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France et politique française - Page 3596

  • Existe-il une place à la droite du FN ?

    Ordre-nouveau-600x879iouo Copier.jpgPour l’instant, Jean-Marie Le Pen l’affirme : il désire créer une sorte d’association, une fondation, en aucun cas « concurrente » avec le FN. L’objectif, explique l’ancien président du Front national ce 11 mai sur les ondes de Radio Courtoisie, est de « rétablir la ligne politique qui est celle qui a été suivie depuis des décennies (…). Il faut essayer de corriger les erreurs qui ont été commises dans notre propre camp. (…) recueillir tous ceux qui sont actuellement indignés de la ligne politique suivie ».

    Revenir à une sorte de FN originel, basé sur les fondamentaux lepénistes et porté essentiellement par des anciens du parti d’extrême-droite ? Il y a quelques jours encore, l’idée était difficilement concevable du fait, en partie, de la posture et de l’âge de Jean-Marie Le Pen. Aujourd’hui, ses propos rencontrent un écho. Reste à mesurer son ampleur et la réelle capacité de nuisance de l'ancien président du FN. Car si des permanences indéniables existent entre le FN du père et celui de la fille, la présidence de Marine Le Pen a évidemment entraîné un changement fondamental : ne lui en déplaise, Jean-Marie Le Pen n'est plus l'acteur principal de l'histoire du FN.

    Un remake de 1972 ?

    Le Front national est « né d’une analyse de la situation politique et de la rencontre de plusieurs volontés et bonnes volontés » peut-on lire dans une des premières publications du parti d’extrême droite (janvier 1973). Sa vocation première : le rassemblement de tous les nationaux, « sans exception ». Son ambition immédiate : présenter quelques candidats aux législatives du printemps 1973.

    À l’automne 1972, un logo - une flamme tricolore calquée sur celle du parti fasciste italien le MSI -, un sigle - FN - et quelques hommes annoncent la constitution du FNUF (Front national pour l’unité française), présidé par Jean-Marie Le Pen. Ce qui n’est encore qu’un groupuscule se présente comme l’affirmation politique de la « droite nationale, populaire et sociale ».

    Différentes sensibilités et individualités de l’extrême-droite française figurent à l’origine du mouvement, impulsé par le groupuscule néofasciste Ordre nouveau : anciens SS, anciens collaborateurs du régime de Vichy, anciens poujadistes et militants de l’Algérie française, nationalistes-révolutionnaires, royalistes, auxquels s’associent des personnalités diverses. Chacun s’adapte, en fonction de sa culture politique avec un principe phare : la « préférence nationale ».

    Les « indignés » de la ligne Marine Le Pen

    Une quarantaine d’années plus tard, une nouvelle formation, chapeautée par l’ancien président du FN, pourrait donc voir le jour. Dans quelle(s) perspective(s) ? Pourquoi pas la présidentielle de 2017 ? Un enjeu crucial pour le Front national de Marine Le Pen.

    Existe-il un espace politique à combler, à la droite du FN ? Est-il possible de créer un parti d'extrême droite d'envergure à l'extérieur du Front national ? Quoiqu'il en soit, des anciens (cadres) du FN – exclus ou partis volontairement, opposés avant tout à Marine Le Pen, se font entendre : Roger Holeindre, Carl Lang… mais aussi des anciens adhérents / militants comme Yvan Benedetti ou encore Alexandre Gabriac. Ce n’est certainement que le début d’une liste qui devrait s’allonger. Car la plupart des dissidents du FN approuvent tout bas l’initiative de Jean-Marie Le Pen… et seraient prêts à participer à cet élan. L’ancien président du FN affiche, pour l'instant, un certain optimisme. Il dit attendre des « centaines », voire des « milliers d’adhérents ». On en est tout de même loin, très loin.

    Le principe serait assez clair, même si le projet n’est pas encore défini : Jean-Marie Le Pen continuerait d’être, en quelque sorte, l’homme fédérateur, rassembleur et central de cette « formation » ; une sorte de pilier autour duquel s’agrègeraient et coopéreraient divers courants, sensibilités et individualités de l’extrême droite française. La réintroduction de marqueurs inhérents au capital idéologique du FN lepéniste sous-tend cette entreprise politique.

