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social - Page 248

  • Les militants alsaciens du Bastion social qui occupaient une maison traditionnelle destinée à être abattue ont été délogés par la police

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    Depuis quelques semaines la section alsacienne du Bastion social occupait pacifiquement une vieille maison traditionnelle près de Strasbourg afin de la transformer en centre d'hébergement pour les Français en difficultés. De là à voir un complot antisémite, pour la "justice macronniene" il n'y avait pas des kilomètres... 

    Bref, cet après-midi les flics (équipés comme s'ils allaient débusquer des terroristes musulmans), ont expulsé les militants nationalistes et la maison va être livrée aux démolisseurs. Pour effacer l'affront à l'ultra libéralisme sans doute.

    Mais il en faudra plus que cela pour décourager nos jeunes amis...

    S.N.

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  • Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction

    D’Hilaire de Crémiers dans Politique Magazine :

    […] Notre régime n’est plus qu’un régime de haine. Le pouvoir devient une faction. Macron s’en rend-il compte ? Le voilà lancé à corps perdu dans la reconquête de son pouvoir , alors que ses conseillers les plus proches, ceux qui l’ont accompagné dans sa prise du pouvoir, le quittent les uns près les autres et que l’étrange Benalla dont nul ne sait au juste quel était le statut, sinon qu’il était un proche des plus proches, se trouve aujourd’hui en prison, son impunité ne pouvant résister à tant de mensonges et de passe-droits éhontés. Il avait des connivences dans tout l’entourage de Macron, jusqu’au sommet des institutions ! Qu’est-ce donc que la macronie ? Qu’est-ce que l’Élysée sous Macron ? Les sénateurs ont osé poser la question. Le gouvernement, du coup, les poursuit de sa vindicte. La macronie a cassé la société française, elle a procédé par effraction. Toute l’astuce de cette bande, de ses sbires et de ses sicaires, fut de se servir du dégoût des Français pour se hisser eux-mêmes au pouvoir et mieux les rejeter ensuite, et toujours en les culpabilisant.

    Pauvres Gilets jaunes ! Que peuvent-ils espérer sinon d’être dénigrés, associés à tous les vices et les crimes ? À quoi sert leur révolte ? À diviser encore plus les Français et sur ces divisions à favoriser une stratégie électorale gagnante où Macron espère rejouer au plan européen la même partie qui l’a porté au pouvoir en France. Voilà des mois que ce stratagème prétendument démocratique est décrit dans ces colonnes ! Il se réalise sous nos yeux. Et peu importe que ce ne soit qu’à 25 % des voix ! L’important est de créer des clivages : progressistes européens et nationalistes rétrogrades !

    Le philosophe et académicien Alain Finkielkraut est-il agressé dans la rue par un islamiste et lui-même précise-t-il qu’il sait fort bien le sens de cette agression et qu’il ne convient donc pas de tomber dans le piège de pareille provocation, rien n’y fait. Des partis politiques à bout de souffle, des politiciens cyniques, des journalistes sans foi ni loi qui ont laissé la gangrène de l’islamo-gauchisme dévorer la société française, en profitent pour se refaire une virginité de bon aloi et reprendre leur rôle de professeurs de morale. Avec l’idée maintenant de criminaliser l’antisionisme ! Le sionisme n’est-il pas un nationalisme ? Comme l’islam, un vecteur du nationalisme arabe ? Alors, ces nationalismes devraient donc être sacralisés ? Et seul sera voué à l’exécration par la République le nationalisme français ? Qui ne comprendrait que le problème est mal posé ? Ah, oui, pauvres Gilets jaunes !

    Maintenant leur sort sera de servir de repoussoir. Le mécanisme électoral est tel qu’aucune réaction du corps national ne peut aboutir. Seulement, la société se délite. Quant à l’Europe, elle éclate. Les intérêts divergent comme partout dans le monde. Les dernières rencontres internationales ne l’ont que trop montré, que ce soit à la conférence sur la sécurité du 16 février dernier à Munich ou encore à Varsovie. Les États-Unis suivent leur ligne implacablement et l’annoncent imperturbablement. La Chine pareillement. L’Europe n’est qu’une superstructure qui ne vit que pour elle-même et pour ses stipendiés ; elle n’a pas de politique commune ; elle en aura de moins en moins. On en est aujourd’hui à se lancer des insultes par dessus les frontières entre nations-sœurs comme l’Italie et la France. Nul ne sait ce que va faire l’Angleterre ni demain l’Allemagne. Et Macron prétend jouer le dresseur de fauves dans ce cirque ? Il a tout simplement perdu le sens : « Quem vult Jupiter perdere, dementat prius ». Macron, en dépit qu’il en ait, n’est pas Jupiter. Il ferait bien de se méfier.

