
Il arrive qu’un fait divers fissure la surface tranquille du discours public. L’affaire de Crépol, le meurtre de Thomas, la loi du silence qui s’est abattue sur l’enquête, en font partie. Deux articles récents du Figaro, écrits par Rozenn Morgat, décrivent minutieusement les faits et restituent, avec honnêteté journalistique, les dialogues interceptés, les comportements observés, les hésitations de la justice. Pourtant, ils n’en tirent pas la seule conclusion qui s’impose.





