En cet automne si particulier, aux allures de printemps parfois, et où toutes les activités d'hier, celles d'avant la crise sanitaire, semblent décidées à renaître, la gauche politique s'ingénie à réinventer l'agitation sociale.
France et politique française - Page 923
-
Crise politique du modèle social
-
Cette étrange commission « anti-complotisme », par Maxime Tandonnet
Le pouvoir politique vient d’installer une commission dite anti complotiste intitulée « les Lumières à l’ère numérique ». Elle est chargée de débusquer les fausses informations circulant sur Internet et de faire des propositions au gouvernement pour lutter contre le « complotisme ». Elle est composée de 13 « scientifiques » dont son président, le sociologue M. Bronner. [Parmi ses membres, j’en connais deux : un vétéran du journalisme omniprésent sur les médias et caricature du parfait lèche-bottes; et un historien dont je me souviens surtout qu’en 2017, il comparait très sérieusement le nouveau chef de l’Etat à Napoléon Bonaparte].
-
En 68, Daniel Cohn-Bendit en rêvait : Jean-Michel Blanquer l’a fait !
Aux yeux de l’électorat conservateur, Jean-Michel Blanquer était pourtant le meilleur. Son prénom, d’abord : si emblématique d’une époque que, sur les réseaux sociaux, il est devenu générique. Sa calvitie de bon aloi, façon Alain Juppé. Sa discrétion naturelle comme s’il n’avait jamais été briefé par aucun Jacques Séguéla. Sa façon débonnaire d’offrir les fables de La Fontaine aux enfants du primaire…
-
MACRON OU LE DÉSASTRE D’UNE POLITIQUE ÉTRANGÈRE.
Qui se souvient encore de Jupiter recevant fastueusement les présidents américain et russe, l’un aux Invalides, l’autre à Versailles, ces hauts lieux de la monarchie qu’il prétendait ainsi restaurer comme monarque républicain concentrant tous les pouvoirs ? On pressentait que le jeune Chef d’Etat “brillant” allait faire un malheur sur la scène internationale. La cour et le choeur médiatiques chantaient des dithyrambes en son honneur. Les rangs des adorateurs se sont depuis éclaircis mais il en reste suffisamment dans les mains de ses amis milliardaires pour maintenir cet homme désastreux à 24 % de votes dans les sondages actuels.
-
Battre les progressistes en 2022: le programme
250 milliards € de fonds publics sont consacrés au clientélisme progressiste, avec ces sommes l'on pourrait augmenter les revenus des familles de 1250 €/mois et offrir aux entreprises un impôt unique sur les sociétés à 15%. Le tout permettant l'assainissement de nos finances publics, l'augmentation de notre compétitivité et la réduction considérable de l'empreinte progressiste. -
Macron devient fatigant, avec ses courbettes à l’Afrique !
Du sommet Afrique-France de Montpellier, les observateurs loueront la constance de notre très cher président de la République dans ses œuvres de génuflexion. Emmanuel Macron a enchaîné les perles comme s’il y avait chez lui un besoin de satisfaire les attentes de son auditoire. C’est d’ailleurs devenu une spécialité : chaque fois qu’il doit défendre la France face à des Africains, il s’oublie. Ce n’est pas une absence de culture, encore moins un complexe, mais on a le sentiment qu’il y a, chez ce monsieur, un besoin maladif d’humilier la France en réécrivant l’Histoire.
-
YASSINE BELATTAR VS ERIC NAULLEAU
-
Jean-Marc Borello, « pilier de la campagne d’Emmanuel Macron », a été condamné à de la prison avec sursis
Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire ressortir. Le « monsieur social » d’Emmanuel Macron était accusé d’avoir « facilité le trafic de stupéfiants ».
Jean-Marc Borello vient de voir son passé judiciaire remis en lumière. En 1999, il avait été condamné à six mois de prison avec sursis dans une affaire liée au trafic de stupéfiants.
-
Quand l’idéologie médiatique récupère Bernard Tapie
Emporté par un cancer le 3 octobre à l’âge de 78 ans, Bernard Tapie a certes eu mille vies, mais il a aussi eu mille visages. Alors qu’il n’avait pas été épargné dans les médias qui l’encensent aujourd’hui, il doit bien s’amuser des hommages unanimes qui lui sont adressés, y compris par le président Macron qui, gommant toutes les zones d’ombre, n’a pas craint de saluer en lui « une force. Une volonté. Une rage de vaincre » qui en font un exemple « pour toutes les générations à venir ».
-
Le Samedi Politique avec Nicolas Dupont-Aignan : Zemmour, Macron, et le « pognon »
1) Covid, les Français la corde au cou
Depuis près de deux ans et l’arrivée du Covid-19, Emmanuel Macron a choisi de gérer la crise avec la coercition et les restrictions des libertés individuelles. Alors que l’épidémie est stabilisée à des seuils très bas, le gouvernement planche toujours sur une prolongation du pass-sanitaire. Nicolas Dupont-Aignan, président de DLF et candidat à la présidentielle, alerte les Français sur ce qu’ils ont tendance à laisser faire.