    https://www.lesalonbeige.fr/notre-regime-nest-plus-quun-regime-de-haine-le-pouvoir-devient-une-faction/

  • Têtes à Clash n°44 avec Gabrielle Cluzel : Gilets Jaunes acte XV, comment ça s’arrête ?

     
    Avec Valérie D’Aubigny, Gabrielle Cluzel, Charles-Henri Jamin Conseiller municipal d’opposition à Saumur, et Louis Lecomte journaliste au journal l’Incorrect

    1/ Gilets Jaunes acte 15, comment ça s’arrête ?

    2/ Pédophilie au sein de l’église, le Vatican est fait-il assez ?

    3/ Proposition d’un ministre, l’impôt sur le revenu payés par tous, la fin d’une injustice ?

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n44-avec-gabrielle-cluzel-gilets-jaunes-acte-xv-comment-ca-sarrete

  • Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ? – Journal du vendredi 1er mars 2019

     
    Société / Gilets Jaunes, un acte XVI pour se relancer ?

    Alors que le grand débat d’Emmanuel Macron se termine dans deux semaines, les Gilets Jaunes, redynamisés par l’acte XV, entendent maintenir la pression sur l’exécutif. Moins médiatisés mais toujours présents, les mécontents s’inscrivent résolument dans la durée.

    Politique / Européennes : coup de jeune ou coup de com ?

    Dans trois mois les électeurs français et européens seront appelés aux urnes pour élire leurs députés européens… en France le scrutin fait la part belle à une nouvelle génération en tête d’affiche, entre renouvellement du personnel politique et coup de com’ politique.

    Santé / Glyphosate, l’arbre qui cache la forêt

    Alors que les alertes sanitaires et les plaintes se multiplient contre le glyphosate, le produit de Monsanto est devenu le symbole de la lutte contre les herbicides. Malgré son risque pour la santé, le glyphosate pourrait être l’une des solutions les moins dangereuses.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/societe-gilets-jaunes-un-acte-xvi-pour-se-relancer-journal-du-vendredi-3-mars-2019

  • Dénonçant banquiers, hauts fonctionnaires et médias, Patrick Sébastien met le Gilet jaune (VIDEO)

    Dénonçant banquiers, hauts fonctionnaires et médias, Patrick Sébastien met le Gilet jaune (VIDEO)©GEORGES GOBET / AFP
    Un pendentif représentant un Gilet jaune.

    L'une des premières voix du paysage artistico-médiatique à avoir apporté son soutien aux Gilets jaunes, l'animateur a rencontré un groupe de manifestants avant un spectacle. Il a livré son analyse du mouvement, proposant de «changer de méthode».

    Devant le Théâtre de Périgueux, en Dordogne, Patrick Sébastien a rencontré un groupe de Gilets jaunes le 23 février, avant de se produire sur scène. Il a réaffirmé son soutien au mouvement citoyen et à même enfilé le symbolique vêtement sous les applaudissement de la quarantaine de manifestants présents.

    Répondant à un journaliste de Sud Ouestl'animateur a expliqué les raisons de son soutien au mouvement citoyen et a livré son analyse de la situation : «On ne s'en prend pas aux vrais responsables. Parce que ce n'est pas forcément les politiques. Parce qu'il y a une petite caste là [...] qui était là sous Chirac, sous Mitterrand. C'est des banquiers, c'est des hauts fonctionnaires et c'est des mecs des médias.»

    Estimant que l'un des principaux enjeux du mouvement était de «dégager ceux-là», Patrick Sébastien a ajouté : «Pour l'instant on va continuer à gueuler.»

