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social - Page 408

  • Manif des agriculteurs : "On est bien conscients qu'on s'est encore fait baiser par l'Etat !"

  • Pour Cazeneuve les gitans peuvent saccager tranquillement mais pas les agriculteurs…

    Bienvenue en France… Pays où le métèque a tous les droits et toutes allocs, pendant que les « sous-chiens » règlent la note et ferment leur gueule. C’est à quelques nuances de ton près ce que pense notre ministre de l’Intérieur. Il justifie le laxisme policier lors du blocage de l’autoroute A1 ce week-end par les 4 morts de la semaine précédente… Rappelons simplement qu’un agriculteur se suicide tous les deux jours en France…

    http://www.contre-info.com/

  • Accueillir tant d’immigrés illégaux impose de sacrifier les plus pauvres des Français…

    Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?

    Essayons de mettre un peu de clarté, de franchise et de logique dans les débats concernant l’exode vers l’Europe de foules de « migrants », comme nos zélites voudraient qu’on appelle ces malheureux. Ils ne vont pas au hasard dans un monde immense et sans frontières. Non ! Ils risquent leurs vies pour quitter leurs pays ravagés et en atteindre d’autres où l’espoir est encore possible. Leur odyssée est jalonnée par des frontières plus ou moins étanches. Il s’agit en fait d’immigrants volontairement clandestins, donc hors-la-loi sur les terres d’accueil, qui ont décidé, délibérément et avec préméditation, de forcer illégalement la porte de ce qu’ils considèrent comme l’eldorado européen.

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  • Manifestation des agriculteurs à Paris : « On rentre à la maison, comme des chiens à la niche »

    Plus de 1.500 tracteurs aujourd’hui place de la Nation, à Paris. Des milliers d’agriculteurs ont effectué un périple, vers la capitale, pour obtenir une aide concrète du gouvernement. Résultat : des subventions… Une fois de plus le syndicat FNSEA a bien joué son rôle de larbin du système en calmant les manifestants et en leur demandant de rentrer tranquillement à la niche. Ci-dessous le reportage audio poignant de Nathalie Bourrus pour France Info.

    ici

     
     
  • En Slovaquie, l’euro fait grimper le chômage

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    République tchèque et Slovaquie font figure de bons élèves en Europe centrale. Déficits bas, balance commerciale excédentaire, tout semble aller pour le mieux… mais pourquoi diable n’entend on pas la technocratie bruxelloise se féliciter de ces résultats qui semblent si brillants ? Malheureusement pour celle ci, il se trouve que la République tchèque a choisi de rester en dehors de l’euro quand sa voisine embrassait la monnaie unique en 2009. Et la première de s’en tirer à bien meilleur compte. Si la monnaie unique a pu protéger la Slovaquie des fluctuations de change, cela s’est fait — selon une étude du Crédit Agricole — au détriment de l’emploi. Le chômage atteint 12 % à la fin 2013, alors qu’il est de 6 % en Tchéquie et 10 % en Europe). Le taux de change fixe imposé par l’euro empêche en effet Bratislava de dévaluer sa monnaie pour compenser l’inflation des salaires et des prix.

    http://fr.novopress.info/191739/en-slovaquie-leuro-fait-grimper-chomage/

  • Jacques Attali : « La TVA va augmenter »

    Alors que le chef de l’État a admis qu’il avait fait une erreur en supprimant la TVA Sarkozy, Jacques Attali insiste : “Moi-même j’étais pour cette augmentation. C’était d’ailleurs l’une des conclusions du rapport de la commission que j’avais présidée”. Et d’ajouter : “C’est un impôt idéal car ça conduit à une dévaluation de la zone euro et en période de faible inflation ça n’a aucun effet négatif sur la justice sociale”.

     

    Selon lui, cette mesure est également la preuve qu’il y des “réformes de consensus qui auraient pu être faites par la gauche, comme par la droite”. Enfin, l’économiste et écrivain n’a peu de doute quant à une future hausse de cette taxe. “La TVA va augmenter (…) Si on veut tenir la promesse de réduire les impôts sur le revenu, il n’y a pas d’autres solutions possibles”.

