France et politique française - Page 498
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Ben, mon cochon, il s’en est passé des trucs cette semaine…
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La doublure de Macron
La bataille civique qui se dessine semble à ce jour, de plus en plus probablement, devoir s'investir sur l'échéance des élections européennes de juin. Et il apparaît aussi que la préoccupation numéro 1 des électeurs dans les 27 pays du Vieux Continent s'apprête à s'exprimer, de la Scandinavie à la péninsule ibérique, de la mer Égée à la Baltique, dans le débat sur l'immigration illégale.
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Deux siècles que ça dure…
Un article paru dans « Le Bien Commun »
Dans La Révolution Française et la Violence, l’historien Hervé Luxardo enrichit la somme des témoignages sur les violences révolutionnaires, montrant qu’elles n’ont jamais été de simples dérapages et que leur logique perdure. Nous l’avons rencontré.
Le Bien Commun : Vous documentez la Révolution française avec de nombreux faits qui nous étaient inconnus, mais ne les rapprochez pas des déclarations pourtant nombreuses de ceux qui ont pensé et fait la révolution. Est-ce volontaire ?
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La France compte 330 000 sans-domicile. Un nombre qui a plus que doublé en dix ans : de plus en plus d’étrangers, de femmes et d’enfants
La France compte de plus en plus de gens sans domicile et, parmi eux, un nombre croissant de femmes, d’enfants et d’étrangers. A l’heure où plusieurs départements ont déclenché des plans grand froid permettant l’ouverture de places d’hébergement temporaires, la hausse, ces dernières années, du nombre de personnes à la rue ou hébergées montre une aggravation des situations de précarité. Celles-ci touchent des franges de la population auparavant relativement épargnées.
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La Nouvelle Revue Universelle
Pour éviter les errements auxquels peut nous conduire une appréhension de la vie politique réduite à une succession de réactions épidermiques, le militant qui est une personne éveillée en formation continue, doit laisser parfois de côté son « smartphone » et lire les bons auteurs. A la suite de Jacques Bainville, la Nouvelle Revue Universelle nous invite chaque trimestre à rencontrer ce qui se fait de mieux aujourd’hui en matière de réflexion et de pensée, bref, nous donne tout le compost intellectuel, historique et spirituel qu’il convient d’assimiler suffisamment en profondeur pour le transformer en action. Olivier Perceval
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La forfaiture de l’infâme Pierre Moscovici
Bernard Germain
Cet individu, socialiste de son état, fut d’abord député européen de 1994 à 1997 puis ministre chargé des Affaires européennes de 1997 à 2002 sous Lionel Jospin. Il fut également vice président du Parlement européen de 2004 à 2007. Il fut ensuite député en France puis directeur de campagne du candidat Hollande en 2012. Lorsque ce dernier fut élu, il nomma Pierre Moscovici ministre de l’Économie, des Finances et du Commerce extérieur. Il redeviendra ensuite député à l’issue de ses responsabilités ministérielles. En novembre 2014, il est nommé commissaire européen aux affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l’union douanière, sous l’ère de Jean-Claude Juncker. En juin 2020 il sera nommé, par Emmanuel Macron, président de la Cour des comptes C’est à ce titre qu’il vient de s’illustrer à nouveau dans la rubrique forfaiture.
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L’Île-de-France bloquée par la neige : les raisons d’une incurie d’État
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Lons-le-Saunier (39) : une barmaid africaine attaque à coups de machette un ami qu’elle accuse d’être raciste
Alcoolisée et souffrant d’un profond mal-être, elle a « pété les plombs » et donné un violent coup de machette à un ami. Elle écope de deux ans de prison dont six mois ferme.
D’origine africaine, une jeune femme de 21 ans comparaissait ce lundi devant le tribunal correctionnel de Lons-le-Saunier pour y répondre de violence aggravée commise avec une arme.
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Nouveau remaniement, Attal Premier ministre, ambiance de fin de règne… Les quatre ans à venir vont être bien longs !
« Le macronisme n’est pas un hypercentrisme mais un égocentrisme. Il aura théorisé le relativisme par narcissisme ».
Bruno Retailleau, président des Républicains au Sénat, juillet 2023.
Synthèse nationale
À la fin du mois de juillet dernier, dans Valeurs Actuelles, Édouard Roux voyait dans le remaniement d’alors le « resserrement des derniers fidèles autour du président, (…) la mainmise, de plus en plus chancelante et désabusée, d’Emmanuel sur la Macronie » et « le symbole d’un essoufflement institutionnel et démocratique ». Cinq mois et demi plus tard, alors que Gabriel Attal devient Premier ministre en remplacement d’une Élisabeth Borne poussée vers la sortie, le commentaire n’a rien perdu de sa pertinence ; pas plus que cette sentence de Machiavel citée par le même journaliste : « Gouverner, c’est faire croire ». Emmanuel Macron et les membres de ses différents gouvernements sont en effet passés maîtres en la matière.
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Le président du PSG Nasser al-Khelaïfi accuse la mairie de Paris de racisme anti-arabe pour leur refus de vendre le stade du Parc des Princes… celle-ci l’accuse de diffamation
David Belliard, adjoint écologiste à la mairie de Paris chargé notamment de la transformation de l’espace public, a réagi à des propos de Nasser al-Khelaïfi, président du PSG, au sujet du projet de rachat du Parc des Princes par QSI, le fonds souverain propriétaire du club parisien. Pour rappel, dans un entretien à RMC Sport, Al-Khelaïfi s’était interrogé mardi sur les déclarations de Belliard la semaine dernière à Sud Radio (indiquant qu’il « ne souhait(ait) pas la vente du Parc des Princes au Qatar ») : « Parce qu’on est le Qatar, parce qu’on est arabes ? Légalement il ne peut pas dire ça (…) C’est grave. »