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santé et médecine - Page 312

  • PMA sans père et GPA : La Manif Pour Tous déterminée

    6a00d83451619c69e201b7c92114f7970b-200wi.jpgAprès les déclarations de Marlène Schiappa en début de semaine, La Manif Pour Tous a réunit ses cadres lors de sa 5e université d'été qui a rassemblé 370 personnes ce week-end à Etiolles (91). Objectif : préparer la mobilisation contre la PMA sans père et la GPA, concepts incohérents et dangereux, contraires au droit desenfants et à la dignité des femmes. Communiqué :

    "Comment peut-on imaginer fabriquer un enfant délibérément privé de son père ? Cette question résume la stupeur de La Manif Pour Tous devant la volonté affichée cette semaine par Marlène Schiappa d'ouvrir la PMA aux femmes célibataires et aux couples de femmes. Etre privé de son père, c'est à dire être orphelin de père, est une souffrance immense. Il est donc inacceptable de provoquer volontairement cette souffrance, source d'injustice intolérable pour les enfants.

    Une stratégie claire chez les cadres de La Manif Pour Tous

    Lors d'une réunion à huis clos samedi matin réunissant une centaine de responsables des équipes départementales, le mouvement social qui a organisé les manifestations monstres (plus d'un million de personnes dans les rues de Paris à 3 reprises) contre le « mariage et l'adoption pour tous » a définit la stratégie pour les mois à venir. La question de la PMA sans père et de la GPA a été au cœur des échanges. « Malgré les intentions affichées par l'exécutif, le jeu est très ouvert » analyse Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. « La semaine qui s'achève a clairement montré au Président de la République que sur cette question de la filiation, il n'y a pas de consensus : ni au gouvernement, ni dans la communauté scientifique, ni chez les Français. Il faut en tirer les conclusions qui s'imposent. Après les vifs débats qui avaient marqué le début de son quinquennat, François Hollande avait eu la sagesse de ne pas réveiller les passions et diviser les Français en passant en force sur la PMA sans père et la GPA. C'est un exemple à suivre pour Emmanuel Macron qui souhaite plus que tout rassembler les Français » poursuit-elle.

    Un soutien populaire claire aux droits DE l'enfant

    De fait, les enquêtes d'opinion confirment cette situation. Un sondage OpinionWay pour La Manif Pour Tous réalisé cet été montrait que pour 77% des Français, les enfants nés par PMA doivent avoir un père et une mère. Et près de 7 Français sur 10 estimaient que de tels débats de société sur la PMA sans père et la GPA conduisent à diviser les Français au lieu de la rassembler.

    Mobiliser les expertises

    Philosophe, juriste, psychothérapeute, sondeur, journalistes, chercheur... de nombreux experts ont animé cette 5e Université d'été de La Manif Pour Tous qui s'est clôturée par un discours mobilisateur de sa présidente, Ludovine de La Rochère. « Depuis 2013, nous avons réussi à empêcher la PMA sans père et la GPA. Nous allons continuer notre travail avec succès » a-t-elle déclaré sous les applaudissements et les drapeaux rose et bleu. « Nous sommes un mouvement social ouvert. Nous rassemblons tous ceux, et ils sont nombreux et majoritaires dans notre pays, qui considèrent qu'on ne peut pas remettre en cause ce qui est à l'origine de l'égalité : nous sommes tous nés d'un père et d'une mère, d'un homme et d'une femme. »

    Des militants regonflés à bloc

    Après cette rentrée réussie, les cadres du mouvement sont prêts à mettre en œuvre la mobilisation du mouvement partout en France. « S'il le faut, nous sommes prêts à manifester. Toutes nos équipes centrales sont opérationnelles » prévient Albéric Dumont, Vice-Président de La Manif Pour Tous et organisateur de tous les défilés dont l'ampleur historique a marqué notre pays au cours des dernières années. « Pas sûr qu'Emmanuel Macron souhaite revivre cela après l'avoir vécu lorsqu'il était Secrétaire général adjoint de l'Elysée. Il ne tient qu'à lui de se sortir du piège sociétal que lui tend sa secrétaire d'Etat Marlène Schiappa » ajoute-t-il."

