avec Alexandre Langlois, ancien policier et Régis de Castelnau, avocat à la Cour
source : Tocsin
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avec Alexandre Langlois, ancien policier et Régis de Castelnau, avocat à la Cour
source : Tocsin
Opinion du Groupe de Réflexions Mars*
La guerre ne se gagne pas avec des mots et des postures, aussi brillantes soient-elles. Elle se gagne avec les matériels et les munitions dont disposent nos soldats. Entre les objectifs du discours sur l’économie de guerre et la réalité des engagements budgétaires, il faut être clair : le compte n’y est pas – et de très loin ! Pourtant, cette situation n’est pas nouvelle. Déjà lorsque les troupes françaises ont été déployées en Afghanistan il y a plus d’une décennie, nos soldats tiraient le diable par la queue faute de stocks adéquats.
Il y a les culturistes et ceux qui ont le culte de la mise en scène et de la personnalité.
Nous avons après Tintin aviateur, Tintin sous-marinier, ou Tintin dans les usines avec son casque de chantier blanc, Tintin à la salle de sport qui se prépare à la guerre contre les « Popovs ».
Certaines mauvaises langues disent que ces photos sont bien mises en valeur afin de poser la stature guerrière de notre Professeur Trouposol.
Depuis près de quinze ans, Riposte laïque se bat sans relâche, avec un courage remarquable, contre l'islamisation de notre pays et pour la défense de la France française... Je dirais, un peu "comme nous".
Enfin, pas tout à fait "comme nous" car Riposte laïque à une particularité, et non la moindre, par rapport "à nous", c'est que la plupart de ses responsables vient de la gauche, voire de l'extrême gauche. Mais cela ne nous empêche pas de nous battre côte à côte aujourd'hui. Comme quoi, en politique, tout peut arriver...
par Régis de Castelnau
Qu’est-ce qui peut expliquer le virage belliciste de Emmanuel Macron amorcé à l’occasion de la conférence des 30 pays organisée le 26 février à Paris ? On l’avait alors vu prendre une initiative diplomatiquement assez ahurissante. Rappelons que cette conférence n’avait pas prévu à son agenda de parler de la présence de troupes européennes sur le théâtre d’opération ukrainien. Pas plus que cette question ne figurait sur le compte rendu et le procès-verbal qui sont établis dans ce genre de procédures. Cela n’avait pas empêché Emmanuel Macron qui comme on le sait entretient des rapports très élastiques avec les règles diplomatiques, d’affirmer dans une conférence de presse organisée pour présenter le compte rendu de la réunion, qu’il ne fallait pas exclure l’intervention de troupes de l’OTAN sur le territoire de l’Ukraine pour y affronter l’armée russe. Ce fut immédiatement un tollé dans les capitales des pays participants qui rappelèrent que cette éventualité n’avait pas été discutée, et qu’il n’en était pas question. Jusqu’à John Kirby, porte-parole de Joël Biden faisant remarquer, rigolard que «même Zelensky ne l’avait pas demandé».
Le vice-président de la Douma, Piotr Tolstoï, s’en est pris avec virulence aux dirigeants français à l’occasion d’une interview diffusée ce 21 mars par BFMTV.
«On s’en fout de ses limites, on s’en fout de Macron, de ce qu’il dit, et on va tuer tous les soldats français qui viendront en Ukraine, tous !», a déclaré le vice-président de la Douma, Piotr Tolstoï au correspondant de BFMTV en Russie, dans une interview diffusée ce 21 mars et présentée en plateau comme un «best-off de la propagande russe».
Interrogé sur le fait que Emmanuel Macron «refuse» une issue du conflit défavorable pour l’Ukraine et s’interdit de «se fixer des limites» face à la Russie, le député francophone a notamment déclaré : «Il y a 147 citoyens français qui ont été tués en Ukraine, et on va tuer tout le monde, ne vous inquiétez pas». Piotr Tolstoï a ainsi remis en avant le chiffre de 356 «mercenaires» français qui seraient passés par l’Ukraine au cours des deux premières années du conflit.
Cour administrative d’appel – Marseille – 18 mars 2024 – 23MA01901
Procédure contentieuse antérieure :
M. D… B… a demandé au tribunal administratif de Marseille d’annuler l’arrêté du 15 mars 2021 par lequel le préfet des Bouches-du-Rhône l’a expulsé du territoire français et a fixé le pays de destination de cette mesure.
Par un jugement n° 2104507 du 27 avril 2023, le tribunal administratif de Marseille a rejeté cette demande.