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social - Page 453

  • Pourquoi Air France sacrifie Transavia Europe plutôt que Transavia France

    La filiale low cost française est la véritable priorité stratégique du moment.

    En sacrifiant le projet Transavia Europe sur l’autel de la paix sociale, la direction d’Air France-KLM sauve l’essentiel : à savoir le développement de Transavia France. Si la création des premières bases low cost hors de France et des Pays-bas constituait un pas en avant important dans la construction d’une compagnie à bas coûts pan-européenne, l’enjeu stratégique et commercial de la filiale française est en effet bien supérieur.

    Créée en 2007 sur le modèle mi-charter mi-low cost de Transavia Holland, Transavia France a d’abord le mérite d’exister et de contribuer de manière non négligeable au bilan du groupe. En 2013, Transavia France a généré un chiffre d’affaires de 275 millions d’euros, pour une perte d’exploitation (non dévoilée) d’environ 5 millions. En y ajoutant Transavia Holland, le chiffre d’affaires dépasse le milliard d’euros. Ses coûts d’exploitation sont plus de deux fois inférieurs à ceux d’Air France moyen-courrier et sont comparables à ceux d’Easyjet. De toutes les filiales du groupe, Transavia France est aussi celle qui connaît la plus forte croissance : son chiffre d’affaires devrait atteindre 330 millions en 2014, avec plus de 3 millions de passagers transportés (contre 2,7 millions en 2013) et plus de 10 millions de passagers avec Transavia Holland. Rien que sur l’été dernier, Transavia a ouvert pas moins de 19 nouvelles lignes. Et selon les prévisions d’Air France, le développement du marché loisir au départ ou à destination de la France permettrait à Transavia France de grossir au rythme de cinq avions par an, pour atteindre 37 appareils (des Boeing 737-800 de 189 sièges) à la fin de la décennie. De quoi atteindre les 9 millions de passagers.

    En comparaison, le projet Transavia Europe consistait, pour sa part, à ouvrir trois premières bases en 2015 (deux au Portugal et une en Allemagne) et « entre 5 et 10 » à l’horizon 2020. A raison de trois avions minimum par base, Transavia Europe aurait donc atteint, en 2020, une taille comparable à celle de Transavia France… en 2017. [....]

    La suite sur Les Echos.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pourquoi-Air-France-sacrifie

  • Syndicats SNCF : les maîtres-chanteurs du service public

    Une exception culturelle - encore une - que le monde entier, assurément, nous envie.   

    Ah ! La France éternelle, sa cuisine, ses châteaux, ses beaux paysages, son service public, et surtout ses grévistes du service public… Une exception culturelle – encore une – que le monde entier, assurément, nous envie.

    Alors que défilaient hier devant l’Assemblée nationale les pilotes d’Air France, ces nababs du manche à balai, les « forçats du rail » mettaient les usagers du RER à l’arrêt. Histoire, sans doute, d’empêcher ceux qui auraient encore pu prendre un avion de l’attraper, mais passons. Sanctionnés ! Les habitués des RER B et D et des Transiliens H et K. Punis ! Les banlieusards.

    Pourquoi ? Pour faire pression contre les « sanctions lourdes » qui menaçaient six agents. De braves gars, n’en doutons pas, qui avaient un peu trop secoué « des conducteurs envoyés par la SNCF durant les grèves de juin contre la réforme ferroviaire » (exactement « le projet » de réforme ferroviaire). Quand même, on n’a pas idée de vouloir assurer le service minimum prévu par la loi !

