On l’apprenait par Twitter, ce dimanche après-midi, Agnès Pannier-Runacher a été testée positive au Covid. Mais qu’on se rassure : « Je m’isole et continue à assurer mes fonctions notamment pour soutenir l’approvisionnement en carburant des stations-service en lien avec l’ensemble des acteurs », a annoncé la ministre de la Transition énergétique. Tous nos vœux de prompt rétablissement et tout ça.
France et politique française - Page 720
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[Humeur] Question à Pannier-Runacher : faire la queue à la pompe, c’est un fonctionnement normal ?
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Le Mans : lynché en pleine rue par 7 individus alors qu’il se trouvait avec sa petite-amie, il réplique et frappe l’un de ses agresseurs avec une bouteille, il est condamné à 1 an de prison ferme
Un jeune homme, agressé, a répliqué dans une bagarre au Mans, en juillet. Il a blessé un de ses agresseurs. Le tribunal l’a condamné, ce vendredi 7 octobre 2022.
Un jeune homme de 19 ans a été jugé en comparution immédiate par le tribunal du Mans (Sarthe) vendredi 7 octobre 2022, pour des violences commises le 16 juillet 2022.
Tout part de l‘agression d’un jeune homme par sept individus dans la nuit du 18 juillet 2022 au Mans à la sortie d’un club rue du Port au Mans. Le jeune homme qui est passé à tabac par un groupe de jeune sous l’œil d’une caméra de surveillance ne doit son salut qu’à l’intervention de son ami qui est lui-même accompagné de sa petite amie.
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Discourtoisie et ostracisme à l’égard des élus du Rassemblement national : est-ce une attitude démocratique ?
Ainsi, le 27 septembre, les députés LFI, PS et une partie des députés Renaissance ont décidé de ne pas participer à un match de football caritatif au motif qu’y prendraient part quatre de leurs collègues du Front National.
Pendant l’été, le député Renaissance Rémi Rebeyrotte avait été sanctionné pour avoir fait un salut nazi vers un élu RN
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Bayonne : en « situation irrégulière sur le territoire », il menace des riverains avec une hache et blesse deux policiers
Les policiers de la Brigade Anti Criminalité de Bayonne ont arrêté un homme qui avait volé la caisse et menacé des clients avec une hache au Joko Club de Bayonne dans la nuit de jeudi à vendredi 7 octobre 2022. Deux policiers ont été blessés lors de son interpellation.
(…) Les fonctionnaires de la BAC de Bayonne ont dû faire usage d’un pistolet à impulsion électrique pour stopper l’agresseur. Deux policiers ont été blessés au visage après avoir reçu des coups de poing.
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Bistro Libertés - Italie, immigration : Idriss Aberkane clashe les médias
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Graves menaces sur la liberté d’information
par Georges FELTIN-TRACOL
Les prochaines années sont lourdes d’inquiétudes et de dangers pour la vraie presse d’opinion et la liberté des expressions les plus saines. On n’évoque donc pas ici des titres faussement rebelles comme Le Canard Enchaîné ou Charlie Hebdo. En quelques mois, plusieurs périodiques de l’Opposition nationale, populaire, sociale, identitaire et européenne se retrouvent en difficulté.
L’hebdomadaire Rivarol qui paraît depuis 1951, soit le doyen de la presse anti-conformiste et dissidente, subit les attaques du Régime. Il a perdu sa commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP). Son obtention, qu’il ne faut pas confondre avec d’éventuelles subventions ou aides versées par le ministère de la Culture, permet de bénéficier d’une TVA à 2,10 % et des tarifs postaux privilégiés pour son acheminement auprès du public. Depuis le 20 août, le groupe de grande distribution Carrefour ne le distribue plus dans ses magasins. N’allons plus faire nos courses dans cette enseigne.
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De la Start-up Nation au col roulé…
Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Comment est-ce que la France est passée d’une nation qui compte, une nation d’ingénieurs (Airbus, Arianne Espace, Dassault, TGV, Nucléaire, Automobile, Marine, MAS, …), une nation culturelle, une nation du luxe, une nation connue pour son art culinaire et son art de vivre, une nation respectée pour son armée (la France est le pays au monde qui compte historiquement le plus de victoires militaires). A la pénurie énergétique, au remplacement de sa culture, et pire, à une mentalité fragile baignée de Wokisme, de véganisme et de défaitisme ?
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« On est à bout » : à Bordeaux, les riverains du quartier Saint-Paul, ravagé par le crack, vivent l’enfer au quotidien. « Ça va péter (…) On vit dans la saleté. Ils pissent et chient partout »
REPORTAGE – Dans le quartier Saint-Paul, les riverains explosent. Une association de soins y attire les drogués, générant insécurité et saleté permanentes.
(…) Nous avons d’abord rendez-vous à l’association La Case, qui gère le centre d’accueil honni. Sa directrice Véronique Latour affirme que la structure n’est pas là par hasard. «Nous nous sommes installés ici car nous avons voulu nous rapprocher des usagers de drogues, et non l’inverse. Ce quartier est désormais gentrifié, mais il a toujours abrité des marginaux. Les nouveaux arrivants le découvrent». Elle concède en revanche que «l’apparition du crack a changé la donne. Il rend ces gens plus visibles, car c’est un psychostimulant». La Case recense une centaine de passages quotidiens dans ses locaux, où les «usagers» peuvent se doucher, consulter un médecin, un assistant social ou encore un psychiatre… Et obtenir du matériel d’inhalation ou d’injection. À charge pour eux de faire leur affaire discrètement dans les alentours. Combien sont-ils ? «C’est difficile à estimer. Mais nous doublons chaque année nos distributions de pipes à crack», admet sans fausse pudeur la directrice.
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Ploërmel et Callac : un couple français et ses 4 enfants parqués près d’une décharge
Astrid et Stéphane sont un couple français. Astrid voulait quatre garçons et Stéphane cinq filles. Résultat, ils ont eu neuf enfants. Ils les ont toujours élevés dans le respect des valeurs de notre République.
Cinq de leurs enfants ont pris leur envol, ils leur reste quatre enfants à charge. Alors, quand le propriétaire de la maison qu’ils occupaient leur a signifié la fin du bail, ils ont accepté de partir.
Là où, bien sûr, de nombreux autres n’auraient pas obtempéré et seraient restés coûte que coûte dans la maison. Un couple avec 4 enfants, on imagine aisément qu’une expulsion aurait été longue et fastidieuse.
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De l'espoir au pouvoir - Colloque des 50 ans du RN