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social - Page 472

  • Quitter la Sécurité Sociale, un mouvement qui prend de l’ampleur et qui s’inscrit dans la coagulation du 26 janvier

    Il y a quinze ans, ils étaient peu à quitter la sécurité sociale et on n’en entendait presque pas parler. Dernièrement nous avions pu interroger un de ceux qui ont fait le pas : Laurent C. et qui raconte son histoire sur un blog. France2 vient d’y consacrer un reportage dans son 20h. Nous avons pu nous entretenir avec Philippe Letertre, chirurgien à Nice, un acteur important de ce mouvement.

    Philippe Letertre est un des fondateurs de la page Facebook : « les médecins ne sont pas des pigeons », créée sur le modèle des Genopi. Avant les actes de médecine et de chirurgie esthétique bénéficiaient, comme les autres actes médicaux, d’une exonération de TVA. Depuis le 30 septembre 2012, ils sont taxés au taux de TVA normal, à 19,6 %, sauf lorsqu’ils sont pris en charge au moins en partie par l’assurance-maladie. C’est ce qui l’a motivé à quitter la sécurité sociale : « les médecins sont moins bien payés ». Il a donc rejoint le mouvement Comment quitter la Sécurité Sociale qui : «  regroupe tous les citoyens qui veulent se libérer de la cotisation sociale : maladie et retraite. » Pour lui la Sécurité Sociale n’est plus qu’ : « un ensemble de caisses privées avec des cotisations exorbitantes. » Il assure qu’il n’y a aucun danger à la quitter : « on a une meilleure couverture. On est remboursé plus vite et c’est moins cher. » Il n’y a pas de catégories socio-professionnelles plus représentées mais : « les salariés ont plus de mal à le faire ».

    Comme nous l’avait déjà confié Laurent C., avec le ras-le-bol fiscal le mouvement prend de l’ampleur : « on est à la tête d’une nouvelle vague ». Ça fait un an que le mouvement fait des conférences mais ces derniers temps : « elles s’accélèrent et on a chaque fois une centaine de personnes. » Le 11 janvier, c’était à Abbeville, le 18 janvier ce sera à Maisnil Lès Rutz, le 25 à Nevers, le 1er février à Lyon, le 8 à Montech et enfin le 1er mars à Annecy. D’ailleurs le mouvement a de plus en plus de contact avec tous les mouvements de révolte fiscale : Bonnets Rouges, les Tondus etc…  C’est pourquoi, ils ont affiché leur soutien à la manifestation de Jour de Colère du 26 janvier : «  les mouvements discutent entre eux. On est en accord avec les principales revendications. Il y a une coagulation. Certains mouvements viendront avec leur bannière. » Néanmoins pour Philippe Letertre : « manifester, c’est très bien mais je suis plus pour une révolution pragmatique : quitter la Sécurité Sociale. »

    Il est bien clair que le gouvernement ne compte pas laisser le mouvement se développer. Pour l’instant, l’URSSAF se contente de réclamer les cotisations tandis que les « libérés » portent plainte pour extorsion de fond.

    http://medias-presse.info/quitter-la-securite-sociale-un-mouvement-qui-prend-de-lampleur-et-qui-sinscrit-dans-la-coagulation-du-26-janvier/5105

  • Coagulation du 26 janvier : de Civitas à Dieudonné

    Dieudonné a appelé ceux qui le soutiennent à participer à la manifestation du 26 janvier à Paris, le Jour de Colère. Le Jour de Colère va donc voir rassemblés des Bonnets Rouges, des catholiques, des organisations opposées à la pression fiscale, des corporations professionnelles, Dieudonné...

    Michel Janva

  • Il est temps de faire la révolution !

    Il est temps de redonner à la France le goût de la liberté et celui de la confiance, la liberté de penser, d’inventer, d’entreprendre...

    Les Français sont champions, champions du pessimisme. Un sondage de Gallup International leur avait décerné le titre mondial en 2011, IPSOS le trophée européen en avril 2013. 97 % des ménages voyaient l’avenir en noir, 3 % de plus que les Espagnols ! 72 % pensaient que leurs enfants vivraient moins bien qu’eux. En décembre, malgré une remontée, il y avait toujours 7 Français sur 10 et 82 % des patrons à ne pas voir l’avenir avec confiance : sale temps pour la consommation et l’investissement. Et 50 % des jeunes nés après 1980 seraient prêts à quitter le pays !