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  • Libertés N°29

    Ce nouveau numéro de l’ASC prend dorénavant le titre de « LIBERTES ». Celui-ci est le résultat d’une nouvelle maquette comme d’une nouvelle destination. Il sera désormais l’outil de communication afin de présenter ce pourquoi nous travaillons et oeuvrons. Notre démarche est différente des autres groupes, nous ne sommes pas des royalistes nostalgiques ou « ringards ». Nous considérons, comme hommes libres, que toute autorité est une contrainte mais qu’il faut pour la vie sociale, un minimum d’ordre. Que nos libertés essentielles et retrouvées ne peuvent fleurir qu’avec un minimum d’Etat. Que le principe de subsidiarité assure la dimension pleine et entière de la citoyenneté, que les Grecs anciens ont définie dans l’Antiquité. L’empirisme organisateur comme méthode d’analyse historique démontre que le gouvernement s’y approchant le plus fut incarné en France par la Monarchie. 
    Nos préoccupations autonomistes et régionalistes furent protégées par nos rois fédératifs. Les rois furent aussi les protecteurs de l’Economie comme du social, du Livre des Métiers d’Etienne Boileau jusqu’aux lois sociales demandées par les catholiques royalistes après la révolution, en passant par la défense des corps de métiers par Louis XVI et la Lettre sur les Ouvriers du Comte de Chambord. La famille a besoin de protection pour assurer les générations, qui porteront les espérances de la Francophonie. 
    L’histoire montre un canevas d’attitudes affectives constantes entre Peuple et Rois. L’Ecologie ne peut être envisagée que par un gouvernement ayant la durée pour agir, alors que trouver de mieux que des lys comme symbole humaniste… Bref l’histoire donne les enseignements et les expériences. L’esprit et l’intelligence, telles des grilles de mots croisés définissent une logique imparable, quant aux solutions essentielles de la survie et de la reconstruction. Le système nommé « République » a échoué sur tous les domaines essentiels que nous venons d’énumérer. Après plus de 200 ans d’existence, il n’en reste rien, à la différence de la Monarchie, plus neuve après 1000 ans. Hors de toute polémique, c’est un constat que nul ne peut contredire aujourd’hui. Alors reprenons ce fil, cette aventure, retrouvons nous en dehors de nos divergences, sommes toutes ridicules en rapport à l’essentiel. Il sommeil en nous, cet appel au retour du Roi, laissons le renaître !

    Frédéric Winkler

    http://www.actionroyaliste.com/armand-de-melun/1403-libertes-nd29

  • L’austérité ou la stratégie de la dépossession

    Auteur : Laurent Bodenghien

    Ex: http://zejournal.mobi

    Démembrement des acquis sociaux, destruction des services publics, diminution des aides sociales, dégressivité accélérée des allocations de chômage, retardement des départs en pension, coupes en règle sur les budgets de la santé et de l’enseignement, gel des salaires… Ces quelques mesures prétendues nécessaires, appliquées par les gouvernements de Droite et de Gauche, ne constitueraient in fine qu’une série de remèdes préconisés pour sortir de « la crise »…

    Derrière le « pacte de stabilité » et ses ajustements structurels se cachent les réalités d’un projet visant la neutralisation définitive de l’État social. Un État social alors liquidé par la toute puissance des marchés, avec la dette publique et le racket bancaire comme éléments de bascule.

    L’alibi austéritaire

    La situation que nous vivons n’est que le résultat d’une double trahison : la trahison d’un appareil politique dépourvu de tout sens patriotique laissant son tissu industriel et productif aux mains de capitalistes apatrides qui, en dépit de bénéfices colossaux, s’emploient à créer encore plus de chômage en délocalisant nos entreprises vers des pays où les salaires et la fiscalité sont minimaux.

    C’est aussi la trahison d’élus du peuple qui adoptent servilement des mesures économiques drastiques, en faisant passer une crise inhérente aux principes du capitalisme dérégulé pour une crise des dépenses publiques.

    La stratégie « austéritaire » n’a d’autre but que de permettre aux nantis d’être encore plus nantis. Alors que le citoyen doit poursuivre sans relâche ses efforts au nom du remboursement d’une dette publique dont il ne comprend aucune des articulations, le cabinet d’études « Wealth-X » vient de comptabiliser 2365 milliardaires en 2014. Le magazine américain « Forbes » n’en dénombrait que 793 en 2010. Le patrimoine cumulé de toutes ces grandes fortunes, parmi lesquelles on retrouve Bill Gates, Carlos Slim, Bernard Arnault, Mark Zuckerberg, serait passé de 3600 milliards de dollars en 2010 à plus de 6400 milliards en 2014.

    Étienne Chouard, dans une récente intervention télévisuelle, devait admirablement synthétiser le propos :

    C’est une erreur de penser que les politiques sont impuissants ou incapables.

    Si on renverse la perspective en comprenant que les politiques servent les intérêts de ceux qui les ont fait élire et qui constituent le pour-cent des plus riches de la population alors ce n’est pas une catastrophe, c’est une réussite formidable ! 

    Tout se passe comme prévu : la sécurité sociale est détricotée, le chômage se porte à merveille, ce qui permet de tenailler les salaires et obtenir de hauts profits. Tout se passe donc très bien du point de vue de ce pour-cent qui se gave comme jamais ! »

    L’austérité n’est pas une erreur

    Quand nos dirigeants prônent la rigueur au nom du remboursement d’une dette publique qui aurait été creusée par une sécurité sociale trop dévorante, ils ne commettent pas une erreur, ils se produisent dans le plus effroyable des mensonges. La politique d’austérité n’est pas le fruit d’une faute de calcul. Il s’agit bien d’une sombre stratégie permettant la colonisation des États par les multinationales avec le consentement de nos élus. Cette politique ne permet pas seulement à Liliane Bettencourt d’avoir un patrimoine qui équivaut au PIB du Turkménistan, mais surtout de tuer l’État social et priver littéralement les citoyens des plus élémentaires principes de solidarité.

    Par cupidité le pouvoir politique a abdiqué, il a accepté de laisser les mains libres aux forces d’argent et aux multinationales. Mais nous ? Accepterons-nous encore longtemps d’être gouvernés par l’escroquerie de la dette et la duperie de l’austérité ?

    - Source : Laurent Bodenghien

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/09/23/l-austerite-ou-la-strategie-de-la-depossession.html

  • Suite à l'embargo russe, l'UE envoie une aide de 353,70€

    La Sica Saint-Pol (1 100 fermes, 1 500 cultivateurs) a reçu la semaine dernièreune enveloppe de l'Union européenne pour les exploitations touchées par l'embargo russe. 353,70 €. Soit une aide de 23,58 centimes par exploitation. Le président de la Sica Saint-Pol-de-Léon, Jean-François Jacob, dénonce cette absurdité

    "Cette somme en effet, 353,70 €, c'est-à-dire 23,58 centimes par exploitation, nous posait un réel problème de restitution à nos adhérents, le montant du chèque à leur adresser étant très nettement inférieur au prix d'un timbre (66 centimes)...".

    Mardi vers 18 heures, une cinquantaine de légumiers du pays de Saint-Malo ont déversés 80 à 100 tonnes de pommes de terre au rond-point de Saint-Jouan-des-Guérêts. Actuellement, c'est la RN12 qui est bloquée :

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    Michel Janva

  • [Paris & Bordeaux] Le 5 octobre, tous à la Manif pour tous

    "Le gouvernement dit "socialiste" a clairement fait le choix d’une ligne libérale en économie, atlantiste en politique étrangère et libertaire en matière sociétale. Notre opposition est totale sur chacun de ces points.

     

    C’est pour cette raison que l’Action française appelle ses militants et sympathisants à se rassembler pour participer aux prochaines manifestations de défense de la famille et de l’enfance organisée par La Manif pour Tous le 5 octobre prochain à Paris et Bordeaux. Ne laissons pas la gauche du Capital porter un nouveau coup à la cellule de base de la société, sans laquelle il n’est plus de nation, plus de personne humaine, plus de liberté authentique."

     
  • [Paris & Bordeaux] Le 5 octobre, tous à la Manif pour tous

    "Le gouvernement dit "socialiste" a clairement fait le choix d’une ligne libérale en économie, atlantiste en politique étrangère et libertaire en matière sociétale. Notre opposition est totale sur chacun de ces points.