    Michel Janva

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  • Lévothyrox : un scandale sanitaire pour Agnès Buzyn - Journal du vendredi 15 septembre

  • Zemmour : « Les pauvres, par leurs cotisations, paieront la PMA, caprice de riches »

    Eric-Zemmour-600x400.jpg

    L’annonce, par le gouvernement, de l’autorisation prochaine de la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes, mêmes celles qui ne sont pas stériles, agace vivement Eric Zemmour. « Elles feront toutes des bébés toutes seules. Quand elles voudront, comme elles voudront. Sans devoir supporter ces affreux hommes qui leur pourrissent la vie depuis des millions d’années, a-t-il raillé ce matin sur RTL. « Bienvenue dans le monde de la liberté, clament déjà les mouvements féministes. Bienvenue dans le monde de l’égalité, ajoutent les mouvements homosexuels. »

    Mais si on parlait pognon ? « Dieu est comme les Français, il est nul en économie. Il faut donc l’externaliser du corps de la femme pour qu’elle devienne artificielle, complexe et très chère », ose-t-il.

    « Au nom de l’égalité entre les enfants, on aura le remboursement par la Sécurité sociale. Les pauvres, par leurs cotisations, paieront les caprices des riches. »

    Pour Eric Zemmour d’inviter, Emmanuel Macron ferait bien de se méfier :

    « Après l’obligation des onze vaccins, il va finir par le apparaître comme l’homme-lige des grands laboratoires pharmaceutiques et du big business médical. »

  • Les désastres de l'idéologie du genre sur les enfants

    Voilà une affaire qui mériterait de mettre les idélogoues du gender dans les poubelles de l'Histoire :

    "En Australie, les enfants souffrant de dysphorie du genre sont autorisés à effectuer une transition sexuelle par traitement hormonal et chirurgie. Les enfants et familles peuvent même être soutenus financièrement dans leur démarche, par le département de l’éducation. L’histoire de cet enfant de 4 ans qui débutait sa transition sexuelle, il y a un an, avait d’ailleurs fait grand bruit.

    À l’âge de 12 ans, le jeune australien Patrick Mitchell a supplié sa mère de l’autoriser à prendre des oestrogènes, après que les médecins aient « diagnostiqué » une dysphorie du genre, c’est à dire un décalage entre son sexe biologique et son identité de genre.

    « Je regardais n’importe quelle fille, et je me disais que je pourrais tuer pour être comme elle. »

    C’est ainsi qu’avec l’accord de sa maman, Patrick a commencé à laisser pousser ses cheveux, a pris des hormones féminines, et a commencé à s’habiller comme une fille. Ses seins ont commencé à pousser, mais 2 ans plus tard, Patrick a changé d’avis.

    C’est au début de l’année 2017, quand les enseignants ont commencé à s’adresser à lui en tant que fille, que Patrick a commencé à se questionner. Il déclare aux journalistes.

    « J’ai commencé à me rendre compte que j’étais vraiment à l’aise dans mon corps. Chaque jour, je me sentais mieux. »

    Il a donc confié à sa mère son désir de rester un garçon.

    « Il m’a regardé dans les yeux et m’a dit : ‘Je ne suis tout simplement pas certain d’être une fille.’ »

    Patrick a arrêté son traitement et devra subir par chirurgie l’exérèse du tissu mammaire. Ce cas relancera peut-être le débat autour de la confusion du genre et de la transition sexuelle. Le psychiatre australien Stephen Stathis alertait déjà sur les dérives de cette pratique, considérée comme « tendance » par de nombreux jeunes. Le transgenre américain, Walt Heyer témoignait également de ses doutes, estimant que « la chirurgie n’a rien réparé, elle a masqué et exacerbé des problèmes psychologiques profonds ». Quand à la confusion du genre, ou dysphorie, de nombreux psychiatres, estiment qu’elle ne constitue qu’une phase transitoire de doute chez l’adolescent, qui ne se pérennise qu’exceptionnellement."

