Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

social - Page 467

  • Désintégration morale, désintégration sociale

    Panem et circenses,  du pain et des jeux. Desjeux il y en a toujours, du pain de moins en moins. Alors que les médias ont reçu des consignes et/ou s’autocensurent afin  de ne pas donner d’écho aux nouveaux débordements antifrançais de supporters algériens  qui se sont déroulés hier soir après le  match opposant la Mannschaft à l’équipe des Fennecs, la victoire des bleus sur le Nigéria  quelques heures auparavant n’occulte pas complètement notre situation économique dramatique. Le Figaro aujourd’hui, comme le JT de TF1 hier soir, ont rappelé malgré l’euphorie footballistique le bilan de dix années de cogestion UMPS du pays. La dette de la France atteint désormais 30 000€ par Français, elle a  ainsi doublé depuis 2004  pour atteindre 1 985,9 milliards d’euros, soit 93,6 % du PIB !  Entre le dernier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014,  celle-ci  a augmenté de 45,5 milliards d’euros. Dégringolade qui suit en parallèle une décadence intellectuelle et  morale. La semaine dernière, pour acclimater dans les esprits l’élimination des  citoyens à charge (?),   Bernard Kouchner l’ancien ministre de la Santé du gouvernement Jospin, préconisait sur France Inter,  interrogé par Patrick Cohen,  d’arrêter d’utiliser le mot euthanasie, trop anxiogène :  « D’abord, il y a le mot nazi dedans, ce qui n’est pas très gentil » (sic)  a expliqué  M.  Kouchner. « Et puis on a tout de suite l’impression qu’il y a une agression, qu’on va forcer les gens »… Ben voyons.

     Cette duplicité est elle aussi de mise avec l’annonce par le  ministre de l’Éducation nationale Benoît Hamon la fin de l’expérimentation des ABCD de l’égalité  ? Un  délire idéologique s’inscrivant dans la théorie du genre, dénoncé avec force par Bruno Gollnisch, qui fut lancé  en début d’année dans 600 classes, de la maternelle au CM2. Cet ABCD  serait donc remisé aux oubliettes…mais  remplacé par  une « mallette pédagogique ». Celle-ci sera  mise à disposition des enseignants en septembre,   inscrite dans le projet éducatif des établissements et traitera de l’égalité   fille-garçon… thème qui  est déjà enseigné depuis longtemps…

     M. Hamon et Najat Vallaud-Belkacem  ont  certes claironné  un plan d’action ambitieux « sans équivalent »  en remplacement de cette expérimentation foireuse. Mais le lobby LGBT,  la  gauche  dans son ensemble, des syndicats  (UNSA, FCPE, SNE…) ont dénoncé une reculade devant l’extrême droite et la réaction ; d’ores et déjà,  les interventions de militants homosexuels et transsexuels prévues pour la rentrée dans les écoles ont en effet  été  annulées…

     Si cette reculade se vérifie dans les faits, et il convient de rester vigilant,  Bruno Gollnisch se félicite de  cette victoire, qui est celle de  la mobilisation  des familles. Cette opposition au laisser faire  laisser  passer, à l’idéologie libérale-libertaire qui imprègne les partis du Système de gauche comme de droite, est symptomatique du besoin croissant de nos compatriotes de   repères, d’une armature, d’une  réaffirmation de nos valeurs civilisationnelles.  Une saine réaction, vitale dans  une Europe bruxelloise qui se désagrège, au moment même ou  les apôtres planétariens somment les Européens, les Français, d’éradiquer toutes les frontières (culturelles, physiques, anthropologiques…) pour bâtir  l’homme nouveau,  une société   transgenre .

     Ancien communiste, ancien braqueur, le docteur en philosophie et homme de gauche  Bernard Stiegler  a bien analysé  les évolutions mortifères de notre société ultra-libérale.  Dans un entretien accordé à Rue 89 et publié  le 28 juin,  et au-delà de ses fatwas anti-FN, fatigantes, mécaniques,  peu originales et surtout mensongères, il rejoint l’opposition nationale lorsqu’il remarque  que nous sommes entrés depuis trente ans dans un projet global  « (fondé) sur l’idée qu’il valait mieux liquider l’Etat et financiariser le capitalisme en laissant la production se développer hors de l’Occident – et cela a été le début du chômage de masse ».

