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social - Page 130

  • Valence (26): la mairie supprime des aides familiales afin de lutter contre les violences urbaines

    Supprimer des aides municipales et sociales familiales : voilà le dernier levier de la mairie de Valence pour enrayer les violences urbaines dans les quartiers. Le conseil municipal a voté une mesure en ce sens ce lundi 14 décembre.

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  • Plus d’un milliard d’euros pour l’AME des clandestins… mais ils veulent que les De Souche bossent davantage !

    Le Maire et Macron ont trouvé comment nous transformer en dhimmis dans notre propre pays.

    Condamnés à travailler pour engraisser les immigrés… majoritairement musulmans et à subir les coups, humiliations et morts violentes que nos nouveaux maîtres nous assènent, avec la complicité effective de Macron.

    Nous y sommes, le djihad est en phase finale, la transformation de la France en pays tenu par les musulmans qui imposent la charia aux dhimmis , c’est maintenant.

    Comment ne pas s’étrangler de rage en lisant la presse chaque jour ?

    Ce matin : plus d’un milliard d’euros pour l’AME des clandestins… mais ils veulent que les De Souche bossent davantage !

    Ce matin, j’apprends donc, entre autres horreurs, que plus de 330 000 clandestins nous coûtent, au titre de l’AME, plus d’un milliard  par an.

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  • Politique & Eco n°279 avec Eloïse Benhammou : Comment l’Etat profond a vendu la Sécu à Wall Street

    Les dettes de la Sécurité Sociale ont atteint des profondeurs abyssales avec un total de 136 milliards d’euros. La Cour des comptes vient de lancer une alerte, c’est tout le modèle social contributif français qui se retrouve mis en cause. Le double confinement est en train de l’achever avec le naufrage de la masse salariale, il faut donc emprunter et c’est pourquoi les cotisations sociales des Français se retrouvent à Wall Street !

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  • « Lorsque les sols sont morts, comment parler de terroirs ? »

    David Foubert est vigneron bio. Comme il y a des vendanges tardives, il y a des vocations tardives : il s'est installé à 40 ans et vit son travail comme une passion. Il fait un vin qui est donc le fruit de sa passion : du fruit en barre, cette cuvé saumuroise de son domaine, La Folle Berthe… J'ai dégusté ! Et je dois dire que le bio, en vin, je suis conquise !

    Entretien avec David Foubert, vigneron bio

    Monde&Vie : On ne voit pas les vignerons manifester en ce moment : contrairement aux éleveurs de porcs ou aux producteurs de lait, vous êtes heureux ?

    David Foubert : À titre personnel, oui ! Pour la filière viticole, c'est beaucoup plus mesuré. Elle subit en fait deux tendances contradictoires comme l'ensemble de l'agriculture. D'une part, une tendance à l'hyper-concentration des terres qui se termine par une dépossession complète : les exploitations deviennent tellement grandes que seuls des grands groupes financiers ou des investisseurs peuvent acheter la terre. En Anjou, des domaines avoisinent les 100 hectares. Multipliez par 20 ou 60 000 euros l'hectare, cela vous donne une idée de l'investissement nécessaire (hors chai, matériel, etc.). À Sauterne par exemple, la plupart des domaines appartiennent aux groupes du CAC 40 et c'est une tendance qui arrive également sur les bords de Loire. Autant dire que, dans cette perspective d'hyper-concentration, s'installer devient vraiment improbable pour un jeune.

    Mais il y a aussi une deuxième tendance, à laquelle j'appartiens. Elle s'inscrit dans une approche contraire tout sauf la concentration. On vise plutôt une installation sur une petite surface qui permet de travailler sereinement et de faire de la qualité.

    Justement, on parle beaucoup de la qualité française à l'occasion du Salon.

    Certes. Là encore, la réalité recouvre des situations vraiment différentes voire contradictoires. Lorsque j'entends la FNSEA parler de qualité française en incluant certains céréaliers dont les blés ne sont plus capables de faire du pain, comme l'explique Claude Bourguignon(1), on se demande de quoi l'on parle. Si l'on accepte de regarder la situation en face, le plus souvent, les sols se sont appauvris quand ils ne sont pas morts les aliments que nous consommons ont une qualité nutritive qui peut être 70 % moindre qu'il y a quarante ans… Vous n'aurez aucun mal à relier cela à la malbouffe ou à l'explosion des cancers.

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  • Commerçants et entrepreneurs : un maire RN à VOTRE service !

  • On nous a changé toute la campagne ! (texte de 2016)

    Phénomène préoccupant, le mitage désigne l’inéxoble avancée des zones aménagées ou construites au détriment des terres arables. Devant cette situation, l’agriculteur s’affirme plus que jamais le gardien de nos paysages.

    Il y a plus d'un mois, ou apprenait que le château de Grignon, à 25 kilomètres à l'Ouest de Paris, occupé par l'AgroParis-Tech, risquait d'être vendu par l'État au Qatar qui envisage d'utiliser le site comme centre d'entraînement pour le club phare du Foot français, le PSG. Anecdote sans importance ?

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  • Lutte contre la fraude sociale : les députés refusent la carte Vitale biométrique

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    La commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale a rejeté, fin novembre, une proposition de loi visant à instituer une carte Vitale biométrique, portée par le député LR Patrick Hetzel (Bas-Rhin), rapporte Le Quotidien du médecin.

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  • Comment l'Etat profond a vendu la Sécu à Wall Street (video)

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    Les dettes de la Sécurité Sociale ont atteint des profondeurs abyssales avec un total de 136 milliards d’euros. La Cour des comptes vient de lancer une alerte, c’est tout le modèle social contributif français qui se retrouve mis en cause. Le double confinement est en train de l’achever avec le naufrage de la masse salariale, il faut donc emprunter et c’est pourquoi les cotisations sociales des Français se retrouvent à Wall Street ! Et pendant que l’ACOSS et la CADES font la manche sur les marchés financiers (le plafond est poussé à 70 milliards d’emprunts), les banques intermédiaires encaissent des commissions sur ces placements. On peut se demander ainsi si l’équilibre des comptes sociaux est un mythe mais à un moment, la dette se vengera, ce qui traduit l’échec cuisant du choix fait par Alain Juppé en 1996 de financer la dette sociale sur les marchés financiers. Ce sont les générations qui viennent qui paieront pour des dettes qu’elles n’ont pas contractées. Eloïse Benhammou, l'auteur de "Kleptocratie française", revient sur cette injustice et ce scandale d'Etat. 


    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/12/08/comment-l-etat-profond-a-vendu-la-secu-a-wall-street-6282910.html

  • Plus de deux millions de foyers bénéficiaires du RSA

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    Arnaud Raffard de Brienne

    Pour la première fois depuis la création du dispositif en juin 2009, il y a onze ans, le cap des deux millions de foyers bénéficiaires du Revenu de solidarité active (RSA) vient d’être allègrement franchi. Ce seul minimum social – il en existe une dizaine -, remplaçant du Revenu minimum d’insertion (RMI), assure, sous certaines conditions plutôt larges et souples, un revenu forfaitaire, une sorte de revenu universel avant  l’heure, aujourd’hui financé par les départements pour un montant supérieur à douze milliards d’euros par an. Cette ponction devenue insupportable pour les départements, une loi en cours d’examen prévoit une renationalisation du RSA dont l’État assurera le financement. A noter, on se demande bien pourquoi, c’est déjà le cas pour nos chers départements et territoires d’Outre-mer comme la Guyane et la dispendieuse Mayotte depuis 2019, et pour  La Réunion depuis le début de cette année.

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  • Règles imbitables et ras-le-bol général : les "Gaulois réfractaires" sont de retour, par Gérald Andrieu et Natacha Polony.

    "Il faut signer une attestation pour nous déplacer ? On en signe trois d’affilée lors de la même promenade."
    © Hans Lucas via AFP 

    Attestation dérogatoire de déplacement, permission des 20 km, de 8 m2 par client dans les boutiques... Beaucoup de Français sont entrés en sourde résistance face au nouvel ordre sanitaire.

    C’est une révolution à bas bruit, une sourde résistance au nouvel ordre sanitaire. On ne parle pas des fêtards de Joinville-le-Pont ou d’ailleurs, à 300 dans un loft, au mépris des règles élémentaires. On ne parle pas des endurcis persuadés que le virus n’existe pas ou que le masque est un outil de contrôle des masses. La révolution n’est jamais faite par les révolutionnaires les plus farouches. Elle est toujours provoquée par la bascule des citoyens raisonnables, ceux qu’on n’attendait pas là mais que les excès de la puissance publique ont fait basculer.

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