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Etat Islamique et Arabie saoudite : quelques différences…
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La religion laïque inefficace contre le djihadisme
On n’évacue pas le besoin de sacralité, on le déplace.
Dans sa campagne « stop-djihadisme », le gouvernement ne s’est pas contenté d’un clip vidéo ridicule, il a également publié un dessin qui représente un petit lapin effrayé vêtu d’un tee-shirt rose sur lequel est écrit : « djihadisme ». Un spot l’éclaire et projette derrière lui l’ombre d’un monstre.
Pourtant, personne d’autre que Laurent Fabius n’a fait semblant de croire un jour que le « djihadisme » était un combat propre, un idéal noble et un concept aussi inoffensif qu’un lapinou.
À la guerre, on meurt. Sans blague.
Ces « jeunes » le savent et partent malgré tout. Pourquoi ? Parce qu’ils poursuivent un idéal. Ils ne fuient pas l’islamophobie, ils veulent combattre un Occident décadent qu’ils haïssent.
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La famille est clairement victime d’agressions de la part des lobbies
Le secrétaire général de la Conférence des évêques italiens, Mgr Nunzio Galantino, a déclaré que l'idéologie du genre est une « boulette empoisonnée ». Il a dénoncé les risques de colonisation idéologique.
Il a accusé la politique et l’administration publique italiennes de « faire trop souvent diversion ». Ainsi, l’introduction dans les écoles de l'idéologie du genre qui « renverse l’alphabet humain », fait partie de ces diversions. Aujourd’hui, on tend à faire passer les droits individuels avant le bien commun.
Le secrétaire de la Conférence épiscopale italienne s’est par ailleurs prononcécontre les unions civiles entre personnes de même sexe, proposées par le maire de Rome Ignazio Marino. Encore une diversion, a-t-il dit, alors que la capitale italienne est dans un état évident de délabrement et que les besoins de la population sont nombreux. Qu’il suffise de penser aux nombreux nids-de-poule qui rendent la circulation périlleuse pour comprendre que le mariage LGBT est une diversion. Selon Mgr Galantino, la famille est clairement victime d’agressions de la part des lobbies.
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Grande Bretagne : la traite des adolescentes blanches à ciel ouvert !
Courant août dernier, une enquête du Times révélait que pendant 16 ans, de 1997 à 2013, 1400 jeunes filles blanches, souvent des mineures, ont servi d’esclaves sexuelles à des bandes appartenant à la communauté pakistanaise de Rotherham, une cité du Yorkshire.
Des centaines de nouveaux cas ont été rapportés depuis, comme l’a révélé hier un article d’un média en ligne britannique. « Ils sont intouchables » déplore l’une des victimes…
Pendant ces 16 années, les viols de Rotherham avaient déjà été volontairement étouffés par la police et les services sociaux de la ville, qui craignaient de passer pour racistes. Comme le note le rapport de police qui a finalement révélé l’affaire« Les victimes sont en quasi-totalité des enfants britanniques, blancs. Quant aux auteurs, ils appartiennent à des communautés ethniques minoritaires ». Et le rapport de poursuivre : « Les membres des équipes d’investigation sont très souvent réticents à préciser les origines ethniques des auteurs, de peur de passer pour racistes ».Autrement dit, mieux valait laisser des adolescentes, parfois des enfants, être, comme on le lit dans le rapport, « victimes de viols collectifs, enlevés, battus et intimidés », plutôt que de risquer d’être catalogués de racistes…
Rotherham n’est pas la seule agglomération de Grande Bretagne concernée. A Bradford, les forces de l’ordre n’ont pas osé arrêter les membres d’un réseau ethnique de proxénètes qui prostituait des adolescentes blanches, par crainte de provoquer des violences raciales et de perturber ainsi la campagne électorale locale. Entre 2008 et 2009, à Rochdale, près de Manchester, 47 jeunes Anglaises de souche, âgées de 13 à 15 ans, ont été violées et obligées de se prostituer par des gangs composé de huit Pakistanais et d’un Afghan. En 2008, une des victimes avait dénoncé ses tortionnaires à la police, qui a délibérément ignoré son témoignage. Pour l’ancienne députée travailliste Ann Cryer, les autorités étaient, là aussi, pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme.