     « Cette liquidation a créé une insolvabilité de masse dissimulée par les systèmes de subprimes et de  credit default swap,  très profitables aux spéculateurs mais ruineux pour l’économie, un hyperconsumérisme extrêmement toxique sur le plan environnemental, une grande misère symbolique sur le plan mental, et une précarisation généralisée provoquant un sentiment d’insécurité bien réelle et une désintégration sociale ».

     Or, qu’il le veuille ou non,  le FN apparaît de manière croissante comme un  antidote à  cette désintégration, à ce  déclin  qui est aussi une perte de vitalité spirituelle comme réponse au matérialisme desséchant véhiculé par la mondialisation  ultra-libérale.  

     Cela,  un nombre croissant de  catholiques pratiquants l’a bien compris.  Selon La Croix qui consacrait un article à ce sujet le 29 juin,  « l’incompatibilité entre l’Évangile et l’idéologie du FN, explicitement énoncée par une grande partie de l’épiscopat français dans les années 1980  – et récusée avec force à l’époque par les argumentaires frontistes  fournis par Bernard Antony rappelle La Croix -  paraît désormais lointaine. Oubliés, également, les discussions de la fin des années 1990 sur la possibilité d’excommunier Jean-Marie Le Pen et les refus, de la part de certains évêques, de baptiser des militants frontistes ». Désormais,  « lors des élections européennes du 25 mai, les sondages ont montré que 20 % des catholiques pratiquants votaient pour le Front National ».

     Oui, l’homme ne se nourrit pas uniquement de pain  et de jeux, et le projet politique porté par le FN  est aussi une volonté  de réenracinement, à l’antithèse  de la transformation  des individus  en  simple homo consumerus, interchangeable,  en simple tube digestif conditionné par les stimuli du Marché.

    http://gollnisch.com/2014/07/01/desintegration-morale-desintegration-sociale/

  • Symptomatique

    Le journal télévisé de TF1 ce soir a consacré les 4/5 au football, à la préparation des Champs-Elysées par les CRS en vue des scènes de liesse de la soirée et la satisfaction de François Hollande suite à la victoire de la France contre le Nigéria.

    Puis sans transition : la dette a doublé en 10 ans elle est actuellement de 30 000€ par Français. La dette a augmenté de 45,5 milliards d'euros entre le dernier trimestre 2013 et le premier trimestre 2014, pour atteindre 1 985,9 milliards d'euros. Elle représente désormais 93,6 % du PIB.

    Copies d'écran :

    Copie_d'écran_20h00_TF1Mais bon, la France est qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe du Monde...

    Michel Janva

  • La SNCF aime l’immigration et le fait savoir

    - La SNCF a récemment communiqué auprès de ses employés sur sa politique de recrutement, qui est ouvertement favorable au communautarisme.

    MozaikRH

    Cliquez pour agrandir

    Prétextant son amour de la « diversité », elle a passé un accord avecMozaikRH, cabinet de recrutement spécialisé dans les différents groupes ethniques qui composent aujourd’hui la France. Alors que l’entreprise sort juste d’un important conflit social, la direction voit sûrement dans cette démarche l’occasion de casser l’homogénéité de sa masse salariale en recrutant des employés plus dociles.

