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social - Page 409

  • Christiane Taubira, adepte du travail au noir

    Le rapport des inspections générales des Finances, des Services judiciaires et des Affaires sociales évalue à près de 50 000 le nombre de ces "collaborateurs occasionnels du service public" employés par différents ministères, dont "40.500 pour le seul ministère de la Justice".

    ImageCes employés - interprètes, experts, médiateurs ... - qui sont souvent amenés à intervenir quotidiennement, sont considérés comme des prestataires, rémunérés à l'heure:

    "le ministère de la Justice n'applique aucun assujettissement aux cotisations sociales et assimile les indemnités de ses collaborateurs à des prestations sans pour autant mettre en place les conditions de leur assujettissement à la TVA".

    Le document estime qu'en cas de poursuites judiciaires collectives, le coût pour les finances publiques serait "de l'ordre d'un demi-milliard d'euros". Plusieurs plaintes individuelles ont déjà été déposées, notamment par des traducteurs-interprètes. Leur avocat Me David Dokhan explique :

    "Ce sont des personnes qui travaillent exclusivement sur réquisition des autorités de police ou judiciaires. C'est 100% de leur activité professionnelle".

    Ses clients n'avaient "pas de bulletin de salaire" et "aucune protection sociale". 

    Michel Janva

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.

    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.

    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens

    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé «l’immigration choisie» .

    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.

    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.

    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.

    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).

    Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.

    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).

    Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)

    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).

    Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).

    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

    Le vrai débat - Blogueur associé 28/04/2010

    Correspondance Polémia 28/05/2010

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2910

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif.

    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés.

    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens

    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé «l’immigration choisie» .

    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition.

    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir.

    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel.

    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’oeuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45).

    Autrement dit, une pénurie de main d’oeuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’oeuvre prête à accepter des salaires plus faibles.

    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46).

    Le rapport du Conseil d’Analyse Economique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% » (page 37)

    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37).

    Concernant les Etats-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38).

    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

    Le vrai débatBlogueur associé 28/04/2010

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2910

  • #ViandeDeFrance : "Ce qui est étonnant, c'est qu'il y ait encore des éleveurs en France !"

  • Chiffres du chômage : un « trompe l’oeil » pour l’opposition

    Les réactions politiques se sont succédées après l’annonce des chiffres du chômage pour juillet. S’ils affichent une légère baisse de 1.900 personnes en catégorie A, ces chiffres ne parviennent pas à convaincre l’opposition de l’action du gouvernement.

    Avec 1.900 chômeurs de catégorie A en moins pour le mois de juillet, le gouvernement n’a pas tardé à se féliciter d’avoir désormais « stabilisé » le chômage. Un constat loin d’être partagé par la classe politique, et notamment l’opposition qui attaque des chiffres trop faibles pour pouvoir s’en satisfaire.

    Du côté du parti Les Républicains (LR), ces chiffres ne sont pas à saluer, bien au contraire. L’ex-UMP pointe notamment dans son communiqué que « même si le chômage en catégorie A est en légère baisse, sans surprise, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A, B et C est à nouveau en hausse. Il a ainsi augmenté de 0,3% pour le seul mois de juillet », affirment d’une seule voix Gérard Cherpion, secrétaire national Les Républicains au Travail et l’Emploi, et Eric Woerth, délégué général au projet LR. « Plutôt que de lutter efficacement contre le chômage, le gouvernement tente par tous moyens de le faire baisser artificiellement (...) La lutte contre le chômage mérite de vraies réponses, que le gouvernement, à ce jour n’a toujours pas donné », estime le parti mené par Nicolas Sarkozy.

    Côté Front-National, c’est son vice-président Florian Philippot qui a réagi sur Twitter, en dénonçant une « indécente autosatisfaction » du gouvernement.

    Florian Philippot:

    15 100 chômeurs de plus catégories A,B,C en juillet.Indécente autosatisfaction d'un gouvernement qui applique sottement les dogmes européens

    Un « léger répit » de courte durée

    Au centre, c’est le président du groupe UDI à l’Assemblée nationale Philippe Vigier qui s’est exprimé, attaquant « Un léger répit en trompe-l’oeil ». Dans un communiqué, le parti centriste appelle à une réforme profonde du marché du travail et pointe « l’inertie et la passivité du président de la République, du gouvernement et de la majorité, symbolisée par la démission de François Rebsamen, manifestement plus préoccupé par son avenir personnel que par celui des Françaises et des Français ». Pour le parti de François Bayrou, ces attitudes « sont inquiétantes et inacceptables ».

