La mascarade politicienne continue. Si on résume rapidement, Macron a perdu les élections européennes, et il a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale. Au premier tour des élections législatives, tout était en place pour que le RN gagne, peut-être même avec la majorité absolue. Et dès 20 heures, un coup d’Etat électoral a fait que tout le monde s’est uni contre Marine et Jordan, et l’accord Macron-Mélenchon a faussé l’esprit de la Ve République mais surtout a rendu le pays ingouvernable.
France et politique française - Page 80
-
Macron va-t-il nous coller un tocard de gauche, un guignol du centre ou un baltringue de droite ?
-
Mais pourquoi les femmes sont-elles plus en sécurité en Pologne qu’en France ?
-
Tous les Premiers ministres mèneront à Bruxelles
Emmanuel Macron aime la dramatisation des situations. Il doit s’y sentir à l’aise. Il est le seul à pouvoir nommer le futur Premier ministre du gouvernement et il ne peut le faire qu’au terme d’un suspens destiné à accroître le caractère médiatique d’une opération qui, depuis qu’il a pris ses fonctions, tend à devenir banale tant ces Premiers ministres se sont succédés rapidement.
-
Quand nos dirigeants accentuent les méfaits de l’UE
21% de baisse du revenu médian réel en France ! Les statistiques officielles camouflent l’appauvrissement et la précarisation des Français, avec ces moyennes déformées par l’explosion des inégalités et ce chômage de masse invisibilisation par un sondage complaisant. Mais ce qui frappe dans l’UE, c’est que notre pays est peut-être celui qui s’en sort le moins bien, du fait des choix de nos dirigeants.
-
Quand Macron parraine la désunion nationale
En excluant LFI et le RN de ses interlocuteurs, Emmanuel Macron se place désormais en adversaire déclaré de son peuple. Sa réponse à la crise démocratique, qui marginalise une partie des citoyens, sera de l’aggraver. Président de tous les Français, le voici instigateur d’une tambouille autour de la désignation, demain dit-on, du nouveau premier ministre. Celui-ci aura pour mission d’ignorer près de 50% de l’électorat représenté par les deux partis parias. Jeudi dernier, Macron les a qualifiés d’« antirépublicains » parce qu’ils ont voté la censure contre Michel Barnier. Hier, le spectacle offert par les 25 adoubés du Parrain, reçus à l’Elysée pour faire allégeance, a donné la mesure de l’effondrement de la classe politique, de la fonction présidentielle, de la Ve République.
-
Selon un bilan de la gendarmerie nationale, le nombre des affaires liées aux trafics et aux reventes de drogue a explosé de 67 % en dix ans dans les campagnes françaises.
Selon un bilan de la gendarmerie nationale porté à la connaissance du Figaro, le nombre des affaires liées aux trafics et aux reventes a explosé de 67 % en dix ans dans les territoires ruraux et périurbains.
-
Economie française : “tout est paralysé”. Public Sénat.
La ministre intérimaire Primas est inquiète car pour elle tout est paralysé.
C’est vrai madame la ministre.
Mais pas uniquement depuis la censure du gouvernement.
C’est vrai et c’est le cas depuis la décision funeste de dissolution du phare du palais, de notre Mozart de l’Elysée.
Tout le monde s’est arrêté car on ne sait pas à quelle sauce nous allons être mangés.
-
L’Arcom vole au secours de la voiture électrique… et de la pensée unique !
-
Les Français dans le monde berbère
Par Pierre Gourinard
Les polémiques engendrées par l’histoire de la Colonisation traduisent une carence inquiétante, l’oubli de l’humain. L’économique prime le politique et il ne peut y avoir de véritable débat, parce que les aspects « positifs » ou « négatifs » de la Colonisation ne sont trop souvent qu’une bataille de chiffres et de statistiques sans référence au colonisateur ou au colonisé.
-
Sectarisme chez les employés de Bayard : “Je n’imaginais pas que ce serait dans un groupe chrétien qu’on me reprocherait d’être chrétien”
Après avoir dû quitter le groupe Bayard qui l’avait embauché comme numéro 2, Alban du Rostu s’exprime dans L’Express :