    Auteur: Sud Ouest
  • Ascoval, Ford, Arjowiggins, Air France : chronique d’une industrie qui dégringole – Journal du jeudi 28 février 2019

     

    Ascoval, Ford, Arjowiggins, Air France : chronique d’une industrie qui dégringole

    Les usines ferment et se ressemblent. En une semaine, l’industrie française vient d’essuyer des pertes considérables avec son lot d’emplois perdus… Face à cela, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie, brille par son incompétence et sa naïveté.

    Usage du LBD : Macron contre le Conseil de l’Europe

    Critiqué depuis de nombreuses semaines, le lanceur de balle de défense s’est attiré les foudres du Conseil de l’Europe. Malgré ses positions très européistes, Emmanuel Macron est allé à l’encontre des recommandations de l’instance européenne.

    Pakistan/Inde : crispation régionale dans le Cachemire

    Escalade de violence entre l’Inde et le Pakistan dans le Cachemire… des tensions qui ravivent une rivalité ancienne entre deux puissances possédant l’arme nucléaire et qui implique également le puissant voisin chinois.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/ascoval-ford-arjowiggins-air-france-chronique-dune-industrie-qui-degringole-journal-du-jeudi-28-fevrier-2019

  • GILETS JAUNES : LE MOUVEMENT QUI A CHANGE LA DONNE

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    Lu sur Métainfos cliquez ici :

    Fini de tergiverser, il faut saboter les réformes en cours, préparer la chute totale du Système libéral, viser l’instauration d’un nouvel Etat national et identitaire, se préparer aussi physiquement et mentalement à affronter les « ennemis » et les « renégats ». C’est la priorité absolue si on ne veut pas voir notre pays broyé par la volonté des tenants du pouvoir d’imposer leur monde globalisé. Pour faire prendre conscience de tout cela à notre peuple, et en particulier aux Gilets jaunes qui incarnent actuellement sa volonté de résister, Synthèse nationale vient de publier un numéro hors-série. Nous ne pouvons que vous inviter à vous en procurer des exemplaires et à les diffuser autour de vous.

    Synthèse nationale (Hors-série n°6, 120 pages,  l’exemplaire : 15 € (+ 5 € de port). Par 5 : 50 € (port offert), par 10 : 80 € (port offert)

    Dans ce numéro exceptionnel, vous retrouverez des articles de Emmanuel Albach, Serge Ayoub, Franck Buleux, Charles-Henri d’Elloy, Alain Escada, Georges Feltin-Tracol, Roland Hélie, Pieter Kerstens, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Arnaud Raffard de Brienne, Philippe Randa, Jean-Claude Rolinat, Vincent Vauclin, de nombreux Gilets jaunes et de bien d’autres encore…

    Le commander en ligne : cliquez là

    Bulletin de commande : cliquez ici 

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • «Gilets jaunes : assassinat des français par l’oligarchie financière» avec André Gandillon

  • Les Gilets Jaunes face au « vide ensemble »

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    Les injonctions martiales pour plus de « vivre ensemble » en provenance de la caste culturo-politico-médiatique se multiplient.
    Mais leur effet reste malgré tout limité. Face à ce projet déraciné de « vide ensemble », les Gilets Jaunes semblent apporter une réponse lumineuse : parole au peuple et chaleur humaine retrouvée. Un cocktail mortel pour la super classe mondiale.

    Les promoteurs du « vivre ensemble »

    Le « vivre ensemble » fait partie de ces injonctions qui cherchent à s’imposer, comme une évidence,par le biais de la répétition. Nous pouvons identifier, sans souci, les plus prolixes à seriner cet impératif. Tous ceux qui surfent sur la vague de la grande globalisation financière et jouissent des plaisirs de la libre circulation des hommes et des marchandises font, dès qu’ils le peuvent, la promotion de cette vertu qu’ils jugent certainement cardinale. Nous pensons-là au monde médiatico-politique et aux bobos en tout genre.

    Les victimes du « Vivre ensemble » : un ostracisme quotidien

    La candidature de François-Xavier Bellamy nous montre, encore une fois, à quel point l’univers politico-médiatique déteste les catholiques. Notez leurs rictus d’hyène lorsqu’ils disent « versaillais » du bout des lèvres et « chrétiens » en crachant. Que l’on soit pratiquant ou non, c’est toute l’histoire de France qu’ils cisaillent.