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  • Entretien avec Génération Résistante, un des soutiens de Jour de Colère

    Génération Résistante fait partie des soutiens de Jour de Colère…Nous avons pu nous entretenir avec un des responsables du collectif pour en savoir un peu plus…

    MPI: Pourriez-vous nous présenter votre association et ses objectifs?

    Génération Résistante: Comme beaucoup de mouvements d’opposition au gouvernement, Génération Résistante tient ses racines dans les manifestations contre le projet de loi du mariage pour tous.
    Cette période de prise de conscience pour un grand nombre de français a fait émerger une envie forte de réveiller les esprits silencieux. Un combat intergénérationnel, regroupant français de 7 à 77 ans. Ainsi, on aurait pu croire à un choc des générations se traduisant en un rassemblement faible, mais aux contraire, une seule génération était observable, la génération des français de la Résistance d’hier, d’aujourd’hui, mais surtout de demain.

    Génération Résistante a voulu entreprendre ce souci de représenter ces personnes qui ont lutté pour la préservation des valeurs fondamentales qui font notre société.

    Arrivé sur les réseaux sociaux fin Mai 2103, la volonté du collectif a été immédiatement d’être apolitique. C’est la mise en avant d’une désobéissance civique mais pacifique: « Désobéir, c’est servir ». Un leitmotiv qui a pour ambition de recueillir chaque personne qui ne se reconnaît pas ou plus dans le gouvernement actuel. Chaque citoyen a sa raison de résister, nous lui donnons l’opportunité de l’exprimer.

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  • La Grèce qui souffre...

    L’Europe doit beaucoup à la Grèce, historiquement comme politiquement, et jusqu’à son nom, celui de la fille d’Agénor et de Téléphassa, enlevée et violée par Zeus en Crète… Les noms et les principales notions de politique, mais aussi des différentes sciences sociales, de l’histoire à l’économie, des mathématiques à la philosophie, sont d’origine grecque : ainsi, la monarchie et la démocratie, par exemple, qui sont, à mes yeux, les éléments essentiels du débat politique en France, même si le terme république, d’origine latine, a tendance à les cannibaliser ou à les occulter dans la plupart des expressions politiques et civiques, jusqu’à entretenir quelques confusions malheureuses, en particulier lorsque les hommes du pays légal évoquent les « valeurs »…

    L’Europe doit beaucoup à la Grèce et pourtant, l’Europe ne lui en est guère reconnaissante ces dernières années, et encore moins l’Union européenne depuis 2010 et le déclenchement de la crise grecque qui a révélé, non seulement la forte corruption des féodalités politiciennes locales, mais aussi et surtout que les institutions européennes avaient fait le choix d’un libéralisme qui, en définitive, s’accorde mal à la solidarité pourtant nécessaire à la cohésion de l’ensemble européen : ainsi, c’est une Grèce exsangue qui va, à partir du 1er janvier, présider l’Union européenne pour six mois, une Grèce qui n’en finit pas d’expier les fautes des siens politiciens et les défauts de construction de la monnaie unique, et de subir un véritable régime punitif de la part d’une troïka constituée de l’Union européenne, de la Banque centrale européenne et du Fonds monétaire international. « Cinq ans de traitements de cheval des bailleurs financiers ont produit le plus haut chômage d’Europe (27 % en moyenne et près de 60 % pour les jeunes de moins de 25 ans) », rappelle Laurent Marchand dans son article du quotidien Ouest-France (lundi 30 décembre 2013), tandis que, dans ce même journal, Marc Pennec enfonce le clou : « Dans un pays d’à peine onze millions d’habitants, on compte désormais 1.450.000 chômeurs, un million de plus qu’il y a trois ans. Le PIB a chuté de 25 %, le pouvoir d’achat de 37 %. Entre 2008 et 2012, la consommation a reculé de 30 %. » Et Le Figaro d’ajouter : « La dette publique atteint 322 milliards d’euros fin 2013, soit 176 % du PIB. Elle est jugée insoutenable sur le long terme. » Un tableau économique et social terrifiant, et dont les effets se font dramatiquement sentir, y compris dans le domaine de la santé publique : « Trois Grecs sur dix n’ont plus de couverture sociale, si on compte les ayants droits, rapporte Christina Psarra, responsable de Médecins du Monde à Athènes. De plus en plus d’enfants qui ne sont ni couverts ni vaccinés. (…) Depuis septembre, (…), si l’enfant ne présente pas de carnet de vaccination, il peut être déscolarisé. » Sans oublier l’augmentation tout aussi terrifiante du taux de suicide des Grecs, pourtant jadis le plus bas d’Europe ! On aurait pu attendre de l’Union européenne envers les citoyens grecs une certaine solidarité, même critique des causes intérieures qui avaient aggravée la situation : or, l’UE n’a joué qu’un rôle sinistre de Père Fouettard, et, par ses principes idéologiques libéralistes, ses blocages europhiliques, ses institutions mêmes, cette « Europe légale » qui apparaît si lointaine de « l’Europe réelle » a manqué à ce qui aurait pu être ses devoirs si elle avait eu quelque conscience au-delà de ses seuls intérêts financiers…

