santé et médecine - Page 306
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Scandale Lactalis : les bébés en danger - Journal du Mercredi 10 Janvier 2018
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"Interruption volontaire de vie, sans demande du patient"
Il me semble qu'il y a un mot beaucoup plus simple et moins euphémisant, hypocrite et orwellien pour dire "interruption volontaire de vie sans demande du patient"...
Mais non, en Belgique, Jacqueline Herremans, membre de la commission fédérale euthanasie et avocate, explique, suite à la démission d'un médecin qui refusait l'assassinat d'une personne âgée:
"Ce médecin me paraissait être un homme qui avait le souci du bien-être de la patiente. Il a sans doute été un peu dépassé par la situation. Jamais nous n’avons reçu une telle déclaration à la commission. Lorsque nous nous sommes interrogés sur la qualification à donner à cet acte, nous ne l’avons pas qualifié d’euthanasie mais bien d’interruption volontaire de vie, sans demande du patient"
Seul ce cas a fait débat. Mais chaque année, près de 2000 euthanasies ont lieu en Belgique. Légalement.
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Marche pour la vie, derniers préparatifs
Programme de l'émission de Terres de Missions du 7 janvier sur TV Libertés :
- Marche pour la vie, derniers préparatifs : Terre de missions reçoit, à nouveau, Victoire De Jaeghere, porte-parole de la Marche pour la Vie, qui vient nous informer des derniers préparatifs de la marche du 21 janvier. C'est également l'occasion d'aborder les grandes questions bioéthiques qui vont animer l'année 2018.
- Cyril Brun, rédacteur en chef d'Infocatho, présente ensuite un bilan de l'année 2017 dans l'Eglise universelle, ainsi qu'une perspective pour 2018.
- Enfin, Me Gerbert Rambaud vient parler de son dernier livre "La France et l'islam" au fil de l'histoire, qui permet d'aborder la question "chaude" des relations avec l'islam de manière plus "dépassionnée" et avec davantage de recul qu'on ne le fait ordinairement.
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Faux certificats à des migrants : des médecins mis en examen, des présidents d’associations pro-migrants se faisaient 5000 euros par demande
Cinq médecins ont été mis en examen pour avoir délivré de faux certificats médicaux à des étrangers leur permettant de rester en France légalement et escroqué l’Assurance maladie à hauteur de près de 3,9 millions d’euros, a-t-on appris mardi de sources concordantes. Deux présidents d’associations à vocation humanitaire et deux de leurs rabatteurs ont également été mis en examen notamment pour « aide au séjour irrégulier en bande organisée, escroquerie et abus de confiance ». Les neuf suspects, arrêtés en Ile-de-France entre le 10 octobre et le 28 novembre, ont été placés sous contrôle judiciaire, a précisé une source judiciaire.
Les enquêteurs de la sous-direction de la lutte contre l’immigration irrégulière, rattachés à la préfecture de police de Paris, avaient débuté leurs investigations à la suite d’une dénonciation de l’Agence Régionale de Santé (ARS) à l’encontre de plusieurs médecins. L’enquête « démontrait que ce réseau sévissait depuis au moins 2012 avec la complicité de présidents d’associations et de rabatteurs, permettant à des étrangers d’Afrique de l’Ouest et du Maghreb en situation irrégulière de rester en France en faisant valoir un statut de personnes malades », explique une source policière.
Contactés par de nombreux étrangers déboutés de leurs demandes de titres, les deux présidents d’associations montaient des dossiers de régularisation, en faisant état de pathologies mentales. Pour chaque demande, ils touchaient 5.000 euros qu’ils partageaient parfois avec certains rabatteurs. Les médecins, dont trois psychiatres, délivraient moyennant quelque centaines d’euros des certificats médicaux faisant état de fausses pathologies mentales et en profitaient pour escroquer massivement les caisses d’assurance maladie en déclarant notamment des consultations fictives.
L’un des médecins avait déclaré jusqu’à 27.000 consultations par an, soit 74 par jour, avec un pic à 800 consultations en un jour. Un autre praticien du réseau, surfacturait 867 fois de plus que la moyenne les actes médicaux à l’Assurance maladie. Plus de 489.000 euros, quatre appartements d’une valeur de 1,285 million d’euros, des articles de luxe et deux voitures ont été saisis par les enquêteurs, assistés des effectifs de la PIAC (Plate-forme d’identification des avoirs criminels). (…)http://www.fdesouche.com/923245-faux-certificats-a-des-etrangers-5-medecins-poursuivis
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La gabegie hospitalière française, par Francis Bergeron
La nouvelle est tombée alors que personne ne s’y attendait vraiment : le secteur hospitalier public, qui avait perdu 460 millions d’euros en 2016, s’attend à perdre cette année 1,5 milliard d’euros, alors que chacun pariait sur une stagnation voire un reflux des pertes.
Le budget annuel du secteur hospitalier étant de 200 milliards, cette perte de 1,5 milliard n’en représente qu’une fraction assez modeste. Mais à y regarder de plus près, la situation est sérieuse, car elle traduit une tendance lourde. Les charges des hôpitaux sont en augmentation de 3 % par an, alors que le budget, principalement constitué de dotations publiques, n’augmentera que de 2,3 %. Cela signifie tout simplement que ce déficit, qui a triplé en un an, pourrait tripler chaque année. Si rien n’est fait, c’est notre système de santé tout entier qui s’effondrera. Or ledit système se veut la vitrine de l’exception française, l’héritage de 1945.
