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social - Page 456

  • La pauvreté en Europe, ce thème absent de la campagne des européennes.

    Dans l’actuelle campagne des européennes, que cela soit en France ou dans la plupart des pays fondateurs de l’Union, il est un thème qui n’est que rarement abordé par les médias et par les partis qui convoitent les suffrages des électeurs : la pauvreté.

    Sans doute parce qu’il peut apparaître comme un thème « non porteur » comme disent certains communicants, et parce que les plus pauvres ne se déplacent guère pour glisser un bulletin dans l’urne, plus désabusés encore que le commun des électeurs : absent des préoccupations européennes officielles, ils s’absentent d’eux-mêmes de la liturgie électorale, n’y croyant plus et se réfugiant dans une pêche à la ligne qui, pensent-ils, leur assurera plus sûrement de quoi dîner le soir… Au-delà de la boutade, il y a de fortes réalités qui ne sont, en fait, guère réjouissantes : en 2012, selon les statistiques d’Eurostat (l’office statistique de l’UE) publiées en décembre 2013, près de 125 millions de personnes de l’UE28 (l’Union européenne à 28 Etats, la Croatie n’ayant, en fait, rejoint celle-ci qu’en juillet 2013) étaient menacées ou atteintes par la pauvreté et l’exclusion sociale.

    Pour la France, les chiffres sont alarmants et évoquent une situation qui, malheureusement, se dégrade encore avec la hausse continue du chômage : 11,8 millions de personnes concernées par l’une des trois formes de précarité sociale évoquées par l’enquête, soit 19 % de la population française… Bien sûr, toutes les situations ne sont pas forcément dramatiques mais elles sont néanmoins inquiétantes, en particulier pour les 5,3 % de Français qui sont classés dans la catégorie des « personnes en situation de privation matérielle sévère » mais aussi les 14,1 % de personnes en état de « pauvreté monétaire » (la catégorie précédente y étant largement, d’ailleurs, intégrée).

    Dans certains pays de la zone euro, pourtant réputés riches, la situation n’est guère plus brillante : en Belgique, 21,6 % de personnes sont affectées par l’une au moins des trois formes de précarité ; en Allemagne, 19,6 % ; en Italie, presque 30 % ! Quant à la Grèce, elle est passée d’une proportion de 28,1 % en 2008 à 34,6 % en 2012, proportion qui n’a cessé d’augmenter jusqu’à ce printemps, avec un taux de chômage global d’environ 27 %...

    La suite sur le blog de Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-pauvrete-en-Europe-ce-theme

  • Hausse contenue du chômage pour le premier trimestre 2014

    Souvenons‑nous de la promesse du ministre des Finances Michel Sapin, à l’époque où il était ministre du Travail du gouvernement Ayrault, qui énonçait une « inversion de la courbe de la hausse du chômage » avant 2013. En réponse à cela, le président de la République a déclaré récemment n’avoir « aucune raison d’être candidat » en 2017 si le chômage ne baissait pas.

    La réalité économique semble cruelle : selon l’agence Pôle emploi, le nombre de chômeurs toutes catégories confondues s’élevaient en mars à 4.95 millions soit une augmentation de 11.8 % en un an. Le ministère du Travail évoque vaguement une « stabilisation » de la hausse et se garde d’avancer un pronostic concernant la baisse globale du chômage. Par ailleurs le gouvernement compte sur le pacte de responsabilité pour inverser cette courbe.