    Ou peut-être veut-elle simplement recruter des employés à l’image d’un nombre grandissant de ses clients, qui sont, surtout en région parisienne, de plus en plus issus de l’immigration ?

    http://fr.novopress.info/170866/sncf-aime-limmigration-fait-savoir/

  • Ce n’est pas faute d’avoir prévenu…

    L’air est connu,  commentant  publication des nouveaux chiffres du chômage, le nombre de demandeurs d’emploi ayant  atteint un niveau historique, dramatique  de 3,388 millions en métropole, Manuel Valls a clamé que  « l’heure est à l’action ».  Comprendre à s’entêter à utiliser les mêmes mauvaises  recettes qui ont fait la preuve de leur inefficacité. Pathétique. Si les Français font grise mine, les Algériens eux aussi sont passés à l’action et faisaient la fête hier soir pour fêter le match nul de leur équipe face à la Russie  qui la propulse en huitième de finale de la Coupe du monde de football. Belle démonstration de patriotisme, les joueurs algériens ont fait le tour du terrain à l’issue de la rencontre  en brandissant le drapeau de leur pays. La liesse populaire était aussi de mise en Algérie, dés le coupe de sifflet final, mais elle ne s’est pas manifestée là  bas par les violences  et les  dégradations qui se sont déroulées sur notre sol….comme ce fut le cas déjà  lors des deux derniers matchs  des « fennecs » dans ce Mondial. Violences  sur lesquelles  les grands  médias audiovisuels  ont curieusement choisi  très largement  de ne pas  informer les Français.

     Omerta qui s’est tout de même  un peu fissurée car  internet est passé  par là, et  il devient difficile d’occulter totalement la réalité,   si ce n’est à accréditer encore plus l’idée , déjà largement répandue dans l’opinion,  de la malhonnêteté foncière  des médias dominants…De nouvelles scènes d’émeutes et de haine antifrançaise  ont donc  éclaté hier soir à Paris, Lyon, Vaulx-en-Velin, Saint-Priest, Marseille, Lille, Roubaix, Tourcoing,  Maubeuge, Valencienne, Grenoble, Le Havre  et dans de  nombreuses  autres communes plurielles.Véhicules de « gaulois » et mobiliers urbains incendiés (les Français paieront…) , passants et policiers agressés, pillages, caillassages … : de nombreux supporters algériens ne se sont pas contentés de bloquer  la circulation et de faire du raffut en brandissant des drapeaux.

     Comme l’a noté Marine hier après-midi  lors d’une conférence de presse à Nanterre,  « ce qui est malheureux avec les matchs de l’Algérie, c’est que qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, de toute façon, on a des violences, des dégradations et des agressions ». «C ’est le seul pays avec lequel   il y a ce genre de problèmes », avec des supporters  « animés par un esprit de revanche » contre la France. La présidente du FN a encore relevé que   les gouvernements  français et algériens seraient bien inspirés de  rappeler à l’ordre les binationaux se livrant à de telles exactions.

     Hier également, sur le site du PointCharles  Consigny réagissait pour s’en féliciter,  à l’arrêt rendu la veille par l’assemblée plénière de la Cour de cassation qui a confirmé le licenciement de Fatima Afif, la salariée voilée  de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) qui refusait d’enlever son foulard islamique sur son lieu de travail, affaire  que nous avions évoqué sur ce blog.

     Pour autant, « nous venons peu à peu (en France),   hélas, au communautarisme constate M. de Consigny, en raison d’une lâcheté politique d’une part et d’un refus d’intégration (ne parlons pas d’assimilation) des populations immigrées d’autre part, ce refus étant une conséquence, à laquelle on pouvait et on devait s’attendre, d’une politique migratoire délirante qui fait entrer tous les ans en France deux cent mille personnes venues de l’étranger ».

     « La  conception française de la laïcité est attaquée à l’intérieur de la République, jusque par des conseillers d’État, comme M.  Tuot dont le rapport sur le sujet préconise de créer les conditions d’une société inclusive qui s’adapterait aux exigences minoritaires. Elle est attaquée, aussi, de l’extérieur, par l‘Union européenne mais aussi par l‘ONU, dont diverses littératures pressent la France de s’adapter à ces nouvelles populations et de se préparer à être submergée par d’autres dans des proportions folles, aux fins d’opérer à des rééquilibrages de peuplement au niveau mondial – ce faisant, l’ONU dénie aux nations toute identité, elle fait du monde un vaste territoire avec des pions qu’on déplace et des frontières qu’on redéfinit au gré des besoins du moment ; autrement dit, elle acte la fin de l’histoire, et nous devons résister à ce mouvement ».