    Le PS a quant à lui exprimé sans surprise son soutien au gouvernement, avec un tweet de Bruno Leroux, le président du groupe à l’Assemblée.

    Bruno Le Roux :

    La stabilisation du chômage appelle la mobilisation générale. Croissance, confiance, investissement et réformes pour un recul durable

    Le Medef croit à l'inversion de la courbe du chômage

    Seule consolation pour le gouvernement, le Medef semble croire à sa promesse de l’inversion de la courbe du chômage pour 2016. Malgré les derniers discours de son président Pierre Gattaz, appelant l'exécutif à « passer aux actes » , le vice-président du syndical patronal Geoffroy Roux de Bézieux, a jugé mercredi « possible » une inversion de la courbe du chômage en 2016, en raison des  « signes encourageants » sur le front économique.

    « On peut espérer qu’en 2016, cette courbe qui devait s’inverser en 2012 s’inverse pour de vrai », a-t-il déclaré sur BFMTV, interrogé sur les chiffres du chômage au mois de juillet. C’est « possible car il y a des vents favorables externes. C’est l’euro, c’est les prix du pétrole, c’est les taux d’intérêts. On est objectivement dans une période où les astres sont alignés », a poursuivi le vice-président de la principale organisation patronale.

    Ce soutien surprise du gouvernement devrait être bien accueilli, au moment où le Premier ministre Manuel Valls a appelé à des réformes plus importantes et rapides .

    source : Les Echos :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuupyVpFFyIgAWWODt.shtml

  • Hollande et l'emploi : toujours autant de chômeurs

    Aucune amélioration sur le front du chômage. 

    Chom

    Lahire

  • SÉOUDIENS ET ALGÉRIENS NE PAYENT PAS LEUR SÉJOUR À L’HÔPITAL ? LES MÉDICAMENTS DES FRANÇAIS DÉREMBOURSÉS !

    La sécurité sociale va mal ? C’est de votre faute, martèle le gouvernement d’occupation, refusant de voir et de dire la vérité sur les ravages de l’invasion dans ce domaine comme tant d’autres, sur les véritables gaspillages et abus. Sous ce prétexte, les libéralistes ont commencé à démanteler ce service public : les hôpitaux et les maternités ferment, les consultations coûtent de plus en plus cher, les médicaments sont “déremboursés” (sic), les maisons de retraite sont hors de prix…

    Pire : le gouvernement fait croire que le « tourisme sanitaire » va sauver le système, alors que, par inadvertance, les Français apprennent que les oligarques algériens et séoudiens qui viennent se faire soigner en France, pour lesquels les autorités “privatisent” (sic) des étages sinon des établissements entiers, ne payent même pas leurs factures – les autorités algériennes et séoudiennes doivent ainsi plusieurs dizaines de millions d’euros.

    Pour les seuls établissements de l’Assistance publique–Hôpitaux de Paris (AP-HP), les pays étrangers doivent 120 millions d’euros, soit plus du double du déficit… de l’AP-HP. Ces chiffres ne comptabilisent pas les soins des colons résidant en France, ni des ‘migrants’ pour lesquels tout est simplement gratuit (pour eux, mais évidemment pas pour le contribuable français).

    Cela n’empêche pas le gouvernement d’occupation, en tête la mère de drogués et criminels Marisol Touraine, de culpabiliser les Français. Et de s’apprêter à annoncer la fin du remboursement de nouveaux médicaments.

    C’est ce que préconise une « mission » chargée spécialement d’arriver à ces conclusions – il ne faut plus rembourser les médicaments « inutiles » – et mise en place par… Marisol Touraine. Ainsi, une commission d’individus payés par le gouvernement pour rendre des conclusions déjà connues et réclamées par le gouvernement arrive justement aux conclusions… demandées par le gouvernement. Le système est bien fait.