    Laurent Wauquiez aurait eu plus de succès en choisissant un musulman fiché S. C’est pathétiquement éloquent ! Le vrai délit de « sale gueule » pris sur le vif ! La grande tolérance des initiateurs du « vivre ensemble » mais pas avec tout le monde. Exit les chrétiens, les versaillais et assimilés, les chasseurs, les bouchers, les amoureux du français, les romantiques, les hommes qui sont des hommes, les femmes qui sont des femmes…

    En définitive, il n’y a pas grand monde dans « leur vivre ensemble ». Je leur propose une autre formule « Le vivre entre soi ».

    « Pour qu’un ordre existe, il n’est pas nécessaire de donner des ordres » (*)

    Un chef qui manque d’autorité naturelle aura tendance à lever la voix et à répéter ses directives, jusqu’à les marteler. Ceci, n’est pas sans nous rappeler le matraquage que nous subissons avec, entre autres, ce « vivre ensemble » obsessionnel déjà si peu respecté par les promoteurs de cette rengaine.

    Bref, tout cela témoigne que ces prescriptions imposées de l’extérieur continuent à vaquer dans leur univers fait de bulles médiatiques et postures de plateaux télévisés… Qu’elles restent artificielles et, en définitive, inefficaces.

    C’est le caractère fabriqué, usiné, médiatisé de ce « vivre ensemble » qui le rend vain. Une société ne se conduit pas par des consignes qui ne viennent pas d’elle-même – ou alors cela s’appelle une dictature. Officiellement, nous ne sommes pas censés être dans ce cas de figure.

     

    Notre société, obsédée par les normes et les principes de précaution, cherche vainement à calibrer les contacts humains comme elle réglemente les productions industrielles. Mais cela ne marche pas ou, plutôt, cela marche mal.

    En effet, ces leitmotiv arbitraires et préfabriqués nuisent à l’émergence et à la circulation des idées personnelles et invitent à utiliser davantage les stéréotypes que la réflexion dans les discussions. Dans nos communications, on se remet à un mode de pensée, on catalogue avant de tenter de comprendre. Bref, on n’entre plus « en relation », on toise son interlocuteur et les propos qu’il tient sur la grille de « la bien-pensance » habituelle.

    Ainsi, nous sommes amenés à ne plus « réfléchir » par nous-même. C’est-à-dire à métaboliser une pensée avec nos émotions, nos souvenirs et la part inconsciente qui nous constitue.

    Ceci signifie que, dans le domaine essentiel de notre rapport aux autres, nous sommes amenés à rétracter ce que nous sommes en vérité. Ce qui peut s’appeler « l’auto – censure » est sans doute la meilleure façon de se perdre de vue au quotidien et de ne plus rien « risquer » dans les relations humaines qui vont, par ce fait, s’étioler.

    Les idées qui, nous le savons, n’appartiennent à personne et sont faites pour circuler, sont camisolées au banc du bien-pensant et surveillées de près par les juges de la pensée.

    C’est en cela que les débats et les réelles disputations se font si rares. En effet, et d’une certaine façon, ils se mènent « hors de nous » et sont essentiellement régulés par les normes sociales du « vivre ensemble » et de la judiciarisation réservée aux éventuels indisciplinés qui franchissent la ligne rouge.

    L’objectif est toujours d’éviter l’expression d’idées, de passions, de sentiments personnels.

    L’objectif est d’empêcher les manifestations, tout simplement, humaines et de s’écarter du naturel et de « l’organique » – élaboré au cœur même de la société.

    Le « vivre ensemble » : source de conflit

    Ce diktat, cette règle de vie imposée à la société, perturbe le champ des relations humaines qui ne peuvent plus progresser librement et sincèrement.

    Encore une fois, son caractère artificiel rend cette chape « comportementaliste » bien fragile. Nous pouvons craindre que, sous le joug de tensions sociales, elle ne se brise lamentablement. Cet écroulement sera précipité par la colère emmagasinée de longue date chez le peuple, née du décalage entre sa vie au quotidien et ce vœu pieux du « vivre ensemble ».

    Les Gilets Jaunes : un retour à l’organique

    Le consensus est clair autour de l’origine des Gilets Jaunes. Tous s’accordent à reconnaître son caractère spontané, rural, terrien. Loin des syndicats et des activités associatives, encore plus distancé des domaines politiques et médiatiques, ce mouvement – né d’une colère salutaire – est, par sa nature instinctive, une turbulence réellement venue du cœur de la société. La recherche de convivialité aux ronds-points et lors des manifestations, les revendications simples et saines de pouvoir vivre de son travail, en attestent.

