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Deux individus, connus de la justice, ont été interpellés à leur domicile et placé en garde à vue par la gendarmerie de la Gironde, lundi. Les faits qui leur sont reprochés se sont déroulés dans la nuit du 28 au 29 juin à Pauillac, au pied du domicile du député Grégoire de Fournas (RN).
Macron sera en Israël, ce mardi 24 octobre. Bien tard. Il est probable, malheureusement, que le monde entier s’en moque comme d’une guigne… mais il est cependant possible que le président de la République nous déçoive quand même. Jordan Bardella rappelait, dimanche, sur Europe 1 et CNews (dans « Le Grand Rendez-vous »), que notre Président avait réussi le tour de force de se mettre à dos à la fois le Maroc et l’Algérie, ce qu’aucun chef d’État français avant lui n’avait réussi à faire. Il y a fort à parier qu’il a le talent nécessaire pour se brouiller à la fois avec le monde arabe et avec le gouvernement israélien. À la fois vibrionnant et totalement inutile, dans une version renouvelée de la mouche du coche, il fera probablement quelques selfies et publiera un ou deux tweets en hébreu ou en arabe, et la France continuera de couler. Même si rien n’est perdu, même si nous sommes condamnés à l’espérance, entre une opposition islamo-gauchiste désormais totalement revendiquée, une jeunesse immigrée qui déteste notre pays et un exécutif complètement aux fraises, il y a peu de raisons de se réjouir pour démarrer la semaine, alors que la précédente a mal fini.
Des hommes politiques sans goût pour « la » politique : le néant !
Des Français abandonnés par les pouvoirs politiques : du sang !
Quelques jours après la décapitation de Samuel Paty, survenue le 16 octobre 2020, le chefaillon de l’État, dans la cour de la Sorbonne, prononçait un émouvant discours, indiquant que « […] dans ce lieu de l’humanisme, […] nous continuerons, professeur. Nous continuerons ce combat pour la liberté et pour la raison dont vous êtes désormais le visage. Parce que nous vous le devons, parce qu’en France, professeur, les Lumières ne s’éteignent jamais » et d’ajouter « les mots, je les ai eus. Le mal, je l’ai nommé.
Le 15 octobre dernier, des membres du collectif Mémoires en marche, des Marcheurs, des associations, des écoliers et des élus avaient rendez-vous autour de Benoît Payan au Palais du Pharo à l’occasion des 40 ans de la Marche pour l’égalité et contre le racisme. Le maire de la ville, qui présidait la cérémonie, a tenu à rappeler que les revendications des Marcheurs de 1983 « restent d’actualité et relèvent d’un combat quotidien ». Il a bien raison, la lutte contre le racisme est une bataille qui doit être menée en permanence.
Des familles migrantes prises en charge par Utopia 56 devant l’Hôtel de Ville En quelques clics et moyennant la somme de dix euros, me voilà adhérente d’Utopia 56. Cinq minutes auront suffi à m’ouvrir les portes de l’association pro-migrants qui se fait régulièrement remarquer par ses coups médiatiques. Immersion
Sur Rennes, un groupe nationaliste et militant fait beaucoup parler de lui en ce moment. L’Oriflamme, c’est son nom, a en effet récemment revendiqué une action devant le portail du PCF pour dénoncer la complicité communiste d’avec l’immigration et ses conséquences, mais s’est également invité devant une lecture faite, par des drag-queens, à des enfants.
De nombreux autocollants s’affichent par ailleurs dans les rues de Rennes. Plutôt que de spéculer sur ce qu’est l’Oriflamme, ou d’entretenir le fantasme médiatique dans lequel se complaisent certains journalistes mainstream, nous sommes allés directement à l’un de ses militants actifs, Marc, récemment condamné à de la prison ferme pour avoir parlé dans un mégaphone et distribué des tracts, un crime impardonnable en République française.