Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 455

  • Le vrai testament de Bastiat : les Harmonies sociales

    140913Frédéric Bastiat (1801-1850) a certes sa petite rue à Paris.

    Mais trop de peu de gens connaissent la pensée de l'homme qui écrivait : "Liberté ! Voilà, en définitive, le principe harmonique. Oppression ! Voilà le principe dissonant ; la lutte de ces deux puissances remplit les annales du genre humain".

    On le connaît, pas assez d'ailleurs, pour son talent d'écriture. Sa plume alerte fait de lui une sorte de Voltaire de l'économie."Depuis que nous avons publié, disait-il avec esprit, un rapport au Roi sur le grand parti qu'on pourrait tirer d'une paralysie générale des mains droites, comme moyen de favoriser le travail, il paraît que beaucoup de cervelles sont en quête de nouvelles recettes protectionnistes."

    La publication de ces Harmonies sociales, écrites à l'heure de la mort, en 1850, pour conclure ses Harmonies économiques publiées quelques mois plus tôt, permettait en 2001 au professeur Jacques Garello de voir en lui le vrai prophète d'une authentique "troisième voie" entre les socialistes étatistes et les conservateurs du capitalisme de connivence.

    À l'heure où les Français remettent en cause une classe politique dont, conseiller général des Landes depuis la Restauration, élu député en 1848, il voyait déjà poindre la nuisance, on ne peut le redécouvrir qu'avec intérêt.

    Il affirme en effet et explique de façon claire : "les Harmonies sociales contenues en germe dans ces deux principes : propriété, liberté. Nous verrons que toutes les dissonances sociales ne sont que le développement de ces deux autres principes antagoniques aux premiers : spoliation, oppression."

    POUR COMMANDER LE LIVRE "HARMONIES SOCIALES" 256 PAGES 25 EUROS

    - par internet sur le site des Éditions du Trident

    - ou par correspondance enadressant un chèque de 25 euros
    aux Éditions du Trident 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris

    http://www.insolent.fr/

  • Le culte de la diversité

    Le 16 octobre 2009, Anne Lauvergeon, alors patronne d’Areva (en attendant de devenir présidente du conseil de surveillance de Libération) avait fait sensation en déclarant à la télévision : « A compétences égales, eh bien, désolée, on choisira la femme ou on choisira la personne venant d’autre chose que le mâle blanc, pour être clair. » 

         Apparemment le propos sexiste et raciste est éclatant et le délit d’opinion caractérisé... Mais il est dans la ligne des entreprises soucieuses d’une image politiquement correcte. A ce stade, une condamnation pour discrimination offrirait à Anne Lauvergeon une auréole de martyre et un formidable booster médiatique. On peut supposer que, n’étant pas idiote, elle avait parfaitement mesuré le rapport risque/profit de sa déclaration et en conclure que son propos était soigneusement calibré. A l’instar de la sortie de Jean-Paul Agon, PDG de L’Oréal, assurant au Monde le 13 juillet 2007 : « L’Oréal fait de la discrimination positive et l’assume. Aujourd’hui, lorsque nous rencontrons un candidat qui a un prénom d’origine étrangère, il a plus de chance d’être recruté que celui qui porte un prénom français de souche. » 

         Telle est également la ligne définie par Claude Bébéar, président du Conseil d’Axa et président de l’Institut Montaigne, dans L’Express du 9 février 2004 : « Quand deux candidats de même qualité sont en concurrence, il faut donner la préférence à celui qui est issu d’un quartier difficile. » Beaucoup de grands patrons se sont ainsi engagés dans la voie de la discrimination positive : Alain Mérieux, Henri Lachmann, PDG de Schneider, Serge Weinberg, président de Pinault-Printemps-Redoute. Les grandes entreprises automobiles ont suivi : le président de Renault Louis Schweitzer est même devenu président de la Haute Autorité de lutte contre la discrimination et pour l’égalité (HALDE). PSA a mis en place depuis 2004 un plan de recrutement d’une centaine d’ingénieurs et de cadres étrangers et d’au moins 45 diplômés issus de « zones urbaines sensibles ». L’accord social conclu en 2004 prévoyant « qu’au-delà des règles légales, PSA entend appliquer et promouvoir les meilleures pratiques et lutter contre toutes les formes de racisme, de xénophobie et d’homophobie. » 

         Ces choix peuvent paraître économiquement douteux, mais ils sont médiatiquement judicieux et calculés. Les grandes entreprises sont exposées à des critiques sur leur comportement sociétal : elles délocalisent souvent, licencient parfois et transforment l’environnement. En prenant spectaculairement partie pour la « diversité », elles souscrivent une police d’assurance sur le médiatiquement correct. 

         Rien là de bien original dans ce comportement calqué sur le big business américain. A ce sujet, Samuel Huntington a pointé le rôle joué par la Fondation Ford dans « le soutien de la discrimination positive et les mesures du même type visant à accorder une préférence aux minorités raciales par rapport aux Blancs ». Huntington poursuit ainsi son propos : « Le monde des affaires poussé par des impératifs commerciaux, désireux d’éviter d’éventuels procès et la mauvaise publicité due aux boycotts organisés par les Noirs et d’autres minorités, a joué un rôle très important dans l’établissement des mesures de préférence raciale. Le secret inavouable de la discrimination positive, notait Richard Kahlenberg en 1996, est qu’elle est soutenue par l’Amérique des entreprises. » 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/2014/09/le-culte-de-la-diversite.html

  • LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !

    Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

    Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.

    Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.

    Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

    Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

    Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.

    L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.

    Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.

    « Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »

    A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.

    Pieter Kerstens

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/le-socialisme-cest-partout-et-toujours-un-niveau-de-vie-plus-bas_116141.html#more-116141

  • Famille : le gouvernement lorgne du côté des allocations

    L’Etat cherche de l’argent. Toujours plus d’argent pour combler l’abysse sans fond de la dette française. Et pour le prochain coup de rabot, il semblerait que le gouvernement ait bien envie de se pencher sur la branche famille de la Sécurité sociale. Cette partie qui accorde des primes lorsque survient la naissance d’enfants et qui permet également aux mères de prendre un congé parental lorsqu’elles le souhaitent. Entre autre. Apparemment tout cela  coûte trop cher puisque des économies sont envisagées dans ce secteur.Objectif : 800 millions d’économie. Ce qui n’est pas une plume…

    Marisol Touraine, ministre des Affaires Sociales, a beau dire que rien n’est encore acté, les familles ont de quoi s’inquiéter. En effet, l’une des principales solutions envisagée pour réduire les dépenses serait la réduction de la prime de naissance ou encore la diminution de la durée du congé parental. Alors qu’il est, jusqu’à aujourd’hui, possible de prendre un congé maternité de trois ans à partir du deuxième enfant, celui-ci se retrouverait réduit à un an maximum. C’est en tout cas ce que révélait le journal Les Echos, le 8 septembre dernier. En prenant de telles mesures, l’Etat espère faire une économie allant de 300 à 400 millions d’euros. Il voudrait obliger les femmes à travailler et les empêcher de s’occuper de leurs enfants qu’il ne s’y prendrait pas autrement !

    De telles mesures contribueraient encore davantage à étouffer les familles déjà lourdement sollicitées par l’Etat. Il est à craindre également, que la natalité française n’en souffre. Et par ce biais tout notre pays, car quand la base souffre, on ne peut s’étonner que le reste de la société s’en ressente.

    Roxane Dulac

    http://medias-presse.info/famille-le-gouvernement-lorgne-du-cote-des-allocations/15032

  • Le père Guy Gilbert bénit les "sans-dents"... sans son dentier

    Lu ici :

    "C'est une tradition au Cap d'Agde : le père Guy Gilbert, le curé des loubards, bénit chaque année la foule des Brescoudos et de leurs motos. Connu pour son franc parler, il s'en ait pris à l'ex-couple présidentiel dans un discours plutôt "mordant".

    "Merci pour ce moment", a-t-il débuté. "Si vous divorcez ou vous vous séparez de votre mec, ne faites pas un roman de cela !" Avant de conclure : "Moi, je suis un sans-dents, la preuve, regardez !" Et il a enlevé son dentier.