    Nationalistes, patriotes, négationnistes, traditionnalistes, identitaires, etc… C’est peut-être une « nouvelle droite nationale française », dixit Carl Lang qui renouerait, « pourquoi pas, avec la vieille histoire »… une histoire chaotique, parsemée de coups d’éclats, de rivalités, de scissions entre les hommes forts du parti d’extrême droite. Cette structure - qui ne dit pas encore son nom - serait une sorte de passerelle entre le passé et l'avenir ; un « parachute contre le désastre », des mots de Jean-Marie Le Pen.

    Pour l'instant, si l'idée fait son chemin, la route pourrait être longue. Les formations politiques à droite du FN restent groupusculaires. Si la majorité de leurs membres considèrent que Marine Le Pen a tué « l'opposition nationale », tous savent que leurs structures ne font guère le poids, à tous les sens du terme, face au Front national. Aussi, Jean-Marie Le Pen pourrait bien continuer à jouer un des rôles qu'il affectionne particulièrement : celui d'agitateur de la politique sachant qu'il possède quelques handicaps (dont son âge) mais aussi quelques atouts... dont un essentiel : l'argent.

    Valérie Igounet  Francetv info (Derrière le Front) :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFkkVEAlyZzgDfsfs.shtml

  • Manuel Valls envisagerait-il d’interdire le Front national ?

    Aucune armée ne peut arrêter l’élan d’un peuple. Dans l’Histoire, ceux qui s’y sont risqués ont toujours fini par échouer.

    Invité de la matinale de France Inter, l’avocat pénaliste à l’air perpétuellement renfrogné, Maître Éric Dupond-Moretti, avait eu ces mots à propos du Front national : « C’est un parti qui n’est pas républicain ». Puis, poursuivant sur sa lancée, il avait rajouté : « Je pense qu’il faut l’interdire, oui [le Front national]. Mais c’est compliqué car après, il y a des reconstitutions dissoutes. »

    Je ne vais pas démontrer à nouveau que les antirépublicains sont les gens comme Me Dupond-Moretti ou Jean-Christophe Cambadélis, ou bien encore que la préférence nationale est consubstantielle à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et, donc,  à nos institutions. Nul besoin, non plus, de s’attarder longuement sur l’idée que ces messieurs se font de la démocratie ; car lorsqu’ils s’interrogent sérieusement, et à voix haute, sur la possibilité d’interdire un parti qui rassemble un quart des électeurs, ils méprisent le principe même du pluralisme inhérent au régime politique dans lequel le « peuple commande ». Démonstration est donc faite que ces « Charlie » entendent avant tout créer, ou conserver, pour la France un mode de fonctionnement oligarchique, supranational et autoritaire.

    Lire la suite 

  • La république des copains…

    Valeurs actuelles reprend des informations publiées par Le Monde cet après-midi, Agnès Saal, ancienne directrice de l’Institut National Audiovisuel (INA), a été recasée au ministère de la Culture.

    L’ancienne directrice de l’INA avait dû démissionner après le scandale des notes de frais de taxi, qui avaient atteint plus de 40 000€. Mais il semblerait que le chômage ait été de courte durée pour Agnès Saal. Ainsi, Le Monde explique qu’elle est désormais « attachée au secrétariat général de ce ministère (…) » pour « un titre de chargée de mission sur les questions de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences ».

    Et, toujours selon les informations du Monde, « ce poste aurait été créé spécialement pour l’occasion… »

    http://www.contre-info.com/

  • Vers l'internement forcé d'un second maire UMP ?

    Après Robert Chardon, maire UMP de Venelles, dont on est sans nouvelle depuis ses propos sur le culte musulman, c'est au tour de Didier Barachet, maire UMP d'Ardentes, de prendre le risque d'une exclusion de l'UMP...et d'un internement en hôpital psychiatrique suite à la diffusion de cette image sur son compte facebook :

    KQdpaJQ

    Philippe Carhon

     

  • Mariage gay : l’étude américaine était une imposture

    Une étude américaine prouvait qu’il suffisait qu’un homosexuel parle 22 minutes à un opposant au mariage gay pour le faire changer d’avis. Pas de chance, c’était un bobard de A à Z !

    « Qu’est-ce qui différencie un militant de La Manif pour tous et son voisin favorable au mariage gay ? Vingt-deux minutes de discussion avec un homosexuel. Cette affirmation n’a rien d’une boutade. C’est la conclusion d’une étude publiée dans l’éminente revue américaine Science, jeudi 11 décembre, au terme d’une enquête méticuleuse conduite en Californie à l’été 2013 ». Voilà ce qu’annonçait triomphalement Le Monde, sous la signature de Nathaniel Herzberg, le 12 décembre dernier.