    « Notre pays doit tenir. Il doit défendre sa civilisation, rappeler ses principes, ne faire aucune concession à ceux qui lui demandent de s’oublier, de se dissoudre, de se diluer dans legrand déménagement mondial ».

    Bruno Gollnisch l’a souvent relevé, cette  fermeté et cette  volonté de défendre ce que nous sommes est bien  rare au sein du SystèmeC’est pourtant   par la réaffirmation des valeurs qui ont fait la force, le génie, et la grandeur de notre civilisation helléno-chrétienne,  que nous gagnerions le respect  des populations  allogènes ; valeurs qui si elles étaient portées fièrement,  seraient   même  un facteur d’assimilation. Mais valeurs  piétinées allègrement le plus souvent par les autoproclamés défenseurs  cosmopolites de  la laïcité,  d’une république bien peu romaine, mais  progressiste,  décadente,  affaissée, sans âme…

     La présence de fortes communautés étrangères  sur notre sol, qui ne veulent ou ne peuvent s’assimiler, est bien évidemment un sujet d’inquiétude majeur  pour l’avenir de nos enfants, la sauvegarde de notre identité et souverainetés nationales.

     Jean Raspail le rappelait dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles en octobre 2013, nous sommes confrontés au «problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable ». «Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale (…). Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement  (…)».

     Et l’auteur du Camp des saints d’en appeler au sursaut salvateur :  « que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces  idées chrétiennes devenues folles, comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général ».

     Si les Français ont en effet pris pleinement  conscience  du tsunami migratoire,  il faut désormais qu’ils en tirent urgemment  la conclusion  dans les urnes. Avant  qu’il ne soit trop tard. 2017 c’est demain et « l’Histoire ne repasse pas les plats ».

    http://gollnisch.com/2014/06/27/ce-nest-pas-faute-davoir-prevenu/

  • La CGT impopulaire chez 69% de Français

    Une large majorité de Français ont une mauvaise opinion de la CGT et de son leader, les jugeant "trop systématiquement opposés aux réformes", selon un sondage BVA pour Le Parisien-Aujourd'hui en France à paru dimanche 22 juin.

    69% de Français ont une mauvaise opinion de ce syndicat contre seulement 28% qui en ont une bonne, selon ce sondage. Les salariés en ont une mauvaise opinion à 67% dont 72% dans le privé et 61% dans le public. 

    Seulement 14% des Français ont une bonne opinion de son patron, Thierry Lepaon contre 44%, qui en ont une mauvaise. 42% des personnes interrogées ne le connaissent pas assez pour avoir une opinion. Parmi ceux connaissant le numéro un de la CGT (58% des personnes interrogées), 25% en ont une bonne opinion et 75% une mauvaise. Concernant Bernard Thibault, l'ancien numéro un de la CGT, 33% en ont une bonne opinion, 47% une mauvaise et 20% ne le connaissent pas assez pour avoir une opinion.

    "Trop systématiquement opposée aux réformes" 

    Parmi les trois syndicats, 48% des Français se sentent "plutôt le plus proches" de la CFDT, et 17% de la CGT et de Force Ouvrière. Entre la CGT et le Medef, 41% préfèrent la CGT et 39% le Medef.

    73% des Français jugent la CGT "trop systématiquement opposée aux réformes" et 71% "trop idéologique". 77% d'entre eux ont désapprouvé l'appel de la CGT à la grève à la SNCF, quand 19% ont approuvé, et 63% ont désapprouvé son appel à la grève des intermittents et 33% ont approuvé.

    Seulement 31% des Français ont une bonne opinion des syndicats en général contre 68% qui en ont une mauvaise. 

    Le sondage a été réalisé selon la méthode des quotas auprès d'un échantillon de Français recrutés par téléphone et interrogés par internet les 19 et 20 juin. L'échantillon de 952 personnes est représentatif de la population française âgée d'au moins 18 ans. Marge d'erreur de 2,5%.

    Source : http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/22/cgt-impopulaire-sondage_n_5518872.html

    http://www.oragesdacier.info/2014/06/la-cgt-impopulaire-chez-69-de-francais.html

  • Ces chômeurs “invisibles” ou “découragés” qui doublent le nombre de sans-emploi

    En cumulant les catégories A, B et C (les personnes ayant exercé une activité réduite), le nombre d’inscrits à Pôle emploi a augmenté de 34.300, soit 0,7%, pour s’élever officiellement à 5.020.200 en métropole et 5.320.000 en incluant les départements d’Outre-mer.

  • Ce n’est pas faute d’avoir prévenu…

    L’air est connu,  commentant  publication des nouveaux chiffres du chômage, le nombre de demandeurs d’emploi ayant  atteint un niveau historique, dramatique  de 3,388 millions en métropole, Manuel Valls a clamé que  « l’heure est à l’action ».  Comprendre à s’entêter à utiliser les mêmes mauvaises  recettes qui ont fait la preuve de leur inefficacité. Pathétique. Si les Français font grise mine, les Algériens eux aussi sont passés à l’action et faisaient la fête hier soir pour fêter le match nul de leur équipe face à la Russie  qui la propulse en huitième de finale de la Coupe du monde de football. Belle démonstration de patriotisme, les joueurs algériens ont fait le tour du terrain à l’issue de la rencontre  en brandissant le drapeau de leur pays. La liesse populaire était aussi de mise en Algérie, dés le coupe de sifflet final, mais elle ne s’est pas manifestée là  bas par les violences  et les  dégradations qui se sont déroulées sur notre sol….comme ce fut le cas déjà  lors des deux derniers matchs  des « fennecs » dans ce Mondial. Violences  sur lesquelles  les grands  médias audiovisuels  ont curieusement choisi  très largement  de ne pas  informer les Français.

     Omerta qui s’est tout de même  un peu fissurée car  internet est passé  par là, et  il devient difficile d’occulter totalement la réalité,   si ce n’est à accréditer encore plus l’idée , déjà largement répandue dans l’opinion,  de la malhonnêteté foncière  des médias dominants…De nouvelles scènes d’émeutes et de haine antifrançaise  ont donc  éclaté hier soir à Paris, Lyon, Vaulx-en-Velin, Saint-Priest, Marseille, Lille, Roubaix, Tourcoing,  Maubeuge, Valencienne, Grenoble, Le Havre  et dans de  nombreuses  autres communes plurielles.Véhicules de « gaulois » et mobiliers urbains incendiés (les Français paieront…) , passants et policiers agressés, pillages, caillassages … : de nombreux supporters algériens ne se sont pas contentés de bloquer  la circulation et de faire du raffut en brandissant des drapeaux.

     Comme l’a noté Marine hier après-midi  lors d’une conférence de presse à Nanterre,  « ce qui est malheureux avec les matchs de l’Algérie, c’est que qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, de toute façon, on a des violences, des dégradations et des agressions ». «C ’est le seul pays avec lequel   il y a ce genre de problèmes », avec des supporters  « animés par un esprit de revanche » contre la France. La présidente du FN a encore relevé que   les gouvernements  français et algériens seraient bien inspirés de  rappeler à l’ordre les binationaux se livrant à de telles exactions.

     Hier également, sur le site du PointCharles  Consigny réagissait pour s’en féliciter,  à l’arrêt rendu la veille par l’assemblée plénière de la Cour de cassation qui a confirmé le licenciement de Fatima Afif, la salariée voilée  de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) qui refusait d’enlever son foulard islamique sur son lieu de travail, affaire  que nous avions évoqué sur ce blog.

     Pour autant, « nous venons peu à peu (en France),   hélas, au communautarisme constate M. de Consigny, en raison d’une lâcheté politique d’une part et d’un refus d’intégration (ne parlons pas d’assimilation) des populations immigrées d’autre part, ce refus étant une conséquence, à laquelle on pouvait et on devait s’attendre, d’une politique migratoire délirante qui fait entrer tous les ans en France deux cent mille personnes venues de l’étranger ».

