santé et médecine - Page 309
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Têtes à clash n°16 : Euthanasie, paradis fiscaux, vaccins, majorité sexuelle
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Chronique du Grand remplacement : FdeSouche publie la carte 2016 de la drépanocytose
Depuis bientôt dix ans, les statistiques ethniques sont interdites en France. En octobre 2007, le Conseil constitutionnel concluait à la non-conformité de tout traitement de données faisant apparaître « directement ou indirectement, les origines raciales ou ethniques » de la personne.
A la suite de cette censure, l’INED et l’INSEE, les deux principaux instruments de propagande statistique du régime, ont décidé de retirer toute précision sur la « race » des individus. Le dépistage de la drépanocytose permet néanmoins d’avoir une idée précise du nombre de naissances d’extra-européens dans notre pays. La drépanocytose est en effet cette maladie héréditaire du sang, appelée aussi « maladie des noirs » en ceci qu’elle n’affecte que les populations mélanodermes.
Notre confère FdeSouche publie la carte 2016 de la drépanocytose. Elle montre un accroissement vertigineux du phénomène de Grand Remplacement. En région parisienne, 74,6% des nouveau-nés ont subi le test de dépistage l’an dernier, contre 60% en 2010.
Consulter cette carte : http://www.fdesouche.com/906357-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-a-jour-chiffres-2016
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Nouvelle hausse du budget de l'Aide médicale d'Etat
Pour l'année prochaine, le montant programmé pour l'aide médicale d'Etat, instaurée en 2000 pour les étrangers sans papiers résidant en France depuis plus de trois mois qui en font la demande, est de 882 millions d'euros contre 815 millions en 2017.
Le nombre de bénéficiaires de l’AME a connu un léger infléchissement en 2016, avec 311 310 personnes en fin d'année, et semble se confirmer en 2017. Julien Aubert (LR) a dénoncé cette "générosité", pour des immigrés ayant assez d'argent pour "s'acheter un portable", "incompréhensible pour les Français qui économisent quelques euros".
Emmanuelle Ménard ajoute que l'AME, "en roue libre" et "payée par ceux qui travaillent pour ceux qui non seulement ne travaillent pas mais sont en situation irrégulière", doit aussi être fortement réduite.
par Michel Janva
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Vaccins, crime contre l'immunité? - Orages d'acier - 7/11/2017
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L'affaire du glyphosate révèle le fonctionnement de l'UE
La Commission européenne a échoué ce matin à faire renouveler la licence du glyphosate pour cinq ans. Il y a eu 14 pays pour la proposition, 9 contre (dont la France), et 5 abstentions (dont celle de l’Allemagne). Il fallait une majorité qualifiée, soit 16 Etats et 65% de la population.
Selon les traités signés par les Etats membres (et contre l'avis de plusieurs peuples), quand la Commission n’arrive pas à ses fins et que le temps presse (la licence du glyphosate expire le 15 décembre), elle réunit un "comité d’appel", formé de représentants de haut niveau des Etats membres.
Ou bien le comité d’appel rend les armes, ou bien il persiste dans l’opposition. Dans ce cas… c’est la Commission européenne qui prend la décision finale… C'est cela la démocratie européenne : cause toujours.
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Déjà en 2016 : 'l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique"
C'est le témoignage de Brandy Vaugham, ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co :
"Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments.
Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire".
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Un peu de propagande pour allonger le délai légal pour avorter ?
Marianne raconte des histoires à faire pleurer dans les chaumières... :
"Avec l’échographie, la médecin a pu déterminer le nombre de semaines de grossesse : 14. Soit deux de plus que le délai légal français pour une interruption volontaire. "La docteure a juste lâché : 'Ici, on ne peut rien faire si vous ne voulez pas de cet enfant. Votre seule solution, c’est l’étranger' et elle m’a dit de contacter le Planning Familial, raconte Rose. Le second coup a été très dur : j’ai réalisé que, bien que née dans un pays où l’IVG est légale, je devais passer de l'autre côté de la frontière pour pouvoir avorter".
