
Présents sur les ronds-points des Gilets jaunes, en première ligne pendant la crise sanitaire, ces « invisibles » représentent plus de 40 % de la population active, selon une étude. A 54 %, ce sont des femmes, souvent à la tête de familles monoparentales. Pour mieux appréhender ces travailleurs de l’ombre, le cabinet Occurrence a conduit durant deux ans, pour la Fondation Travailler autrement, une enquête inédite auprès de 15 000 Français : « Les invisibles, plongée dans la France du back-office », dont le JDD dévoile les résultats.