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France et politique française - Page 720

  • « Nous vivons un cauchemar » : à Nantes, l’immeuble d’un propriétaire de 75 ans entièrement squatté par des migrants, qui ont changé toutes les serrures et dégradé le bâtiment

    RÉCIT – Depuis le 13 mars, les trois étages de ce bâtiment sont occupés illégalement. Les serrures ont été changées. Le propriétaire, qui ne peut plus y accéder, est sous le choc.

    Le rendez-vous a été pris en bas de son immeuble squatté. Son propriétaire, Alain Senand, aurait dû être présent mais la situation qu’il vit lui cause des problèmes de santé. Ce lundi après-midi, l’homme âgé de 75 ans est hospitalisé pour cause de malaise cardiaque. «Il ne dort plus qu’une heure par nuit», s’inquiète son frère Jean-Paul, qui le représente devant le bien immobilier occupé illégalement depuis le 13 mars.

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  • Opposition au grand remplacement dans l’Ain

    Opposition au grand remplacement dans l’Ain

    L’Etat compte installer des immigrés dans le château de Varay, dans l’Ain, mais la population s’y oppose.

    Le château domine le village de Saint-Jean-le-Vieux. Perché sur la colline, édifié au 12e siècle, restauré au 19e, il pourrait bientôt servir d’abri à des demandeurs d’asile. La bâtisse est propriété d’une association, l’Alpha3A dont la vocation sociale est à destination de tous les publics. L’animation pour les jeunes, comme l’accueil des étrangers.

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  • David L’Épée répond aux calomnies de « Libération »

    David L’Épée répond aux calomnies de Libération
     

    « Je ne suis pas un journaliste de gauche : je n’ai jamais dénoncé personne », disait Guy Debord. À « Libération », on a décidé de donner raison à l’auteur de « La Société du spectacle », la calomnie en plus. Le 13 avril, « Libération » publiait un papier écœurant et calomnieux contre notre collaborateur David L’Épée, également rédacteur en chef de la revue « Krisis », dans l’intention manifeste de lui nuire. David L’Épée explique pourquoi il a décidé de porter plainte contre le journal.

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  • Un scandale caché : La Ligue des « droits de l’homme » soutien du totalitarisme communiste, à l’égal des grandes figures de la gauche française.

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    Michel Festivi

    Cette officine de gauche, s’est totalement fourvoyée avec le totalitarisme le plus mortifère du XXe siècle, le communisme léniniste puis stalinien, et elle aurait dû être remisée « dans les poubelles de l’Histoire », selon la bonne vieille formule léniniste qu’employa Trotski à l’égard des menchéviks.

    Imaginons un seul instant, une association qui aurait eu pour but de promouvoir « les droits de l’homme », et qui aurait justifié les camps de concentration et le régime hitlérien, elle aurait à juste titre été vouée aux gémonies. C’est mutatis mutandis ce que fit la LDH tout au long du XXe siècle vis à vis du totalitarisme communiste.

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  • Nicolas Sarkozy, Premier ministre ? « Il en rêve. Ça transpire de partout. »

    Des proches de Nicolas Sarkozy ont révélé que l'ancien Président se verrait bien prendre la place d'Élisabeth Borne à Matignon, rapporte L’Obs, le mercredi 19 avril.

    L'ancien président de la République serait prêt à prendre la suite d'Élisabeth Borne en tant que Premier ministre. « Il en rêve. Ça transpire de partout », a déclaré un membre de son entourage.

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  • CE QUE MACRON A VRAIMENT ÉTÉ FAIRE EN CHINE (OU : LE KÉKÉ FAIT CHOU BLANC)

  • Quand Sorj Chalandon expliquait le soutien de Libération à la pédophilie

    Quand Sorj Chalandon expliquait le soutien de Libération à la pédophilie

    Cet article est une tribune libre, non rédigée par la rédaction du Salon beige. Si vous souhaitez, vous aussi, publier une tribune libre, vous pouvez le faire en cliquant sur « Proposer un article » en haut de la page.

    En 2001, Sorj Chalandon, journaliste à Libération, revenait sur la manière dont son journal avait traité la question de la pédophilie, ne réfutant rien du passé, et tentant de l’expliquer. Voici des passages édifiants de sa justification, vous épargnant des descriptions pornographiques :

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  • Alpes-Maritimes : un gymnase réquisitionné pour faire face à l’afflux de migrants mineurs à Menton, première ville française avant l’Italie

    Quelque 110 mineurs non accompagnés sont arrivés dans le département des Alpes-Maritimes rien que sur la semaine dernière, selon la préfecture

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  • La politique de Macron : une révolution oligarchique contre le peuple, par Pierre Le Vigan

    « Liquidation », écrivait Frédéric Rouvillois dans son livre sur Macron comme définition de son projet (Liquidation – Emmanuel Macron et le saint-simonisme, Cerf, 2020). Le projet de Macron, c’est cela : liquider tout ce qui restait solide dans la société française, certains habitus et mœurs, certaines structures, certains projets (devenir propriétaire d’une maison, la léguer, avoir un métier dont on est fier et pas seulement un « job »), rendre tout liquide, tout réversible, tout jetable (notamment les traces de notre histoire), tout interchangeable (les peuples, les gens, les sexes, les métiers, les territoires, etc.). Éparpillé façon puzzle : cela veut dire que notre pays et notre peuple ont été mis en morceaux. Dispersés et hachés menu. Éparpillé : c’est le résultat de la politique de Macron. Un peuple dispersé, affaibli, atomisé. Loin de n’avoir « rien fait », comme on l’entend parfois, Macron a presque tout réalisé de son programme. Vendre l’industrie française : c’est le capitalisme de connivence. Conforter l’oligarchie : c’est le pacte de corruption lié au covid, c’est-à-dire à l’interdiction de traiter les malades du covid hors utilisation de vaccins (ceux permettant des superprofits aux membres de la caste – ceux qui ont propulsé Macron et qui attendaient leur retour sur investissement).

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  • Laetitia Strauch-Bonart pose la question qui fâche sur l’extrême gauche

    Cette défense de la rédactrice en chef « Idées » de L'Express, dans les colonnes d'un magazine en ligne qui incarne la fachosphère nauséabonde (le bruit des bottes, etc.), ne risque pas d'arranger son cas ! Ainsi va le débat d'idées en 2023. Il n'empêche : quelque chose doit être dit pour rendre hommage au courage de Laetitia Strauch-Bonart, qui a commis un crime odieux, cette semaine. Rendez-vous compte : elle a renvoyé dos à dos l'extrême gauche et l'extrême droite. Dans l'émission « C ce soir », interrogée pour savoir s'il était bien raisonnable de débattre chez Valeurs actuelles (magazine du Reich, si vous l'ignoriez !) quand on s'appelait Hugo Clément, elle a eu l'intelligence (et, redisons-le, le courage) de retourner la question vers l'extrême gauche. Tempête sur le plateau. La journaliste s'est donc demandé innocemment, puisqu'aller débattre avec les gens de droite, c'est cautionner le fascisme, pourquoi aller débattre à la Fête de l'Huma, ce ne serait pas cautionner les millions de morts du communisme. Stupeur. Haine, un peu masquée mais pas trop, de Laure Adler, qui n'aurait pas imaginé ça sous Mitterrand. Moche, de vieillir.

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