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Aider les familles en baissant les impôts, c’est aider tous les Français

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    L"Alors que les familles investissent, par leurs enfants, pour l’avenir et le profit de tous, elles subissent de plein fouet, depuis le printemps 2012, des augmentations générales d’impôts doublées de coupes très importantes dans la politique familiale, fiscale notamment. Les familles, des classes moyennes d’abord, subissent la double peine !

    Le Président de la République veut réduire des impôts et cherche à faire des économies. La Manif Pour Tous propose donc à François Hollande d’adopter un principe et cinq mesures :

    Principe : faire le choix de la famille de toute urgence, avant que la natalité française ne s’effondre (les premiers chiffres 2015 de l’INSEE sont très inquiétants) et que la pérennité du système de retraites ne soit définitivement compromise.

    Propositions de justice fiscale :

    1. La baisse du taux de TVA à 5,5% pour les biens et services indispensables aux familles ;
    2. L’augmentation des abattements pour « personnes à charge » dans le cadre de la taxe d’habitation ;           
    3. Le relèvement du plafond du quotient familial ;
    4. La suppression de la mise sous condition de ressources des allocations familiales qui pénalisent avant tout les classes moyennes (désormais, beaucoup cotisent plus qu’elles ne perçoivent).

    Proposition pour des économies substantielles :

    1.  Le congé parental coûte beaucoup moins cher à la collectivité que les places en crèche : La Manif Pour Tous propose donc de revenir au congé parental pris librement par le père et/ou la mère afin d’éviter la réduction d’une année entière de congé qui résulte de la dernière réforme pour l’immense majorité des familles (là encore, les chiffres sont déjà très nets).

    La Manif Pour Tous se tient à la disposition du Président de la République et de son cabinet pour discuter plus en détail de ces propositions.

    Pour rappel la famille, lieu d’amour, d’éducation, de solidarité, de gratuité et de dignité, est plébiscitée par les Français, et en particulier par les jeunes. La famille, cellule de base de toute société, assure l’avenir de tous ses membres, en assurant, en particulier, l’avenir des systèmes de retraite :les familles investissent pour le profit de tous !

    Depuis le début du quinquennat de François Hollande, les principales mesures subies par les familles sont les suivantes (liste non exhaustive !) :

    • Le plafond du quotient familial a été baissé« en échange du maintien des allocations universelles » avait annoncé l’Elysée.

    • Mais, depuis cet été, les allocations familiales sont finalement modulées : c’est la fin de la politique familiale universelle. Le nombre de familles qui cotisent plus pour la branche famille de la sécurité sociale qu’elles ne perçoivent d’allocations a explosé avec cette réforme, les familles nombreuses des classes moyennes étant les plus touchées !
    • La majoration de pension pour ceux qui ont élevé 3 enfants ou plus a été plafonnée à 1000 €/an et rendue imposable. Le solde est désormais dérisoire pour ces personnes qui, ayant investi dans l’avenir de tous en élevant leurs enfants, n’ont pas pu épargner comme les célibataires et les couples sans enfant (comparaison faite à revenus égaux).
    • Le congé parental est possible sous condition obligatoire de répartition entre le père et la mère : si le père ne prend pas une année de congé parental, cette année est perdue pour la mère. Le congé parental est ainsi réduit d’un tiers pour l’immense majorité des familles, comme le montrent les premiers chiffres publiés depuis la mise en place de cette mesure liberticide. Le congé parental coûte pourtant beaucoup moins cher à l’Etat que les places de crèche.

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, déclare :

    «A ces suppressions de compensations dues aux familles par la société se sont ajoutées les hausses générales d’impôts. Les familles, dont beaucoup sont également touchées par le chômage, peinent à élever leurs enfants. De nombreux couples témoignent même sur les réseaux sociaux de leur renoncement à accueillir un enfant supplémentaire comme ils l’avaient projeté, ce que les premiers chiffres 2015 de la natalité confirment »

    « Le Conseil d'Orientation des Retraites a établi qu’une diminution de l’indice de fécondité de 0,2 point, représente environ 30 milliard € en moins ! » L’économiste Alfred Sauvy le soulignait aussi : « Nous ne préparons pas nos retraites par nos cotisations vieillesse, mais par nos enfants. »

    « En difficulté, les familles attendent un geste « consistant » de la part du Président de la République alors que de nouvelles échéances électorales se profilent ».

