La construction éclair d’un hôpital à Wuhan
Bruno Gollnisch cliquez ici
Jusqu’ici peu de Français avaient entendu parler de Wu-Han, l’ancienne Han- Kéou, maintenant connue de tous, à cause de l’épidémie de coronavirus dont elle est l’épicentre.
Elle est au cœur de la Chine profonde. Tirez une ligne du nord au sud : de la Mandchourie à Canton, et une autre d’est en ouest : du Tibet À l’océan Pacifique, Wu-Han est à l’intersection, sur les rives de l’immense Yang-Tsé-Kiang.
Langues multiples.
J’ai connu Wu-Han il y a environ 35 ans, dans des conditions curieuses. Fraîchement nommé professeur à l’université de Lyon pour y créer la chaire de japonais, j’étais auparavant maître de conférences à la faculté de droit de Metz. Mes collègues linguistes s’étaient dit que, comme juriste, j’étais sans doute capable de lire un arrêté ministériel, et m’avaient fait l’honneur de me demander d’être l’assesseur, c’est-à-dire l’adjoint du doyen de la faculté. Ce dernier, professeur de russe, avait démissionné peu de temps après pour raisons de santé, et j’avais dans la foulée été élu pour lui succéder. Je dirigeais donc une faculté où l’on enseignait plus de 25 langues étrangères à de nombreux étudiants. Les gros bataillons étaient bien sûr à l’époque pour l’anglais, l’espagnol, l’allemand, etc., mais les autres langues: latines, slaves, l’arabe, l’hébreu, le chinois, le japonais, y étaient aussi pratiquées.







Voilà un scandale peut-être encore plus important que celui du « sang contaminé » En effet, le chercheur serbe Mirko Beljansky (Docteur en Science d'Etat, directeur de Recherche en Biologie Moléculaire au CNRS, membre de l'Institut Pasteur de 1948 à 1978 puis de la Faculté de Médecine avait mis au point plusieurs produits naturels pouvant faire reculer ou guérir le cancer et le SIDA (produits à prendre en synergie d'un traitement chimiothérapique pour le cancer) Sur nombre de malades dont Henri Boiteux, administrateur pendant onze ans de l'Institut de Recherches sur le cancer à Villejuif, M. Le Guen guéri d'un cancer en phase terminale, Gérard Weidlich guéri d'un Sida déclaré le succès est spectaculaire. Ce qui ne va pas sans heurter certains intérêts, notamment celui des grands laboratoires pharmaceutiques car la commercialisation officielle des produits Beljansky coûtant moins cher que les thérapies officielles entraînerait un manque à gagner énorme pour ces laboratoires. Il est clair que l'intérêt des malades n'est pas le même que celui des lobbies financiers qui ont infiltré l'Etat. Car il faut savoir que 90 % des experts chargés d'évaluer les produits et d'autoriser leur mise sur le marché sont payés par ces laboratoires. De plus, on sait désormais que de grands labos paient les campagnes électorales de nombres d'hommes politiques, formant en bout de chaîne une véritable mafia médico-politico-médiatico-financière. Ainsi, le 9 octobre 1996, une vaste opération (avec la participation du GIGN) sur l'ensemble du territoire fut déclenchée sous forme de perquisitions chez une soixantaine de malades, la saisie de leurs médicaments et produits nécessaires à leur survie, la mise sous scellés des locaux de recherches de Beljansky, la destruction de tous ses dossiers. Tout cela, dans une totale indifférence médiatique, dans une soi-disant démocratie. Puis vinrent les harcèlements fiscaux, les rappels de TVA sans justification.