Avec le soutien du Planning, comme en témoignent Véronique Sahier, coprésidente du Planning Familial puis Sandrine Heckmann, directrice du Planning Familial de Pau :
"Certaines des femmes concernées sont dans des situations précaires. Avorter à l’étranger, cela fait ressortir des inégalités très fortes, ce n'est pas normal, il faut que toutes les femmes soient égales face à l'IVG". "Parfois on est à la limite du légal. Notre objectif, c’est que les femmes puissent avoir accès à l’avortement dans de bonnes conditions, même quand ce n’est pas possible en France".
"Même si on ne peut techniquement pas les soutenir financièrement, on les aide à mettre en place une stratégie personnelle. Ceci dit, quand il s’agit de femmes en extrême précarité, on voit ce qu’on peut faire plus directement…".
Tous ces arguments avaient déjà été utilisés en 2000, afin de permettre d'allonger de 2 semaines le délai légal pour avorter. Et Marianne annonce la couleur :
"Déni de grossesse, difficulté à faire un choix, mineures mal informées… Quels que soient les motifs, les Françaises sont 5.000 par an à recourir à l’IVG à l’étranger, en Espagne ou ailleurs. Car si la France se situe dans la moyenne européenne en matière de délai légal, plusieurs de ses voisins vont plus loin. Au Royaume-Uni par exemple, l’IVG est pratiquée jusqu’à 24 semaines de grossesse (voire plus si la vie de la femme est en jeu). Même délai au Pays-Bas, bien que les médecins n’avortent en général plus après 22 semaines. La Suède, où l’avortement est pratiqué jusqu’à la 18ème semaine (voire 22 et plus selon les situations), fait également partie de ces pays plus souples.
Des données qui, fatalement, posent la question de la pertinence de fixer la limite à 12 semaines. "Le délai est trop court pour certaines femmes, c'est la maîtrise de leur fécondité qui est en jeu", revendique la coprésidente du Planning Familial. [...] Pourtant, estime Marie Allibert, porte-parole de l’association "Osez le féminisme !", "une grande majorité des Français sont en faveur de l’IVG et d’un passage à un délai plus long, de 14 semaines par exemple". L'alignement sur les délais plus favorables de voisins européens fait partie des revendications du Planning Familial. [...]"
par Michel Janva
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Trafic d'organes en France ? Thierry Kabile et Christian Cotten #MetaTV
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Le Glyphosate : ennemi public N°1 ou règlement de comptes politico-économiques ?
Bernard Plouvier
Une pétition lancée par divers mouvements écologistes d’Europe Unie (plus exactement de l’Europe des économies unies) a pour but déclaré de faire interdire le glyphosate. On s’attend à recueillir un million de signatures… et l’on aimerait savoir qui, parmi ces preux chevaliers de la mobilisation citoyenne, connaît réellement ce produit et les dessous de l’affaire.
Car, bien plus que de protection de l’environnement, c’est d’une guerre à la fois commerciale et idéologique qu’il s’agit. Les dinosaures éclopés du marxisme et les ex-militants opposés à la guerre du Viêt-Nam repassent le plat, avant de quitter définitivement le théâtre du monde.
Le glyphosate, c’est ce que tout jardinier connaît, depuis le début des années 1980 en France, sous le nom de Roundup, désherbant cher, mais efficace.
Au plan chimique, c’est un dérive méthylé & phosphorylé de la glycine (ou glycocolle, soit l’un des acides aminés les plus répandus sur Terre, ubiquitaire dans le monde animal aussi bien que végétal). Il a été synthétisé en 1970, commercialisé timidement en de rares pays l’année 1974, puis aux USA en 1976 et sur l’ensemble de la planète.
Il s’est très vite imposé comme le meilleur désherbant et le moins toxique. Il a été largement utilisé en épandage aérien pour détruire des plantations de coca.