    Michel Janva

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  • PMA : il faut abroger la loi Taubira. Et la PMA.

    Dans une tribune publiée dans «Le Monde », Valérie Boyer, porte-parole du parti Les Républicains, dénonce la marchandisation des corps. Extrait :

    "[...] Il faut rappeler que la PMA est réservée aux couples hétérosexuels mariés ou en mesure d’apporter la preuve d’une vie commune d’au moins deux ans, et qu’elle ouvre droit à la prise en charge des frais par notre système de sécurité sociale. L’assurance-maladie prend ainsi en charge à 100 % la PMA dans la limite de 4 tentatives de fécondation in vitro (FIV) et 6 inséminations intra-utérines (IIU) pour les couples hétérosexuels confrontés à des difficultés liées à la stérilité, en particulier les problèmes tubaires et les anomalies des spermatozoïdes. Or, dans le cas des couples de femmes homosexuelles, l’incapacité à procréer ne relève pas d’un cas de stérilité.

    En vertu du principe fondateur de la sécurité sociale qui circonscrit la prise en charge des actes médicaux aux cas de maladie, il est donc exclu de prévoir la prise en charge des frais de la PMA pour les couples de femmes homosexuelles, sauf à porter atteinte au principe de solidarité sur lequel est fondé le système de sécurité sociale français.

    Une partie du CCNE s’y était néanmoins opposée du fait des « conséquences pour l’enfant, du risque de marchandisation accrue et des conditions de faisabilité ». Une fois encore, la boîte de Pandore est ouverte et nous risquons demain une légalisation de la gestation pour autrui. Au nom de l’égalité homme/femme, rien n’empêcherait alors un couple d’hommes d’invoquer le même droit à l’enfant pour recourir au don d’ovocytes et à la gestation pour autrui. [...]

    Cela fait longtemps que la boîte de Pandore est ouverte. La légalisation de la PMA pour les couples stériles et même non stériles, dissociant l'acte sexuel de la procréation (à la suite de la pilule et de l'avortement), était déjà un premier pas dans ce "droit à l'enfant". Avec la loi Taubira, ce "droit à l'enfant" existant déjà dans notre droit français peut donc ainsi être étendu aux paires de femmes, et demain aux paires d'hommes (via la GPA).

    Quant à la marchandisation, elle existe déjà également, comme le rappelle ce texte de 2008, qui estime que toutes les techniques de FIV sont à écarter : la fécondation in vitro implique l’élimination volontairement acceptée d’un nombre conséquent d’embryons. Toutes les techniques de fécondation in vitrose déroulent en réalité comme si l’embryon humain était un simple amas de cellules qui sont utilisées, sélectionnées ou écartées. Compte tenu du rapport entre le nombre total d’embryons produits et ceux effectivement nés, le nombre d’embryons sacrifiés reste très élevé. Ces pertes sont acceptées par les spécialistes des techniques de fécondation in vitro comme le prix à payer pour obtenir des résultats concluants. Il est très préoccupant de voir qu’en ce domaine, la recherche ne semble pas porter un réel intérêt au droit à la vie de chaque embryon, mais vise surtout à obtenir de meilleurs résultats en termes de pourcentage d’enfants nés par rapport aux femmes qui initient un traitement.

    Par ailleurs, les embryons produits in vitro qui présentent des défauts sont systématiquement écartés. De plus en plus de couples non stériles recourent aux techniques de procréation artificielle dans le seul but d’opérer une sélection génétique de leurs enfants. Les techniques de fécondation in vitrosont acceptées, car on présuppose que l’embryon ne mérite pas un plein respect dans la mesure où il entre en concurrence avec un désir qu’il faut satisfaire.

    La procréation humaine est un acte personnel du couple homme-femme qui n’admet aucune forme de délégation substitutive. L’acceptation tranquille du taux très élevé d’avortement que comportent les techniques de fécondation in vitro démontre de manière éloquente que la substitution de l’acte conjugal par une procédure technique - outre sa non-conformité au respect dû à la procréation, laquelle n’est pas réductible à la seule dimension de reproduction - contribue à affaiblir la conscience du respect dû à tout être humain. La reconnaissance de ce respect est au contraire favorisée par l’intimité des époux, animée par l’amour conjugal.

