
Un Marocain d'une quarantaine d'années a été placé en garde à vue après la mort, vendredi 5 mai, de sa compagne et sa belle-sœur, tuées à coups de couteau dans le Gard, informe l’AFP.
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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Située au nord-est du canal du Mozambique entre Madagascar et le continent africain, à l’ouest de l’océan Indien, l’île de Mayotte bénéficie depuis quelques semaines d’une attention médiatique soutenue. La raison de ce regain d’intérêt se nomme l’opération Wuambushu, ce qui signifie en mahorais « reprise », voire « reprise en main ».
Approuvée lors d’un conseil de défense tenu à l’Élysée, cette opération doit démanteler plusieurs bidonvilles, appelés « bangas », restaurer l’ordre public et contenir les ravages d’une immigration illégale incontrôlée. L’île tropicale cumule toutes les pathologies sociales du moment. Les statistiques de l’INSEE expliquent que la moitié de la population mahoraise a moins de 17 ans, que 77 % des habitants de Mayotte vivent en dessous du seuil de pauvreté, que 67 % des 15 – 64 ans n’ont pas d’emplois, que 30 % des ménages ne disposent pas de l’eau courante et que 40 % des 60 000 logements sont indignes et sans électricité domestique. Désert médical, le territoire se sent abandonné de Paris. Ces conditions difficiles font de Mayotte le département le plus pauvre de France. Elles n’arrêtent pas les flots incessants d’immigrés clandestins plus pauvres encore. 48 % des 310 000 habitants sont d’origine étrangère. De nombreuses migrantes font exprès d’accoucher à Mayotte en sachant qu’elles seront ensuite non expulsables parce que leurs progénitures seront supposées françaises. Si de nombreuses maternités ferment dans la France périphérique, ce n’est pas le cas à Mayotte où elles sont complètes. Le système scolaire est lui aussi saturé avec des élèves étrangers illettrés qui ignorent tout d’une journée d’élève français. Il est fréquent que les classes de l’enseignement primaire accueillent des adolescents de 15 – 16 ans… L’INSEE estime par ailleurs que 55 % de la population de Mayotte parvient à maîtriser le français. S’ajoute enfin une tension permanente avec le voisin comorien.
La guerre civile : la perspective s’installe dans les esprits, face à la nation disloquée et à la généralisation de la violence. A Mayotte, 101 ème département français, c’est la députée Estelle Youssouffa qui prévient : « On va basculer dans la guerre civile si le travail n’est pas fait ». Mardi, dans La parole aux Français (CNews), Jean-Christophe Couvy, secrétaire national unité SGP-Police, a mis en garde contre les casseurs « rompus à la guerre civile », qui se sont acharnés contre les forces de l’ordre (406 blessés) en marge des défilés du 1 er mai. Dans un prochain Appel à « sauver la France », d’anciens militaires conduits par Jean-Pierre Fabre-Bernadac vont réitérer leurs craintes exprimées il y a deux ans dans la « Lettre des généraux ».
L’agression a eu lieu à 5 h 20 du matin dans la nuit de mardi 2 à mercredi 3 mai, à deux pas de la place de la Comédie, alors que la victime se rendait à son travail.
Dans la nuit de mardi 2 au mercredi 3 mai, à 5 h 20 du matin, après avoir pris en filature une Montpelliéraine âgée de 55 ans qui quittait son domicile pour aller travailler, un Sénégalais âgé de 17 ans s’en est pris physiquement à elle.
L’extension du bouclier tarifaire des PME adopté jeudi par l’Assemblée nationale.
Nouveau revers pour le gouvernement Macron-Borne. Jeudi 4 mai, les députés ont voté un texte pour «protéger EDF d'un démembrement». Portée par la gauche, soutenue par la doite LR et le Rassemblement National, la proposition de loi a été validée par 127 voix contre 89, et une abstention.