Mais il semble qu’on vienne de franchir un degré de plus dans la servitude
Selon un article de l’édition en ligne du média britannique Sky News, publié avant-hier, c’est en toute impunité que les violeurs ethniques poursuivent leurs activités criminelles. Une des victimes, gardant naturellement l’anonymat, constate que ses agresseurs continuent à « cibler » des jeunes filles, sans être le moins du monde inquiétés par la police. « C’est encore pire à présent, affirme-t-elle, parce que, maintenant, ils ne se cachent plus (…) Il sont devenus intouchables ». La dhimmitude des Européens, c’est maintenant…
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Reportage sur la résistance à l’islamisation de l’Europe
Suite aux récents attentats islamistes en France, Le Point Quotidien a consacré un reportage à la montée de l’”islamophobie” en Europe…
Le Point Quotidien est une production VICE Media France avec la participation de France Télévisions.Lien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, lobby, religion 0 commentaire -
La naissance du jihad
Le Figaro Histoire consacre son nouveau numéro à la conquête musulmane du VIIe et VIIIe siècle et à l'âge d'or du Califat. Voici l'éditorial de Michel De Jaeghere :
"Nous étions en guerre, et nous ne voulions pas le voir. Nous n'avons pas reconnu cette guerre parce qu'elle ne se présentait pas sous les mêmes couleurs qu'autrefois. La violence ne s'y manifestait que par spasmes. Elle semblait vouée à épargner notre vie quotidienne, notre territoire. Pas ici, pas pour moi. La télévision, les réseaux sociaux, Internet nous mettaient en contact avec des réalités d'un autre âge: un Etat islamique, des jihadistes, un califat. Des chrétiens expulsés de leurs terres ancestrales. Des otages égorgés par des hommes vêtus de noir. Des villages dévastés, des fillettes enlevées de leurs écoles pour être réduites en esclavage. Nous en regardions en boucle les images avec le sentiment de voyager dans le temps.
Nous pensions sans le dire que l'avancement de nos technologies, la sophistication de notre confort, la bienveillance de nos institutions, le caractère policé de nos mœurs nous mettaient à l'abri de telles tempêtes. La semaine sanglante ouverte par les assassinats du 7 janvier est venue nous rappeler qu'ils nous en abritaient aussi sûrement que ne l'avait fait la ligne Maginot face aux troupes du Reich. Qu'il suffisait à un petit nombre d'utiliser nos failles. Près de 1200 jihadistes sont aujourd'hui disséminés sur notre sol. Il est peu probable qu'ils en resteront là. Nous savons désormais que l'histoire n'a pas cessé d'être tragique parce que nous avions cessé de nous en apercevoir.
Les événements ont suscité, à travers le pays, une immense mobilisation. Reste à savoir pour quoi.
A sortir d'un unanimisme qui nous a d'abord conduits à nous abstenir de désigner clairement l'adversaire auquel on se proclamait décidé à faire face; à le réduire à une identité abstraite, née de rien, venue de nulle part: un mal sans explication, sans visage.
A dissiper le malentendu qui, devant la folie meurtrière, nous a fait considérer le droit à la dérision, à l'injure, le mépris de toutes les croyances et de toutes les fois, l'obscénité, le blasphème comme le cœur même de l'identité française et de la civilisation occidentale.
A dépasser la satisfaction quelque peu narcissique qui nous a amenés à nous rassurer devant la seule image qu'un peuple descendu dans la rue pour dire son refus de la violence et du terrorisme, son amour de la liberté, de la patrie, peut-être, nous donnait de nous-mêmes: comme si la volonté de vivre en paix avait la vertu de contaminer l'adversaire, de lui imposer, par mimétisme, l'abandon de la violence, de lui faire déposer les armes; comme si nous pensions vaincre par le seul affichage de notre désarroi.
Cela suppose que l'on s'efforce de comprendre les ressorts de la tragédie dont le monde musulman est aujourd'hui le théâtre, l'islamisme radical, l'acteur principal.
