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social - Page 450

  • Le plan d'économie de 50 milliards d'euros va supprimer 60.000 emplois

    Un document de la rapporteuse du Budget indique que 190.000 créations d'emplois auront lieu d'ici 2017, insuffisantes toutefois pour compenser la suppression de 250.000 postes.
    Un "impact négatif sur la croissance et la suppression de 250.000 emplois", voici ce que pourrait entraîner le plan d'économie de 50 milliards d'euros proposé par le gouvernement dans le cadre du projet de loi de finances rectificative, selon un rapport publié ce week-end par la rapporteuse générale du Budget.
    Dans les chiffres, l'impact sur la croissance serait "de 0,7 % par an en moyenne entre 2015 et 2017", écrit la députée Valérie Rabault.
    190.000 créations d'emplois
    Elle tempère toutefois ces prévisions en estimant qu'"une partie de cet impact sera neutralisée par l'adoption de mesures fortes en faveur de la réduction des charges des entreprises et du pouvoir d'achat des ménages dans le cadre du pacte de responsabilité et de solidarité" 
    Le gain de croissance escompté serait ainsi de 0,6 point avec 190.000 créations d'emplois d'ici 2017, indique le document de la rapporteuse du Budget.
    Le projet de budget rectificatif doit être examiné à partir de lundi à l'Assemblée nationale. Début juin, des députés PS frondeurs s'en sont désolidarisés, proposant un contre-budget alternatif. 
    Des "calculs extrêmement théoriques" pour Sapin
    Le ministre des Finances Michel Sapin a estimé lundi matin sur France Info étaient "des calculs totalement en chambre, des calculs extrêmement théoriques" venant "d'un certain nombre d'économiste", dont Valérie Rabault "se fait l'écho".

    La Tribune :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupFVEZyVFRnLbQORN.shtml

  • Astom: une mauvaise affaire pour l'Europe

    L'accord qui vient d'être conclu entre le gouvernement, General Electric et Bouygues pour le rachat d'Alstom est une bien mauvaise affaire pour l'Europe. Pour l'union Européenne mais pas du tout pour la France.

    Bouygues désirait se débarrasser des activités énergie d'Alstom et était favorable à l'offre de l'entreprise américaine. La France a mis son veto à une transaction sans garantie pour la pérennité d'un secteur économique important et sans certitude de maintien des emplois. Ce droit de veto, le gouvernement français se l'est donné à lui-même le 15 mai dernier. Il a utilisé le décret, datant du 30 décembre 2005 et signé par Dominique de Villepin, qui soumet un certain nombre d'investissements étrangers en France à l'autorisation du gouvernement. Il l'a étendu aux domaines de l'énergie, des transports, de l'eau, de la santé et des télécoms.

    General Electric a dû promettre de protéger les emplois et l'implantation d'Alstom sur le sol national. L'Etat a ensuite racheté une partie des actions de Bouygues, ce qui lui donne un droit de regard sur le fonctionnement de l'entreprise.

    http://media.rtl.fr/cache/2tT_ax0mKhyP64MswUtSVQ/795x530-2/online/image/2014/0429/7771573006_la-direction-d-alstom-a-accepte-l-offre-de-reprise-de-general-electric-mardi-29-avril.jpg

    Pour réaliser toutes ces manœuvres, il n'a pas été nécessaire de solliciter telle ou telle autorisation aux technocrates de Bruxelles. L'autorisation de Bruxelles est souvent l'argument avancé pour laisser faire les prédateurs, souvent fonds de pensions et d'investissement, qui dépècent notre économie.

    Il n'a même pas été nécessaire de se plier à de longues discussions parlementaires. Il a suivi de publier un décret qui, par définition, n'a pas à être voté.

    Finalement, le gouvernement Valls, pour lequel nous n'avons guère de sympathie, a agi dans le sens du patriotisme économique. Au nom du "Tout ce qui est national est nôtre", il faut lui donner un coup de chapeau.

    Et, surtout, les leçons de l'affaire Alstom sont aveuglantes:

    - quand des gouvernants sont décidés, ils peuvent sauvegarder l'intérêt français;

    - il est possible de prendre des décisions sans mendier la bénédiction bruxelloise;

    - l'Europe est une excuse pour les incapables et les traîtres à la patrie;

    - pour agir efficacement, le gouvernement doit agir vite et fort, sans passer par les bavardages de l'Assemblée.

