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Souvenez-vous. Avant Nicole Belloubet, avant Gabriel Attal, avant Pap Ndiaye, il y avait Jean-Michel Blanquer. L’enseignant-chercheur parisien avait été le tout premier ministre de l’Éducation nationale d’Emmanuel Macron, de 2017 à 2022. Un quinquennat sur lequel il a souhaité revenir dans son livre La Citadelle (Albin Michel), paru le 28 août. « Après deux ans de silence, je suis heureux de rétablir des vérités, d’analyser notre situation démocratique et de proposer des perspectives », déclare l’ancien locataire de la rue de Grenelle.
31/08/2024 MàJ : le conducteur de la moto libéré sous contrôle judiciaire
Le parquet avait requis le placement en détention provisoire du suspect de 19 ans et le juge d’instruction en charge de l’affaire avait rendu un avis en ce sens auprès du juge des libertés, qui a finalement décidé d’un placement sous contrôle judiciaire. Le parquet a annoncé qu’il fera appel de cette décision.
Eric Ciotti a réuni ses adhérents à Levens, dans les Alpes-Maritimes, pour officialiser la fondation de son nouveau parti clairement axé sur l’Union des Droites.
Le président français, Emmanuel Macron, a fermement soutenu le recours à la force dans les relations contre la Russie en ayant annoncé l’envoi de soldats français en Ukraine. Mais, ce dernier a fait volte-face au grand dam des États-Unis et tombe en disgrâce aux yeux d’observateurs US.
Interrogé dans Le Figaro, Nicolas Sarkozy, qui souhaite que LR participe au gouvernement, déclare :
[…] Analysons la situation politique à la lumière des deux derniers scrutins, les européennes et les législatives anticipées. La France est de droite, sans doute comme elle ne l’a jamais été. Une droite qui ne doit pas être conservatrice, une droite qui doit porter les valeurs du travail, du mérite, de l’ordre, de l’autorité, de la promotion sociale. Quand le président de la République dit qu’il ne souhaite pas nommer un représentant du Nouveau Front populaire parce qu’il serait immédiatement censuré par le Parlement, il a raison. […]
L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?
Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie » en France concernant le choix d’un Premier ministre. Avec la détention du fondateur de la messagerie Telegram, Pavel Durov, les Français, mais aussi les observateurs internationaux s’interrogent sur la situation des droits fondamentaux dans le pays. Avec les législatives, un « coup d'État démocratique » se confirme. Les divers responsables politiques opposés à Macron évoquent une dérive illibérale. De nouveau, la destitution du président français est brandie.
Pour la recherche d'un gouvernement, Lucie Castets dénonce « un déni de démocratie », stipuleFrance Info. Résultat, « les écologistes et le PS boycottent les nouvelles consultations à l'Elysée ».