    Le désir légitime d'avoir un enfant ne peut passer avant la dignité de la vie humaine, au point de la supplanter. Le désir d’un enfant ne peut justifier sa «production», de même que celui de ne pas en concevoir ne saurait en justifier l’abandon ou la destruction.

    Ce n'est donc pas seulement la PMA pour les femmes qu'il faut refuser, c'est la PMA qu'il faut abroger. Comme la loi Taubira.

    Michel Janva

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  • L’inquiétant rapport sur l’état de santé des clandestins en France

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    Les clandestins sont, non seulement, une chance pour la France mais aussi pour les maladies infectieuses éradiquées depuis longtemps de notre territoire.

    Le 5 septembre 2017, le bulletin épidémiologique hebdomadaire publiait un rapport relatif à l’état de santé des demandeurs d’asiles présents en France. Il fait état de cas de gale, de tuberculose et de grippe H1N1 dans la jungle de Calais. Ce rapport note que la proportion d’hommes chez les clandestins parisiens atteint 97 % et que surprise 25 % d’entre eux sont en surpoids !

    Il souligne en outre, que 84 % des clandestins sont Soudanais, Afghan et Erythréen. Nous sommes donc bien loin du cliché de la famille syrienne persécutée par le régime de Bachar El Assad. Une question reste néanmoins en suspend : quel est le coût de traitement de ses maladies pour le contribuable français ?

    https://fr.novopress.info/

  • Mireille d'Ornano à propos des 11 vaccins obligatoires

  • Le terrorisme jihâdiste, pain béni pour les psychiatres

    6a00d83451619c69e201b8d2a2fb4c970c-200wi.jpgDe Bernard Antony : "On ne cesse de nous en persuader : heureusement le terrorisme jihâdiste n’a rien à voir avec l’islam. C’est la grande et heureuse affirmation historico-politico-religieuse et psycho-sociologique de ce mois d’août. Elle déferle sur toutes les chaines. Allah soit loué, la baliverne de l’islamisme terroriste est enfin déconstruite. Tous les terroristes sont simplement des déséquilibrés sociaux.

    Et ce n’est donc pas avec des policiers et des soldats que l’on viendra à bout du terrorisme qui tue partout au cri fallacieux « d’Allahou akbar » mais avec des psychiatres.

    Et notre brillant ministre de l’Intérieur, frère Gérard Collomb, d’en appeler, pour en finir avec les bombes, ceintures d’explosifs et camions-béliers, à plus de collaboration avec sa collègue du ministère de la Santé. Car il s’agit de mettre en œuvre autant de psychiatres qu’il faudra, dans les quartiers et dans les prisons pour déceler, dissuader, soigner, éduquer et insérer tous les malheureux jeunes terroristes poussés à commettre, sous prétexte de jihâd, des tueries certes regrettables mais dues à la misère psychologique sinon matérielle dans laquelle ils vivent.

    Certes la thérapie psychiatrique de masse, surtout au moyen de la psychanalyse, est de longue haleine mais elle est le prix à payer pour la paix.

    Le bon docteur Freud n’avait ainsi pas prévu l’immense débouché de ses analyses dans la prévention du terrorisme. Pourtant, de son vivant agissaient des myriades de terroristes : anarchistes, nihilistes bakouniniens, bolcheviques staliniens, pré-nazis de la Sainte Vehme, Serbes tchetniks et Croates oustachis, Irlandais de l’I.R.A., juifs de l’Irgoun et de la Haganah, Arméniens de l’Asala et allaient venir les Basques de l’E.T.A. C’est que ces terrorismes étaient, il est vrai, inhérents à des causes plus ou moins justes.