    Et d’ailleurs, la troïka qui « occupe » Athènes (selon le terme employé par de nombreux Grecs), cette troïka dans laquelle l’Europe a la part la plus importante, continue à écraser la Grèce et à lui compter l’aide à lui apporter de la façon la plus sordide : ainsi, elle réclame instamment la levée du moratoire sur les expulsions et les saisies immobilières, et cela pour permettre, dit-elle, le recouvrement des créances impayées des banques…

    Mais quelle est donc cette Europe qui oublie les hommes et les réduit à la misère lorsque ce sont les banques et les politiciens qui ont, d’abord, failli ? La Grèce, « cette Grèce où nous sommes nés », comme l’écrivait Thierry Maulnier (ce royaliste qu’il est urgent de relire en ces temps troublés), mérite mieux que les oukases des banquiers de l’euro : elle peut être, au-delà de ses épreuves terribles, l’occasion de penser une nouvelle fondation de l’Europe, au-delà et peut-être même hors des clivages et des habitudes d’une Union européenne trop peu sociale pour être viable à long terme…

    Jean-Philippe Chauvin

    http://www.actionroyaliste.com/articles/nouvel-ordre-mondial/1305-la-grece-qui-souffre

  • Pourquoi l'immigration ne peut pas réduire la pauvreté

    Une démonstration qui s'applique très bien à la France :

  • « H&M esclavagiste » : un nouveau magasin pris pour cible, à Lyon cette fois

    LYON (NOVOpress) - Après Paris et Saint-Laurent du Var, un nouveau magasin de l’enseigne suédoise de vêtements H&M a été investi par des militants du collectif « H&M esclavagiste ». Ces derniers entendent dénoncer la politique de “délocalisations” de la multinationale : insatisfaits du coût de la main d’œuvre chinoise, pas assez bon marché, les dirigeants de H&M ont choisi l’Éthiopie, terre d’esclavage, pour installer leurs sites de production. Un communiqué publié par les identitaires, à l’origine de cette action, précise : « Moins coûteux et corvéables à merci, ces Africains pourront ainsi fabriquer des vêtements bon marché destinés à des chômeurs ou des travailleurs pauvres en Europe. (…) Pendant la période des soldes, cette action symbolique n’est pas sans rappeler le happening récemment organisé contre Mattel avec la “Barbie ouvrière” : elle amène les Français et les Européens à mieux réfléchir à leur consommation et à favoriser les produits locaux au détriment des objets “low cost” fabriqués en grande série par des nouveaux esclaves. » 

  • PS, comme plans sociaux !

    Cette question qui intéresse des millions de familles est plus cruciale que les dérapages ou les amourettes des uns et des autres.