     « La  conception française de la laïcité est attaquée à l’intérieur de la République, jusque par des conseillers d’État, comme M.  Tuot dont le rapport sur le sujet préconise de créer les conditions d’une société inclusive qui s’adapterait aux exigences minoritaires. Elle est attaquée, aussi, de l’extérieur, par l‘Union européenne mais aussi par l‘ONU, dont diverses littératures pressent la France de s’adapter à ces nouvelles populations et de se préparer à être submergée par d’autres dans des proportions folles, aux fins d’opérer à des rééquilibrages de peuplement au niveau mondial – ce faisant, l’ONU dénie aux nations toute identité, elle fait du monde un vaste territoire avec des pions qu’on déplace et des frontières qu’on redéfinit au gré des besoins du moment ; autrement dit, elle acte la fin de l’histoire, et nous devons résister à ce mouvement ».

    « Notre pays doit tenir. Il doit défendre sa civilisation, rappeler ses principes, ne faire aucune concession à ceux qui lui demandent de s’oublier, de se dissoudre, de se diluer dans legrand déménagement mondial ».

    Bruno Gollnisch l’a souvent relevé, cette  fermeté et cette  volonté de défendre ce que nous sommes est bien  rare au sein du SystèmeC’est pourtant   par la réaffirmation des valeurs qui ont fait la force, le génie, et la grandeur de notre civilisation helléno-chrétienne,  que nous gagnerions le respect  des populations  allogènes ; valeurs qui si elles étaient portées fièrement,  seraient   même  un facteur d’assimilation. Mais valeurs  piétinées allègrement le plus souvent par les autoproclamés défenseurs  cosmopolites de  la laïcité,  d’une république bien peu romaine, mais  progressiste,  décadente,  affaissée, sans âme…

     La présence de fortes communautés étrangères  sur notre sol, qui ne veulent ou ne peuvent s’assimiler, est bien évidemment un sujet d’inquiétude majeur  pour l’avenir de nos enfants, la sauvegarde de notre identité et souverainetés nationales.

     Jean Raspail le rappelait dans un entretien accordé à Valeurs Actuelles en octobre 2013, nous sommes confrontés au «problème fondamental : l’envahissement progressif de la France et de l’Europe par un tiers-monde innombrable ». «Le peuple sait déjà toutes ces choses, intuitivement : que la France, telle que nos ancêtres l’ont façonnée depuis des siècles, est en train de disparaître. Et qu’on amuse la galerie en parlant sans cesse de l’immigration sans jamais dire la vérité finale (…). Le peuple sait qu’on lui cache les choses. Aujourd’hui, des dizaines de millions de gens ne partagent pas le discours officiel sur l’immigration. Ils ne croient aucunement que ce soit une chance pour la France. Parce que le réel s’impose à eux, quotidiennement  (…)».

     Et l’auteur du Camp des saints d’en appeler au sursaut salvateur :  « que l’on cesse de sacraliser l’Autre et que l’on redécouvre que le prochain, c’est d’abord celui qui est à côté de soi. Ce qui suppose que l’on s’assoit quelque temps sur ces  idées chrétiennes devenues folles, comme disait Chesterton, sur ces droits de l’homme dévoyés, et que l’on prenne les mesures d’éloignement collectif et sans appel indispensables pour éviter la dissolution du pays dans un métissage général ».

     Si les Français ont en effet pris pleinement  conscience  du tsunami migratoire,  il faut désormais qu’ils en tirent urgemment  la conclusion  dans les urnes. Avant  qu’il ne soit trop tard. 2017 c’est demain et « l’Histoire ne repasse pas les plats ».

    http://gollnisch.com/2014/06/27/ce-nest-pas-faute-davoir-prevenu/

  • Des économies sur la famille

    L'Assurance-maladie propose d'écourter d'une journée en moyenne l'hospitalisation lors d'une naissance. Cela permettrait de générer 280 millions d'économies nettes. Une femme est en effet hospitalisée en moyenne en France 1,2 jour de plus que dans les autres pays développés pour un accouchement par voie basse, soit 4,2 jours contre 3 jours. 

