
Le premier concerne la nomination d’Emmanuelle Wargon à la tête de la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Le moins que l’on puisse dire, c’est que ça se fera sans pavoiser, sans tambour ni trompette. Auditionnée mercredi par les commissions ad hoc de l’Assemblée nationale et du Sénat, l’ancien ministre macroniste n’a obtenu que 43 voix, contre 48 voix contre (au Sénat, 13 voix, 20 contre, 1 blanc ; à l’Assemblée, 30 pour, 28 contre, 2 abstentions).