La gauche, qui a avalé tant de couleuvres ces derniers mois, n’acceptera jamais une réforme de fond. On peut donc s’attendre à une remobilisation sur le thème, toujours populaire, de la défense de la santé, si le gouvernement se lance dans la réforme de fond impérative. Mais si Macron ne fait rien ou se contente d’un replâtrage, c’est tout son discours, toute l’approche « experte » de son équipe qui en sortira discréditée. Et l’appel au renflouement permanent de ce secteur risquerait en outre de contribuer à un étouffement de la reprise.
De quoi souffre le secteur de la santé, énorme pilier du secteur public ? De plusieurs maux qui méritent d’être rappelés ici. Il y a d’abord et avant tout l’empilement des réformes. Le diagnostic sur l’état de santé… de notre système de santé, tous les gouvernements successifs l’ont fait, depuis une trentaine d’années. Mais il faut bien reconnaître qu’ont souvent été casés à la tête du ministère de la Santé, sous des gouvernements de gauche ou de droite, d’ailleurs, les pires politiciens de la Ve République. Il suffit de les nommer. Jack Ralite ! Bernard Kouchner ! Simone Veil ! Martine Aubry ! Roselyne Bachelot ! Marisol Touraine !
La fin de l’avortement gratuit ?
Chacun d’eux a voulu « sa » réforme. Mais à la réformite aigüe s’est ajouté le manque de continuité. Des mesures catégorielles non financées étaient annoncées, et sont à présent portées comme des boulets.
Une réforme de fond du système de santé doit être portée par de vrais experts et s’inscrire dans la durée. Il faut en finir avec les mesures catégorielles, avec les 35 heures à l’hôpital, avec l’accès aux soins gratuit pour les clandestins, avec la prise en charge de l’avortement. Mais vous voyez que l’on touche là à de terribles tabous. On a du mal à penser qu’une Agnès Buzyn (l’actuelle nouvelle ministre de la Santé) aura les reins assez solides pour mener une telle réforme. Et malgré les nécessités financières, ne parions pas trop sur la fin du remboursement des avortements, quand on sait que madame Buzyn est l’ex-belle fille de Simone Veil.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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14 décembre : conférence d'Aude Mirkovic à Toulon
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Pour une médecine qui protège la vie et sa dignité depuis sa conception jusqu'à son terme
L’Association Médicale Gabriel soutient l'installation d'un centre médical généraliste et pluridisciplinaire dans lequel les professionnels de santé sont attachés au respect de la vie et de sa dignité depuis sa conception jusqu’à son terme naturel. Ils s'engagent à être fidèles au serment d’Hippocrate sans restriction, à se laisser guider par le Magistère de l’Eglise Catholique, et à répondre à tous les défis de l’écologie humaine.
Ces professionnels de santé sont guidés par la Charte des professionnels de la santé du Conseil Pontifical :
- Pour répondre aux besoins des patients qui souhaitent être accompagnés par des soignants qualifiés et à l'écoute dans un climat respectueux et bienveillant.
- Pour répondre aussi aux besoins des soignants qui veulent exercer dans un climat de confiance mutuelle et prendre soin de chaque patient dans toutes ses dimensions.
- Pour promouvoir une médecine de communion, signe de l'alliance thérapeutique entre patients et soignants.
Une équipe médicale dynamique et motivée est prête à démarrer début 2018 si elle trouve les financements nécessaires :
- 2 médecins généralistes
- 3 sages femmes
- 3 infirmières (et d'autres professions médicales partenaires)
Vous pouvez soutenir l’opération par un don déductible des impôts en cliquant ici ou en investissant par un prêt en cliquant là.
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Tout le monde déteste le téléthon - Journal du Vendredi 08 Décembre 2017
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Vers la fin du massacre des trisomiques en Pologne
En Pologne, l'avortement est interdit, excepté en cas de malformation du fœtus. En fait, la plupart des avortements légaux (1024 sur 1098 en 2016) ont pour victime des fœtus trisomique.
Le comité Stop avortement avait lancé une initiative citoyenne pour demander que soit mis fin au massacre des trisomiques. La pétition, vigoureusement soutenue par les évêques, a été signée par plus de 830 000 personnes entre le 1er septembre et le 15 novembre, et déposée à la Diète.
La proposition d’amendement pour interdire l’avortement en cas de malformation du fœtus va donc passer devant le Parlement dans les trois mois, et sera sans doute votée.
Le texte est explicitement soutenu par le Premier ministre Beata Szydło et par le président de la République Andrzej Duda.
En France, quand il y a 700 000 signatures contre un projet de loi, on les met à la poubelle. Quel est le pays le plus démocratique ?
par Michel Janva
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Objectif : 1000 bénévoles pour la Marche pour la vie
Le 21 janvier 2018, dans moins de deux mois, nous marcherons pour la vie dans les rues de Paris !
Venez nous aider et faites partie des 1000 bénévoles qui encadreront la Marche au sein des différentes équipes :
- Accueil : pour orienter les marcheurs, (garçons / filles de plus de 16 ans)
- Logistique : pour que la Marche puisse avoir lieu, (garçons / filles de plus de 16 ans)
- Circulation : pour accompagner les marcheurs, (garçons / filles de plus de 16 ans)
- Sécurité : pour que la Marche se déroule en toute sérénité, (hommes de plus de 18 ans)
S’inscrire maintenant, c’est faciliter l’organisation : inscrivez-vous et invitez votre famille et vos amis à s’inscrire !