    Donc, pour sauver la France:

    - NON À L'EUROPE DE BRUXELLES !

    - OUI À UNE FRANCE ROYALE !

    http://www.af-provence.com/article-astom-une-mauvaise-affaire-pour-l-europe-123973617.html

  • Les objectifs de la CGT restent purement politiques

    La CGT nous offre donc encore une semaine de bonheurs. Du premier au quatrième jour, la participation des cheminots, déjà faible au départ, a diminué de moitié. Elle était passée, du 12 au 15 de 27 à 14 %. Elle a néanmoins été reconduite, comme d'habitude, à main levée le 16 par des assemblées générales fort peu représentatives. Une nouvelle séquence aura donc commencé, après par les embarras des jeunes candidats au baccalauréat, et elle se continue avec l'engorgement des transports.

    Si l'on en croit un sondage du "Parisien-Aujourd'hui en France" trois Français sur quatre désapprouvent ce mouvement.

    Cela fait quand même, malheureusement, encore beaucoup trop de gens qui le trouvent sans doute très bien. Voilà de l'espoir pour ce qu'on appelle "la gauche de la gauche" que la direction stalino-cégétiste cherche à fédérer dans sa bataille à retardement contre ce qu'on appelle pompeusement "mondialisation", en fait contre la concurrence et la libre entreprise. Rappelons à ce sujet que la simple desserte par car est soumise au bon vouloir du monopole étatiste.

    Un débat se prolongera à l'Assemblée nationale jusqu'à la fin de la semaine autour du projet gouvernemental. Celui-ci ne se révèle qu'une tentative bien molle, plutôt cafouilleuse, et vouée à l'échec, de faire semblant de réformer le pays, tout en maintenant des avantages corporatifs conçus au siècle dernier, en vertu d'idées datant du siècle précédent. La loi en cours d'adoption a d'ailleurs été conçue pour porter au pinacle le président de la SNCF, le caméléon médiatique Guillaume Pepy, avec le soutien du sous-ministre Cuvillier installé en 2012. Elle risque de n'aboutir à son éviction à court terme. Celle-ci pourrait bien s'opérer sous la pression du ministère de l'Environnement, Madame Royal ayant été remise en selle en 2014, elle-même porte parole des présidents de Régions, vaches à lait du monopole ferroviaire.

    Quelle joie, dans ce contexte incompréhensible, pour les usagers du train, quel extase pour les festivaliers, quelle aubaine pour les Parisiennes : la CGT aura montré dès la semaine du 10 au 15 juin, avec les protestations des intermittents du spectacle, ce dont elle reste capable.

    Pendant ce temps les gros moyens de désinformation auront passé gentiment sous silence le procès qui s'est ouvert, dans l'indifférence presque générale, le 2 juin à Paris sur le comité des Œuvres sociales d'EDF-GDF devenu Caisse centrale d’activités sociales (CCAS). Ah ! la bonne vieille institution : elle remonte à la grande année de Marcel Paul, 1946, année des grandes fournées, je ne trouve pas d'autre mot, de nationalisations. Certes son Histoire a été quelque peu contrariée en 1951 par le gouvernement Pinay : pouah. Mais on l'a reconstituée en lui donnant un nouveau nom. Et elle a donc repris, en toute impunité jusqu'ici, son mode de fonctionnement au service des besoins matériels du parti communiste.

    Quoi de plus naturel et légitime que d'aider le prétendu "parti des 75 000 fusillés", soi-disant "parti de la classe ouvrière" et, jusqu'à une date récente, "premier parti de France".

    En décembre 2012, toutefois, un [méchant] juge d'instruction, à la solde des gros monopoles et du grand capital, n'en doutons pas, répondant au nom de d'Huy, et au prénom plus que suspect de Jean-Marie clôturait son enquête par une ordonnance de renvoi devant le Tribunal correctionnel à l'encontre de Jean Lavielle, ancien président cégétiste de la CCAS, et dix (10) autres personnes. Le même magistrat déférait en même temps  devant la justice le quotidien "L’Humanité", le journal "La Voix ouvrière", la centrale CGT et sa Fédération des mines et de l’énergie.

    Il a cependant fallu attendre 18 mois pour que le TGI de Paris fasse comparaître les 16 prévenus. Il faudra encore attendre, très probablement une procédure d'appel.

    Tous ces gentlemen sont soupçonnés de malversations financières au profit de la cause communiste.