    En dernier lieu, il convient de noter que le nombre de personnes radiées des listes de chômeurs reste inconnu.

    http://fr.novopress.info/164744/hausse-contenue-du-chomage-premier-trimestre-2014/

  • Industrie : Quand la France perd ses fleurons

    Plusieurs groupes tricolores sont récemment allés chercher leur salut à l’étranger, sans provoquer beaucoup d’émoi du côté des pouvoirs publics…

    Alstom lorgné par les Américains , le cimentier Lafarge qui va installer son siège en Suisse,Publicis qui se cherche un double point de chute fiscal à l’étranger pour sceller ses noces avec l’américain Omnicom, PSA Peugeot Citroën qui vient d’accueillir son nouvel actionnaire de référence chinois et jusqu’aux marques de cochonnailles Justin Bridou-Cochonou désormais dans le panier du chinois WH, numéro un mondial du porc : en quelques mois, plusieurs groupes tricolores sont allés chercher, d’une façon ou d’une autre, leur salut à l’étranger.

    N’en déplaise au discours ambiant sur le patriotisme économique, ces opérations se sont souvent conclues sans opposition particulière des pouvoirs publics, voire parfois avec des encouragements officiels.

    A lire aussi : Alstom dans le viseur de l’américain General Electric

    Créé dès 1833 en Ardèche, Lafarge avait jusqu’à présent grandi à coup d’acquisitions à l’étranger (Redland et Blue Circle en Angleterre, Orascom Cement en Egypte…). Mais cette fois-ci, la course à la taille critique passe par une fusion avec son rival suisse Holcim. Une opération qui fait craindre aux syndicats des coupes dans les effectifs en France et qui se soldera par le départ du siège de Lafarge à Zurich, soit hors de l’Union européenne.

    Côté Publicis-Omnicom, où « l’optimisation fiscale » semble tenir une place centrale dans les modalités de la fusion, les deux fiancés ont fait un subtil distinguo entre le siège social du futur géant mondial de la pub, qui atterrirait aux Pays-Bas, et sa « résidence fiscale », qui pourrait revenir au Royaume-Uni. Mais outre le nécessaire aval des autorités françaises, ils doivent aussi recueillir celui des autorités bataves, un point qui semble plus compliqué que prévu, à en croire les récents propos du patron d’Omnicom. Car la Commission de Bruxelles semble, de plus en plus, réticente à voir les Pays-Bas servir d’aimant fiscal à toutes les grandes multinationales européennes.

    Dans d’autres cas, le gouvernement français est moins gêné aux entournures, et n’hésite pas à jouer un rôle actif dans les discussions. Chez PSA, il était même prévu un temps que le Chinois Dongfeng prenne 30 % du capital, à parité avec l’État français. Mais l’amélioration des conditions de marché, fin 2013, a permis de réduire ces parts respectives à 14 %, la famille Peugeot conservant également 14 %.

    Quant à l’électroménager de FagorBrandt, lâché par son ex-actionnaire basque Mondragon, il passe sous pavillon algérien, en l’occurrence le groupe privé Cevital, avec la bénédiction d’Arnaud Montebourg et même un chèque de bienvenue de 47 millions d’euros de l’État français.

    Les Échos

    http://fortune.fdesouche.com/337327-industrie-quand-la-france-perd-ses-fleurons#more-337327