Le Figaro Histoire voudrait y contribuer ici en étudiant sans parti pris ce que furent les commencements de l'islam. Quelle place tint le jihad dans la fulgurante cavalcade qui permit aux cavaliers arabes de terrasser l'Empire perse, vaincre les Byzantins, dominer la Méditerranée, et s'imposer jusqu'en Espagne. Comment cette expansion se traduisit pour les populations annexées au fil de la conquête. Comment se développa aussi, par le remploi et la synthèse des cultures asservies, une civilisation originale.
L'histoire n'a rien, bien sûr, d'une science expérimentale. Les événements qu'elle rapporte ne se reproduisent pas à l'identique, comme dans le huis clos d'un laboratoire. Il n'en reste pas moins qu'elle constitue l'expérience des peuples. Qu'il serait imprudent d'en ignorer les leçons. [...]"
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Une femme survit miraculeusement à une lapidation organisée par l’Etat Islamique
Une femme syrienne condamnée pour adultère par le tribunal de l’Etat islamique, a miraculeusement survécu à une lapidation.
La femme avait été condamnée à mort par lapidation par le tribunal de la charia de Raqqa. Des pierres ont été lancées sur elle jusqu’à ce qu’on pense qu’elle était morte. Mais la femme a survécu contre toute attente.
Au bout d’un certain temps, la femme a fini par se relever. Un djihadiste a voulu l’achever. Mais le tribunal islamique l’en a empêché, considérant que Dieu n’avait pas voulu qu’elle meure.
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Proche-Orient, ces catholiques persécutés
C'est le dernier numéro hors-série de l'Homme Nouveau, de 68 pages, comprenant notamment des entretiens avec les évêques orientaux :
Mgr Youssef-Thomas Mirkis, archevêque de l'Église chaldéenne de Kirkouk et Souleïmaniyé (Irak)
- Mgr Michel Youssef Chafik, recteur de la Mission copte-catholique de Paris
- sa Béatitude ignace Joseph III Youman, patriarche d'Antioche et de tout l'Orient de l'Église syro-catholique
- Mgr Nasser Gemayel, évêque de l'éparchie maronite Notre-Dame du Liban à Paris et visiteur apostolique des maronites en Europe
- Mgr Jean Teyrouzian, éparche des Arméniens-catholiques de France
- sa Béatitude Grégoire III Laham, patriarche d'Antioche et de tout l'Orient, d'Alexandrie et de Jérusalem de l'Église grecque-melkite
- sa Béatitude Fouad Twal, patriarche latin de Jérusalem
Philippe Maxence, directeur de l'Homme Nouveau, explique :
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Puissant clip du chanteur vedette australien, Ramos Jakob, sur la tragédie des Chrétiens d’Irak: « Under fire »
Under fire – Sous le feu
Élu « vedette de l’année » 2013 en Australie, Ramos Jakob est d’origine chrétienne assyrienne d’Irak. Il chante la tragédie des chrétiens d’Irak, dans une puissante mise en scène. Il est l’auteur des paroles de sa chanson Under Fire, signalée sur l’Observatoire de la christianophobie. Son clip est en ligne depuis le 22 janvier de cette année, alors que la tragédie vécue par ce peuple n’intéresse plus grand monde.
Les communautés chrétiennes assyro-chaldéennes en Australie, comptent plus de 60 000 personnes. Le chanteur a su combiner la violence des danses guerrières rituelles aborigènes avec la violence subie par les chrétiens face à l’Etat islamique tout en dressant la Croix et arborant le célèbre signe par lequel les maisons assyriennes ont été marquées du « noun » qui les désigne à la vindicte islamique, que les danseurs de cette chorégraphie échevelée portent aussi sur le dos de leurs vareuses militaires.
Photo extraite du clip « Under fire »,
avec le « noun » sur les pancartes, cette lettre arabe qui désigne les chrétiens à la vindicte de l’Etat Islamique
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Islamisation des campagnes : des salafistes vivent en autarcie dans un village du Cher
VIDÉO BFMTV (29/01/2015) - À Châteauneuf-sur-Cher, un groupe d’une vingtaine de salafistes d’obédience tabligh, des musulmans adeptes d’un islam rigoriste, inquiètent certains spécialistes qui les considèrent comme sectaires. Ils vivent coupés du reste des habitants et ont quitté la ville pour pouvoir pratiquer leur religion à l’abri des regards. Ces dernières années, plusieurs jihadistes français se sont radicalisés au contact de ce mouvement.
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