Ouest-France s’est invité, samedi, au banquet du Canon français. Après avoir, à longueur de colonne, expliqué « pourquoi le banquet du Canon français fait polémique », avec les précautions oratoires qu’il convient pour décrire un événement « accusé d’être proche de l’extrême droite », et en donnant la parole à cette gauche qui fustige « une tentation fasciste », après avoir relaté les inquiétudes de la municipalité, qui « n’est pas contre, mais s’inquiète de la sécurité », après avoir relayé le communiqué de ce collectif qui demandait l’annulation du banquet - « Ces rassemblements développent une idéologie extrêmement réactionnaire […] Malgré son application à proclamer sa neutralité, le Canon français bénéficie du soutien de Pierre-Édouard Stérin, qui finance des initiatives économiques et culturelles diffusant une vision de la société ultraconservatrice et très proche de l’extrême droite » -, Ouest-France a donc dépêché un journaliste sur place, ce week-end.