  • Pour financer son pacte, Matignon veut piocher dans les cotisations retraites

    Le coup de pouce promis cette semaine par Manuel Valls pour les salariés payés au Smic, pourrait être financé par une partie des cotisations retraites, a expliqué Jean-Claude Mailly à la sortie de son entretien avec le Premier ministre.
    Cela ne devait être qu'une simple prise de contact. Mais si les organisations syndicales défilent depuis ce matin à Matignon, certaines comme Force ouvrière, n'ont pas manqué d'interroger le Premier ministre sur ses intentions. Et en premier lieu, sur la question du pouvoir d'achat. 
    François Hollande avait déminé le terrain en annonçant un "pacte de solidarité" pour compenser son désormais fameux "pacte de responsabilité". Mais dans son discours de politique générale prononcé mardi devant l'Assemblée nationale, Manuel Valls a annoncé une baisse des cotisations salariales "pour les salariés payés au Smic". Sans toutefois en préciser lesquelles, ni l'assiette. 
    "L'Etat compensera" affirme Matignon
    Et c'est justement cette question qu'a posée Jean-Claude Mailly ce vendredi matin à Manuel Valls. Réponse de Matignon: il s'agira des "cotisations vieillesses". Ce qui a fait bondir le secrétaire général de Force ouvrière qui a jugé cette idée "un peu stupéfiante". Les cotisations d'assurance-vieillesse sont partagées entre le salarié et l'employeur. Elles servent de base pour le calcul des droits à la retraite.
    "Quand on demande comment tout ça va être compensé, il n'y a aucune réponse", a déploré Jean-Claude Mailly sur le perron de Matignon, pointant des "risques sérieux pour des prestations sociales". Dans le viseur du syndicaliste, l'avenir d'une partie des cotisations sur les accidents du travail et les maladies professionnelles qui devraient, elles aussi, baisser, a ajouté Jean-Claude Mailly. Pour lui, "le plus simple" auraient été "d'augmenter le Smic" plutôt que de baisser des cotisations sociales et d'"ouvrir le front de la Sécurité sociale". 
    Dans la foulée des déclarations du secrétaire général de Force ouvrière, l'entourage du Premier ministre s'est empressé d'apporter des précisions. D'abord, ces exonérations n'auront "évidemment aucune incidence sur les droits à la retraite de salariés". Enfin, "l'Etat compensera" ces baisses de cotisations a assuré Matignon. Comment ? Il faudra encore patienter. 

    Source : L'Expansion.com avec AFP : http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/pour-financer-son-pacte-matignon-veut-piocher-dans-les-cotisations-retraites_1508086.html

  • Le fait de travailler le dimanche est-il vraiment nécessaire ?

    Ne peut-on pas se passer d’acheter des trucs dont on n’a pas besoin un petit jour par semaine ?   

    Nous apprenons que le gouvernement, opérant un de ces retournements dont il a fait une habitude quasi hebdomadaire, promeut désormais le travail le dimanche. Voilà quelque chose d’important qui soulève d’importantes questions.

    Le fait de travailler le dimanche est-il vraiment nécessaire ? Est-ce vraiment mieux pour les salariés ? Certes, ils seront mieux payés mais pour combien de temps encore ? Ne peut-on pas se passer d’acheter des trucs dont on n’a pas besoin un petit jour par semaine ? N’aurait-il pas été plus judicieux de faire ouvrir les magasins plus tard les autres jours ? Certes, les touristes sont contents mais sommes-nous déjà un pays du tiers monde pour nous plier autant à ce que réclame le premier Américain en short venu ?

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  • Zalando accusé par la presse d'épuiser ses salariés en Allemagne

    Un reportage de la télévision allemande dénonce les temps de repos réduits au minimum, les fouilles du personnel en fin du service et l'épuisement général des salariés.

    Zalando, étoile montante de la vente en ligne en Europe, traverse une tempête en Allemagne après la diffusion lundi 17 avril d'un reportage télévisé dénonçant les conditions de travail dans l'un de ses centres de logistique.

    Ce documentaire d'une vingtaine de minutes, retransmis par la chaîne RTL, relate l'infiltration incognito d'une journaliste au sein du principal site de traitement logistique de la société allemande, à Erfurt (centre), où 2.000 salariés empaquettent et envoient quotidiennement les milliers de produits commandés d'un clic par les amateurs du shopping sur internet.

    Employée trois mois durant comme magasinière, celle-ci y décrit des journées harassantes, durant lesquelles elle parcourt jusqu'à 27 kilomètres à pied en huit heures pour récupérer un à un les articles dans les immenses étalages du site, les temps de repos réduits au minimum, les fouilles du personnel en fin du service ou encore l'intervention quasi-quotidienne d'ambulances pour des salariés au bout du rouleau.

    "Nous sommes perpétuellement soumis à des contrôles et à une énorme pression de rendement", affirme la journaliste, qui dénonce des atteintes au droit du travail, ajoutant que le fait même de s'assoir est "mal vu" par les chefs d'équipes.