    Ici, il faut, malheureusement, nous rappeler que notre société est menée depuis des décennies par des êtres dont l’objectif est de démanteler les fondements mêmes des communautés humaines : villages, familles, églises, cafés, quartiers…. Nous le savons : tout est fait pour, en chantant le culte de l’individu, l’isoler de ses regroupements historiques, le rendre ainsi vulnérable et bien plus manipulable.

    C’est par cette prétention à la renaissance de l’échelle locale ancrée que les Gilets Jaunes sont une source d’espoir que nous n’attendions plus.

    Mais, leurs exigences mêmes qui dénoncent la faillite d’un système devenu inhumain, les exposent à un rejet violent de ceux qui ont encore le pouvoir et entendent bien le conserver dans une société de plus en plus aseptisée et indifférente aux besoins des Français.

    Les Gilets Jaunes portent une espérance forte qui les rend vulnérables

    En comptabilisant le nombre de blessés et en évaluant la gravité de ces traumatismes, nous ne pouvons que réaliser, avec stupeur, la violence déployée par l’état contre ce mouvement populaire.

    Nous l’avons vue et nous connaissons les raisons de cette intensité déloyale de la réplique gouvernementale.

    Au regard du « deux poids, deux mesures », les voyous dans les banlieues qui terrorisent les habitants, tuent, violent et investissent ce qui fait les « territoires perdus de la République » sont loin d’être malmenés comme les manifestants du samedi. Ceci atteste qu’ils sont donc moins dangereux pour le pouvoir en place. Il va de soi qu’ils favorisent une partition de notre pays et le fragilisent en imposant une législation et une économie parallèle.

    A l’inverse, les Gilets Jaunes aspirent à un retour à l’enracinement et à une vie basée sur un souci de proximité et d’unité.

    L’équipe « En marche » qui souhaite aller vers une Communauté européenne qui tient sa puissance des grandes métropoles et des groupes financiers internationaux, ne peut que chercher à écraser tous desiderata de retour vers le local et de prise en compte du rôle essentiel, pour les Français, de leur pouvoir d’achat.

    C’est pourquoi les défenseurs de l’explosion des nations sont prêts à :

    Faire subir des blessures de guerre aux manifestants.
    Cultiver l’idée que les Gilets Jaunes sont infiltrés par des antisémites que l’on ne trouve en définitive que parmi les casseurs (**) – peu gênés curieusement par les CRS.
    Donner une image d’antisémite ou encore d’homophobe à ce mouvement, c’est encore une fois utiliser les drapeaux rouges pavloviens qui fonctionnent trop souvent.
    Favoriser la création prématurée de partis politiques au sein des « Gilets Jaunes » pour qu’ils mettent à mal leur caractère organique que la Super Classe Mondiale veut éradiquer.

    Souhaitons que les Gilets Jaunes fassent preuve de courage certes mais surtout de perspicacité et qu’ils puissent se faire aider par des personnes informées et clairvoyantes.

    Laurence Maugest

    Tribune reprise de Polémia

    (*) Friedrich Hayek Droit, Législation, Liberté, PUF 1995 – Propos repris par François Xavier Bellamy Demeure Grasset 2019- P.129

    (**) Ces casseurs sont principalement des membres de mouvements d’extrême gauche. C’est dans cette sphère politique et aussi bien sûr au sein du monde musulman que s’exprime un antisémitisme violent tel que l’explique très clairement Alain Finkielkraut dont les propos viennent d’être analysés sur Polemia : https://www.polemia.com/mediocratie-epreuve-affaire-finkielkraut/

    https://fr.novopress.info/213776/les-gilets-jaunes-face-au-vide-ensemble/

  • La France en colère aux « hésitants » : « Choisissez votre camp ! »

    Je ne sais pas qui est cette Gilet jaune, mais ce qu’elle balance, c’est du lourd et du très clair :

    « Et ça qu’on le sache bien, ceux qui sont contre nous, ceux qui sont avec nous, choisissez votre camp, mais nous on est là et on ne lâchera rien ! »

    NB : cliquer sur le petit haut-parleur en bas à droite pour avoir le son.