On se souvient qu’une sénatrice socialiste avait déposé, en 2013, avec la bénédiction de François Hollande, une proposition de loi tendant à abroger la loi du 28 septembre 2010, dite « Ciotti », qui visait à lutter contre l’absentéisme scolaire en suspendant les allocations familiales. Le Sénat, maintenant dominé par la droite, vient de voter, dans le cadre de la loi sur le séparatisme, un amendement rétablissant cette mesure. Cette question est une marque spécifique de clivage entre la gauche et la droite. La réponse qu’on y apporte révèle des conceptions idéologiques et politiques fondamentalement divergentes.
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Le Sénat supprime les allocations familiales en cas d’absentéisme scolaire : la gauche s’insurge
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Le Zoom avec Rémi Mosca : Quand le pétrole disparaîtra
Dans son ouvrage « Sang noir – Le dernier siècle du pétrole », Rémi Mosca enquête sur les conséquences de la disparition du pétrole. D’ici 2035, l’auteur estime que nous aurons épuisé près 40% des réserves mondiales connues. Qu’adviendra-t-il de notre corps productif, de nos systèmes de transport, de nos organes de distribution ? Cette crise pourrait-elle changer nos relations sociales, notre raison, voire même les fondements de notre humanité ? Rémi Mosca nous invite à découvrir l’histoire d’un péril auquel personne n’est encore préparé.
https://www.tvlibertes.com/le-zoom-avec-remi-mosca-quand-le-petrole-disparaitra
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Revenu universel. Du travail libérateur au chômage pour tous ?
Par Pierre Lours, essayiste et romancier, auteur de La Révolte des silencieux ♦ Le revenu universel est un thème en vogue chez les politiciens de gauche. Un phénomène qui amène Pierre Lours à s’interroger sur la notion même de travail.
Polémia« Le chômage rend libre. »
Devise à inscrire sur le portail du site de DavosTravail aliénateur et libérateur
Aux commencements préhistoriques, le travail était constitué des actions nécessaires à la vie ou à la survie de chacun et du groupe. Chacun était payé de retour par la satisfaction d’une juste et utile tâche accomplie et par l’appréciation des proches. On travaillait pour soi, pour sa famille, pour son clan.
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500 MILLIARDS…
Pieter Kerstens
C’est le coût de la gestion calamiteuse de l’épidémie de Coronavirus en France, pour fin 2021.
Cela fait plus d’un an que l’on voit les milliards d’euros sortir chaque jour comme par enchantement, sans pour autant que personne ne s’inquiète de cette dette de 7 500 € par habitant, qu’il faudra rembourser, alors que le docteur Micron promet 10 séances gratuites de psychothérapeute pour tous les petits Français de 7 à 17 ans…UBU loge à l’Elysée ! Et hop, encore un petit milliard pour aider les viticulteurs à cause du gel ! Mais combien dans 3 mois s’il y a une sécheresse ou des inondations suite au dégel ? Les bêtises succèdent aux idioties.
Pourtant, en matière budgétaire, deux règles règnent en maître à Bruxelles depuis le traité de Maastricht, signé en 1992, qui jetait les bases de la monnaie unique :
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Amazon et le syndicat. Partie 2 : Nécessité et limites des syndicats d'aujourd'hui : le cas français.
Les Etats-Unis n’ont pas exactement la même législation sociale que la France même si le taux de syndicalisation dans l’un et l’autre de ces pays est très faible, beaucoup plus que la visibilité syndicale ne peut le laisser supposer. Faut-il s’en réjouir ? Je ne le pense pas : dans une société de plus en plus individualiste et dominée par le règne de l’argent, il importe d’avoir des garde-fous les plus efficaces possibles, non pour gêner l’activité industrielle mais l’immoralité capitalistique et la démesure financière ou actionnariale.
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Eudes Baufreton : « Bientôt, le drame économique va être nettement supérieur au drame sanitaire »
Le rapport de la Cour des comptes vient de tomber : sans surprise, la dette explose mais toutes les dépenses de l’État ne sont pas liées à la crise sanitaire. Certaines, dites « structurelles », ont continué à progresser sans effort de limitation. Peut-on encore continuer ces restrictions sanitaires qui pèsent sur l’économie ? Va-t-on échapper à la crise économique ?
Explications et réactions d’Eudes Baufreton.
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Les conséquences humaines de la crise économique
Il est vain de vouloir opposer, à la manière macronienne, le prix de la vie humaine et l’économie. Les confinements et l’arrêt de secteurs d’activité entiers hypothèquent l’avenir sans soulager les hommes.
Le 26 janvier dernier, Emmanuel Macron, s’adressant à la nation, affirmait que la crise liée à l’épidémie de Covid 19 nous avait enseigné, en premier lieu, « qu’on ne peut pas penser l’économie sans l’humain […] Nous avons fait, dans tous nos pays, quelque chose qui était considéré comme impensable, c’est-à-dire qu’on a arrêté toutes les activités économiques pour protéger des vies. »
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Amazon et le syndicat. Partie 1 : Quand la multinationale s'appuie sur les classes sacrificielles.
Après une campagne acharnée de la part du syndicat Retail des salariés de la Distribution d’un côté et de la direction de la multinationale Amazon de l’autre, les 5.800 salariés de l’entrepôt géant de l’un des A de GAFAM ont majoritairement voté contre la création d’un syndicat à Bessemer, dans l’Alabama. Selon Le Figaro, dans un article publié samedi dernier, « Près de 1798 employés se sont exprimés contre (…). Et seulement 738 en sa faveur », avec un taux de participation d’environ 55 %, soit 3200 suffrages exprimés.
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Sur la page FB Corporatisme et royalisme social de nos amis du GAR : pour la nécessaire justice sociale !
Partie 2 : Contre l'idéologie libérale, pour la solidarité française.La justice sociale n’est pas, ne doit pas être un « détail de l’histoire » :Elle doit être la profonde motivation contemporaine de tout État digne de ce nom et c’est pour avoir oublié cette exigence de justice que nombre de gouvernements et de régimes, de par le monde, connaissent actuellement, au-delà des contraintes de la crise sanitaire et de leurs contestations, des mouvements de révolte souvent massifs et parfois brutaux, rompant avec ce fatalisme et cette non-violence qui, en définitive, semblaient convenir aux dirigeants et légitimaient, d’une certaine manière, leur inertie sociale au profit des grands intérêts financiers et économiques particuliers et au détriment du bien commun. Ce même bien commun bien compris, d’ailleurs, que les plus libéraux des libéraux continuent à méconnaître ou à dénigrer dans une logique toute thatchérienne, et cela malgré le retour des États nécessité par la situation sanitaire et le désir de protection qu’éprouvent les peuples… Margaret Thatcher, l’icône des libéraux anglo-saxons, affirmait que la société n’existait pas, ce qui évitait logiquement d’avoir à traiter de la justice sociale, mais les réalités humaines, individuelles comme collectives, ont défait ce mythe libéral.
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Les mesures pro-famille du gouvernement hongrois et leurs effets
De l’ECLJ :
Le Gouvernement hongrois a déclaré vouloir résoudre les problèmes démographiques de la Hongrie en soutenant les familles. Katalin Novák, ministre de la famille, a déclaré en tant que secrétaire d’État à la famille et à la jeunesse, en avril 2020, que le gouvernement hongrois dirigé par le Fidesz prévoit de “construire un pays favorable à la famille, visant à surmonter les obstacles rencontrés par les couples qui envisagent d’avoir un enfant”. Cette approche est également conforme à la forte politique anti-immigration de la Hongrie : le gouvernement est favorable à une résolution des problèmes démographiques au niveau national, et non grâce à l’immigration.