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santé et médecine - Page 287

  • PMA sans père – La Manif Pour Tous estime que le gouvernement doit maintenant apporter des réponses

    Dans un communiqué publié le 24 septembre 2019, La Manif Pour Tous estime qu’après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années.

    Voici le texte du communiqué intitulé “PMA sans père : au pied du mur, le gouvernement doit maintenant apporter des réponses” :

    L’heure des réponses a enfin sonné. Après avoir été alerté en vain sur les conséquences de la PMA sans père, le gouvernement doit désormais répondre aux interrogations et inquiétudes exprimées par les Français depuis plusieurs années. Resté sourd aux questions soulevées par les associations familiales, les pédopsychiatres, les juristes, les scientifiques, les philosophes…, la majorité va devoir se montrer non seulement à l’écoute mais aussi entendre les nombreuses réserves exprimées par la société civile.

    Il est temps de lever les ambiguïtés entretenues par le gouvernement depuis trop longtemps. L’embarras du gouvernement suite à la publication de l’avis de l’Académie nationale de médecine s’est traduit par un amalgame scandaleux. Des ministres n’ont pas hésité à comparer la situation des enfants vivant dans des familles monoparentales avec celles d’enfants nés par PMA sans père. Heureusement, ces deux situations n’ont rien à voir. Les enfants vivants dans des familles monoparentales connaissent souvent leur père. Mais pour de multiples raisons, ils en sont séparés. Ces situations n’ont rien à voir avec le fait d’organiser la conception d’enfants volontairement privés de leur père. C’est bien ce caractère volontaire qui est au cœur du projet de loi. Qui a le droit de décider qu’un enfant peut être privé de son père avant même sa conception ? Comment l’accepter ? Comment peut-on envisager un seul instant de priver volontairement un enfant de l’amour de son père pour toute sa vie ?

    Le gouvernement entretient également une ambiguïté autour de la GPA. Il affirme que ce n’est pas un sujet puisque le projet de loi ne prévoit pas la légalisation de la GPA. Mais, en même temps, il prépare une circulaire sur la reconnaissance des enfants nés par GPA dans un pays étranger. Il ne doit pas fuir ses responsabilités et être clair :

    Oui ou non, le gouvernement est-il réellement opposé à la GPA ?
    Oui ou non, le gouvernement est-il opposé à ce que des Français aillent faire une GPA à l’étranger ? Par souci de cohérence, et parce que la dignité des femmes n’a pas de frontières, parce que la GPA est effectivement intolérable en France, elle l’est aussi à l’étranger et nos ressortissants ne doivent pas être autorisés par la loi française à y recourir.
    Oui ou non, le gouvernement est-il prêt à reconnaître les enfants nés d’une GPA à l’étranger à l’état civil, ce qui reviendrait à encourager les Français à aller faire des GPA à l’étranger et donc au développement de ce business sordide ?
    Oui ou non, le gouvernement veut-il s’engager pour l’abolition universelle de la GPA, au nom de la dignité et du droit des femmes ?

    Bien d’autres questions sont encore soulevées par la PMA sans père à l’occasion du débat parlementaire : la PMA post mortem, la PMA pour les personnes transgenres, l’autoconservation des ovocytes, la réponse à la pénurie de gamètes… Concrètement, comment le gouvernement entend-il garantir aux femmes que l’autoconservation des ovocytes ne va pas déboucher sur des pressions de leurs employeurs ? Comment le gouvernement peut-il garantir que la pénurie de gamètes ne va pas se traduire par la rémunération des fournisseurs de sperme ou l’achat de sperme à l’étranger ? Comment le gouvernement compte-t-il s’assurer que ce commerce des gamètes sera interdit en France, y compris sur internet ?

