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tradition - Page 3

  • Mircea Eliade - Le chamanisme indo-européen

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    par Joakim Andersen

    Source: https://motpol.nu/oskorei/2011/03/23/mircea-eliade-indo-e...

    Mircea Eliade (1907-1986) est l'un des plus grands spécialistes des religions de l'époque moderne. Dans sa jeunesse, il avait des liens avec la Garde de fer roumaine et était influencé par des traditionalistes tels que Julius Evola et René Guénon, ainsi que par le spécialiste des religions indo-européennes Georges Dumézil. Malgré cela, ou à cause de cela, il est l'un des plus grands noms de cette science que l'on appelle la religion comparée et il a pu décrire la vision mythique du monde dans des ouvrages tels que L'éternel retour.

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  • Contre la menace de dissolution d'Academia christiana : signez la pétition nationale

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    Un communiqué d'Academia christiana :

    Academia Christiana est un institut de formation qui invite les jeunes à s’engager au service du bien commun. Depuis 2013, plus de 2 000 jeunes sont passés par nos universités d’été et séances de formations. Aujourd’hui ils sont partout engagés pour leur pays à travers leur métier, des associations, en tant qu’élus locaux, enseignants ou artisans.

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  • Roland à Roncevaux / Bragi, Contes de la mythologie nordique : deux nouveaux livres jeunesse (2017)

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    23/12/2017 – 07h45 Rennes (Breizh-info.com) –Les éditions du Lore viennent d’éditer deux nouveaux livres jeunesse qui complèteront la collection « Europe, Jeunesse, Littérature » dans laquelle nous retrouvions déjà Skaldi, contes de mythologie nordique.

    Cette fois-ci, c’est Olivier Meyer (textes) et Georges Briche (Illustrations) qui publient Bragi, contes de la mythologie nordique, tandis que Vincent Dubois (texte) et Georges Briche (illustrations) sortent Roland à Roncevaux.

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  • [DISSOLUTION D'ACADEMIA CHRISTIANA] Résister au mensonge avec Victor Aubert et Jean-Eudes Gannat

  • Fête de la Sainte-Lucie (13 décembre)

    Fête de la Sainte-Lucie (13 décembre)

    Partout, de la Méditerranée aux Fjords scandinaves, nous la trouvons associée à des rites d'illumination.

    Cette mystérieuse Lucie que les héritiers des Vikings honorent chaque année le 13 décembre par une fête de lumière doit avoir son origine dans le fond ancien des mythes germano-scandinaves. Par-delà l’apparence trop bien construite d’une figure de martyre des premiers siècles importée d’Italie, se profilent les lointaines silhouettes des divinités nordiques, celles-là mêmes qui, dans les pays germaniques, s’incarnent dans les thèmes de la déesse Holda ou de la Dame Holle des contes.

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  • Evola : Philosophie et action directe

    Considéré par certains comme “le plus grand penseur traditionaliste d'Occident”, Julius Evola (1898-1974) eut toujours des rapports difficiles avec le MSI tout en exerçant une influence certaine sur les cercles plus radicaux, les FAR en leur temps puis Ordine Nuovo ou Avanguardia Nazionale. Evola s'était tenu en marge du fascisme durant le Ventennio (1922-1943). Malgré ses critiques, il se voulut cependant solidaire de la RSI après 1943. Tenant à la fois de Nietzsche et de Guénon, il cultivait à la façon du premier le mépris de la plèbe et l'éloge du surhomme auto-construit. Mais il rejoignait René Guénon dans son interprétation de l'histoire comme un processus de décadence et d'involution conduisant, selon la tradition hindoue, au Kali-Yuga, l'âge démoniaque précédant le retour au chaos originel. Il était prêt cependant à reconnaître que certaines formes politiques, plus ou moins en accord avec son idée hiératique de la Tradition, pouvaient ralentir le déclin. Telle était son interprétation du fascisme, dans la mesure où celui-ci, par sa tentative de réhabilitation des valeurs héroïques, constituait un défi aux sociétés modernes et à l'homme-masse sans visage.