    Plusieurs mesures ont filtré, à commencer par l’arrêt du remboursement de nombreux médicaments jugés peu ou pas efficaces. Ces médicaments, « le Zovirax contre l’herpès buccal, le Chondrosulf contre l’arthrose, la Gaviscon pour les troubles digestifs ou la crème hydratante bien connue Dexeryl » entre nombreux autres, détaille un journal, n’étaient déjà remboursés qu’à 15 %.

    Autre mesure préconisée : la suppression de trois taux de remboursement existant (15, 30 et 60 %) par un seul qui, de manière générale, conduira à la réduction du remboursement des médicaments.

    http://www.jeune-nation.com/societe/nature-sante/21702-seoudiens-et-algeriens-ne-payent-pas-leur-sejour-a-lhopital-les-medicaments-des-francais-derembourses.html

  • LA RETRAITE À 67 ANS ET L’EUROPE :

    Il est bon de rappeler les risques à l’horizon que nous avons dénoncés il y a plus de 4 ans maintenant…

    « Pour les prolétaires qui se laissent amuser par des promenades ridicules dans les rues, par les plantations d’arbres de la liberté, par des phrases sonores d’avocats, il y aura de l’eau bénite d’abord, des injures ensuite, enfin de la mitraille, de la misère toujours ! « (Auguste Blanqui) – Cadeau de Paul Genestie

    Quand cela cessera-t-il ?

    Fuite des cerveaux et des capitaux à l’étranger, chômage endémique, pays en faillite, travail qui se réduit comme une peau de chagrin, une des conséquences de la dictature fiscale, lois votée au Parlement Européen, que reste-t-il du pouvoir citoyen ?

    La république des droits de l’homme accepte l’esclavage des pays du tiers monde et de quelques autres pays de l’Est pour le plus grand profit de capitalistes, qui délocalisent le travail de France et mettent en péril des familles entières, avec l’absolution du Nouvel ordre mondial compatissant…Quelle tragi-comédie que cette belle république dont le cinquième acte devrait fermer la pièce…

    On a fait voter l’Irlande jusqu’à ce qu’elle dise oui, avec les menaces économiques à la clef. L’Irlande devenue durant quelques temps un Eldorado pour les entreprises avec ses avantages fiscaux, prit de plein fouet le retour à la normale en comprenant un peu tard que la « lune de miel » européenne était terminée. Les entreprises partirent vers d’autres pays, le temps du mirage des avantages fiscaux…Bref, l’Europe, c’est le mensonge, l’appauvrissement général et la faillite des peuples…

    Maintenant on nous parle de la retraite à 67 ans et bien non, pourquoi revenir dessus. L’uniformisation se déguise en fausse égalité, pour mieux nous berner depuis plus de 200 ans…Alors que l’égalité consisterait à respecter les différences professionnelles permettant à chacun de profiter quelques temps d’une retraite bien mérité.Quelle est l’égalité quand un bureaucrate s’arrête de travailler au même âge qu’un paysan ? L’âge de la retraite doit être avancé selon la pénibilité professionnelle. Pourquoi faire payer aux travailleurs, les conséquences d’une mauvaise gestion d’une politique antisociale.
    Pourquoi faire payer au monde professionnel le manque de jeunes sur le marché du travail, alors que nous vivons depuis des années sous une politique antifamiliale. On ouvre les frontières à la misère du monde, où l’on donne sans recevoir, mirage dangereux et pénible d’une « stabilité démographique » ubuesque, alors que naissent d’autres problèmes annonçant l’univers grisâtre d’un futur Liban…

    Pour détruire toute forme de vie sociale, la république refuse aux mères désireuses d’élever leurs enfants, le salaire maternel, la reconnaissance d’une profession à part entière, métier qui en fait, en contient une bonne dizaine (cuisinière, éducatrice, lingère, soignante…), comme de reconnaître aussi un droit à une retraite pour cette fonction hautement sociale, qui réduirait bon nombre de problèmes sécuritaires et drames familiaux (personnes âgées abandonnées…), liés à la misère morale, dont notre pays possède la palme des suicides. Au lieu de cela ou de nombreux sondages, montrent la volonté des femmes à choisir le foyer, plutôt que de courir chaque jour ( 75% des femmes interrogées disent préférer rester élever leurs enfants, si elles ont le choix financier…). La république ne veut pas laisser le choix aux mères, il vaut mieux les envoyer au boulot et donner des aides pour décourager les naissances ou mettre les enfants chez d’autres((aides ménagères, crèches), comme de se débarrasser de ses parents (maison de retraite). Vivre le vingt et unième siècle et ne pas permettre le choix aux femmes, de travailler 100, 90, 75, 50 voir 25% ou de rester chez elles avec leurs enfants mais comment nomme-t on ce système ?