    Doit-on d'ailleurs considérer comme plus grave de détourner des fonds, éventuellement, comme n'importe quel politicien, pour améliorer son propre ordinaire, – ce qu'on appelle "enrichissement personnel" – ou de les remettre au parti communiste ? Laissons aux casuistes le soin de trancher.

    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/2014/06/les-objectifs-de-la-cgt-restent-purement-politiques.html
      

  • Le scandale des intermittents permanents : la preuve par Canal+

    La plupart des producteurs de TV s’engraissent grâce au service public et aux intermittents indemnisés par l’UNEDIC.   

    En ce lundi après-midi, les intermittents du spectacle emmenés par la CGT campent sous les fenêtres du ministère de la Culture, attendant qu’Aurélie Filippetti, comme les héroïnes romantiques, apparaisse à son balcon.

    Nourris au même lait que les cheminots, les « travailleurs-travailleuses » du spectacle tiennent en main une arme bien rodée : le chantage. Quand les uns refusent de faire rouler les trains, les autres sabordent les festivals.

    Ceux-là dénoncent l’accord signé le 22 mars dernier par la CFDT, FO et le MEDEF, qui « plafonne les indemnités à 5.475 euros brut par mois » et « prévoit l’augmentation de deux points des cotisations sociales des intermittents, soit une perte de salaire net de 0,8 % », comme l’expliquait à l’époque Agnès Verdier-Molinié sur le site Atlantico.

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  • Franc-parler…chiche?

    Selon l’Insee qui publiait la semaine dernière ses données définitives, 21.700 postes ont encore été détruits dans le secteur marchand  au premier trimestre, bilan qui intervient  au moment même ou le Royaume-Uni annonçait son plus bas taux de chômage depuis 2008…L’emploi est-il la priorité des acteurs sociauxdans notre pays ? On peut en douter à la lecture du papier publié dans Marianne  faisant état du congrès de la CFDT qui s’est tenu à Marseille au début du mois, au cours duquel son secrétaire général, Laurent Berger, et les militants « se sont interrogés sur le pacte de responsabilité signé par leur direction avec un Medef, prêt à le torpiller ». Mais dans les faits constate Marianne, « estomaqués par le raz-de-marée du FN aux européennes, (les militants) resserrent les rangs derrière leur secrétaire général » dont « le discours reflète (…), les états d’âme de ses militants, complètement sonnés par le score du FN et celui de l’abstention aux européennes ».

     « Cette fois c’est bien plus grave que ne l’admet la direction du PS, met en garde René Briesch, un Lorrain, ancien président du Comité économique et social européen, les électeurs qui ont voté Front National, ne l’ont pas fait pour protester. 97% adhèrent à ses thèses nationalistes et sa dénonciation de l’immigration ! ».

     «Bien sûr qu’en signant un pacte de responsabilité avec un patronat qui joue les chochottes, nous avons pris un risque, s’épanche (Laurent Berger)  en conférence de presse. Je ne l’ai jamais caché. Mais dans deux ans, si l’on ne tente rien, qui sait si la démocratie ne sera pas menacée par un parti qui nie nos valeurs les plus chères ? » (sic).

     Même catastrophisme sur le site de la revue de Bernard-Henry LévyLa Règle du jeu.  Le dénommé François Margolin y a pondu un papier dans lequel il  s’inquiète de l’habileté diabolique d’un FN qui durant « cette dernière campagne électorale », « a si peu parlé d’immigration mais beaucoup plus de  Bruxelles ou de la misère sociale ». Certes il tient à contenter  ses lecteurs  en quête de  grands frissons d’épouvante et englués dans une grille de lecture aussi primaire,  débile qu’obsolète :  le FN est toujours le parti de la « haine » de l’étranger.

     « Mais ajoute-t-il,  rien ne dit que le Front National n’aura pas l’intelligence, si le mot a un sens en la matière, de se reconvertir sur un autre front : celui de la misère sociale. Comme ses ancêtres, les partis fascistes des années 30, ceux de Mussolini, de Jacques Doriot ou de Hitler. Un front – sans jeu de mots – qui a, malheureusement de beaux jours devant lui, si les partis politiques traditionnels n’en prennent pas la mesure. Raison de plus d’être vigilant ».