    En soi, rentrer chez soi plus tôt après l'accouchement n'est pas une mauvaise chose, sauf bien sûr en cas de complications. Mais cette idée de faire des économies de façon quasi-systématique sur le dos de la famille et de la natalité est un tantinet malsain.

    Michel Janva

  • Un urbanisme alternatif : « Rendre les villes de nouveau vivables… »

    Avancer une approche différente de la ville, un urbanisme alternatif, implique une remise en cause totale des conceptions en cours dans ce domaine. Le fait même de vouloir replacer l’individu au cœur de la cité, de lui donner la possibilité de pleinement vivre dans l’environnement urbain, est une déclaration de guerre aux principes dominants à l’heure actuelle dans l’aménagement de l’espace collectif. L'individu est condamné dans le système actuel à l'isolement dans sa petite sphère privée. Pour que la ville redevienne un cadre de vie et de rencontre, il est nécessaire d’orienter l’urbanisme vers une recherche d’harmonie qui implique de comprendre les interactions qui naissent en son sein. Cela passe d'abord par le fait de redonner à l’espace collectif sa dimension publique, c’est-à-dire son rôle de lieu de convivialité et d’échange pour l'ensemble de la communauté. Une approche qui permet de retisser des liens sociaux et des solidarités. L’espace ne serait plus arbitrairement découpé par les spéculateurs immobiliers ou les choix arbitraires des politiques. Un urbanisme alternatif prendrait pour base l’intervention et la participation active des habitants dans les choix concernant leurs domaines d’habitation. Comme on le voit, la critique de l'aménagement urbain aboutit à une critique radicale de la société. Réinventer la ville implique de sortir du système qui la réduit à un espace de cellules individuelles ; seul un changement révolutionnaire rendra cela possible.
    Mais par où commencer ? Dans les années 70, Michel Ragon, architecte libertaire, avait relancé l’idée d’un aménagement de l’espace urbain conçu par ceux qui étaient destinés à y vivre « Nous posons un problème, relativement nouveau, qui est celui de l'intervention active de l'habitant dans le domaine de l'habitat et de la ville. Depuis toujours, l'architecture a été le domaine réservé du Prince. Les Princes qui nous gouvernent ne font pas exception à la règle et bien que l'on se dise en démocratie, le suffrage universel n'existe pas pour l'architecture. Craint-on que les usagers de l'architecture montrent un goût plus mauvais que celui des spécialistes ? La chose paraît difficile lorsque l'on contemple ce que nos architectes et l'administration qui les écoute ou les dirige, nous ont offert depuis vingt-cinq ans. Il paraît impossible que les usagers fassent pire... ».
    Les anciens lieux de vie collective urbaine (rues, places, espaces verts) et les nouveaux (espaces sportifs ou de loisirs) doivent avoir un rôle fédérateur et communautaire. Les anciennes formes de sociabilité ayant été abolies par la modernité, elles ne peuvent être ressuscitées artificiellement. Ainsi, nous ne pouvons redonner vie à des activités traditionnelles ou à des fêtes populaires n'ayant plus de sens pour la majorité de la population. Cela donnerait ces villes simulacres ou villes musées, avec leurs décors de carton pâte et leurs festivités folkloriques destinées aux touristes.
    Si on veut permettre une réappropriation de l'espace public par les habitants, il est aussi nécessaire de sortir des grandioses plans urbanistiques hérités des esprits militaires et totalitaires. C'est comprendre que c'est dans l'enchevêtrement que naît la vie. Le chaos apparent est le dédale qui permet l'errance et la découverte d'atmosphères différentes. L'aseptisation et la rationalisation à outrance de l'espace urbain ne sont pas forcément synonymes d'amélioration du cadre de vie.
    Le concept, avancé par Michel de Sablet, d'une écologie urbaine éclaire bien le tissu relationnel qu'il est important de (re)tisser pour permettre un épanouissement de la vie urbaine. A partir d'une observation précise, elle amène des pistes de réflexions et d'actions concrètes qui peuvent alimenter les décisions collectives. Ainsi il précise la double vocation de l’écologie urbaine :