Objectivement, aucune étude toxicologique chez l’homme n’a permis de le considérer comme un perturbateur endocrinien ni comme un cancérigène… et au vu de sa formule chimique, l’on n’est guère étonné de ces conclusions.
Certes, comme une myriade de produits chimiques, cet aminoacide torturé induit des mutations chez les végétaux, déjà exposés aux ultra-violets mutagènes, et chez certaines espèces de bactéries, les rendant moins sensibles à l’une ou l’autre des familles d’antibiotiques.
L’on n’est pas très étonné qu’un acide aminé méthylé puisse induire des mutations. Les mutations génétiques sont essentiellement liées à l’action des ultra-violets solaires, des corps radioactifs et des agents fixant des radicaux méthyles à l’ADN.
La très grande majorité de ces mutations s’avèrent neutres : pas plus bénéfiques que nuisibles à l’être animal ou végétal. En outre, la résistance des bactéries aux antibiotiques est un phénomène qui dépend de tant de causes que l’on voit mal pourquoi il faudrait interdire le Roundup plutôt que n’importe quel autre agent à radical méthyle.
Divers groupes chimiques très puissants, concurrent de celui qui s’est fabuleusement enrichi grâce au Roundup, ont connu d’énormes déboires avec un excellent désherbant qu’il a fallu interdire en 2007 pour cause de toxicité majeure : le Paraquat, commercialisé en 1961. À dire vrai, tous les réanimateurs savaient, dès 1975, que l’ingestion de Paraquat (accidentelle, criminelle ou à but suicidaire) tuait par fibrose pulmonaire aiguë, irréversible. En outre, ce produit (un dérivé de la pyridine) était un toxique du système nerveux central.
Pourtant, l’on ne fit guère de tapage chez les preux chevaliers de l’écologie et la comparaison entre les deux millésimes – 1975, 2007 – démontre à quel point les directions de la Santé des États ont été très, voire extrêmement, lentes à réagir !
Le Paraquat était commercialisé par le groupe ICI (Imperial Chemical Industry), puis par le secteur agrochimique (Syngenta) de deux poids lourds : Novartis (groupe suisse, issu de la fusion des groupes Ciba-Geigy et Sandoz) et Astra-Zeneca (Astra, le suédois, et le britannique Zeneca, issu d’ICI)… tous groupes jouissant d’une excellente réputation, d’ailleurs justifiée par la qualité de leurs produits pharmaceutiques.
Qui commercialise le glyphosate ? Voilà une bonne question ! C’est, en effet, le galeux Monsanto, ce groupe des USA qui a fabriqué puis vendu à l’US-Army l’Agent orange, défoliant très utilisé durant la guerre du Viêt-Nam, renfermant la même dioxine que celle de l’accident de Seveso qui n’a jamais causé que de l’acné, mais que l’on a accusée de tous les maux, cancers, diabète, mutations… non observés chez les Italiens contaminés, mais qui le seraient chez les Vietnamiens, Laotiens, Khmers, à l’affût de centaines de millions de $ de dédommagements !
En outre, Monsanto, c’est le groupe spécialisé dans les plantes génétiquement modifiées. On comprend la furie des écologistes professionnels Enfin, et cerise sur le gâteau (empoisonné), Monsanto a été racheté, en 2016, par Bayer, soit un groupe allemand issu du célèbre groupe IG-Farben… qui employa une main d’œuvre en partie tirée des camps de concentration durant le IIIe Reich !
D’un côté le Paraquat ultra-toxique et toléré sans esbroufe médiatique par nos gentils écolo-verdâtres jusqu’à l’interdiction de 2007. De l’autre, le Roundup, dont la toxicité reste entièrement à démontrer, mais commercialisé par des galeux, des pelés, des maudits !
Pourtant, il existe une éthique de la science. Ou bien l’on règle de très vieux comptes politiques, ou bien l’on se lance réellement dans une démarche scientifique. Il faut choisir. Le mélange des genres n’a jamais été une bonne affaire pour personne.
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Contre la vaccination meurtrière !!!