Un homme de 42 ans, armé d’un katana, a été interpellé à Caluire-et-Cuire (Rhône) après avoir semé la panique dans la rue en criant “Allah Akbar”. Rapidement maîtrisé par les policiers, il a finalement été hospitalisé d’office après un examen psychiatrique.
France et politique française - Page 84
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Caluire-et-Cuire (69) : un homme, armé d’un katana et vêtu d’une djellaba, sème la panique dans la rue en hurlant « Allah Akbar »
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Déficit public. Perte de contrôle. Le Maire tire la sonnette d’alarme.
Aggravation du déficit public, baisse des recettes fiscales : Bercy sonne l’alarme et prévient le prochain gouvernement
“Ce nouveau décrochage du déficit, évalué à 16 milliards d’euros sur 2024 est dû, selon Bercy, au surcroît de dépenses des collectivités. Le ministère prévient par ailleurs du risque de recettes inférieures aux prévisions.
Eric Coquerel et Charles de Courson ont leurs réponses. Après avoir été pressé par les responsables de la Commission des finances de l’Assemblée, le ministère de l’Economie et des finances a dressé le panorama des finances publiques dans un courrier, qui acte l’accélération du dérapage du déficit public.
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[Exclusif] Législatives : le système la main dans le sac (II/III)
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Sécurité des citoyens…que faire quand l’Etat est défaillant ? [L’Agora]
Il y a quelque chose de pourri au royaume de France. Chaque jour qui passe nous apporte son lot de faits divers, de plus en plus violents, de plus en plus glauques, comme autant de signaux d’alarme que l’État refuse d’entendre. Nous vivons dans une époque où l’insécurité n’est plus l’exception mais la règle, où les citoyens honnêtes, lassés d’être les éternelles victimes, se demandent encore combien de temps ils pourront supporter l’insupportable. La question se pose avec une acuité renouvelée : que faire lorsque l’État est défaillant ?
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Pour un regard dépassionné sur la peine de mort
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Unissons-nous pour épargner à Marseille un nouveau mandat de Payan | Stéphane Ravier
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Va-t-on enfin dire à Anne Hidalgo que Paris ne lui appartient pas ?
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Prendre en compte la pénibilité du travail selon les métiers. (3)
« La critique est facile, l’art est difficile », dit le proverbe, et cela s’applique aussi à la politique et à l’art de gouverner qui est, aussi et surtout, l’art de décider. Or, la question des retraites n’est pas seulement économique ou sociale, elle est d’abord éminemment politique et, aujourd’hui, étatique : ce ne sont pas les acteurs socio-économiques, les entreprises ou les corps intermédiaires qui ont rédigé les articles de loi de la réforme de 2023 (1), et ce jacobinisme de la République empêche sans doute d’envisager une approche raisonnée et raisonnable, la passion (et les intérêts partisans…) prenant le pas sur l’étude et la recherche de solutions appropriées et satisfaisantes (autant pour le monde du travail que pour la société dans son ensemble, et pour les finances des uns et des autres, et de l’État, toujours « providence » à défaut d’être « constance »).
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Pour les Français mal aimés, il n’est plus l’heure d’être polis
Elon Musk n’aurait pas dû. Répliquant, le 12 août, à une injonction du commissaire Thierry Breton qui le sommait de se plier au nouveau code de modération européenne sur son réseau X (ex-twitter), le milliardaire a envoyé paître le pandore de la pensée autorisée. S’appropriant une réplique de Tom Cruise dans « Tonnerre sous les tropiques », Musk a posté : « First, take a big step back and literally fuck your own face ! » (« Tout d’abord, faites un grand pas en arrière et littéralement baisez votre propre visage ! »). Bref, Il a dit à Breton : « Vas te faire foutre ! ». Musk n’aurait pas dû. Pourtant, il se pourrait que des Français à leur tour, excédés d’être rappelés à l’ordre par les Messieurs Propres d’un système qui se déglingue et se cabre, n’aient plus envie non plus de se taire.
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Ces camarades qui nous quittent...
La semaine dernière, quatre de nos camarades de combat nous ont quittés. Il s'agit de Dominique Vernhes (ancienne étudiante à Saint-Maur) et Christian Wirtz cliquez ici, qui avaient milité à Ordre nouveau dans les années 1970, de Jean-Claude Nadot cliquez là et de Jean Barone, décédé vendredi dernier chez lui dans les Yvelines, qui fut, lui aussi, de tous les combats depuis le Parti des forces nouvelles au début des années 1980.
Régulièrement (trop hélas), nous faisons part sur ce site, lorsque nous en sommes informés, des disparitions qui peinent les milieux nationalistes. Si la droite nationale est aujourd'hui aux portes du pouvoir, n'en déplaise à certains, c'est parce que, depuis des décennies, envers et contre tous, des mouvements et des militants ont maintenu la flamme allumée. C'est notre façon à nous de leur rendre hommage...
R H
En mémoire de Dominique Vernhes et de Christian Wirtz, en accord avec Jacques Mayadoux, coordinateur de l'ouvrage, nous vous proposons ici leurs deux contributions parues dans "Ordre nouveau raconté par ses militants" cliquez là
Quelques souvenirs, en forme d’abécédaire