    Mais, objecteront certains, le modèle mythique des terrorismes n’était-il pas pour tous, des siècles auparavant, celui des haschischins islamistes du « Vieux de la Montagne » en ses forteresses d’Alamut ? Non, on peut certes imputer à bien des idéologies, à bien des nationalismes, à bien des anticolonialismes, les causes des terrorismes. Mais pas à l’islam ! Car, comme le dit François, « les textes sacrés de l’islam sont des livres de paix et de tolérance ». Lisez donc le Coran et les Hadîths et vous en serez persuadés. Et lisez aussi la Sira (biographie) du prophète, ce doux pacifiste intégral. Et bien sûr ceux qui osent affirmer que tous les salafismes, ceux des wahhabites et autres Frères musulmans, d’Al-Qaïda et de l’État Islamique sont l’imitation du prophète, ne sont évidemment que des menteurs.

    Enfin, ça y est, on le sait définitivement, répétons-le, le terrorisme n’a vraiment rien à voir avec l’islam ! Ce que l’on appelle le jihâdisme n’est que le fait d’une dénaturation de l’islam par conditions sociales oppressives entraînant des pathologies psychiatriques. On comprend l’effervescence jubilatoire qui désormais ne cesse de grandir parmi les psychiatres et dans leurs syndicats. Le chômage ne menace pas de sitôt leur profession ! Le gouvernement français va en recruter encore et encore. Et espérons que les autres gouvernements de l’Europe de l’Ouest en feront autant. C’est hélas moins sûr en Russie où les hôpitaux psychiatriques ont déjà servi et où Poutine a des idées bien personnelles trop peu humanistes peut-être sur la question du traitement des terroristes.

    Quoi qu’il en soit, il faut d’abord voir en face la scandaleuse dénaturation de l’islam, en soi si bienfaisant, par l’injustice sociale source de pathologies psychiatriques terroristes. Selon le bon docteur Dalil Boubakeur de la Mosquée de Paris, ce sont hélas, en France, les jeunes qui sont les plus affectés par les virus de la dénaturation salafiste. Selon des sources d’analyse comportementale convergentes, c’est sur un cinquième de la population musulmane qu’ils progresseraient, soit bien plus d’un million de « fidèles ». Mais ce n’est que dix sur cent environ de ce million qui seraient gagnés par une « radicalisation » plus dangereuse que celle du vieux parti de Jean-Michel Baylet.

    Cela aboutit, pour le moins, à un effectif de cent cinquante mille fanatiques prêts à passer à l’acte pour tuer des roumis. Or, on ne peut demander à un psychiatre de « suivre » sur la durée plus de dix jihâdistes à la fois, sans compter que ce n’est pas de tout repos et qu’il y a même des risques… Le recrutement de quelque neuf mille nouveaux psychiatres simultanément imams de préférence, s’impose donc.

    On le constate, le traitement psychiatrique du jihâdisme, c’est vraiment pain bénit chez nous pour les psychiatres dont la profession ne risquera plus le chômage.

    Mais quid de l’ensemble de l’Oumma islamique avec son milliard et demi de fidèles quand on doit bien constater que comme ses pays « phares », Arabie, Iran et Turquie, nombre de ses États et plus des trois quarts de sa population admirent ou appuient le jihâdisme. C’est dire comme le véritable, l’authentique islam, pacifique et tolérant, est rare en pays d’islam ! Mais là, comment mettre au travail et de surcroit sans l’appui des de la plupart des gouvernements, tous les psychiatres nécessaires pour éradiquer les pathologies psychiatriques dues aux virus de la radicalité propagées du Nigeria à l’Indonésie ?

    Comme ces pathologies affectent le tiers au moins de la population, la démonstration peut être facilement établie que ce n’est pas moins de… vingt millions de psychiatres qu’il faudrait, une fois guéris les gouvernants, pour ramener vers les douceurs de l’islam authentique les quelques deux cents millions de personnes chroniquement en proie à des psychoses jihâdistes.

    Mais heureusement tout de même qu’il n’y a aucun lien de cause à effet entre l’islam et le terrorisme."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/le-terrorisme-jih%C3%A2diste-pain-b%C3%A9nit-pour-les-psychiatres.html