     Sans oser  proférer les mêmes énormités que M.  Margolin,  Manuel Valls a fait entendre un son de cloche similaire samedi devant le Conseil national du PS : « Le risque de voir Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle existe». « Nous pourrions basculer dans une nouvelle ère. Une ère dans laquelle un des grands partis républicains -  est sans que cela soit une surprise – peut être absent de grand rendez-vous électoral. Rien n’est fait, cela peut être la droite, ce peut être nous. »  « Notre pays peut se défaire et se donner à Marine Le Pen »,  « Oui la gauche peut mourir ». « Il n’existe pas d’alternative à gauche », « l’échec électoral du PS  ne renforcera  pas la gauche de la gauche » a-t-il encore prévenu.

     Ce qui est pour le coup une vérité toute simple énoncée par beaucoup, notamment dernièrement par Michel Onfray dans l’article qu’il a donné au Nouvel Obs, et que nous avons déjà cité, pointant les similitudes pouvant exister entre le FN et le Front de Gauche. « Ce qui réunit les deux fronts est important affirme-t-il : un même refus de l’Europe libérale, une même condamnation des logiques de Maastricht, une même franche suspicion pour l’euro, un même ras-le-bol des partis qui défendent l’Europe libérale, une même condamnation de la quasi-totalité de la presse et des médias qui, aux mains des banquiers, se font les courroies de transmission quotidiennes de l’idéologie libérale, un même souci du petit peuple, une même condamnation des élites qui ont failli, une même défense de l’Etat et, c’est nouveau au FN, un même éloge des services publics. (…). Seule la question de l’islam distingue le FN du FG : un danger pour l’une, une chance pour l’autre. Voilà pourquoi la première rassemble le double de voix du second. Pragmatique, Marine Le Pen pose les questions que tout le monde se pose ; idéologue, Mélenchon estime que ces questions ne sont pas légitimes — elles se posent pourtant ».

     Pour être tout à fait précis, indiquons cependant que ce n’est pas tant la question de l’islam qui sépare le FN du FG et de ses autres adversaires, que celle de l’accueil à haut débit sur notre sol de flux migratoires.  Le FN serait tout autant opposé à l’immigration de peuplement affirme Bruno Gollnisch,  si celle-ci concernait non pas des Musulmans mais  exclusivement des millions d’Africains animistes, des millions de Tamouls polythéistes ou des millions de Chinois confucianistes…

    Il faut posséder, petite parenthèse,   la mauvaise foi militante du journaliste  de RTL et de Canal plus, le  socialiste Jean-Michel Apathie,  pour prendre comme exemple   la victoire lors de ce Mondial de football  de l’équipe des bleus  dimanche soir  face à la modeste formation du Honduras,  afin de  réaffirmer péremptoirement que l’immigration est une chance pour la France !  Les Français sont un peuple accueillant et nullement raciste mais la coupe est pleine depuis déjà longtemps, elle déborde même sur de nombreux points de notre territoire. Une évidence que les Français ont aussi   tenu à  signifier aux partis du Système par leur vote le 25 mai.

    Autant dire que l’historien et militant antiraciste Pierre-André Taguieff n’a que très partiellement raison quand il écrit dans son dernier ouvrage Du Diable en politique, réflexions sur l’anti-lepénisme ordinaire  (Marianne s’en fait l’écho) que « trente ans de rhétorique anti-fasciste et son processus de diabolisation ont contribué à installer le Front National au centre de la vie politique française  ».

     Un FN que droite et gauche ont tenté  d’instrumentaliser à leur profit, or la créature leur échappe ! «  Les chiraquiens et les sarkozystes ont liquidé le gaullisme. Les jospinistes et les hollandistes ont ruiné le socialisme et réduits le PS à une machine de pouvoir incapable de la moindre réflexion ». « L’auteur décrit la disparition de  l’homme de gauche  réduit à un hybride social-libéral-écolo-conservateur-progressiste-républicain avec désormais  la poche à droite et un vague souci de préserver  les acquis sociaux ».

    « Le Front National se retrouve donc être aujourd’hui au centre de la vie politique française (…).  Marine Le Pen séduit les déçus des deux rives. Le Front National est devenu un parti attrape-tout, une formation qui profite de toutes les crises, réussissant l’une des alliances les plus fortes dans le champ politique français actuel : celle de l’aspiration nationale et de l’aspiration sociale ».

     Pourtant, « totalement dédiabolisé, le FN perdrait une grande partie de son attractivité  parie d’ailleurs  Taguieff qui, au  front républicain , substitue l’image de l’ estomac  qui digérerait le Front National, comme il a digéré autrefois les royalistes contre-révolutionnaires. Une digestion lente. Cet estomac existe. En démocratie, il a même un nom : le débat politique ».