     

    C’est pour cette raison que l’Action française appelle ses militants et sympathisants à se rassembler pour participer aux prochaines manifestations de défense de la famille et de l’enfance organisée par La Manif pour Tous le 5 octobre prochain à Paris et Bordeaux. Ne laissons pas la gauche du Capital porter un nouveau coup à la cellule de base de la société, sans laquelle il n’est plus de nation, plus de personne humaine, plus de liberté authentique."

     
  • Travailler le dimanche, pour quoi faire ?

    Malgré l'ouverture des magasins à l'enseigne Bricorama le dimanche, obtenue de haute lutte, la fréquentation et sans doute le chiffre d'affaires n'ont pas varié.   

    Que voilà une nouvelle réjouissante !

    Monsieur Jean-Claude Bourrelier, PDG de Bricorama, avoue (Ouest France du 20 septembre) devant ses salariés que le nombre de clients de 2014 est le même que pour la période équivalente de 2013 !

    Cela veut dire que, malgré l’ouverture des magasins à l’enseigne Bricorama le dimanche, obtenue de haute lutte, la fréquentation et sans doute le chiffre d’affaires n’ont pas varié.

    Et pourtant, on se souvient du « plan marketing » gratuit offert à cette enseigne par tous les organes de la presse écrite, le passage dans TOUS les journaux télévisés de toutes les chaînes, et particulièrement des chaînes d’information continue et tous les suppléments économiques de tous ces médias qui, à l’occasion de la dérogation au repos dominical obtenue par monsieur Bourrelier, lui ont offert une tribune telle qu’aucune puissance financière de la grande distribution n’aurait pu s’offrir.

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  • 200 000 chibanis

    La France souffre bien assez du chômage et de la misère qui gagne du terrain chaque jour devant l’incompétence de nos dirigeants, le PS propose de faciliter l’acquisition de la nationalité française à 200 000 chibanis ("anciens" en arabe).

    Toujours aussi généreux, le PS cherche évidemment des réservoirs de voix pour 2017. Puisque les Français rejettent en masse la politique de la gauche, autant chercher des électeurs là où le vote se fait plus docile. Les immigrés étant convoités par l’ensemble de la gauche, autant profiter de cette manne inestimable.

    Tout est bon pour battre la France réelle. Cette nouvelle mesure anti-nationale ne sera-t-elle pas la mort du PS lui-même ? A force de brader la nationalité française, la nation s’auto-détruit, puisque tout se vaut, et qu’une carte d’identité n’est vue que comme un droit et non un honneur. Répétons-le : être Français se vit, cela ne se brade pas. Cela s’hérite ou se mérite. Vivre sur le sol français depuis 20 ans ne signifie aucunement mériter la nationalité française ou avoir le droit de voter dans notre pays.

    Encore une fois, rapporter la question de la nationalité à un objet de pure consommation matérielle consiste à rejeter l’âme de la France. Il ne suffit pas de claquer des doigts pour créer de nouveaux Français. On voit le résultat dans les banlieues, où "être français" ne signifie pas grand-chose, entre boutiques hallal et mosquées. Cela n’endiguera pas le communautarisme. Cela ne fera que renforcer la présence d’étrangers dans notre pays, qui apportent avec eux leur mode de vie, sans le plus souvent s’intégrer à la société française, qui croule littéralement sous le poids de cette immigration de masse dite "de remplacement". A quoi ressemblera la France dans 20 ans ?

    Philippe Perrin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?200-000-chibanis

  • Ouverture dominicale : Bricorama n'attire pas plus de clients

    Le PDG de Bricorama, Jean-Claude Bourrelier, fer de lance du travail dominical,déclare dans une lettre adressée aux salariés dans le magazine du groupe ne pas avoir plus de clients depuis l'autorisation de l'ouverture le dimanche dans les magasins de bricolage.

    "L'analyse des chiffres montre qu'au cumul depuis le début de l'année, nous n'avons reçu que le même nombre de clients qu'en 2013 alors que nous avons le bénéfice de l'ouverture du dimanche".

    Michel Janva