    Il faut « casser » la France traditionnelle, point d’indépendant et d’hommes libres, les agriculteurs et les marins pêcheurs en savent quelque chose…Comme disait Victor Hugo (Choses vues, 8 avril 1851) :« Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot : la police partout, la justice nulle part. »
    Qu’un agriculteur ou un marin pêcheur soit à la retraite à 50 ou 55 ans, rien de plus normal. Qu’un mineur soit en retraite dix ans avant les autres, qui le contesterait ? Qu’une mère devrait avoir une retraite décente pour avoir élevé ce qui fait la richesse d’un pays, les hommes, personne ne le conteste mais la démocratie républicaine ne veut pas de la décision du peuple !!!

    Mais que le système républicain, impose à tous l’âge de 67 ans pour être retraité, c’en est trop !
    Il est temps de laisser les professionnels reprendre leur destin en les laissant s’auto-organiser socialement à l’image des corps privilégiés que sont les ordres des avocats et médecins…

    Libération Nationale, tiocfaidh àr là (notre jour viendra)

    Frédéric Winkler

    http://www.actionroyaliste.com/

  • Lutter, politiquement d'abord, contre le chômage.

    Le chômage intéresse-t-il encore les économistes ? J'en doute de plus en plus, et j'ai constaté que, dans les classes préparatoires et en particulier dans les filières qui mènent à HEC, la question du chômage est traitée en quelques lignes sibyllines dans les manuels disponibles, au point que poser des sujets d'oraux sur ce thème déstabilise facilement les étudiants : la croissance semble être, ou presque, le seul but à atteindre, et qu'importent les moyens et les dommages collatéraux ! Rien d'étonnant alors que la période de forte croissance économique des années 50 aux années 70 ait été baptisée « les trente glorieuses » quand on sait désormais (mais on le savait aussi avant !) qu'elles furent aussi les années les plus destructrices de l'environnement en France, des espaces comme des espèces (et particulièrement celles qui peuplaient les fermes et les champs), et qu'elles ont provoqué cette « seconde Révolution française » qui a bouleversé, et pas forcément pour le meilleur, notre société, ses équilibres et une grande part de ses beautés, tout comme la sociabilité, aujourd'hui bien mal en point...

    Néanmoins, avec la fin des « trente glorieuses » si mal nommées, le chômage, qui n'avait pas disparu mais s'était fait plus rare, est devenu, en quelques années, un chômage structurel, durable et désormais pérenne, comme un pilier majeur de ce système économique, pilier qui permettrait, étrangement, de maintenir celui-ci en étouffant, par la crainte de l'exclusion sociale que provoque le chômage dans notre société de plus en plus anomique et anonyme, toute velléité de révolte et de révolution : la société de consommation, et Jack London l'avait tôt compris (et si amèrement qu’il se suicida) à la suite de Ford, est le meilleur moyen d'asservir les individus, et la peur de « ne plus y être » désarme toute alternative politique, au moins jusqu'à un certain point...

    Aujourd'hui, le chômage touche officiellement près de 6 millions de personnes dans notre pays, sans que la République n'en soit ébranlée : la société de consommation « amortit » les chocs, ainsi que les différentes et utiles aides financières pour les chômeurs, même si celles-ci se font plus restreintes avec le temps. Doit-on se contenter de ce constat ? Personnellement, je refuse ce fatalisme qui, depuis la petite formule de M. Mitterrand qui affirmait que tout avait été tenté contre ce fléau, n'a cessé de s'enraciner jusqu'à se banaliser. Mais ce refus ne sert à rien s'il n'est étayé par des propositions : mon intuition est que la solution n'est pas « une » mais plurielle, et qu'elle nécessite une impulsion plus politique que simplement économique. Car s'appuyer sur le seul calcul économique est, en fin de compte, vain, ne serait-ce que parce que l'économie n'a pas pour rôle, aujourd'hui, de réduire le chômage ou de donner du travail à tout le monde, mais de faire fonctionner la mondialisation et d'assurer la croissance, terme polysémique que l'on confond trop souvent avec la prospérité alors qu'elle ne l'est pas exactement pour tous...

    Si l’État ne peut pas tout et n'a pas pour fonction de tout faire en économie, car l'étatisme est une maladie d'hypertrophie de l’État et non la preuve de son efficacité (bien au contraire!), il peut susciter, motiver et lancer, ou soutenir, de grandes initiatives économiques, productrices et distributrices, et une grande politique d'aménagement du territoire (parler « des » territoires serait d'ailleurs plus juste) qui me semble la clef de l'emploi et du travail au sens le plus large du mot : c'est vrai pour l'agriculture qui pourrait, si l'on veut bien rompre avec un modèle productiviste antisocial par principe, redevenir source majeure d'emplois pérennes et permettre un « redéploiement rural » qui redonnerait vie à des campagnes et des villages aujourd'hui en danger de mort par dévitalisation et désertification ; c'est vrai aussi pour des activités artisanales et industrielles qui, combinées avec un système de commercialisation « de proximité », peuvent se déployer au plus près des grands centres de consommation des Français ; etc.

    Encore faudrait-il que l’État soit assez fort et volontaire pour jouer efficacement son rôle, et qu'il dispose d'une autorité politique suffisante pour s'imposer à des puissances économiques et financières qui ont tendance, de plus en plus, à s'émanciper des territoires et, au-delà, de leurs devoirs sociaux. La République n'est plus aujourd'hui crédible en ce domaine, ayant renoncé depuis longtemps à infléchir le cours de la mondialisation et préférant n'être que le gouvernorat d'une Union européenne trop « libéraliste » pour être vraiment sociale... Or, la lutte contre le chômage nécessite de rompre avec les logiques de la seule croissance et d'un libéralisme qui, en pratiquant le « laisser faire, laisser passer », oublie trop souvent les personnes, leur mode de vie et leur enracinement, en somme leur humanité propre...

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Le Foll veut une levée de l'embargo russe sur le porc

    Le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll a assuré mercredi qu'il comptait mener des "discussions solides et sérieuses" avec ses alliés européens pour tenter de venir à bout de l'embargo sanitaire russe sur le porc.

     

    Dans l'embargo russe, il y a une partie diplomatique liée à la question de l'Ukraine, "mais avant cela il y avait un embargo sanitaire lié à la peste porcine qui avait été détectée dans l'est de l'Europe", a rappelé le ministre interrogé sur France 2.

    Même les pays qui ne sont pas touchés par la peste porcine ne peuvent pas aujourd'hui exporter leur viande porcine vers la Russie.

    M. Le Foll qui doit rencontrer ses homologues européens lors de deux sommets à Madrid et Berlin d'ici la fin août, va "essayer de faire en sorte qu'il y ait des discussions solides et sérieuses" à ce propos.

    "Même si l'Europe a augmenté ses exportations vers la Chine le fait que le marché russe soit fermé fait qu'il y a 100.000 à 150.000 tonnes de porc supplémentaires sur le marché européen", a-t-il ajouté.

    La cotation au marché du porc breton a repris mardi après une suspension d'une semaine suite au refus de deux des principaux acheteurs, Cooperl et Bigard/Socopa, de payer le prix préconisé par le gouvernement pour les éleveurs, 1,40 euro le kilo. Les deux entreprises ont indiqué qu'elles ne reviendraient pas au MPB tant que son fonctionnement n'aura pas été revu.

    Parmi les mesures que le syndicat national des industries de la viande (Sniv) exige du gouvernement figure la demande d'"un engagement de reprise des négociations pour une exportation de gras et d?abats de porc (produits non soumis à l?embargo diplomatique, NDLR) vers la Fédération de Russie".

    source : Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFAAZpVlpPNYSCXab.shtml