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social - Page 468

  • Les usines françaises malades du sous-investissement

    Ça crisse. Ça chuinte. Ça cliquette… A Fromelennes, un petit village des Ardennes, l’usine de cuivre va pouvoir continuer à résonner du bruit des machines. Au moins pour un an. Il s’en est fallu de peu. Depuis des mois, le site et ses 350 salariés étaient menacés. Mis à mal par la crise, l’italien KME, propriétaire des lieux, avait décidé de fermer une des unités-clés de Fromelennes, la fonderie. Une installation ancienne, déficitaire et un peu trop souvent en panne. « Ce n’est pas là que KME a investi, c’est clair », explique un salarié. Or, sans fonderie, le personnel ne donnait pas cher des ateliers de transformation. Cela aurait signé la fin d’un site historique, ex-Pechiney, où l’on travaille le cuivre depuis 1817.

    Mais le 15 janvier, bonne surprise : la procédure de fermeture est annulée. « Ce n’est pas un miracle, commente Rachid Belkebir, le représentant de l’intersyndicale CFDT-CGT. Après l’annonce de la fermeture, on a réorganisé le travail, traqué les économies possibles, et amélioré la productivité de 30 % en six mois ! Cela a amené la direction à revoir ses plans ». D’autant que le personnel s’est engagé à gagner de nouveau 5 % en productivité cette année. Fromelennes est – provisoirement – sauvé.

    Ça craque. Ça crisse. Ça coince… Fromelennes résume les dangers qui guettent de plus en plus d’usines françaises. Des sites souvent anciens, mal organisés, sous-utilisés, peu rentables. Les premiers menacés en cas de difficultés. Pour le dire en un mot, vétustes.

    L’HÉRITAGE DES « TRENTE GLORIEUSES »

    Ce mot, Christophe de Margerie, le PDG de Total, a été l’un des premiers à oser l’employer. Le système industriel français est « globalement vétuste », c’est « une évidence » qu’il faut « accepter d’entendre », affirme-t-il au détour d’un entretien aux Echos, le 28 août 2013. Venant du premier industriel de France, ce diagnostic-choc prend un relief particulier.

    A l’époque, le patron de Total prépare le terrain pour son propre groupe : quelques jours plus tard, il annonce son intention de fermer à terme la principale unité du complexe chimique de Carling, en Moselle. Un site assez représentatif, lui aussi, de l’outil industriel français. Créé dans les années 1950 pour exploiter le charbon lorrain, il est relativement petit, éloigné des ports et des raffineries. Dans ce contexte, Total a préféré depuis des années investir ailleurs, sur des sites géants à Anvers (Belgique) ou Jubail (Arabie saoudite). Jusqu’au jour où la question du maintien de Carling s’est posée.

    Mais le constat dépasse Total. La France compte certes des usines dernier cri, comme celle que le fabricant de tracteurs Massey Ferguson a inaugurée à Beauvais (Oise) en novembre 2013. Mais l’essentiel des sites date soit d’avant-guerre, soit des années de forte croissance, entre 1945 et 1975. « C’était aussi une époque où la France acceptait encore de construire des usines, sans que le moindre projet soit l’objet de recours », note le consultant Denis Florin, de Lavoisier Conseil.

    Depuis ces « trente glorieuses », peu d’unités totalement neuves sont sorties de terre. Quant aux équipements, eux aussi accusent souvent un certain retard. Un exemple ? Kem One. Sur les quatre usines de chlore de l’ancienne filiale d’Arkema, « une seule peut être considérée comme moderne », soulignaient en 2013 les experts de Bercy. « Deux sont fortement consommatrices d’énergie, et une est condamnée à horizon 2020 pour des raisons d’environnement ». Un gros chantier en vue pour les repreneurs qui se sont lancés dans l’aventure…

    LA FRANCE EN QUEUE DE PELOTON DANS L’UE

    « On paie vingt ans de sous-investissement », résume Robin Rivaton, auteur de plusieurs notes sur l’industrie pour le think tank libéral Fondapol. « Les marges des petites entreprises ont tant baissé qu’elles ont rogné sur toutes leurs dépenses, et les groupes mondiaux ont investi plutôt ailleurs, notamment dans les pays émergents », renchérit un industriel français. Confessant, sous le sceau de l’anonymat : « Moi aussi, j’ai sous-investi ».

    Selon la Banque européenne d’investissement, la France est, avec l’Irlande, le pays d’Europe qui, en proportion, a consacré le moins d’argent à son outil industriel entre 1995 et 2002. De l’ordre de 5 % du produit intérieur brut (PIB), contre plus de 8 % en Belgique et en Italie.

    « Oui, les marges écrabouillées se sont traduites par un vieillissement des installations et une perte de compétitivité, confirme Arnaud Montebourg, le ministre du redressement productif. Les années Sarkozy ont été un désastre sur ce plan ».

    L’exemple des robots est particulièrement parlant. En 2013, la France ne comptait que 33.000 robots industriels dans ses usines, contre 58.600 en Italie et… 165.800 en Allemagne, le pays de la mécanique, selon l’International Federation of Robotics. Un écart de 1 à 5 entre les deux rives du Rhin. « Et cet écart avec nos concurrents européens s’accroît », souligne M. Rivaton : seuls 2.900 robots ont été installés en France en 2013, quand l’Allemagne en ajoutait six fois plus. Dans le même temps, la Grande-Bretagne, longtemps à la traîne, se met elle aussi à s’équiper.

    En France, aucun signe de redressement n’est en vue. Après une remontée en 2010 et 2011, les commandes de machines-outils et autres équipements de production sont reparties à la baisse depuis la mi-2012. Elles ont chuté de 25 % en 2013, estime le Syndicat des entreprises de technologies de production (Symop). Au même moment, les commandes des industriels japonais sont, elles, à leur plus haut niveau depuis cinq ans.

    Faute d’investir, les sociétés françaises font de plus en plus durer leurs machines. Selon l’Insee, le nombre d’entreprises ne déclassant aucun équipement dans l’année est ainsi passé de 18 % sur la période 1991-1996 à 33 % en 2013.

    Chez les fabricants de papier, par exemple, les machines ont en moyenne plus de vingt ans d’âge, contre une quinzaine d’années en Allemagne. Dans certains secteurs peu rentables et mal aimés comme la forge ou la fonderie, « on trouve encore du matériel qui date de la sortie de la guerre », constate M. Rivaton.

    « Quand on est sollicités pour acheter des entreprises, on est souvent effrayés par l’état des usines », reconnaît un patron de la mécanique.

    Le phénomène dépasse l’industrie lourde. Certains pans de l’agroalimentaire, comme les exploitations porcines, souffrent aussi d’un retard d’investissement. Les services ne sont pas épargnés. La Redoute, par exemple, doit une partie de ses difficultés à un empilement obsolète de systèmes informatiques et à une plate-forme logistique jugée préhistorique par certains salariés.

    Car ce sous-investissement, qui se double souvent d’une organisation loin d’être optimale, est lourd de conséquences. Au-delà des problèmes de rentabilité, un outil peu performant empêche de monter en gamme et de s’adapter aux demandes de plus en plus mouvantes des clients. « Les donneurs d’ordre ont de plus en plus besoin de petites séries, relève M. Rivaton. Certaines usines sont bien en peine pour y répondre » Comme Caddie à Drusenheim, un site conçu pour fabriquer 10.000 ou 15.000 chariots à la suite. Or, à présent, les commandes dépassent rarement quelques centaines d’unités.

    PENDANT CE TEMPS, LES ALLEMANDS…

    A quoi ressemble un site ancien ? Pas forcément à du Zola. Prenez le stockage pétrolier de Coignières, dans les Yvelines. Treize énormes bacs appartenant à la société Raffinerie du Midi permettent d’approvisionner la région parisienne en essence, gazole, etc. Tous ont été construits la même année, en 1970. Tous ont donc quarante-quatre ans, âge vénérable pour une installation industrielle.

    « Pourtant, le dépôt est en parfait état, et il peut encore fonctionner sans problème des dizaines d’années ! », assure le chef d’établissement, Philippe Pégouet, en faisant le tour du propriétaire.

    Tous les dix ans, chaque bac fait l’objet d’une inspection approfondie. Vidé, dégazé, nettoyé, il est contrôlé en détail, avec une radioscopie des soudures pour en mesurer la corrosion. « Vous voyez le bac 13 ? On vient de l’arrêter pendant quatre mois, et on a effectué les travaux nécessaires ». Il est reparti pour dix ans. En quelques années, toutes les cuvettes de rétention ont aussi été refaites, pour les doter d’un fond en béton.

    Un stockage irréprochable, donc. Mais Marc Richomme, l’un des dirigeants de la société, l’admet : « Aujourd’hui, si on devait reconstruire cette installation, on utiliserait une technologie plus récente, celle de la double enveloppe ». Une couche de béton s’ajouterait au bac en acier. Une sécurité supplémentaire en cas de problème. « Cette technologie de la double enveloppe est déjà assez employée en Allemagne, où des bacs ont été construits plus récemment… » Le même raisonnement pourrait être tenu pour les centrales nucléaires, dont EDF veut pousser l’exploitation bien au-delà de quarante ans.

    DES ACCIDENTS DE PLUS EN PLUS FRÉQUENTS

    Dans certains cas, toutefois, ce vieillissement du parc industriel tricolore pose des questions de sécurité. Ces dernières années, une série de trois accidents a provoqué un électrochoc au sein des pouvoirs publics. En 2007, un bac s’est ouvert dans un dépôt pétrolier, polluant les berges de la Garonne sur près de 40 kilomètres. En 2008, la fuite de canalisations à Donges (Loire-Atlantique) a nécessité trois mois de travail pour nettoyer les berges de la Loire et les côtes atlantiques. L’année suivante, la rupture d’une canalisation a souillé plusieurs hectares du parc régional de la Crau.

    Le gouvernement a alors engagé un « plan vieillissement ». Au menu, mobilisation des industriels et multiplication des inspections sur site. Environ 300 par an. « Ce sujet va rester une priorité de nos services de contrôle au moins jusqu’en 2017 », annonce Patricia Blanc, la directrice générale de la prévention des risques au ministère de l’écologie.

    Le lancement de ce plan n’a pas empêché de nouveaux accidents. Comme la fuite très spectaculaire d’une cuve de « liqueur noire » dans l’usine de pâte à papier de Smurfit-Kappa au fond du bassin d’Arcachon, en juillet 2012. « Globalement, les incidents et accidents liés au vieillissement des installations sont de plus en plus fréquents », reconnaît-on au ministère, avec une certaine inquiétude.

    Car un autre effet de l’ancienneté des usines, c’est que les populations s’en rapprochent. « Un lotissement est à 260 mètres des usines de phosgène de Pont de Claix, dans l’Isère », s’alarme Jacky Bonnemains, de l’association Robin des bois. En croisant les doigts…

    Le Monde

    http://fortune.fdesouche.com/326534-les-usines-francaises-malades-du-sous-investissement#more-326534

  • Béatrice Bourges en grève de la faim

    Le rassemblement du collectif "Jour de colère" a réuni 17.000 personnes selon la police, 160.000 personnes selon les organisateurs, sous une pluie battante aux cris de "Hollande démission". Des incidents entre quelques manifestants et les forces de l’ordre ont émaillé cette manifestation.

    Rassemblés à l’appel du collectif "Jour de colère", plusieurs milliers d’identitaires, de membres du "Printemps français", de Civitas, des partisans de la Manif pour Tous et des soutiens de l’humoriste controversé Dieudonné ont manifesté à Paris, sous une pluie battante, aux cris de "Hollande démission".

    Des incidents entre quelques manifestants et les forces de l’ordre ont par ailleurs émaillé cette manifestation au cours de laquelle 17.000 personnes selon la police, 160.000 selon les organisateurs, sont venues réclamer le départ de François Hollande. Au moins 150 personnes ont été interpellées dimanche soir au cours de la dispersion de la manifestation.

    "Ça va péter, ça va péter" [...]

    La suite sur TF1

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Beatrice-Bourges-en-greve-de-la

  • « Jour de colère » : grand succès de la manifestation anti-Hollande !

    Une foule considérable a défilé ce dimanche, pour la manifestation intitulée « Jour de Colère », dans une ambiance déterminée et enjouée, en dépit d’un temps très hostile et d’un parcours fort long.

    Le cortège global, en accéléré :

    La police, et certains « merdias », ont annoncé  le chiffre aberrant de 17 000 participants, mais l’on peut au moins tabler sur 50 000 manifestants (les organisateurs parlent de 120 000 à 160 000 personnes).

    Cette manifestation s’est traduite par un cortège particulièrement hétéroclite, composé de groupes nombreux aux thématiques variées : défenseurs de la famille, de la souveraineté et de l’identité nationale, de la liberté d’expression (avec une foule bigarrée de « dieudonnistes »), entrepreneurs et rackettés fiscaux, etc.

    Un message pertinent, du mouvement Renouveau français :

    manif

    Un grand succès donc, pour cette manifestation organisée hors des grands circuits politiques, et sans le soutien d’un quelconque parti politique.

    A l’arrivée, des discours se sont succédés : souvent bons en dépit de quelques dérapages républicains, ils traduisaient les différentes raisons pour lesquelles le peuple est légitimement mécontent – voire furieux – du comportement de François Hollande, et exige la démission de cet individu calamiteux.

    Quelques video-clips hilarants furent diffusés entre les discours : nous espérons vous les proposer ici bientôt.

    En dépit de la relative radicalité du ton, une partie non négligeable des manifestants, très motivés, a été un peu déçue de la conclusion : les organisateurs annonçant solennellement recourir à … l’Assemblée nationale pour obtenir la destitution d’Hollande…
    Et Béatrice Bourges, l’un des meneurs de cette mobilisation, d’annoncer pour sa part débuter une grève de la faim (elle logera dans une tente sur le Champ de Mars près du « Mur de la paix », où l’on peut aller lui témoigner son soutien) jusqu’à ce que la procédure parlementaire soit engagée.

    Bref, pas d’opération spectaculaire ce dimanche soir.
    Après la fin de la manifestation, des heurts ont éclaté entre quelques centaines de manifestants et la police de Valls, celle-ci usant rapidement d’une violence inadmissible, comme les opposants au gouvernement (contrairement aux racailles) y ont de plus en souvent droit. Ces affrontements ont duré quelques heures et se sont traduits par près de 150 arrestations (!) et quelques blessés de part et d’autre :

    Plus tard dans la soirée, quelques dizaines de jeunes nationalistes ont bloqué le Carrefour Odéon, incendiant des pneus avant d’être, au bout d’un long moment, délogés par la police (quelques arrestations).

    Ce « Jour de Colère » marque une étape intéressante dans l’opposition à Hollande et à son gouvernement d’idéologues fanatiques.
    Regroupant des mécontents d’horizons variés, bien organisés, avec des discours moins « nunuches » que ceux des « Manifs pour tous », il témoigne que la résistance se porte bien : nombre et détermination.
    On est encore loin de l’Ukraine et il en faudra plus, en termes de colère, pour se débarrasser de l’immonde clique au pouvoir.
    Mais l’espoir grandit.

    PS : des militantes gouvernementales antichrétiennes Femen sont venues s’en prendre à la manifestation, à son début, mais ont été rapidement embarquées par la police, qui voulait surtout leur éviter de passer un très sale quart d’heure (video ci-dessous).
    Quelques dizaines « d’antifas », violents extrémistes de gauche au service du Système, ont regretté d’être venus provoquer (casqués et armés) d’un peu trop près les manifestants.

    http://www.contre-info.com/

  • Jour de Colère - 160 000 manifestants !

  • Des milliers de Français en colère demandent la destitution de Hollande

    117 000 manifestants selon la police (soit plus que les chiffres annoncés lors de la Marche pour la vie) 120 000 selon les organisateurs, des milliers de manifestants ont défilé de la place de la Bastille à la place Vauban cet après-midi, dans un assemblage hétéroclite. Des catholiques de Civitas et d'ailleurs, aux bonnets rouges, en passant par les soutiens de Dieudonné, aux Enfants des terreaux, aux organisation régionalistes, ces Français étaient tous en colère avec un seul point commun : Hollande démission !

    Pas de char, pas de ballon, pas d'organisation structurée : les manifestants marchaient derrière l'une des 8 banderoles exprimant leur colère face aux délirs du gouvernement : familles en colère, catholiques en colères (présence du père Argouar'c de Riaumont et de quelques prêtres), salariés en colère etc. Chaque cortège était libre de ses slogans, donnant lieu à un mélange de revendications, pas toujours politiquement correctes, mais qui avaient l'avantage de laisser les participants libres de manifester leur colère.

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    3Les Hommens ont fait une entrée remarquée :

    0A l'issue, place Vauban, après les dicours, François Billot de Lochner a demandé au Parlement de prononcer la destitution de François Hollande. Puis Béatrice Bourges a annoncé « jeûne complet » jusqu’à l’ouverture de la procédure de destitution du Président.

    Communiqué du Jour de Colère :

    Photo"C’est une foule considérable de 160.000 français en colère qui a défilé cet après-midi à Paris. Partis de la Place de la Bastille à 14h, le cortège s’étalait plus de 2, 5 Km à 15h15, heure à laquelle les derniers manifestants ont quitté la Bastille. Outre les provocations de la milice socialiste « Antifa » sur le pont d’Austerlitz et celle des Femens Boulevard Saint Marcel, les manifestants du Jour de Colère ont aussi dû supporter des violences policières dès le début de l’après-midi. Gaz lacrymogènes et tirs de flash-ball ont été utilisés contre des manifestants pacifiques et un passant de 70 ans a été jeté au sol sans raison par des policiers. Place Vauban, ils étaient attendus par des canons à eau et des pelleteuses blindées.

    Manuel Valls a déployé des moyens dignes de l’Ukraine, en attendant peut-être utiliser ceux employés à Damas. Sans s’arrêter ces provocations, les manifestants ont délivré leurs messages de manière résolue et non-violente. La colère fiscale, le ras-le-bol du chômage ou des entraves que subissent les artisans, les commerçants et les paysans ont été les premiers slogans du Jour de Colère. Le cortège massé derrière la banderole « Liberté d’expression » était un des plus importants. Il a rapidement entrainé la totalité des manifestants à reprendre ses slogans : « François, casse-toi ! » ou « Hollande, dictateur ! », soutenus par le chant de la Marseillaise. C’est donc un mouvement de colère inédit qui a explosé aujourd’hui et qui n’arrêtera plus de se répandre. Il ne reste qu’une issue à cette crise : les parlementaires doivent immédiatement prendre les responsabilités que la constitution de la Vème République leur confie. Selon l’article 68 de la constitution, il appartient aux élus des deux assemblés de se constituer, par un vote, en Haute Cour de justice, afin d’engager la procédure de destitution du Président de la République pour « manquement grave » à l’exercice de ses fonctions. La ruine à laquelle il a conduit la France, alors qu’il ne se préoccupe lui-même que de ses turpitudes privées, ne lui permet plus de se parer du titre de Président de la République. Le Jour de Colère exige solennellement des députés et des sénateurs qu’ils engagent cette procédure de destitution immédiatement. Le peuple, souverain de notre démocratie, leur adresse cet ultimatum et saura le leur rappeler dans les semaines qui viennent.

    Michel Janva   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Devant une telle addition d’incompétence, la révolte est de mise…

    Le Jour de colère du 26 janvier est une révolte du bon sens qui refuse qu’on traîne un pays doté de tant d’atouts vers le bas.

    Séduits par les alliances gauche-droite qui se multiplient en Europe, certains ne songeraient-ils pas à une évolution semblable en France ? Entre une gauche social-démocrate et une « droite » opportuniste, appuyée sur le discours de Valls en matière de sécurité et la conversion économique verbale de Hollande, cette alliance doit titiller l’esprit de quelques-uns. Le peuple pourrait même lui être favorable en y voyant une union de salut public, quand il ne s’agirait que d’une union pour se maintenir au pouvoir…

    La connivence médiatique assez exceptionnelle dans notre pays ne manquera pas de célébrer une évolution qui rassemblera les dévots du politiquement correct et confirmera le confortable entre-soi des « gens qui comptent ».

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  • Plusieurs milliers de manifestants pour le Jour de Colère

    Plusieurs milliers de manifestants pour le Jour de Colère

    PARIS (NOVOpress) – Le cortège des manifestants du Jour de Colère arrive place Vauban aux Invalides.Voir l'image sur TwitterA la tribune on nous annonce une ENORME surprise ! Réponse bientôt !

    Voir l'image sur TwitterNotre banderole en tête de cortège du !

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  • Le CDI en voie de disparition

    Une nouvelle étude publiée par le service rattaché au ministère du Travail, la Dares, révèle que le taux des recrutements en Contrat à durée déterminée CDD, a augmenté de 3 points en 2012 tandis que le taux des CDI, Contrat à durée indéterminée recule.

    La « CDDisation » prend de l’ampleur

    Les résultats de la Dares démontrent que presque toutes les entreprises ne recrutent plus en CDI. Par contre, le taux des CDD a atteint le record avec 81,2% des nouvelles embauches en 2012 comparativement à 2011 ; ce qui traduit une hausse de 3 points.

    A part les entreprises de 50 salariés ou plus, de la construction qui n’ont que 39,8% de taux de recrutements en CDD, tous les autres secteurs d’activités sont concernés. Le tertiaire englobe à lui seul 83% des embauches en CDD avec un repli considérable des CDI, la construction 61,6%, et l’industrie 68,5%.

    Tous sont concernés

    D’après la Dares, le problème de la “CDDisation” ne se limite pas qu’aux jeunes.

    En 2012, chez les moins de 30 ans, le taux d’embauche en CDD, avait grimpé à 82,6% mais aussi chez les plus de 50 ans, ce taux était passé à 84,6%. Les femmes sont aussi plus touchées par le CDD plus que les hommes, 85 contre 76,6%.

    En vue de rehausser le taux des CDI, et de baisser celui des CDD, la contribution chômage qui était à 4% est ramenée à 7% pour les CDD de moins d’1mois, et de 5,5% entre 1 et 3mois.

    Les recrutements en CDI des moins de 26 ans ont été exonérés pendant une durée de 3 ou 4 mois de toutes cotisations. Toutefois, il existe encore des employés qui profitent encore d’un contrat en CDI. Vers la fin de l’année 2011, ils étaient 84,1% des effectifs du privé.

    Radins.com

    http://fortune.fdesouche.com/326360-le-cdi-en-voie-de-disparition#more-326360

  • Jour de colère : flash sur les banderoles

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    Lahire

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/