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tradition - Page 235

  • La gauche n’a rien. Nous avons tout.

    La gauche offre du vide, du rien. Nous offrons une épopée. Elle est loin d'être terminée. Remontez sur votre cheval. Ayez confiance.

    Il suffit de lire Boulevard Voltaire pour le constater : la gauche dans son ensemble s’applique méticuleusement à détruire la famille.

    Dénaturation du mariage, raids LGBT dans les écoles, gender par-ci gender par-là, les idéologues maçonno-socialistes n’attendent pas… ils savent que leur fenêtre temporelle est forcément réduite, alors ils aspergent, ils arrosent, ils mettent le feu partout où c’est possible. Ils savent que les braises auront tout leur temps, bien après l’alternance, puisque jamais aucune majorité « de droite » ne revient sur les conquêtes de gauche.

    Et pourtant…
    Et pourtant, tout ceci, ce n’est que de la comm’

    La famille, le mariage, l’éducation des enfants… souffrent bien plus de nos manquements, de nos abandons, de nos faiblesses, que des attaques de toutes les Fourest de la terre réunies.

    Robin de la Roche lire la suite.....

  • Un aumônier para témoigne sans langue de buis

    Alors que l’armée française est de nouveau engagée sur le théâtre africain, l’abbé Christian Venard, aumônier parachutiste, offre un saisissant témoignage sur son engagement sacerdotal et militaire dans « Un prêtre à la guerre ». Dans un livre d’entretiens avec le journaliste Guillaume Zeller, il raconte le cheminement de sa vocation dans un contexte difficile – les années 80 et 90, son arrivée au sein du diocèse aux armées, et les différentes opérations extérieures – les « opex » - auxquelles il a participé, du Kosovo au Mali en passant par la Côte d’Ivoire, l’Afghanistan ou le Liban.

    PSur un ton d’une grande liberté, mais dans une totale fidélité à Rome et une entière loyauté à l’égard de l’institution militaire, il témoigne aussi des difficultés de son ministère, inspiré par la figure de Charles de Foucauld. Un chapitre consacré à l’application du Motu Proprio aux écoles militaires de Saint-Cyr est particulièrement révélateur… Mais les pages les plus émouvantes de ce livre sont sans doute celles qui font le récit des moments tragiques au cours desquels l’abbé Venard – appelé « Padre » - doit annoncer aux familles la mort de leurs proches, tués en Afghanistan. Point culminant de l’ouvrage : ce 15 mars 2012, lorsque Mohamed Merah frappe à Montauban, tirant sur deux parachutistes qui expirent dans les bras du « Padre ». Et le Padre fustige la presse de caniveau, peu pressée de s'intéresser aux militaires :

    "Toutes ces nuances échappent aux grands médias qui nous agacent profondément. Avec leurs oeillères habituelles, ils placent les trois victimes dans un même lot. En dépit de toute évidence et sans vérifier leurs informations, ils décrètent que les trois victimes sont d'origine maghrébine, ce qui était faux pour Loïc, et de confession musulmane, ce qui était faux pour Loïc et Abel. Ce racisme inversé qui procède par amalgame amène les médias à privilégier à chaud, sans la moindre enquête sérieuse, la fameuse "piste d'extrême droite".  Malgré ma foi chrétienne, je voudrais dire le mépris le plus profond que j'éprouve à l'encontre de certains journalistes qui ont repris en choeur cette prétendue piste, mettant en cause des camarades parachutistes. Ils ont fait preuve d'une indignité absolue et ont donné une image honteuse de leur profession : celle, parfois trop vraie, d'une corporation de charognards. Aucun rectificatif n'a jamais été publié depuis. Cet épisode pose beaucoup de questions sur la manière dont le journalisme est pratqiué dans notre pays, sur son indépendance réelle et sur l'absence trop fréquente de déontologie au sein de cette profession."

    Un bel hommage aux prêtres et aux soldats d’aujourd’hui et, incontestablement, un cadeau à faire pour Noël.

    Michel Janva

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une initiative à encourager pour protéger nos enfants des propagandistes du genre

    PROTEGEONS LA PUDEUR ET L’INTEGRITE DE NOS ENFANTS

    Farida Belghoul lance une action nationale pour l’interdiction du gender à l’école

    Laurence Rossignol, sénatrice PS, déclarait le 5 avril 2013, sur le plateau de l’émission « Ce soir ou jamais » :

    Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat.

    Affirmation hallucinante qui va totalement à l’encontre de la Déclaration des Droits de l’Homme dont la sénatrice se réclame par ailleurs et qui stipule à l’article 26.3 :

    Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants. L’heure est grave...

    Le ministre de l’Education Nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Châtel, veut généraliser et officialiser l’enseignement de la « théorie du genre » dans les écoles publiques et privées sous contrat à partir de la rentrée 2014.

    Vincent Peillon nie totalement l’existence de ce prétendu projet pédagogique. Najat Vallaud-Belkacem, ministre des droits des femmes et porte-parole du gouvernement, prétend elle aussi que la « théorie du genre » n’existe pas. [...]

    Les Vidéos et La suite ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Videos-Une-initiative-a-encourager

  • Yannick Jaffré du Collectif Racine à L’Action Française : " La tectonique patriote atteint l’école "

    Professeur agrégé de philosophie, Yannick Jaffré a rejoint le Rassemblement Bleu Marine après avoir milité dans la mouvance chevènementiste. Président du Collectif Racine, il conteste l’hégémonie de la ”gauche moralo-sociétale" sur l’Education Nationale. Il a bien voulu présenter sa démarche aux lecteurs de L’Action Française.

    L’ACTION FRANÇAISE : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

    YANNICK JAFFRÉ - Je suis un enfant de 68, ayant grandi dans son esprit libertaire, alternatif, contestataire, mais aussi dans la famille éclatée, le relativisme axiologique, le tiers-mondisme et la francophobie française. Mes années de formation, 1980 et 1990, étaient plus précisément dominées par la gauche morale, immigrationniste, antiraciste et repentante. Nulle part la France n’était valorisée, partout je la voyais ramenée à des crimes passés et à des tares présentes. Et pourtant, j’étais porté vers cette immense personnalité française. Elle avait passé les obstacles de l’époque par ma mère bretonne, dans le silence des gestes et des valeurs, par certains professeurs aussi, et par ce qui, dans la mémoire nationale, transcendait l’immédiat, Harlem Désir et Bernard-Henri Lévy. Je me suis donc frayé un chemin vers la France contre mon milieu estudiantin puis professoral. Au plan politique, Chevènement, maintenant le fil rouge d’une gauche patriote, m’a permis d’articuler ma sensibilité républicaine, populaire et sociale à cet amour de la France qui l’avait emporté en moi. Jeune professeur de philosophie en zone sensible dans l’agglomération de Dunkerque, je rejoins le MDC à l’automne 2000. J’y milite jusqu’en 2003, m’en éloigne, reviens en 2005 vers le MRC de Lyon pour mener la campagne référendaire, observe avec attention l’inflexion émariniste » du Front National, recontacte Bertrand Dutheil de la Rochère, ancien directeur de cabinet de Chevènement, après qu’il a rejoint le Rassemblement Bleu Marine. Il me présente alors Florian Philippot, puis Marine Le Pen. Je monte actuellement avec Bertrand Patrie et Citoyenneté, mouvement de gauche patriote, au sein du Rassemblement Bleu Marine.

    Qu’est-ce que le collectif Racine ? Quel est son histoire, son rôle, sa fonction, pour ses membres et pour le RBM ?

    Avec mon ami Alain Avello, également professeur de philosophie à Nantes, je me suis rapproché au printemps dernier de Valérie Laupies, conseiller de Marine Le Pen pour l’éducation, de Bertrand Dutheil de la Rochère et de Florian Philippot pour leur proposer l’idée d’un collectif professionnel associé au RBM. Ils l’ont soutenue, Marine Le Pen l’a validée avec enthousiasme, et nous voici en marche ! Nous construisons dans l’été le site internet, nouons les premiers contacts, organisons notre conférence de lancement. Elle a lieu avec Marine le 12 octobre dernier à Paris. C’est alors un formidable appel d’air qui nous permet, après moins de six mois d’existence, de revendiquer plus de 400 adhérents.

    Sur le fond, le Collectif est né d’une double volonté : rassembler les enseignants patriotes, construire une pensée pour l’école. Nous prouvons par notre existence même que la tectonique des plaques patriote atteint l’éducation nationale, bastion de la gauche moralo-sociétale, où gisent encore des réserves de républicanisme véritable, c’est-à-dire national. Quant à notre pensée, elle veut être cohérente, informée, précise, thème par thème, de la maternelle à l’université. Parce que nous sommes associés à un grand mouvement, le RBM, nous ne sommes ni un syndicat, trop catégoriel, ni un club de réflexion, exclusivement intellectuel. Nous voulons donner par l’action politique force à nos idées.

    Dans la crise de l’école, il est devenu assez courant d’incriminer le "pédagogisme"... Que recouvre ce mot à vos yeux ?

    L’ensemble des réformes qui, à partir des années 1970, et sous l’influence de l’« esprit 68 », ont dégradé de manière profonde mais, nous le croyons, réversible, l’école de la république. L’idéologie les inspirant est un assemblage de théories qui, pour certaines, remontent à l’Émile de Rousseau. Ainsi Hegel dénonçait-il dès 1817 les pédagogies par le jeu, l’empirie, l’induction qui annulent le maître. Au XXe siècle, Freinet, Montessori, entre autres pédagogues « libres » et « ouverts », s’appuyant sur des théories psychologiques mal établies, dont la Gestalt theorie, ont promu un enseignement global, ludique et spontanéiste. Augmentées par le grand courant anti-institutionnel et égalitariste des années 1970, toutes ces sources se sont reversées dans l’école française, la funeste loi d’orientation de 1989 déclenchant la grande déferlante. Plaçant « l’élève au centre du système », elle a livré l’acte d’enseigner à la psychologie de l’individu et à la sociologie des groupes. Au rebours de sa vocation universelle et émancipatrice. Enseigner au sens noble, en effet, ce n’est pas prendre l’élève tel qu’il est supposé être, c’est l’élever vers ce qu’il peut devenir. A travers des méthodes plus ou moins ludiques, inductives, globales, il s’est créé un climat de confusion expérimentale sous lequel les « règles pour la direction de l’esprit » cartésiennes ont été dramatiquement brouillées. Ces conceptions, que le principe de réalité fait refluer dans tous les esprits de bon sens, sont encore soutenues par le ministère et ses « spécialistes ». Nous sommes là pour leur porter le coup de grâce !

    Ne faudrait-il pas aussi prendre en considération le problème de structure qui a consisté à homogénéiser à outrance le parcours scolaire et à produire un enseignement général pour tous mais au rabais et un enseignement professionnel totalement déconsidéré ?

    C’est pour nous la mère de toutes les batailles, le point névralgique, la pierre de touche. Nous mettrons fin au Collège unique par le haut. C’est-à-dire en revalorisant les filières professionnelles, mais vraiment, pas verbalement. De là, on redressera, en les désengorgeant, le niveau des séries générales et des licences universitaires. Nous avons sur le sujet des pistes très ambitieuses.

    Quelles sont vos campagnes actuelles ? Comment les menez-vous et en direction de qui ?

    Nous menons le combat sur trois fronts : l’implantation, la communication, la conception. Constitués en association, nous sommes en train de monter nos sections départementales. Avec un site régulièrement alimenté, nous intervenons sur le vif dans le débat scolaire, et provoquons les acteurs du système : notre lutte actuelle concerne la défense des statuts de 1950 et des classes préparatoires. Parallèlement à ces deux tâches, enfin, nous formons des commissions par thème, matière, niveaux, structures, pour mener un travail foncier, de longue haleine, avec 2017 pour horizon. Tous les professeurs patriotes qui voudraient contribuer à l’aventure sont les bienvenus !

    Propos recueillis par Stéphane Blanchonnet - L’AF 2876

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Entretien-Yannick-Jaffre-du

  • J-30 : la liberté d'expression menacée, une raison de plus pour venir à la Marche pour la Vie

    Communiqué de Choisir la Vie : 

    "Alerte : le délit d’entrave à l’IVG élargi

     Jamais un gouvernement n’aura été aussi loin dans la « traque » des défenseurs de la Vie…

    Après  un premier rapport du HCCefh (Haut Conseil à l’égalité entre les hommes et les femmes), demandé par le ministre Najat Belkacem, qui préconisait  4 recommandations dont la création d’un site institutionnel  pro-IVG (site que le gouvernement  s’est  empressé de créer pour contrer les antennes d’écoute aux femmes enceintes en difficulté !), un second rapport du 7 novembre dernier publiait, cette fois, pas moins de 34 recommandations pour un meilleur accès à l IVG dont :

    - la suppression de la condition de détresse dans la disposition légale actuelle

    - la suppression du délai de réflexion de 7 jours de la clause de conscience

    -  une obligation à tous les établissements publics de pratiquer l ivg…

    C’est à présent une véritable atteinte à la liberté d’expression qui nous est imposée par le projet de loi sur l’égalité entre les femmes et les hommes, n° 717 déposé le 3 juillet 2013, adopté par le Senat en première lecture le 17 septembre dernier (TA N n°214) et examiné cette semaine en commission.

    Au sein de ce texte, un amendement a  déjà été adopté avec le soutien du gouvernement prévoyant l’extension du délit d’entrave à l’avortement.

    Apres l’article 5 ter, est en effet inséré un article additionnel pour modifier  l’article L 2223 -2 du code de la santé publique, article relatif à ce délit.

    Avec cet amendement, il s'agira de sanctionner toute personne qui ne délivrera pas d’information sur l'avortement.

    Ce délit sera donc constitué en "perturbant de quelque manière que ce soit la possibilité de s’informer sur les actes d'ivg ou en exerçant des pressions morales et psychologiques à l’encontre des femmes venues s’informer sur l’ IVG".

    Cet article ainsi voté permettra d’interdire toutes les informations, les sites qui n’encourageraient pas à l’avortement et  avertiraient des dangers de cette pratique.

    Choisir la Vie, consciente que ce projet de loi, s’il est voté modifiera profondément la liberté d’expression et d'action des associations défendant le Respect de la Vie, alerte ses sympathisants sur le danger extrêmement grave que constitue cet amendement qui sera, sans nul doute, le premier pas vers une interdiction pure et simple de manifester, voire d’exister…

    La dictature commence aujourd’hui ! Choisir la Vie appelle à se mobiliser massivement et fermement contre ce projet de loi, qui sera débattu en séance à l Assemblée nationale à partir du 20 janvier prochain…Cette mobilisation verra son apogée le 19 janvier lors de la GRANDE MARCHE POUR LA VIE".

    9mplv2014http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Paroles royales : " “Faire France” pour défaire la France ? "

    C’est un très beau texte que le Prince a publié, le mercredi 18 décembre, dans Le Figaro, à la suite de la publication des cinq rapports commandés par le Gouvernement à des personnalités proches du parti socialistes, visant à trouver les moyens définitifs de détruire la France. Le Prince, tout en condamnant cette entreprise criminelle, prend de la hauteur pour rappeler aux Français la beauté et la grandeur de leur héritage national. À DIFFUSER LARGEMENT

    Doit-on rappeler ce que tant de gens connaissent aujourd’hui : les extraordinaires prophéties de George Orwell ? Il est vrai qu’il aura toujours été plus facile et plus excitant de détruire un monde riche de sa culture, de son travail, et d’effacer à tout jamais la mémoire des racines originelles de quelque peuple que ce Soit. Le tout, sous prétexte de fournir une fausse nouvelle joie de vivre aux esclaves en devenir, contraint de choisir entre la soumission à la dictature du politiquement correct et l’exclusion absolue.

    Si la France, elle, n’a jamais succombé aux coups, parfois mortels, qui lui ont été portés, c’est parce qu’elle a encore une âme. Cette âme, on a pu croire parfois, tant la nuit de l’Histoire semblait noire et profonde, que la France l’avait perdue mais en réalité elle était bien là, chevillée au corps de cette vieille terre où gisent tant de nos morts. Des morts qui sont souvent tombés pour elle à Bouvines, à Rocroi, à Denain, à Jemmapes, à Waterloo, à Sedan, sur la Marne et à Verdun.

    Il se trouve en effet que, depuis quelque temps, certains cherchent à réécrire l’Histoire de notre pays sans tous ces morts qu’ils jugent bien encombrants, sans le christianisme qu’ a porté notre pays sur les fonts baptismaux et façonné jusqu’à sa physionomie, sans ces rois et ces deux empereurs, si peu« républicains », qui ont fait de la France ce qu’elle est.

    Oui, certains aimeraient que notre pays soit tout autre que ce qu’il est, ou plus exactement qu’il ne soit plus la France. Il faudrait que la France s’excuse d’avoir été la France, de ne pas être fiée sous la forme d’une république laïque et sociale dès le Ve siècle. après Jésus-Christ, d’avoir étendu son emprise au -delà des mers, d’avoir fait la guerre et la paix sur tout le continent, d’avoir construit des cathédrales et des châteaux. Enfin, le peuple français devrait rougir d’avoir confié son destin pendant des siècles à des « mâles blancs et hétérosexuels » qui encombrent - paraît-il - le Panthéon comme nos livres d’Histoire et dont il convient de les chasser. c : est pourtant du sang essentiellement « étranger », « impur », chante la Marseillaise, qui coulait dans les veines des rois qui ont fait la France mais pour rien au monde ils n’auraient touché à ce pays dont le sacre les faisait dépositaires.

    Or aujourd’hui, pour faciliter l’intégration de millions d’étrangers qui vivent en France, « des spécialistes » suggèrent d’en forger une autre de toute pièce plus conforme aux dogmes idéologiques dont ils sont les dangereux propagandistes.

    Il se trouve que je suis le chef de la famille qui a, pendant plus d’un millénaire, incarné cette France que l’on prétend aujourd’hui abolir et à ce titre je ne peux rester silencieux. Même si, pour des raisons historiques évidentes, je ne suis pas républicain, jamais depuis notre retour d’exil la légitimité que nous incarnons n’est venue s’opposer à la volonté du peuple français mais ce respect de la légalité républicaine ne m’exonère pas de mes devoirs de chef de la maison royale de France, de mes devoirs de Français. L’amour que je porte à la France m’oblige à crier ici publiquement mon indignation contre ce projet monstrueux forgé dans le secret de quelques antichambres ministérielles.

    Je prends acte des propos du président de la République qui a déclaré que ces propositions n’exprimaient en rien la position du gouvernement mais j’attends surtout du chef de l’État une condamnation sans appel de ce rapport et de son contenu qui vise non pas à changer la France, mais à la noyer comme une nouvelle Atlantide. Je ne ’sais pas, moi, ce que « faire France dans un nous inclusif et solidaire » (sic) veut dire mais ce que j’ ai compris, et je ne suis pas le seul, c’est que les auteurs de ce rapport Cherchent à défaire la France.

    C’est donc bouleversé et avec l’émotion que partage une majorité de Français que je m’adresse, ici, à toute la France, à tous ceux qui aiment le pays dont ils sont les héritiers mais aussi les dépositaires. Au -delà de toute politique, au-delà de ce que ma personne peut représenter pour des républicains sincères, au -delà même de mes convictions religieuses qui forgent mon identité mais que tous ne partagent pas, il y a la France et nous ne pouvons pas la laisser défaire.  "

    Henri, comte de Paris, duc de France - Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Paroles-royales-Faire-France-pour

  • En relisant nos maitres

    Depuis quelques années les approches conservatrices, réactionnaires, voire contre-révolutionnaires ont connu un renouvellement de leur littérature par la multiplication d'essais, de qualité, variable, dont votre blog préféré a eu régulièrement l'occasion de se faire l'écho. Même si un certain nombre de concepts ont été mis à jour par l'actualisation de leurs modalités d'application dans le monde d'aujourd'hui, leurs fondements philosophiques, ancrés notamment dans la permanence et l'invariance de la nature humaine, demeurent pérennes. Dans ce cadre nous vous proposons, selon un rythme plus ou moins régulier, de rappeler à notre bon souvenir quelques lignes de nos maitres, au fil de nos lectures ou relectures.

    Aujourd'hui nous "ferons mémoire" de Jean Ousset, avec ces quelques lignes de "Pour qu'Il règne" (Editions Dominique Martin Morin).

    Q« La neutralité est impossible (…) elle n’existe pas. Il est dans l’ordre que le glaive temporel soit soumis au glaive spirituel… la chose a toujours été et sera toujours. Autrement dit IL EST IMPOSSIBLE QU’UNE DOCTRINE NE REGNE PAS SUR L’ETAT, QUAND CE N’EST PAS LA DOCTRINE DE VERITE, C’EST UNE DOCTRINE D’ERREUR (NDPC : c’est l’auteur qui met en majuscules). Ainsi le veut l’ordre des choses. Il veut que la force obéisse à l’esprit, et, de fait, elle obéit toujours à un esprit : esprit de vérité ou esprit de démence.

    A ceux, donc, qui aujourd’hui s’en vont levant les bras et hochant la tête quand on leur rappelle cette doctrine des « deux glaives », refusant d’y croire, en  la prétendant  «  dépassée », nous avons pris l’habitude de répondre ! « Démontrez-nous qu’aucune force spirituelle ne règne plus sur l’Etat et nous vous croirons aussitôt. Démontrez-vous que la Maçonnerie ne règne pas à la place de l’Eglise, et de telle sorte que le magistère de celle-ci n’était qu’enfantillage au regard de la pression de celle-là. Ah ! Vous ne voulez pas que la Sainte Eglise de Dieu règne sur le gouvernement des nations ! Qu’à cela ne tienne ; les nations passeront sous la puissance des sectes. Votre Etat, « libéré » de l’Eglise, ne cessera pas d’obéir à un glaive spirituel, glaive spirituel des forces occultes, autant dire de ces idées de laïcisme, de naturalisme que ces forces font pénétrer partout et en se moquant bien de nos scrupuleuses distinctions sur les domaines respectifs du pouvoir spirituel et du pouvoir temporel. »

    Il cite plus loin Pie XII :

    « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien des âmes, c’est à dire le fait que les hommes, appelés tous à être vivifiés par la grâce du Christ, respirent, dans les contingences terrestres du cours de la vie, l’air sain et vivifiant de la vérité et des vertus morales ou, au contraire, le microbe morbide et souvent mortel de l’erreur et de la dépravation. »

    Paula Corbulon

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  • A Tours, les Sentinelles ne lâchent rien

    Hier soir devant le Palais de Justice de Tours :

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    Michel Janva

  • Des cars pour la Marche pour la vie du 19 janvier

    • Alsace : départ de Sélestat - contact : francis-kruch@gmail.com
    • Indre-et-Loire : départ de Tours - contact : chefdechapitre@chapitresaintgatien.fr
    • Maine et Loire - contact : chefdechapitre@chapitresaintgatien.fr
    • Doubs : départ de Besançon - contact : phmfmeyer@orange.fr
    • Moselle - contact : jean.pirnay@orange.fr
    • Loire-Atlantique  : départ de Nantes - contact : samuel@famille-potier.com
    • Puy de Dome - contact : b.gouriten@gmail.com
    • Saône et Loire : départ de Charolles, Epinac, Le Creusot, Paray, Chalon - contact : lionel.prevot@transport.alstom.com
    • Vendée : départ de La Roche sur Yon - contact : marchepourlavie85@gmail.com
    • Indre : départ de Châteauroux
    • Ardèche : départ de Aubenas - contact : père.bernard@fmnd.org
    • Loire : départ de Saint Etienne
    • Ain : départ de Bourg en Bresse

    Vous pouvez organiser d'autres cars en vous inscrivant ici.

    Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Lejeune, a apporté son soutien à la Marche pour la Vie.

    Nous pouvons vous annoncer également la présence d'une délégation hongroise le 19 janvier.

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