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  • En attendant de dissoudre la France, Darmanin annonce vouloir dissoudre Academia Christiana

    En attendant de dissoudre la France, Darmanin annonce vouloir dissoudre Academia Christiana

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé dimanche qu’il présenterait dans «les semaines qui viennent» en Conseil des ministres la dissolution d’Academia Christiana. Le président du mouvement en a été officiellement informé lundi dernier.

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  • Retour à l'esprit traditionnel 3/3

    Cette approbation formelle, extérieure, est la seule qui existe depuis des siècles en Europe : la souveraineté religieuse et la souveraineté politique sont acceptés sans être admises. Cela est grave, cela est le signe d'une perversion totale de l'humanité moderne : obéir sans adhérer, reconnaître sans consentir, s'incliner sans révérer. Ce sont en grande partie ces raisons, obscurément ressenties, qui ont poussé philosophes et artistes vers des formes d'exaltation et d'individualité. Un grand nombre de fortes personnalités se sont dressées contre l'écroulement de la tradition et le désordre politique, en revendiquant de façon plus ou moins théâtrale, la souveraineté de l'individu dans un monde sans souverains. Et tandis que la Science, d'une part, donnait naissance et expansion aux aberration niveleuses dans le domaine social et imposait la laïcisation du savoir pour détruire toute hiérarchie sacrée et toute connaissance profonde, Philosophie et Art exacerbaient inconsciemment la récolte de l'individu en idéologies et en “idologies” qui ont même fini par influencer le régime politique.

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  • Retour à l'esprit traditionnel 2/3

    Il y avait une partie saine, normale, de l'humanité, où les traditions étaient fortes, où la vie, intérieure et extérieure, demeurait inchangée dans la Contemplation, il y a encore quelques années, s'affirmait souverainement, et toute la vie extérieure était un rite, donc l'approximation plus ou moins efficace, selon les individus et les groupes, d'une vérité que la vie extérieure, en soi, ne donne pas. Mais celle-ci, lorsqu'elle est vécue de manière pure, permet de réaliser intégralement ou partiellement la vérité. Dans cette partie du monde vivaient des peuples dont la vie était entièrement orientée vers le Supra-monde : ces peuples pensaient, agissaient, aimaient, haïssaient, s'entretuaient de manière sainte, ils avaient sculpté un temps unique dans une forêt de temples, par où le torrent des eaux grondait, et ce peuple était le lit du fleuve, la vérité traditionnelle, la sainte syllabe dans le cœur du monde. Car, si l'existence est un fleuve, alors un est le lit de cette existence, lit très profond dont les traditions scrutent les profondeurs.

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  • Alain de Benoist : « Les runes exercent depuis toujours une grande fascination sur les esprits curieux » [Interview]

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    02/07/2017 – 07h10 Quimper (Breizh-Info.com) – Alain de Benoist – que nous avons interrogé à propos de l’actualité cette semaine – vient par ailleurs d’écrire un ouvrage scientifique fascinant intitulé L’écriture Runique et les origines de l’écriture. Un ouvrage paru – et c’est une première avec Alain de Benoist – aux éditions Yoran Embanner dont nous chroniquons fréquemment les ouvrages à Breizh-info.

    Utilisée par les Germains à partir du Ier siècle de notre ère pour transcrire diverses langues germaniques antérieurement à l’alphabet latin, puis concurremment avec lui, l’écriture runique, attestée par plusieurs milliers d’inscriptions, reste à certains égards une énigme. Du fait de son apparition relativement tardive, les spécialistes se divisent entre ceux qui la font dériver du latin, ceux qui la rattachent à l’alphabet grec et ceux qui font appel aux alphabets nord-italiques (ou « nord-étrusques »). Mais aucune de ces solutions n’est de nature à expliquer les particularités spécifiques de l’écriture runique : l’ordre des lettres, qui diffère totalement de celui des alphabets méditerranéens, leur regroupement en trois séries immuables de huit runes (les ættir), le fait que chaque rune porte un nom qui lui est propre (le phonème initial de ce nom déterminant la valeur phonétique de la rune), etc.

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