    L’obsession médiatique Dieudonné a été pour le microcosme médiatique parisien une excellente occasion de ne pas trop parler d’un problème qui, par sa régularité, ne relève plus de l’événement ni de la jouissive émotion : ces plans sociaux qui condamnent des milliers de personnes au chômage et aux fins de mois difficiles dans nos lointaines provinces. Celui de La Redoute, à Roubaix, supprime 1 178 emplois sur 3 437. C’est l’histoire de cette agglomération de Roubaix-Tourcoing, qui a connu son apogée industriel au XIXe siècle jusqu’à l’Occupation et à l’hécatombe de 14-18.

    Les plans sociaux ont été nombreux depuis 2009. Ils touchent des secteurs en mutation, comme la presse sur papier. Mais ils concernent aussi des filières industrielles qui comptaient parmi les atouts français et qui sont victimes de notre manque de compétitivité et de notre exécrable gouvernance. L’agro-alimentaire, la filière télécom, l’automobile et les pneumatiques, le ferroviaire sont tour à tour frappés par des fermetures et des plans sociaux.

    Lire la suite =>

    http://www.bvoltaire.fr/christianvanneste/ps-comme-plans-sociaux,47009

  • Encore une augmentation d'impôt pour 2014

    Lu ici :

    "Les salariés couverts par une assurance santé complémentaire d'entreprise vont bientôt recevoir une mauvaise nouvelle de la part de leur employeur. En bas de leur fiche de paie de décembre déjà en leur possession, les plus attentifs ont pu noter la mention de leur salaire net imposable ("net fiscal") de l'année 2013. C'est le montant qui doit servir de base au calcul de leur impôt sur le revenu de 2014. Mais le gouvernement leur a réservé une petite surprise.

    Il a décidé que les cotisations versées par l'employeur au titre de sa participation à la complémentaire seraient désormais taxées via l'impôt sur le revenu du salarié, au motif qu'elles constituent pour lui un "avantage en nature" ! Et tout ça rétroactivement, puisque toutes les sommes versées depuis le 1er janvier 2013 sont concernées ! (...)

    Selon les calculs de la CFE-CGC, elle pourrait coûter jusqu'à 486 euros par foyer dans l'hypothèse d'une part patronale de 150 euros par mois pour le ménage. De son côté, le Centre technique des institutions de prévoyance (Ctip) estime que cela se traduira "par unehausse de l'impôt sur le revenu de 90 à 150 euros en moyenne pour chaque salarié"."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le patriotisme économique peu répandu dans les entreprises françaises

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) - Une étude menée par le cabinet AgileBuyer s’est penchée sur la politique d’achat de plus de 500 entreprises françaises. Le résultat est sans appel : seulement 13 % des entreprises sondées déclarent qu’acheter français fait partie de leurs objectifs en matière d’achat. Ce taux est même en recul par rapport à celui de l’an dernier, qui était de 19 %.

    Selon le directeur d’AgileBuyer, la France est pour les entreprises « un pays comme les autres »

    Le patriotisme économique ne fait visiblement pas partie de la culture de nos entreprises, surtout préoccupées par la diminution de leurs coûts. On constate cependant des différences entre secteurs d’activité. Les télécoms et l’agroalimentaire présentent par exemple le désintérêt le plus net pour le « fabriqué en France ».

    A l’inverse, d’autres secteurs sont plus patriotes ou « localistes »

    Près de la moitié des entreprises de l’hôtellerie, de la restauration et des loisirs ont un objectif d’acheter français. Pour ces métiers, la proximité géographique des fournisseurs peut en effet être un gage de qualité et de réactivité, par exemple pour l’alimentation. Dans ces cas‑là, acheter français peut aussi être un atout commercial, le client étant plus attentif à ce qu’il mange qu’à la provenance de son téléphone intelligent dernier modèle.

    Les auteurs de l’étude ne pressentent pas de véritable évolution des comportements

    Pourtant, les responsables des achats ne font pas état d’obstacles dirimants à acheter français : parfois, les produits recherchés n’existent pas en France ou sont trop chers, quelques fois acheter en France apparaît comme « trop compliqué ». En réalité, on constate surtout un manque de volonté de la part des entreprises. Leurs patrons préfèrent signer des chartes sur la diversité plutôt que donner du travail à leurs compatriotes. Un état d’esprit que l’on ne retrouve pas en Allemagne, où acheter allemand est une évidence.

    http://fr.novopress.info/