    L’étude, cosignée par un doctorant en sciences politiques à la très gauchiste université de Californie à Los Angeles (UCLA), Michael LaCour, et un professeur à Columbia, Donald Green, affirmait reposer sur un échantillon de 9 500 personnes, résidant dans le comté le plus conservateur de la Californie. Parmi ceux (un tiers de l’échantillon) qui recevaient la visite « d’un militant de la cause homosexuelle, soucieux de défendre le mariage gay », le taux de soutien à celui-ci augmentait de manière spectaculaire. Mieux, le changement d’opinion se révélait durable plusieurs semaines et même plusieurs mois après, à condition que le militant se fût déclaré lui-même homosexuel – si c’était un hétérosexuel militant pour le mariage gay, ça ne marchait pas !

    Toujours plus fort, « les politologues ont aussi mesuré un effet de contagion : lorsque l’opposant au mariage gay a eu une conversation avec un militant homosexuel, il en a parlé avec les autres résidents du foyer, qui ont aussi changé d’avis. (Cette contagion n’est pas advenue lorsque le bénévole était hétérosexuel) ».

    On imagine l’enthousiasme dans les médias libéraux, d’abord aux États-Unis, puis en France : c’est bien le cas de parler de contagion. Quelles perspectives radieuses ne s’ouvraient-elles pas à la cause progressiste ! « LaCour, promettait le journaleux du Monde, entend d’ailleurs adapter le dispositif à d’autres sujets controversés, comme le droit à l’avortement ou la situation des immigrés illégaux ». « L’idée, expliquait-on chez Slate, est notamment d’envoyer des bénévoles qui parlent de leur avortement ou de l’avortement de leurs proches. Comme pour le mariage gay, c’est la connexion personnelle et émotionnelle qui peut faire toute la différence ».

    Las, comme l’explique le très sérieux site Retraction Watch spécialisé dans la fraude scientifique, des chercheurs qui ont tenté de reproduire l’étude de LaCour et Green ont constaté des anomalies troublantes. Ils se sont alors mis à enquêter. Au fur et à mesure, tout l’édifice s’est effondré. La société de sondages censée avoir fourni les données a déclaré qu’elle n’en avait jamais entendu parler et qu’elle n’aurait même pas eu les moyens de mener un travail de ce genre. Il a finalement été établi que l’enquête n’avait jamais eu lieu et que l’on avait affaire à une mystification pure et simple.

    Le Professeur Green a lui-même demandé à Science de retirer son article, expliquant qu’il avait été trompé par son jeune et ambitieux co-auteur – lequel, sur la base de son « travail », était juste sur le point d’être recruté comme professeur assistant à l’université de Princeton. Les journaux américains qui avaient fait bruyamment écho à la pseudo-enquête, tels le New York Times ou le Huffington Post, ont commencé à publier des correctifs. Nous verrons bien le temps qu’il faudra, cette fois, pour que leurs confrères français les imitent.

    La grande rééducation des réactionnaires risque en tout cas de se révéler plus difficile que prévu. Heureusement qu’il reste le bon vieil hôpital psychiatrique …

    Flavien Blanchon

    http://fr.novopress.info/

  • TVL : Philippe Randa : "Le grand remplacement n'est pas une thèse, c'est un constat"

  • Najat, Manuel, Flanby et l'école

    La volonté d'un passage en force de la réforme des collèges, malgré la pluralité des objections, de "droite" comme de "gauche" mérite, en elle-même qu'on s'y attarde. Elle s'est manifestés dès le matin du 20 mai par un décret publié au Journal Officiel. Elle a été encore confirmée l'après-midi même, par une obstination caractéristique à l'Assemblée Nationale.

    Aussi bien la ministre à laquelle a été attribué le dossier, que le chef du gouvernement, ont en effet manifesté un volontarisme autoritaire auquel l'ectoplasme élu en 2012 ne nous avait pas habitués. "Ah vous vouliez des réformes, eh bien en voici une" semblent nous dire nos gouvernants, comme s'ils désiraient aussi faire passer un tel message aux autorités de Bruxelles.