    Michel Janva

  • Agriculture française : Bruxelles m’a tuer

    François Guillaume, ancien ministre de l’Agriculture. Explication en prévision de la manifestation du 3 septembre à Paris.

    Selon l’ancien ministre François Guillaume, la crise de l’agriculture française est la conséquence de l’irresponsabilité des hommes politiques français qui se sont soumis aveuglément aux injonctions de la Commission européenne.

    Tous les deux jours un agriculteur se suicide, pris à la gorge par ses banquiers et fournisseurs, menacé des foudres de Bruxelles qu’une armée de fonctionnaires nationaux zélés assiste pour contrôler du haut du ciel les surfaces emblavées grâce à une gigantesque toile de vidéo-surveillance satellitaire à haute résolution. Ces inspecteurs vérifient, au centiare près, que les superficies relevées correspondent bien aux déclarations des agriculteurs, toute erreur fût-elle involontaire étant sanctionnée de la suppression des aides européennes sans lesquelles le «fautif» devra mettre la clé sous la porte. Les contraintes des éleveurs ne sont pas moindres. Sommés de tenir au jour le jour un registre de leur cheptel et de relever les interventions vétérinaires et les administrations journalières de médicaments, ils sont tenus de respecter les normes du bien-être animal dont les eurocrates se sont donné le droit de fixer les canons alors que tout éleveur sait d’instinct comment servir le meilleur habitat à son troupeau pour optimiser sa production.

    Pour faire face à cette bureaucratie inquisitoire l’agriculteur passe un tiers de son temps à tout noter pour établir et justifier ses demandes de primes, dans la crainte de faire des erreurs toujours interprétées comme des tentatives de fraude. Aussi afin de s’affranchir de cette hantise de nombreux exploitants agricoles confient cette tâche à la Chambre d’Agriculture qui crée autant d’emplois instables et improductifs pour répondre à la demande. La complexité des formulaires à renseigner est telle que, mis au défi par la FNSEA d’en remplir un, le ministre de l’Agriculture s’y est refusé de peur de perdre la face. On peut aussi s’interroger sur la capacité de plusieurs Etats-membres de L’Union européenne à gérer le système sans en avoir ni les moyens ni la réelle volonté. La réponse est évidemment non. C’est pourquoi Bruxelles préfère envoyer ses super-contrôleurs en France où tout est transparent plutôt qu’en Roumanie ou en Grèce. L’assiette y est aussi plus large puisque sous la pression de ses écolos-bobos, l’Hexagone est le meilleur élève de la classe européenne pour le durcissement, à son propre et seul détriment, des règlements environnementaux contraignants.

    C’est une des raisons pour lesquelles l’Agriculture française perd du terrain. Au début des années 2000 elle était encore le premier exportateur mondial de l’agroalimentaire devant les Etats-Unis. Elle occupe désormais la cinquième place derrière les Etats-Unis, les Pays-Bas, le Brésil et l’Allemagne qui produit deux fois plus de porcs qu’elle, 20% de lait en plus, autant de betteraves à sucre et fournit au consommateur français quatre poulets sur dix. Comment en est-on arrivé là? Ce déclin a pour origine la funeste décision européenne de 1990, avalisée par la France et prise sous diktat américain, d’abandonner le soutien des prix agricoles pour lui substituer un régime de primes déconnectées de la production. On est alors passé d’une économie de marché à une politique de revenu contraire aux intérêts français. Nos ministres de l’Agriculture successifs dont la compétence s’est avérée pour le moins déficiente et leur volonté d’engager un bras de fer avec la Commission inexistante, ont tout juste cherché à aménager le système quand ils ne l’ont pas aggravé. Bruxelles avait alors toute liberté pour ouvrir les marchés agricoles à la concurrence extérieure dans le droit fil de la mondialisation débridée qui affecte déjà le secteur industriel au grand préjudice de l’emploi. Le deuxième acte est maintenant engagé avec la négociation transatlantique en cours entre L’Europe et les Etats-Unis qui parachèvera le libre-échange entre les deux continents. De cette confrontation, exclusivement et secrètement conduite par la Commission, on peut craindre le pire c’est-à-dire une capitulation européenne faite de concessions unilatérales, couvertes par un habillage adéquat. Pour le secteur agricole Bruxelles estime d’ailleurs avoir fait le meilleur choix: elle affirme que la baisse des prix alimentaires profitera aux consommateurs et que le revenu des paysans sera sécurisé par les primes. Les Britanniques adhèrent à cette politique ; Angela Merkel aussi, sans l’avouer ouvertement pour ne pas provoquer la France, mais son avis sera déterminant (nous sommes dans une Europe allemande): elle sait ses paysans plus compétitifs que les nôtres grâce à l’euro fort qui les sert et à une main-d’œuvre étrangère sous-rémunérée.