    Il a ensuite recommandé  : "Pensez d'abord à votre famille, n'abandonnez pas vos enfants, occupez-vous d'eux  et surtout pensez que le temps perdu ne se rattrape jamais".  Le père Guy Gilbert a ajouté " Je suis un sans-dents mais je ne suis pas vieux : le 12 septembre, je fêterai mes 79 ans."


    CAP d'AGDE - PRECHE GUY GILBERT AGDE MERCI POUR... parHerault-Tribune

    Michel Janva

  • Étienne Chouard – Frédéric Bosqué : « Éco-villages avec revenu de base »

    Rencontre entre Étienne Chouard et Frédéric Bosqué à l’Université du Revenu de Base.

  • Mistral : un excellent papier de Dominique Merchet

    Mistral : une sanction contre la France, pas contre la Russie Qui, de la Russie ou de la France, paiera le prix le plus élevé à la suite de la décision de François Hollande de suspendre jusqu’à nouvel ordre la livraison du BPC Vladivostok à Moscou ? Il n’est pas sûr que ce soit la Russie et, si la vente était annulée - ce qui, à ce stade, n’est pas certain - le sanctionneur pourrait, au final, s’averé être le sanctionné... Pour une raison simple : la Russie est moins attachée qu’on le croit ici à cette livraison, qui a été très contestée au sein de l’appareil militaro-industriel du pays. Le contrat avait été conclu par l’équipe précédente, celle de Medvedev et du ministre de la défense Serdioukov, très critiqué en interne pour ce choix d’ouverture vers l’Occident qui marquait une rupture radicale avec la tradition soviétique. Les "conservateurs" russes tiennent aujourd’hui leur revanche sur le thème : on ne peut jamais faire confiance à l’Occident et mieux vaut produire nos matériels chez nous.

    Si l’on veut que des sanctions soient efficaces, il faut qu’elles soient douloureuses pour la personne visée. Se casser le poignet en donnant une claque n’est en général pas très malin. Deux choses feraient vraiment mal aux Russes : la fermeture de l’accès aux places financières et un embargo sur les technologies de pointe permettant l’exploitation des hydrocarbures. Ils seraient réellement frappés aux portefeuille. En revanche, les priver de deux porte-hélicoptères va sans doute les gêner, mais pas plus que cela. [...]

    La suite sur Secret Défense

    Et ce, alors que, selon l’Otan, il manque plus de deux milliards au budget français de la Défense... et que Pour les industriels français de l’armement, la crédibilité de la signature de l’Etat est engagée. Un défaut aurait des conséquences sur d’autres contrats...

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Mistral-un-excellent-papier-de

  • Rebsamen et le contrôle des chômeurs : Sarkozy, sors de ce corps ! [Présent 8180]

    Après Valls et sa ridicule « danse du ventre » devant les patrons du Medef, c’est le ministre du Travail, François Rebsamen, qui a fait mardi ce que ses petits camarades du gouvernement et lui-même reprochaient si violemment à la droite lorsqu’ils étaient dans l’opposition : demander le renforcement des contrôles visant les chômeurs. Une déclaration qui a, bien sûr, immédiatement suscité la colère de « la gauche de la gauche » mais a, au fond, atteint son objectif : détourner l’attention des nouveaux mauvais chiffres du chômage.

    Une du numéro 8180 de "Présent"Mise en scène

    Souvenez-vous. C’était en février 2012. En pleine campagne présidentielle. Nicolas Sarkozy proposait de renforcer le contrôle des chômeurs, en rendant notamment obligatoire une formation qualifiante pour ceux qui n’arrivaient pas à rebondir passé un délai de quelques mois et les obliger à accepter la première offre correspondant à cette formation, sous peine d’être radiés. Une proposition qui avait déclenché illico la colère du PS, qui avait réagi dans un communiqué semblant très actuel : Sarkozy « préfère mettre en scène la culpabilisation de ceux qui subissent ses erreurs politiques, pour mieux s’en dédouaner. Avec François Hollande, nous avons conscience que notre tâche ne sera pas d’accuser ni de diviser les Français, mais bien de redresser la France. Quand Nicolas Sarkozy attaque les chômeurs, François Hollande, lui, veut s’attaquer au chômage ». Et Hollande lui-même tweetait : « Le candidat sortant pense que les chômeurs veulent rester chômeurs ? Ce qu’attendent les chômeurs, c’est du travail ! »

    Et ils attendent toujours. Depuis, en effet, le candidat Hollande est devenu président. Or, après des mois de hausse consécutive du chômage, la France compte aujourd’hui un demi-million de demandeurs d’emplois en plus. Et les experts s’attendent au pire pour les mois à venir. Alors, comme le disait si bien le PS en 2012, le gouvernement met« en scène la culpabilisation de ceux qui subissent ses erreurs politiques, pour mieux s’en dédouaner ».