    Un chiffre d'affaires en progression de 50% sur un an

    Zalando, jeune pousse fondée en 2008 qui a crû à toute vitesse ces dernières années, vend chaussures, vêtements et meubles par endroits dans presque toute l'Europe de l'Ouest, les pays scandinaves et s'est lancée à la conquête de l'Est avec son nouveau site polonais.

    Misant sur une communication offensive autour de la cliente qui hurle de bonheur en recevant son colis, l'entreprise, qui étudie une introduction en bourse, a vu son chiffre d'affaires progresser de 50% à 1,8 milliard d'euros l'an passé, sans toutefois parvenir à dégager de bénéfice pour le moment.

    Si les griefs formulés contre ses méthodes ne sont pas nouveaux, ils jettent une nouvelle fois l'opprobre sur un secteur d'activité régulièrement accusé, en Allemagne comme ailleurs, de faire peu de cas de ses salariés et de tenter d'écraser la concurrence par tous les moyens.

    L'an dernier, le géant américain de la vente en ligne Amazon s'était retrouvé au coeur d'un scandale après un reportage de la chaîne allemande ARD, qui lui reprochait de recourir à une agence de sécurité employant des néonazis pour surveiller certains de ses salariés en Allemagne. Ces derniers, pour la plupart étrangers, touchaient en outre des salaires inférieurs à ceux qui leur avaient été promis.

    "Sklavando"

    Avec ces nouvelles révélations, le débat est reparti de plus belle dans le pays sur les conditions de travail au sein de Zalando, dont le nom a été détourné en "Sklavando" par ses détracteurs sur internet.

    Adepte d'une communication directe avec ses clients sur les réseaux sociaux, la société est montée au créneau dès la diffusion du reportage pour contester ces accusations: "Et ben, il y a beaucoup d'émotion, mais il faut aller au-delà", a-t-elle réagi sur sa page Facebook.

    "De notre point de vue, la présentation des faits ne correspond pas du tout à la culture au sein de l'entreprise et à l'état d'esprit des salariés", a-t-elle encore affirmé sur son site internet le lendemain, promettant toutefois d'étudier "les points sur lesquels ces critiques sont justifiées et s'il s'agit d'erreur systématiques ou d'erreurs individuelles".

    Zalando, qui a entamé une procédure en justice contre la journaliste pour rupture du secret professionnel, affirme aussi que dans une enquête interne, réalisée en partenariat avec un institut de sondages indépendant, 88% de ses salariés disent leur plaisir à travailler.

    Mais pour Stefan Najda, porte-parole du syndicat Verdi interrogé par l'AFP, "les salariés ont peur, ils sont souvent employés en contrat à durée déterminée, il n'y a aucun comité d'entreprise et ceux qui en parlent sont licenciés".

    "Nous n'appelons pas du tout au boycott (...) mais je conseille aux clients de ne pas avoir toujours pour seul critère le prix", ajoute-t-il.

    Source : http://www.challenges.fr/entreprise/20140418.CHA2930/zalando-accuse-d-epuiser-ses-salaries-en-allemagne.html

  • Les Français n’ont pas confiance dans le MEDEF… ni dans la droite et la gauche

    Le MEDEF a l’initiative, et les manifs anti-MEDEF n’ont pas rassemblé grand monde.   

    57 % des Français ont une mauvaise opinion du MEDEF. Son président Pierre Gattaz a proposé, récemment, un sous-SMIC pour « favoriser l’emploi » des jeunes. Dans un jeu très habituel de répartition des rôles, comme dans les films policiers où il y a toujours un méchant flic et un autre, bien plus compréhensif et empathique, Laurence Parisot, ex-présidente de l’organisation patronale, a critiqué cette proposition. Elle relèverait, a-t-elle dit, d’une « logique esclavagiste ». Reste que ce ballon d’essai a montré que le MEDEF a l’initiative, et nous avons vu que les manifs anti-MEDEF n’ont pas rassemblé grand monde.

    Le débat est en fait totalement faussé. Ce n’est évidemment pas la gauche ultra libre-échangiste qui peut être un rempart contre le libre-échangisme du MEDEF. Ce n’est pas non plus un gouvernement ayant abandonné tous ses moyens de politique économique, budgétaire, monétaire qui peut imposer quoi que ce soit au grand patronat. Un pacte de « responsabilité » entre ce gouvernement et le MEDEF ? Laissez-nous rire. Quant au petit patronat, il survit… quand il le peut. Ainsi, le moins que l’on puisse dire, c’est que le fameux pacte de responsabilité de Hollande est suffisamment flou pour ne pas mettre le MEDEF en difficulté quant aux contreparties des allégements de charges.

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  • Bonnets rouges : l’heure de la répression

    Le Système a attendu que l’ambiance se calme un peu pour sévir contre les « Bonnets rouges », ces révoltés bretons, dont les manifestations ont coïncidé avec la série de destruction des portiques écotaxes.

    Onze militants sont ainsi jugés ce mardi au tribunal correctionnel de Rennes pour « association de malfaiteurs » et « destruction » d’un portique écotaxe.
    Huit d’entre eux ont été écroués dans l’attente de leur comparution, a annoncé le parquet dimanche. Ils risquent dix années d’emprisonnement. Une manifestation de soutien s’est déroulée lundi 21 avril 2014 devant le palais de justice de Rennes.
    Toucher le Système n’aime pas qu’on le touche au porte-feuille.

    http://www.contre-info.com/bonnets-rouges-lheure-de-la-repression

  • La mort des centres commerciaux américains

    Les centres commerciaux, emblématiques du mode de vie américains, ferment leurs portes les uns après les autres aux Etats-Unis.

    Les centres commerciaux font partie intégrante du mode de vie américain depuis la naissance de la société de consommation dans les années 1950. L’Europe a suivi ce modèle 20 ans plus tard. C’est notamment leur adoption par les adolescents, porteurs du nouveau style de vie, qui a fait aux Etats-Unis leur popularité et leur succès.

    Mais le temps des centres commerciaux semble aujourd’hui révolu. Ils ferment un peu partout dans le pays victimes notamment de leur incapacité à s’aligner en terme de prix et de choix sur le commerce électronique.

    On trouve même des sites (deadmalls.comdeathandtaxesmag.com et buzzfeed.com) qui répertorient et publient des photographies de centres commerciaux à l’abandon. Une autre raison pour laquelle les centres commerciaux disparaissent et leur abandon progressif par les adolescents américains.

    Selon la 27ème étude semestrielle du cabinet Piper Jaffray sur le comportement des adolescents américains, leur fréquentation des centres commerciaux a baissé de 30% en dix ans. Ils s’y sont rendus en moyenne 29 fois au cours des douze derniers mois contre 38 fois en 2007. L’étude souligne que les restaurants remplacent de plus en plus les centres commerciaux comme lieu de rendez-vous pour les adolescents américains.

    Il faut dire aussi que l’obsession sécuritaire dans les centres commerciaux, les couvre-feux pour les jeunes et l’agressivité de vigiles de plus en plus nombreux, a aussi contribué à changer les habitudes des adolescents tout comme une évolution de leurs habitudes de consommation.

    Piper Jaffray explique que pour la première fois depuis qu’il réalise son étude, les adolescents américains ont dépensé une part plus importante de leur argent en nourriture et en «événements» qu’en habillement. C’est encore trop tôt pour prolonger cette tendance, mais les adolescents, victimes de la crise et d’une baisse de leur pouvoir d’achat, réduisent peut-être leur dépendance et leur addiction aux marques de vêtements à la mode.

    Slate

    http://fortune.fdesouche.com/337011-la-mort-des-centres-commerciaux-americains#more-337011