    - Faire de l’espace public urbain le lieu essentiel de la sociabilité urbaine, le lieu compensateur de l’isolement de chacun dans une série de “bulles” ou de boîtes architecturales affectées à des usages sommaires et précis, reliées entre elles par des tuyaux circulatoires.
    - Rechercher les nouveaux types d’équipements et de dispositions relatives entre eux capables de générer les comportements les plus variés et susceptibles de répondre aux aspirations des citadins du XXI°siècle ».
    Elle y parviendra par une double démarche née de ce que l'auteur appelle « l'étude comportementale urbaine appliquée ». Celle-ci consiste à observer les comportements des usagers dans les espaces publics encore un peu vivants, et à en tirer suffisamment d’enseignements de façon empirique pour trouver des nouvelles formes d’aménagement générateurs de la plus grande richesse de comportements possibles. Elle amène à étudier les tendances, les aspirations nouvelles qui conduiront à penser d’autres types de relations, de localisations et de fonctionnements entre les équipements que cela suggère et la ville.
    Cette réappropriation raisonnée passe bien sûr par la prise en compte des aspects artistiques et techniques. « Une ville vivable, sera une belle ville ». Pour lui il faut intégrer la modernité à cette démarche : « Il ne s’agit évidemment pas de supprimer l’ordinateur, le surgelé, la télévision ou l’automobile pour retourner à un âge d’or urbain... d’un autre âge, et qui n’a d’ailleurs jamais existé. Dans certains cas il peut s’agir de remettre certains abus de pouvoir à leur place (automobile au détriment des transports en commun, du vélo, des piétons, etc. centres commerciaux en boîtes isolées et décentrées au détriment d’autres formes commerciales plus relationnelles, ...) ». Suivant cette logique, il affirme qu'il ne s’agit pas là de défendre le petit commerce contre les affreux centres commerciaux, mais de voir selon quelles formes de relations avec l’espace urbain les implantations commerciales sont ou non favorables à la meilleure vie urbaine.
    Plus largement, il faut permettre le désengorgement des villes. Cela  une simple adaptation décentralisatrice de nos activités. Le développement de réseaux de villes moyennes, le désenclavement des régions rurales et la création de pôles économiques basés sur la micro entreprise sont des pistes à suivre.
    Cette démarche implique aussi qu'une volonté politique supplante les inévitables représentations officielles des élus et des technocrates. La crise des villes fait apparaître la nécessité d'une « nouvelle citoyenneté », plus conviviale et plus vivante que son simulacre actuel, dans une société éclatée. Ce désir collectif d'une communauté fraternelle et épanouissante (à mille lieux des dérives communautaires) est largement ressenti. Il implique une responsabilité civique directe et immédiate que seule la démocratie directe à l'échelle locale peut amener.

    3105820064.jpg

    Source: Rébellion

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Le chômage est toujours en hausse

    Les derniers chiffres du chômage sont une fois de plus  mauvais pour le gouvernement qui ne cherche même plus à minimiser. Selon un communiqué,ces chiffres:« sont le reflet d’une croissance plus faible que prévue au premier semestre qui entraîne des destructions nettes d’emplois marchands. »

    En mai, le nombre de demandeurs d’emploi en catégorie A (sans aucune activité) augmente toujours et s’établit à 3,388 millions (+24.800, soit +0,7%). La hausse du mois de mai est encore plus forte que celle du mois d’avril (+14.800). Si l’on tient compte des trois catégories (AB et C), l’évolution est également de +0,7% (+34 300). Le nombre de demandeurs d’emploi de moins de 25 ans augmente légèrement (+2200). Toutefois sur un an, de mai 2013 à mai 2014, le nombre de demandeurs de moins de 25 ans en catégorie A, a diminué de -3,5%.

    http://medias-presse.info/le-chomage-est-toujours-en-hausse/11935