    La première question qu'on devrait se poser, dans un France où les conflits sociaux semblent en sommeil, c'est de savoir si véritablement, comme tous les grands moyens d'information l'ont répété depuis le soir du 19 mai, le corps enseignant des établissements publics s'est montré, oui ou non, indifférents aux mots d'ordre protestataires.

    Car, contre une réforme qui se prétend égalitaire, qui vise clairement les populations, c'est-à-dire l'électorat, des banlieues, ce sont les syndicats de gauche qui sont descendus dans la rue.

    Le débat parlementaire a en effet prouvé une chose : le gouvernement tient à mettre en place dès la rentrée scolaire de 2016ce qu'il présentera comme une grande avancée sociale. Cette date, techniquement trop proche a été imposée en fonction d'une échéance politicienne qui se situe en principe, sauf accident du calendrier, au printemps de l'année suivante.

    Et c'est précisément pour ne pas permettre au pouvoir de se "marquer à gauche", en vue de 2017, qu'en face, ce furent bel et bien les communistes et les gauchistes, le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le Snetaa, le Snalc, Sud-Éducation, FO et la CGT Educ’action qui avaient lancé le mot d'ordre de la manifestation et de la grève.

    Celle-ci a été observée, selon les académies, par 56 à 69 % des enseignants du secteur public en service ce jour-là. À noter que le gouvernement préfère comptabiliser une vue d'ensemble et répandre le bruit d'une "faible mobilisation". L'administration a donc décidé de recenser aussi, comme non-grévistes, les professeurs qui n'avaient pas de cours ce jour-là, et même ceux des établissements privés. C'est ainsi qu'il arrive à un pourcentage de 23 % qui permet de sous-estimer la réalité. "Bien réussi patron" dirait Mary Poppins.

    On doit aussi comprendre le contexte de cette réforme pour, et surtout contre laquelle les Français se passionnent, à juste titre, depuis plusieurs semaines.

    L'abaissement des collèges publics impactera évidemment l'avenir de la jeunesse de France, qu'on s'efforce encore de tirer un peu plus vers le bas. À ce titre, et indépendamment de toute considération politique institutionnelle, il mérite donc d’être dénoncé, combattu et, si possible, empêché.

    La droite annonce qu'elle l'abrogera si elle revient au pouvoir : le principe de précaution commanderait de ne pas trop croire cette promesse et de ne pas se fier à cette hypothèse. En règle générale, en effet, ce qui tient lieu de "droite" dans notre pays "abroge" très peu.

    Mais le chef de l'État, lui, a fait de cette "réforme" un argument de vente en vue de sa réélection. La proximité de "Najat" et de "Flanby" devrait nous éclairer. Son époux le fort discret Boris Vallaud a été promu à l'automne 2014 secrétaire général adjoint de l'Élysée. Cette nomination ne peut pas être tenue pour une coïncidence et le fait de poser la question ne nous ramène pas à un simple jeu de l'esprit conspirationniste.

    On doit donc saluer la pugnacité au sein de l'opposition de Bruno Le Maire, et bien plus encore soutenir sa proposition de remplacer "le collège unique par un collège diversifié".

    La mobilisation de droite, au vrai sens du mot, dont il se fait ici le rassembleur, aura cependant fort à faire pour imposer au sein même de l'actuelle opposition une telle évolution culturelle.

    Bien évidemment, par exemple, MM. Juppé et Bayrou ondoient. Ces deux représentants de cet immobilisme chiraco-centriste qui a fait tant de mal par le passé nous ont habitué aux prises de positions contradictoires.

    Ainsi, autrefois, après s'être déclarés l'un comme l'autre, entre 1991 et 1993, fort opposés au collège unique il n'y touchèrent pas. Ni l'un ni l'autre, – l'actuel maire de Bordeaux comme chef du gouvernement entre 1995 et 1997, l'actuel maire de Pau comme ministre de l'Éducation inamovible dans les deux gouvernements de droite entre 1993 et 1997, – n'accomplirent sur ce terrain aucune avancée. Et, aujourd'hui encore, ils flanchent sur cette question décisive et révélatrice du démantèlement du "collège unique". On vient d'apprendre un projet de grande manifestation "contre", mais on se garde bien de nous en révéler le contenu "pour". S'agira-t-il d'un nouveau miroir aux alouettes destiné à montrer simplement que l'opposition existe. On doit le craindre hélas.