     

    Ainsi, interrogé mardi matin par un journaliste d’i-Télé sur la possibilité de changer les règles d’indemnisation du chômage, Rebsamen a-t-il répondu qu’être « chômeur, au sens du Bureau international du travail, c’est rechercher un emploi » et demandé par conséquent « à Pôle emploi de renforcer les contrôles », ajoutant que cette mission nécessite un « état d’esprit différent, des convocations et des vérifications (…). Sinon, on est radié ».

    Tollé à gauche

    « Contrôles »« renforcer »… Pour une gauche qui, lorsqu’elle entend ces mots, imagine tout de suite un retour aux « heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire », ces propos ont bien sûr fait l’effet d’une bombe. Immédiatement, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, se fendait d’un communiqué indiquant que « les annonces sur le contrôle des chômeurs (…) ne sont pas (…) pertinentes » car « si les abus peuvent être recensés, on ne peut réduire notre politique à ce but. » Même colère chez les écolos et les syndicats, qui ont dénoncé une nouvelle « stigmatisation des chômeurs ». Et Thierry Mandon lui-même, le secrétaire d’Etat chargé de la Réforme de l’Etat, confiait : « Ce n’est pas parce qu’on contrôle un peu plus les chômeurs qu’on va vaincre le chômage. »

    Une levée de boucliers qui a amené Rebsamen à moduler ses propos dans la journée, assurant qu’il n’était pas question de « stigmatiser » les chômeurs, mais juste de « rappeler la loi ».

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/174295/rebsamen-controle-chomeurs-sarkozy-sors-ce-corps-present-8180/

  • PS et syndicats soutiennent les fraudeurs

    Sur i-Télé, le ministre du travail, François Rebsamen a annoncé « demander à Pôle emploi de renforcer les contrôles pour vérifier que les gens cherchent bien un emploi ». En d’autres termes il a demandé aux services de l’Etat de s’assurer que l’argent des contribuables et des salariés sert bien à ce pourquoi il est prélevé ! Que n’a-t-il pas dit !

    Les tenants de la gauche la plus sectaire et démagogique y ont été de leur petit refrain :

    • « Les annonces faites sur d’autres sujets, en particulier sur le contrôle des chômeurs, brouillent le message présidentiel. Et nous le regrettons […] Ces annonces ne sont pas non plus pertinentes » d’après le secrétaire général du PS Jean-Christophe Cambadélis.

    • « Droite ou gauche, c’est la même recette : les bonnes vieilles politiques punitives sont de retour. On peigne les fichiers, et comme ça, on a de meilleurs chiffres. Il faut obtenir des résultats, quels que soient les moyens. Mais même si ces pratiques se traduisent par une baisse du chômage, elle sera artificielle et nous reviendra à la figure comme un boomerang. » Philippe Sabater, secrétaire national du syndicat SNU Pôle Emploi

    La CFDT elle est atterrée, Force Ouvrière est abasourdie, etc…

    Lire la suite

  • La France, ce beau pays aux 6 millions de chômeurs officiels

    Les 3,4 millions de chômeurs de catégorie A que soulignent les statistiques officielles du chômage sont en réalité l’arbre qui cache la forêt des 6 millions de chômeurs en France, toutes catégories confondues.

    Dans les statistiques sur le chômage parues le 27 août, un chiffre est passé totalement inaperçu. Et pourtant, il fait froid dans le dos tant il permet de mieux réaliser le marasme dans lequel la France se situe.

    Si l’on en croit les données – on ne peut plus fiables – publiées chaque mois par le ministère du Travail et Pôle emploi, la France comptait au 31 juillet un peu plus de… 6 millions de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi. Oui, vous avez bien lu : 6 millions de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi, et même 6,0802 millions pour être précis !

    Lire la suite