    Ecrire que le succès du FN s’explique en «grande partie» par sa diabolisation n’est pas vraiment original et ressuscite un vieux débat. Il est légitime de penser a contrario que c’est justement le processus de  dédiabolisation, engendré  par le travail pédagogique accru de Marine  comme  par les événements  validant les invariants du discours du FN,  les fondamentaux de son programme, qui explique le succès grandissant de l’opposition nationale.

    Ce qui ne veut pas dire souligne Bruno Gollnisch, bien au contraire même,  que le FN doit perdre son tranchant, manier  la langue de bois ou de coton,  abdiquer son franc-parler,  accepter ou appeler de ses vœux un formatage  qui précède bien souvent des reculs programmatiques.

    Nos compatriotes attendent aussi du Front National qu’il continue de porter, sans outrances bien sûr, mais avec fermeté,  le nécessaire combat en faveur du maintien de notre liberté d’expression, menacée par les pulsions totalitaires  de la caste, les kapos du politiquement correct, les censeurs, les démagogues, les falsificateurs de l’histoire, les  propagandistes   d’une novlangue qui est un des instruments du contrôle des esprits.

    Dans les faits, c’est  bien  le  programme porté par le FN,  de rupture avec les politiques euromondialistes  de l’UMPS,  qui séduit une large fraction  de nos compatriotes.  Et  qui les séduiraient encore plus si celui-ci était réellement  exposé, à parité avec celui des partis européistes. C’est-à-dire  avec objectivité, bref « sans affect, sans émotion, sans fantasme, sans peur irrationnelle » pour parler le langage de M. Taguieff. Chiche ?

    http://gollnisch.com/2014/06/17/chiche-2/

  • Chômage, consommation des ménages, recettes fiscales,… C’est la cata !

    Tout va mal ! C’est le terrible constat des différentes statistiques économiques. 14.800 chômeurs supplémentaires en avril et l’Unédic (qui gère l’Assurance chômage) qui annonce déjà une hausse de 103.000 demandeurs d’emploi pour cette année 2014 qui est loin d’être terminée.

    Et la sécurité sociale ? Les chiffres de 2013 qui viennent d’être rendus publics confirment un déficit de 15,4 milliards d’euros, soit 1,2 milliard de plus que prévu.

    Les recettes fiscales ? Deux fois moins élevées que ce qui était attendu !

    Le logement ? C’est l’effondrement d’un tiers des ventes de logements neufs en un an…

    La consommation des ménages ? Encore un recul de 0,3 % alors qu’elle était au plus bas.

    Bref, le budget de l’Etat n’est pas réalisable et la France continue de s’enfoncer en même temps que la cote de popularité de François Hollande.

    http://medias-presse.info/chomage-consommation-des-menages-recettes-fiscales-cest-la-cata/11349

  • Les campagnes s’appauvrissent, mais sont oubliées des actions de réduction des inégalités sociales

    La ministre  Najat Belkacem (photo) propose de rénover la politique de la ville destinée à réduire les inégalités sociales entre territoires. L’objectif ? Recentrer la manne publique sur les seuls secteurs les plus nécessiteux. Seront concernées les zones de population dense, dont plus de la moitié disposent d’un revenu inférieur à 60 % du revenu médian national.

    Or, 85 % des ménages pauvres n’habitent pas dans les quartiers dits « sensibles ». La pauvreté moyenne des campagnes est supérieure de 20 % à celle des zones urbaines. Pourtant, la part des prestations sociales dans leurs revenus est moins élevée qu’en ville. L’Etat a abandonné ces populations rurales au profit de la politique de la ville qui coûte des centaines de millions chaque année.

    Pourtant, la pauvreté des campagnes n’engendre pas autant de délinquance qu’en ville. Le criminologue Xavier Raufer a réduit à néant les justifications de la culture de l’excuse, en démontrant clairement qu’à niveau de pauvreté similaire, la délinquance était très inférieure dans les campagnes que dans les banlieues de l’immigration. Des mal-pensants font remarquer que la composition de la population n’est pas la même.

    http://fr.novopress.info/169638/les-campagnes-sappauvrissent-oubliees-actions-reduction-inegalites-sociales/

  • Loi Duflot : après avoir mis l’immobilier à genoux, le gouvernement recule

    En deux ans, les gouvernants socialistes auront réussi à tuer le secteur de l’immobilier. Il semblerait qu’ils commencent à comprendre que l’idéologie se heurte à la réalité et qu’il ne suffit pas de voter une loi décidant que 500.000 logements sortent de terre pour que ceux-ci se mettent à pousser par eux-mêmes !