    À cet égard il faut bien situer les responsabilités dans le déclin de l'École : celles de la "droite" apparaissent considérables. Pour être plus exact on parlera ici de "fausse droite", d'une droite intoxiquée par des mots d'ordre que véhicule le grand orient de France, lieu géométrique de la classe politique socialiste, des opérations d'union de la gauche et de certains secteurs la haute administration comme le Ministère de l'Intérieur et l'Éducation nationale, ceci depuis très longtemps.

    L'achèvement du collège unique remonte à la réforme Haby de 1975, c'est-à-dire à l'ère Giscard d'Estaing, mais ses racines sont beaucoup plus anciennes. On peut parler du plan Langevin-Vallon, clairement socialo-communiste en 1944-1945, et dont les ateliers et les convents du grand-orient discutaient déjà 10 ans plus tôt : de 1935 à 1975 ce"Socialisme maçonnique" (1)⇓ met 40 ans à s'instituer, puis de 1975 à 2015, il met encore 40 ans, avec le concours des destructeurs soixante-huitards à produire ses conséquences funestes en termes d'inculture.

    Yves Thréard, s'adressant le 14 mai aux lecteurs du Figaro a exhumé, à fort juste titre sans doute, un beau texte de Léon Blum de 1933 mettant en cause "l'acharnement des députés de gauche, à détruire en France les études gréco-latines, maîtresses de civisme et de liberté".

    Cet "acharnement", Léon Blum le jugeait alors "déconcertant".

    Mais ne mettons pas seulement en cause les "députés de gauche". Les technocrates et autres ministres appelés par la "droite" étatiste s'y sont employés par le passé. Il faut empêcher cette manœuvre comme il fait enrayer celles de l'homoncule de l'Élysée dont Najat Vallud-Bekacem ne joue rue de Grenelle qu'un rôle néfaste d'agent recruteur en vue de 2017.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. les travaux d'AG Michel sur le "Socialisme maçonnique"

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  • Référendum sur l'immigration : en Hongrie c'est possible

    Communiqué de Nicolas Bay, Député français au Parlement européen, Secrétaire général du Front National :

    "Dans l’hémicycle du Parlement européen, Victor Orban a donné hier aux eurocrates, pour lesquels les directives de la commission de Bruxelles sont paroles d’Évangile, une leçon de démocratie. En réponse à des attaques outrancières, il a affirmé : « Nous voulons que l’Europe reste le continent des Européens et que la Hongrie appartienne aux Hongrois : c’est notre droit. »

    En effet, alors que la Hongrie est, après la Suède, le pays de l’Union européenne qui accueille le plus de réfugiés proportionnellement à sa population, le peuple hongrois se prononce actuellement sur la politique d’immigration dans le cadre d’un référendum.

    Une initiative populaire qui devrait servir d’exemple à tous les dirigeants européens, dont la politique d’immigration massive démontre chaque jour son lot de conséquences catastrophiques, économiques mais aussi identitaires et sécuritaires.

    En indiquant clairement que la Hongrie n’avait pas vocation à accueillir toute la misère du monde aux dépens de ses intérêts,Victor Orban envoie un signal d’insoumission aux technocrates : la souveraineté et la prise de décision doivent revenir exclusivement au peuple, maître chez lui et donc libre de décider de ses propres lois.

    À l’heure où les directives et traités européens empêchent toute prise de décision pragmatique conformément aux intérêts de chaque nation, cet exemple de défiance à l’égard de la commission de M. Juncker invite à l’optimisme. Si le peuple français le veut, alors le Front national pourra lui aussi prendre les dispositions nécessaires pour stopper ce torrent migratoire qui plombe les comptes publics, désagrège l’unité nationale et génère le communautarisme, terreau de l’islamisme radical."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Thibault Isabel : Nihilisme, mal de vivre et crise de la modernité


    Plan de l'exposé :

    1/ Etat des lieux : le suicide et la dépression sont des problèmes majeurs aujourd’hui
    2/ Le mal-être se développe avec la richesse économique des nations
    3/ Les modes de vie modernes favorisent la solitude
    4/ Les pauvres souffrent plus que les riches de la modernité, au XXIe siècle
    5/ La mondialisation des menaces rend toute action individuelle ou collective impossible et nous déprime
    6/ Notre ère se caractérise par le désenchantement et la fin des idéaux
    7/ La société de consommation aggrave le processus, en valorisant le présent plutôt que l’avenir
    8/ La modernité comporte malgré tout de nombreux mérites, comme le goût pour la réalisation personnelle

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/