    Enfin, le gouvernement doit cesser de chercher à museler toute forme d’opposition à son projet au nom de la recherche légitime d’un « débat apaisé ». Il y a eu plusieurs glissements forts regrettables du côté de la majorité qui cherche manifestement à réécrire l’Histoire. S’il s’est déclaré favorable, à titre personnel, à la PMA sans père, Emmanuel Macron a toujours conditionné tout projet législatif à l’existence d’un large consensus. Aujourd’hui, plusieurs ministres cherchent à remplacer ce consensus par le caractère « apaisé » du débat. C’est un tour de passe-passe grossier et indigne du gouvernement. Le Président du CCNE (Comité Consultatif National d’Éthique) a lui-même souligné, à l’issue des États généraux de la bioéthique, qu’il n’existe pas de consensus sur cette mesure. Les Français sont profondément divisés sur cette question. Comment en outre parler de débat « apaisé » lorsque ni les conclusions des États généraux de la bioéthique, ni le contenu de la mission d’information parlementaire, ni les auditions de la commission spéciale mise en place à l’Assemblée nationale n’ont été pris en compte. Comme pour les retraites, la position du gouvernement consiste à organiser un débat mais à ne surtout pas en tenir compte dans ses décisions. C’est parfaitement anti-démocratique.

    La République doit protéger tous ses enfants, sans distinguer ceux qui sont nés par PMA, elle n’a pas à en priver volontairement certains de l’amour d’un père. C’est ce message d’amour qui sera porté haut et fort dans la rue lors de la manifestation unitaire sous le label « Marchons Enfants ! » qui se tiendra à Paris le dimanche 6 octobre : « Liberté ! Égalité ! Paternité ! ».

    https://fr.novopress.info/

  • Vers une réforme de l’Aide médicale d’Etat ? – Journal du mardi 24 septembre 2019

     

    Vers une réforme de l’Aide médicale d’Etat?

    A quelques jours du débat sur l’immigration au Parlement, l’Aide Médicale d’Etat, réservée aux clandestins, concentre l’essentiel des critiques. Alors que la droite réclame son abolition, la majorité présidentielle maintient sa position du “en même temps”.

    Iran : Macron prend une douche froide

    Après s’être rêvé en conciliateur dans le dossier iranien Emmanuel Macron a finalement plié pour adopter la ligne de ses alliés saoudiens notamment… pire le président français s’est ridiculisé devant son homologue américain.

    L’Iliade : le succès de Renaissances

    Depuis le 20 septembre et jusqu’au 25, l’Institut Iliade réunit de nombreux artistes dans une galerie parisienne. TV Libertés était au vernissage.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/vers-une-reforme-de-laide-medicale-detat-journal-du-mardi-24-septembre-2019

  • Sentinelles : Début de l’examen de la révision des lois de Bioéthique

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    Ce mardi 24 septembre de 20 h 23 h 30, place du Palais-Bourbon

    Les Sentinelles sont debout depuis 2013 pour l’intérêt supérieur de l’enfant. Celui-ci est menacé par une nouvelle loi scélérate.

    Scélérate par son objet : en ouvrant la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, elle réifie l’enfant et crée un droit à l’obtenir incompatible avec sa dignité intrinsèque, elle ouvre encore plus la voie à l’eugénisme et à la marchandisaton du corps

    Scélérate par les méthodes employées : faire fi d’un consensus hostile clairement exprimé lors des états généraux de la bioéthique tenus en 2018 et laisser le Conseil Consultatif National d’Ethique conclure en posant des recommandations incohérentes avec toutes les objections clairement identifiées ; voir un député devenu secrétaire de la commission ad hoc’ insulter les opposants lors de la mission parlementaire d’information et prétendre aspirer à un débat apaisé et serein ; invoquer la démocratie et imposer une lecture chronométrée ; ne jamais répondre aux questions et aux objections formulées. Est-il nécessaire de poursuivre la litanie ?

    Les Sentinelles ne peuvent s’y résoudre. Elles ont décidé de s’associer au collectif #MarchonsEnfants qui s’est constitué pour s’opposer à cette nouvelle dérive législative. Elles s’associent en outre aux divers collectifs « Appel des pères » et « Sentinelles des Pères » qui œuvrent et se rassemblent aussi dans quelques villes de provinces.

    Toutes les Sentinelles peuvent veiller où bon leur semble (mais face à un lieu de pouvoir) et quand elles le peuvent.

    Elle pourront veiller le mardi 24 septembre, à partir de 20:00 et toujours place du Palais-Bourbon.

    Le samedi 5 octobre, veille de la grande journée de mobilisation, les sentinelles se retrouveront Place Vendôme à partir de 20 h 00.
    Les amis de province qui rejoignent la capitale un peu avant la journée de grande mobilisation #MarchonsEnfants facebook seront bien sûr les bienvenus pour veiller sur le pavé parisien.

    Le mode opératoire reste inchangé : se tenir debout et silencieux, respecter un espacement suffisant entre chaque Sentinelle afin de ne pas constituer une manifestation, ne porter aucun signe distinctif, n’afficher ou ne crier aucun slogan, ne pas troubler l’ordre public, répondre avec bienveillance aux questions des passants.

    Vous êtes les bienvenus.

    Des Sentinelles de Paris

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  • Marine Le Pen : l’Etat va mentir à l’enfant

    La présidente du Rassemblement National était interrogée ce matin sur RTL à propos du projet de loi de bioéthique :

    Le sujet arrive cet après-midi dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Les Sentinelles se rassembleront ce soir.

    https://www.lesalonbeige.fr/marine-le-pen-letat-va-mentir-a-lenfant/

     

  • C'est passé au JT de TF1 : "Migrants : enquête sur un trafic de faux certificats médicaux..."

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    (envoi de lecteur)
    JT 20H - Chaque année, la France reçoit 40 000 demandes de titre de séjour provisoire pour des raisons médicales, dont deux tiers, en moyenne, sont acceptées.

    Des médecins ont fourni à des sans-papiers de faux certificats médicaux pour leur permettre d'obtenir frauduleusement un titre de séjour. Un trafic qui a occasionné un important préjudice à l'Etat, se chiffrant en dizaines de millions d'euros. C'est ce que vient de révéler l'enquête très fouillée, menée depuis plusieurs semaines par notre équipe. 

    Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 06/03/2018 présenté par Gilles Bouleau sur TF1 (il est passé à 20h20). 

    Il ne date donc pas d'hier : notre lecteur nous l'envoie en faisant remarquer que personne n'a publié, depuis, le moindre démenti !...

    https://www.lci.fr/societe/migrants-enquete-sur-un-trafic-de-faux-certificats-medicaux-2080901.html

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/21/h-6171106.html#more

  • Gestation sans père: la mobilisation doit être totale.

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    L'avis de Jean-François Touzé 

    En émettant samedi "des réserves" sur l'ouverture de la procréation médicale assistée (PMA) aux femmes seules et aux couples de lesbiennes, et en s'inquiétant "des conséquences possibles pour le développement de l'enfant", l'Académie de médecine assure, certes, un service minimum (le mot "réserves" relevant de la litote); pour autant, tout comme la mobilisation encore timide mais réelle de l'Eglise, cet avis éclairé apparaît comme une prise de position courageuse et bienvenue au moment où se mobilise l'ensemble des forces obscures de la décadence en faveur de ce projet contraire à tous les principes de l'humanisme européen, principes fondamentaux de notre vieille lignée.
    C'est aussi le moment où se prépare la grande manifestation du 6 octobre contre la gestation sans père qui doit mobiliser toutes les énergies. Faut-il le rappeler : la PMA doit être réservée aux couples homme/femme qui ne peuvent engendrer naturellement. Une famille c'est un père, une mère, des enfants. Point final.
    Après le mariage pour tous et avant la légalisation de la Gestation pour autrui (GPA) qui ne manquera pas d'être accordée dans la foulée au nom de l'égalité (faute de quoi, n'est ce pas, seuls les hommes homosexuels ne pourraient procréer... Scandale absolu aux yeux des progressistes.), la PMA pour toutes constitue une étape supplémentaire dans la déconstruction de notre civilisation traditionnellement basée sur le respect des valeurs héleno-chrétiennes et fondée sur le socle de l'ordre naturel.
    La destruction parfois brutale, souvent lente et progressive des piliers de force des édifices nationaux que furent les hiérarchies aristocratiques, militaires, étatiques, spirituelles et bien sûr familiales, correspondent, nous le savons, à une volonté et à un dessein nihilistes qui est la négation de tout ce à quoi nous croyons et qui fait le sens de notre combat.
    Le 6 octobre nous devrons être des centaines de milliers dans les rues de Paris.
  • Emmanuel Macron : agent de paix aux Nations Unies ? – Journal du lundi 23 septembre 2019

     

    Emmanuel Macron : agent de paix au Nations Unis ?

    Après les espoirs nés du sommet du G7 à Biarritz, Emmanuel Macron se verrait bien en agent de paix entre Téhéran et Washington à l’occasion de l’Assemblée Générale des Nations Unies. Un pari aussi complexe que risqué pour le président français qui souhaite à tout prix donner une dimension internationale à son quinquennat.

    Stéphane Ravier rassemble ses troupes marseillaises

    Élu maire du 7e secteur de Marseille en 2014, le RN Stéphane Ravier se lance dans une nouvelle campagne pour les prochaines municipales. Un défi lourd à relever dans une ville qui souffre des maux du pays.

    Mediator : un procès hors norme

    Neuf ans après la révélation de l’affaire, le procès du Mediator s’est ouvert ce lundi à Paris. Jusqu’au 30 avril 2020, le laboratoire Servier et l’Agence nationale de sécurité du médicament vont devoir se justifier de ce scandale sanitaire ayant fait plusieurs milliers de victimes.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/emmanuel-macron-agent-de-paix-aux-nations-unies-journal-du-lundi-23-septembre-2019

  • Loi de bioéthique : le triomphe du marché au détriment du respect de la vie

    Loi de bioéthique : le triomphe du marché au détriment du respect de la vie

    Le projet de loi dit de « bioéthique » est débattu actuellement à l’Assemblée nationale. Outre l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples homosexuels, le texte gouvernemental libéralise la recherche sur l’embryon, les diagnostics anténataux et l’interruption médicale de grossesse. La Fondation Jérôme Lejeune alerte l’opinion publique et les parlementaires sur ces dérives.

    La banalisation de la recherche sur l’embryon et ses cellules souches

    Alors même que l’obtention de cellules souches embryonnaires humaines (CSEh) implique la destruction d’un embryon humain, le gouvernement a décidé de banaliser la recherche sur les CSEh en allégeant considérablement les démarches administratives des chercheurs. Désormais, leurs recherches ne seront plus subordonnées à la délivrance d’une autorisation de l’Agence de la biomédecine. Cette dernière ne devra d’ailleurs plus contrôler que le couple géniteur a effectivement consenti au don de son embryon à la recherche. En outre, les chercheurs ne seront plus contraints d’utiliser les cellules souches pluripotentes induites (iPS) qui constituent une alternative éthique aux CSEh. Par le biais de cette disposition, le gouvernement entend notamment faciliter la disponibilité des CSEh pour l’industrie pharmaceutique engagée depuis 2017 dans la production à grande échelle de ces cellules.

    Concernant la recherche sur l’embryon, le projet de loi autorise la conservation de l’embryon humain in vitro jusqu’à 14 jours. Il supprime également les interdits fondateurs créés par la dernière loi de bioéthique (2011), à savoir l’interdit de créer des embryons transgéniques et chimériques.

    Il sera désormais possible de créer en laboratoire des embryons génétiquement modifiés. Le risque de transmission des modifications génétiques à la descendance est prégnant puisque le cadre légal de la recherche sur l’embryon en AMP1 (assistance médicale à la procréation) permet le transfert à des fins de gestation des embryons qui ont fait l’objet d’une manipulation.
    Enfin, le projet de loi autorise l’adjonction de cellules humaines (CSEh ou iPS) dans des embryons animaux.