    Après la loi Duflot qui voulait que les riches construisent tout en payant plus d’impôt, les outils de défiscalisation ayant été quasiment supprimés et les conditions de loyer se rapprochant d’une prestation sociale, la ministre écologiste nous avait pondu début 2014 la loi dite « Alur ». Sommet de bêtise socialiste, cette loi ne contient pas loin de 200 nouvelles contraintes sur les logements !!!

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  • Gauche du travail ou gogauche du social ?

    C'est le social qui a tué la France. Le budget de la Sécurité sociale est plus grand que celui de l'État.   

    L’amie Altana ne nous avait pas habitués à ça. L’indignation n’est pas bonne conseillère. J’ai cru lire un libelle dont la gogauche a le secret, ce camp du bien qui nous enjoint d’aimer son prochain, de voir en chaque individu un déshérité chargé de toutes les vertus, et de pratiquer la politique des bons sentiments.

    C’est la même morale saint-sulpicienne qui, nous tenant de guide, a poussé quelques étudiants, encore shootés à l’humanitaire façon Kouchner et l’abbé Pierre, à aller crier « Leonarda, reviens » : bêtise compassionnelle et dolorisme pleurnichard, apitoiement sur les exclus et les blessés de la vie, et les clandestins refoulés aux frontières ou à la mer.

    Faut-il rappeler que les SDF en question sont des RMIstes qui bénéficient de la solidarité nationale, de soins non payants et d’une quantité d’autres prestations à titre gratuit, qu’ils sont à plaindre non pas tant par leur état de clochard mais parce qu’ils ont été réduits à ne pas travailler et à coucher dehors à cause de 40 années de politique économique taxant à outrance l’emploi productif ou le travail actif et 40 années de politique du logement criminelle décourageant la construction immobilière et réservant le parc social aux nouveaux immigrants.

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  • Votre patron va pouvoir modifier votre contrat de travail

    La Cour de cassation considère désormais qu'un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat voulue par l'employeur. Y compris une baisse de salaire, si elle reste mineure.
    Un salarié ne peut plus refuser toute modification de son contrat de travail décidée unilatéralement par son patron. La Cour de cassation a modifié son point de vue dans un arrêt du 12 juin 2014. Alors qu'elle l'excluait formellement depuis de nombreuses années, elle juge désormais qu'un employé peut se voir imposer une modification de son contrat, à condition qu'elle n'empêche pas, objectivement, sa poursuite, et donc qu'elle soit mineure.
    Il s'agit, de la part du juge, de l'introduction d'une certaine souplesse dans les relations employeur-employé, qui était absolument exclue jusqu'à présent. La Cour jugeait invariablement que ce qui avait fait l'objet d'un contrat signé ne pouvait en aucun cas être modifié par une partie sans l'accord de l'autre. Elle admettait seulement que la modification refusée, si elle était nécessaire, puisse justifier un licenciement, mais avec indemnités. 
    Cette modification mineure, que le salarié doit désormais accepter, peut même porter sur des éléments essentiels, comme le montant de la rémunération. Ce que les juges considéraient jusque-là comme absolument intangible, sauf accord des deux parties pour la modifier. La Cour de cassation n'admettait même pas que le mode ou le montant de la rémunération prévus au contrat soient modifiés dans un sens favorable au salarié, sans l'accord exprès de celui-ci. 
    Le salarié ne peut plus s'estimer licencié
    Si le changement n'est pas un obstacle à la poursuite des relations de travail dans des conditions normales, le salarié ne peut plus s'estimer licencié, ni demander aux prud'hommes de constater la résiliation de son contrat aux torts de son entreprise. Ceci lui donnait droit à des indemnités de licenciement et dommages-intérêts pour licenciement abusif. 
    "Il ne peut plus sauter sur l'occasion pour quitter l'entreprise avec indemnités", résume un magistrat. La Cour de cassation vient en l'espèce d'admettre qu'un patron impose à son salarié une baisse de son taux de rémunération, parce que cette baisse "représentait une faible partie de la rémunération". 

    L'Express avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupkyAZVuZcEcLbCWY.shtml