
Selon l’éditorial du Monde du 14 août, la préoccupation environnementale selon Marine Le Pen procède d’abord de la volonté d’exploiter le désarroi provoqué par la crise climatique et ses conséquences sur l’économie, l’emploi et les modes de vie. Des idées qui «risquent d’être repeintes en brun ».