    L’encadrement transgressif de la recherche sur les cellules iPS

    Sous couvert d’un encadrement simplifié, le projet de loi permet la création de gamètes artificiels à partir de cellules iPS ou de CSEh. Contournant l’interdit de créer des embryons pour la recherche, le texte rend également possible la création de modèles embryonnaires à partir de CSEh ou d’iPS. Ces manipulations serviront l’industrie de la procréation. La création de gamètes artificiels permettra de pallier la pénurie de gamètes ; quant à la création de modèles embryonnaires, elle permettra de développer les techniques de PMA.

    L’élargissement du spectre de la détection prénatale

    Le projet de loi envisage le soin et la prise en charge in utero du fœtus. Et en cas de risque pour le fœtus d’être porteur d’une « affectation d’une particulière gravité », le médecin pourra proposer aux parents une liste des associations spécialisées et agréées dans l’accompagnement des patients atteints de l’affection suspectée.

    Même si ces deux dispositions peuvent être envisagées positivement, le texte contient de nouvelles dérives eugéniques.

    Lorsque des examens de diagnostic révèleront une caractéristique fœtale sans relation avec la pathologie pour laquelle le diagnostic a été initialement réalisé, le projet de loi prévoit la communication de ces informations anxiogènes à la femme enceinte. Cette disposition cautionne le décryptage génomique du fœtus et renforce le risque d’élimination prénatale.

    Le screening du génome aura également lieu dans l’éprouvette. Dans ce cadre, l’extension du diagnostic préimplantatoire à la trisomie 21 est prévisible. Concrètement, il s’agit de détruire les embryons porteurs d’une trisomie 21 qui auront été créés dans le cadre de la PMA.

    La libéralisation accrue de l’avortement

    Le projet de loi supprime la proposition systématique d’un délai de réflexion avant l’interruption médicale de grossesse (IMG) et crée une clause de conscience spécifique pour cet avortement tardif. Il crée également un nouveau type d’avortement dit « interruption volontaire partielle d’une grossesse multiple » pour permettre l’avortement d’un fœtus en cas de grossesse gémellaire.

    Ces nouvelles dispositions alarmantes méritent un décryptage. Dans ce cadre, la Fondation Jérôme Lejeune vient de publier un rapport intitulé « L’embryon humain à l’épreuve de la révision de la loi de bioéthique » pour exposer les problématiques scientifiques, juridiques et éthiques de ce projet de loi. Elle rencontre par ailleurs en ce moment les députés et les sénateurs pour les alerter sur ces dérives et les inciter à s’y opposer durant l’examen du texte au Parlement.

    1Article L 2151-5 V du code de la santé publique

    https://www.lesalonbeige.fr/loi-de-bioethique-le-triomphe-du-marche-au-detriment-du-respect-de-la-vie/

  • Féminicide : histoire d’une mascarade – Journal du vendredi 20 septembre 2019

    Féminicide : histoire d’une mascarade

    Entre culture de l’émotion et surenchère, le “féminicide” envahi l’espace public. Loin de protéger les femmes, cette nouvelle marotte médiatico-politique met une nouvelle fois en exergue les contradictions féministes.

    La Vapoteuse dans le collimateur

    La cigarette électronique est-elle dangereuse pour la santé? L’état de New-York et l’Inde ont interdit sa commercialisation à des fins sanitaires.

    Nigéria : un autre drame de l’immigration

    Chaque année des centaines de milliers d’Africains tentent de rejoindre l’Europe. Parmi eux, de nombreux nigérians qui restent à quai en Libye dans des conditions déplorables. Les plus chanceux rentrent chez eux, mais sont ruinés et parfois même brisés.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/feminicide-histoire-dune-mascarade-journal-du-vendredi-20-septembre-2019

  • L’hypocrisie sur la GPA