    Les agriculteurs français l’ont compris. Spontanément, sans consigne nationale, ils manifestent autant leur colère que leur désarroi. Ils ne désarmeront pas sur la seule promesse de leur servir la panoplie des placebos habituels: report des cotisations sociales, prêts de trésorerie remboursement anticipé de la TVA ; et que dire de la stimulation annoncée des exportations quand, contre tout bon sens géopolitique, L’Europe impose un embargo à la Russie qui revient en boomerang sur nos éleveurs? Vingt-cinq ans après la proposition du gouvernement de la première cohabitation (alors refusée par les dirigeants agricoles) on revient à l’idée d’une politique contractuelle entre les producteurs et les industriels du lait et de la viande… qui s’en sont déjà prémunis en arbitrant le coût de leurs approvisionnements en France par des achats hors de nos frontières

    Alors que faire après tant de renoncements? C’est à Bruxelles qu’il faut porter le fer, là d’où sont venues toutes les dérives monétaires et libre-échangistes responsables du chômage et de la crise agricole.

    – En premier lieu il est impératif de rétablir les conditions d’une concurrence équilibrée entre les acteurs économiques au sein de l’Union européenne en harmonisant dans les plus brefs délais les politiques fiscales et sociales des Etats-membres dont la disparité crée des distorsions de concurrence (ce qui aurait dû être fait préalablement à la création de la monnaie unique).

    Dans une même logique il faut atteindre une parité de change équitable – un euro pour un dollar – afin de combattre le dumping monétaire qui perturbe gravement les échanges internationaux.

    – A l’évidence le retour aux grands principes de la Politique agricole commune s’impose. En conséquence on doit supprimer les primes, fixer des prix communs rémunérateurs et revenir à la préférence communautaire tout en évitant les excédents coûteux grâce au système de quantité maximale garantie (QMG) expérimenté avec succès à la fin des années quatre-vingts.

    Voilà qui va effrayer nos diplomates et nos hauts fonctionnaires terrorisés à l’idée qu’on ose porter atteinte au credo libéral et remettre en cause leur conviction que hors des sentiers qu’ils suivent et des maîtres qu’ils servent il n’y a pas de salut! Sont-ils assez naïfs pour croire que les Etats-Unis sont des parangons de vertu commerciale et qu’ils s’interdisent toute pratique protectionniste?

    Au cours de cette crise agricole et pour prix de leur malheur les paysans ont le grand mérite de dénoncer l’insigne faiblesse des politiques en charge des intérêts du pays, les abus de pouvoir et la perfidie de la Commission qui soutient la cause du «parti de l’étranger». Rien n’est perdu pour autant: le parcours de l’Europe est jalonné d’obstacles qu’ont surmontés par leur volonté et leur courage des hommes politiques dont l’Histoire a retenu le nom. Aux dirigeants actuels de suivre leur exemple.

    François Guillaume, 10/08/2015

    Source : FigaroVox – Vox société

    François Guillaume est un homme politique français et un responsable syndical agricole. Il a été ministre de l’Agriculture de 1986 à 1988 et est actuellement membre de Debout la France.

    Note : Un millier de tracteurs doivent se rassembler dans la capitale à l’appel de la FNSEA, le 3 septembre. Ils veulent obtenir des «rallonges» du gouvernement au plan d’urgence annoncé en juillet. Une société de fret ferroviaire agricole menace par ailleurs de bloquer le trafic des trains en région parisienne.. ( www.lefigaro.fr August 31, 11:01 AM)

    http://www.polemia.com/agriculture-francaise-bruxelles-ma-tuer/

  • Les Français travaillent 39,2 heures par semaine

    Actuellement, la durée de travail pour les salariés à plein temps est de 39.2 heures par semaine en moyenne sur l’année.

     

    http://fortune.fdesouche.com/