’origine étrangère ne disposent pas de leur acte de naissance à l’état civil français. Concrètement, cela représente pour eux un peu plus de paperasse administrative : dès que l’acte de naissance est demandé, il faut solliciter les services d’état civil du pays d’origine. Sont-ils pour autant, eux aussi, des « fantômes de la République » ?Cette contrainte administrative est avant tout subie par les parents et non par les enfants, et c’est bien la moindre des choses qu’ils assument ce petit tracas alors qu’ils ont eu recours à une pratique illégale et qui porte très gravement atteinte à la dignité humaine et à l’intérêt de l’enfant.
Car, enfin, rappelons ce qu’ont fait ces adultes : ils ont signé un contrat par lequel, en échange d’un prix, ils obtiennent un bébé, avec choix des options (sexe, absence de maladies, de malformations, etc.). C’est la définition même du contrat de vente ou du contrat de prestation de services.
Or, s’arroger un droit de propriété sur un humain, exploiter le corps d’autrui constituent des atteintes aux droits des personnes qui semblent bien s’apparenter à la réduction en esclavage telle que prévue par l’article 224-1 A du Code pénal.
Ainsi, si l’on accepte sans réserve la transcription des actes d’état civil de ces enfants, on cautionne pleinement l’exploitation des femmes pauvres, la fabrication de bébés délibérément privés de leur mère, la vente d’enfants. [...]"
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Nationalisme et populisme vus par Pierre-André Taguieff (article paru dans L’Action Française 2909, 21 mai 2015)
Comme dans chacun de ses livres, Pierre-André Taguieff peut nous agacer. Mais de très belles pages sur le patriotisme montrent combien il peut être proche, quoi qu’il en dise, du nationalisme de Charles Maurras : un nationalisme mesuré, défensif et ouvert sur l’universel.
Comme récemment Chantal Delsol dans Populisme – Les Demeurés de l’histoire [1], Pierre-André Taguieff, en un opus complémentaire, bien que de facture différente – Delsol s’interroge en historienne de la philosophie et Taguieff en sociologue de la politique – se demande si nous ne vivons pas La Revanche du nationalisme : les néopopulistes et les xénophobes seraient-ils à l’assaut de l’Europe ? Nous avions rendu compte ici [2] de son précédent ouvrage, qui était apparu à bien des égards politiquement incorrect : Du diable en politique – Réflexions sur l’antilepénisme ordinaire, qui montrait en quoi la gauche, « dont le déclin intellectuel et politique » est évident aux yeux de l’auteur, était passée à côté du Front national qui, loin d’être la résurgence d’une extrême droite néofasciste, exprime un national-populisme que l’évolution de l’Europe favorise. Ce dernier essai revient longuement sur les fautes de diagnostic qui rendent inopérantes les analyses sur la montée actuelle des mouvements nationalistes et populistes européens, qu’il ne faut pas confondre, n’en déplaise à des analystes pressés ou paniqués, à un quelconque retour des années 1930. Est-ce toutefois le matériau qui a présidé à sa composition, à savoir que cet essai est « issu d’interventions faites ces dernières années et de discussions publiques » des analyses de l’auteur ? Outre l’impression de redites entre les différents chapitres, perce également celle d’un auteur ballotté entre la volonté d’aller au fond du phénomène étudié et celle de ne pas dépasser les limites du politiquement correct. C’est, en effet, parce que l’o5uvrage est une bonne mise en perspective de la complexité des problématiques contre les amalgames et les synthèses toutes faites ou simplificatrices, qu’on est gêné par l’emploi non distancié de concepts qui restent polémiques, même si des journalistes pressés – ce que n’est précisément pas Taguieff – en usent abondamment par paresse ou par malveillance. Nous pensons notamment au recours systématique aux phobies pour qualifier la critique de l’immigration ou de l’Europe (xénophobie, europhobie), allié à cette facilité qui consiste à user d’explications psychologiques – mais Taguieff se fonde sur de nombreux auteurs anglo-saxons amateurs d’une telle immixtion qui ne fait pas toujours leur part à la philosophie, à la culture et à l’histoire politiques.
Déréaliser le vécu
Surtout, elle permet de déréaliser le vécu en autant de "sentiments" – notamment le fameux "sentiment d’insécurité" – que les élites s’essoufflent, du reste en vain – d’où leur mépris pour l’électorat populaire – à délégitimer auprès d’électeurs rétifs à prendre pour de simples fantasmes égoïstes ou nauséabonds ce qu’ils vivent au quotidien – ce péché d’« idiotie » dénoncé par Delsol. Ainsi, pour décrire le processus des « peurs identitaires », l’auteur évoque « le groupe majoritaire, qui se perçoit comme légitime ("On est chez nous !"), se considère comme menacé, voire comme une victime potentielle ou actuelle, de groupes minoritaires perçus comme étrangers par nature (notamment en raison de leurs cultures respectives), agressifs et conquérants »... Tout en sachant analyser plus loin, de manière directe, et sans plus recourir à la langue de bois du "ressenti", que les « mouvements néopopulistes de droite peuvent être interprétés comme des réactions plus ou moins convulsives, traduites par des démagogues en langage nationaliste, aux processus de désintégration affectant les nations, qui perdent peu à peu leur force intégrative, transformant les citoyens en individus atomisés, impuissants à envisager leur avenir au sein d’un avenir commun. [...] La généralisation du déracinement ne saurait être élevée à la hauteur d’un destin désirable. » De très belles pages sur le patriotisme, une lucide analyse de l’échec de tout patriotisme purement constitutionnel ou « civique » – de fait, le patriotisme républicain – (« On ne peut totalement désimpliquer [...] souveraineté populaire et identité nationale-culturelle ») montrent, par ailleurs, combien Taguieff peut être proche, quoi qu’il en dise, du nationalisme maurrassien, mesuré, défensif et ouvert sur l’universel... Aussi vrai qu’« une nation qui serait étrangère à tout nationalisme est une construction abstraite sans validation empirique ». Parfois irritant, voire décevant, mais finalement toujours intelligent : du Taguieff.
François Marcilhac
1 – L’AF n° 2903 du 19 février 2015.
2 – L’AF n° 2891 du 1er août 2014.
Pierre-André Taguieff, La Revanche du nationalisme – Néopopulistes et xénophobes à l’assaut de l’Europe, Presses universitaires de France, mars 2015, 310 pages, 19 euros.
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NKM pire que Jack Lang ?
Nathalie Kosciusko-Morizet, toujours à l’affut d’une excentricité, veut « préserver la diversité artistique libre et indépendante qui a fait l’âme (d’un) quartier », à Belleville, dans le XXe arrondissement de Paris. Une de ses ruelles, dénommée Dénoyez, est en effet « devenue touristique depuis une dizaine d’années grâce aux graffitis colorés qui ornent ses murs », rapporte Le Parisien.
Un projet de construction de logements sociaux et d’une crèche mettrait en effet en péril « l’âme du quartier »…
Ah ! le graffiti, que Jack Lang, Ministre de la culture, avait en son temps considéré comme de l’Art pour l’inviter en 1991 dans une institution culturelle d’importance à Nantes… puis qu’il avait accueilli l’année suivante au musée des Monuments français.
En 2013, NKM avait déjà fait le buzz, comme on dit, en s’émerveillant dans un entretien au magazine Elle d’« un lieu de charme à la fois anonyme et familier… » : elle parlait alors du métro où il lui arrivait de « … faire des rencontres incroyables (et où il y aurait) des moments de grâce. »
La presse s’était alors gaussé comme il se doit de la candidate UMP à la Mairie de Paris… De même avec sa photo, à la même époque, où on la voyait « cloper », en blouson de cuir et tignasse au vent, en compagnie de SDF… Photo où elle ne distinguait guère de la faune des laissés-pour-compte de la société.
Quant aux électeurs, ils n’avaient pas manqués de lui offrir la veste électorale qu’elle méritait, tandis que nombre de facétieux camarades de son parti la surnommait alors « La Folle de l’UMP ».
On se demande pourquoi !Philippe Randa (paru dans le quotidien Présent)
(Philippe.randa@present.fr)
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Nicolas Sarkozy est un bon petit militant de l'UMP
Il ne va pas jusqu'à faire du porte à porte dans les HLM pour convaincre de voter UMP. Non, il reçoit Madeleine dans son bureau pour la convaincre de voter à nouveau UMP alors qu'elle avait annoncé à la télévision en mars 2013 qu'elle allait voter FN :
"Soucieux de rendre concret ce combat pour la reconquête de l'électorat frontiste, Nicolas Sarkozy s'est entretenu avec elle dans son bureau. Ainsi, comme le rapporte RTL ce jeudi, le président de l'UMP a reçu l'auditrice au siège du parti pendant une demi-heure. «Je me suis préparée depuis quelques jours, j'espère que ça se passera bien. Je ne suis pas prête pour le moment à revoter pour lui mais s'il fait des ouvertures sympathiques et s'il me convainc pourquoi pas», confiait-elle à la station avant de rencontrer le chef de l'État, citant notamment «l'identité française, l'immigration et la sécurité».
«Moi j'ai été très heureux de recevoir Madeleine, on a bien parlé», a quant à lui jugé l'intéressé (...) tandis qu'il s'apprêtait certainement à évoquer les millions d'électeurs du Front national parmi lesquels figurent une importante part de «déçus» de l'UMP. Et que Nicolas Sarkozy s'est déjà dit prêt à «aller chercher un par un». "
A raison d'une personne par jour, Nicolas Sarkozy devrait gagner 200 à 300 électeurs en un an. D'ici 2017, cela va être juste... Comme le dit François Hollande, le monde n'est pas facile, il n'est pas gentil.
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Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XIV)
Charlie c’est fini !
Si on a tenté de nous faire croire qu’à la suite des attentats du 11 janvier 2015 un vent « d’union nationale » et de rassemblement autour du président de la République soufflait en France, le mirage s’est vite dissipé. Comme en témoignent ces sondages.
La défiance vis-à-vis de la classe politique institutionnelle est toujours aussi élevée.
Aussi bien vis-à-vis de la gauche…
77% des personnes interrogées ne souhaitent pas que François Hollande brigue un second mandat présidentiel (sondage BVA/Orange/iTélé dans Le Bulletin quotidien du 2 mars 2015).
La cote de confiance de François Hollande rechute à 25%, soit 4 points de moins par rapport à février 2015 (sondage CSA/Les Echos/Radio classique des 3 et 4 mars). Elle s’établit à 21% en avril selon l’enquête de satisfaction IFOP/Le Journal du dimanche du 19 avril 2015, soit une baisse de 4 points.
18% seulement des personnes interrogées déclarent faire confiance au président de la République « pour résoudre les problèmes qui se posent à la France » (sondage TNS Sofres/Le Figaro Magazine du 26 au 30 mars 2015).
L’action de François Hollande mécontente 79% des personnes interrogées trois ans après son accession à l’Elysée (sondage Opinionway/LCI/Le Figaro des 15 et 16 avril 2015).
81% des personnes interrogées estiment que le bilan des trois ans de François Hollande à l’Elysée est négatif (sondage Institut CSA/Atlantico des 28 et 30 avril 2015).
…que vis-à-vis de la droite :
22% seulement des personnes interrogées souhaitent que Nicolas Sarkozy soit candidat aux présidentielles de 2017 contre 33% en juillet 2014 (sondage BVA/orange/iTélé des 19 et 20 février 2015).
39% des personnes interrogées désignent Alain Juppé comme la personnalité politique « préférée des Français », soit 10 points de moins par rapport à février, selon le sondage Odoxa des 19 et 20 mars 2015.
53% des personnes interrogées désapprouvent le « ni-ni » prôné par le président de l’UMP Nicolas Sarkozy vis-à-vis du Front national et du Parti socialiste (sondage CSA des 24 et 25 mars 2015).
59% des personnes interrogées ne font confiance « ni dans la droite ni dans la gauche pour gouverner le pays » (sondage Opinion Way/Cevipof des 26 janvier au 4 février 2015).
Comme la défiance vis-à-vis de la politique économique…
74% des personnes interrogées estiment que les impôts locaux vont augmenter (baromètre Opinion Way pour Axis consultants/Le Figaro/BFM Business des 18 et 19 février 2015).
69% des personnes interrogées ne prévoient pas de baisse du chômage avant 2017 (Baromètre Opinion Way/Axis Consultants/Le Figaro publié le 26 mars 2015) ; 75% des personnes interrogées pensent que le chômage « ne diminuera pas de façon continue d’ici la fin du quinquennat » (sondage Odoxa/iTélé/Le Parisien des 29 et 30 avril 2015).
70% des personnes interrogées estiment que le retour de la croissance en France « n’est qu’une amélioration ponctuelle qui ne durera pas » (sondage Odoxa/Les Echos/Radio classique des 13 et 14 mai 2015).
…vis-à-vis de l’enseignement…
74% des personnes interrogées estiment que « les enfants d’aujourd’hui sont en général moins bien élevés qu’à l’époque où ils étaient eux-mêmes enfants » (sondage BVA dans Les Echos du 2 mars 2015).
7 personnes interrogées sur 10 se déclarent opposées à une législation pour interdire gifle ou fessée pour les enfants (sondage IFOP/Le Figaro dans Les Echos du 16 mars 2015).
60% des personnes interrogées estiment que la manifestation des enseignants contre la réforme du collège du 19 mai 2015 est justifiée (sondage Odoxa/iTélé des 13 et 14 mai 2015).
…comme vis-à-vis de l’immigration et de l’islam
69% des personnes interrogées estiment qu’il y a « trop d’immigrés en France » et 56% que « l’islam représente une menace pour la République » (sondage Opinion Way/Cevipof du 26 janvier au 4 février 2015).
53% des personnes interrogées se déclarent opposées à ce que les cantines des écoles publiques proposent des repas sans porc (sondage Odoxa/CQFD/iTélé des 19 et 20 mars 2015).
45% des personnes interrogées se déclarent opposées à la construction de nouvelles mosquées en France (sondage Ifop/Valeurs actuelles des 18 et 19 mars 2015).
Bref, Charlie c’est fini !
Michel Geoffroy, 20/05/2015
Voir ou revoir :
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (I)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (II)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (III)
Et si l’on donnait encore une fois la parole aux Français ? (IV)
Et si l’on donnait encore une fois la parole aux Français ? (V)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (VI)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (VII)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (VIII)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (IX)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (X) :
Et si l’on donnait la parole aux francais ? (XI)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XII)
Et si l’on donnait la parole aux Français ? (XIII)
http://www.polemia.com/et-si-lon-donnait-la-parole-aux-francais-xiv/
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Interview d’Alain Soral par la chaîne Arte : les images d’ERTV
Malhonnêteté Arte: La chaîne de référence prise en flagrant délit de tricherie
Interview d’Alain Soral par la chaîne Arte… par ERTVLa chaîne franco-allemande Arte est venue interroger Alain Soral à Paris pour un reportage sur le thème de la « théorie du complot ». Les images obtenues ont été diffusées dans l’émission Yourope du 18 avril 2015, intitulée « Absurdité ou réalité ? Zoom sur les théories conspirationnistes qui prospèrent en Europe ». Sans surprise, le montage tente de nuire au président d’Égalité & Réconciliation. Fort heureusement, ERTV a contre-filmé l’interview, permettant ainsi de rétablir la vérité sur les propos d’Alain Soral…
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Législation sur le blanchiment d’argent, défis pour le Japon, réforme du collège… l’actu vue par Gollnisch
Dans cet entretien, réalisé depuis le Parlement européen de Strasbourg ce mercredi 20 mai, Bruno Gollnisch délivre son analyse sur :
- les derniers développements de l’actualité du Front National à la lumière de « l’affaire Jean-Marie Le Pen »
- le blanchiment d’argent en débat au Parlement européen et la législation (liberticide et souvent aberrante) existante dans ce domaine
- les défis auxquels doivent faire face le Japon, notamment face à la montée en puissance de la Chine
- la réforme du collège, « réponse détestable à de vrais problèmes »
- la contre-attaque en cours face aux tentatives de persécutions judiciaires initiées contre lui par le socialiste de longue date Edouardo Rihan Cypel
- les suites de l’affaire du « coup du parapluie », les calomnies et les procédés du « Petit Journal » de Canal Plus…
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La réforme des collèges vue de l’intérieur
Annie Genevard a publié dernièrement sur FigaroVox une tribune-choc consacrée à l’éducation nationale. Au menu, la réforme des collèges vue de l’intérieur. À lire !
Elle connaît les rouages l’Éducation Nationale. Annie Genevard est professeur de lettres classiques, députée membre de la Commission des Affaires culturelles et de l’Éducation de l’Assemblée Nationale et membre du Conseil Supérieur des Programmes (CSP). Cette instance a contribué à la réforme des collèges prévue pour 2016. Annie Genevard explique son hostilité à ce projet et aux choix idéologiques qui le sous-tendent : l’abaissement général du niveau, l’uniformisation par le bas… au détriment des élèves les plus défavorisés
Ce n’est pas le moindre des paradoxes de cette mauvaise réforme que de favoriser ainsi ce que l’on prétend combattre.
Il faut développer ce qui a fait ses preuves, et d’autre part, encourager l’effort, l’excellence, le goût de la réussite qui sont les fondements de la méritocratie républicaine.Elle nous détaille aussi ce à quoi nous avons échappé, « comme le recours dès la maternelle aux langues de l’immigration », « favoriser la parité dans le choix des auteurs de littérature » ou encore
l’idée de mettre sur le même plan historique ce que l’on appelait autrefois les invasions barbares, la colonisation ou l’immigration de travail du XXe siècle pour accréditer l’idée que tous les Français seraient le produit de ces « mouvements migratoires » : une analyse historiquement fausse et politiquement explosive. »
Elle détaille également les aberrations de la gestion de l’Éducation Nationale,
la structure la plus nombreuse en salariés au monde, ne dispose pas d’une gestion des ressources humaines.
Enfin, elle se prononce pour une vraie indépendance du Conseil supérieur des programmes. Cette institution censée être indépendante « tout en étant placé auprès du ministre de l’Éducation, quelle ambiguïté ! Son Président est en réalité en relation étroite avec le Cabinet, lequel inspire parfois de mauvaises décisions… ».
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L’Action française sur Radio courtoisie “Faut-il être républicain ?"
Libre Journal des débats du 12 mai 2015 : “Faut-il être républicain ? ; Identité, souveraineté : quel doit être le sujet principal de la droite nationale ?”
Benjamin Blanchard, assisté de Charles de Meyer, recevait Eugénie Bastié, journaliste, Philippe Pichot-Bravard, historien du droit ; Nicolas Dhuicq, député UMP de l’Aube,Antoine Berth, secrétaire général des jeunes d’Action française, Louis Lorphelin, journaliste, Louis Narot, membre du cercle Henri Lagrange. Thèmes : “Faut-il être républicain ? ; Identité, souveraineté : quel doit être le sujet principal de la droite nationale ?”.
http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Action-francaise-sur-Radio,9050