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tradition - Page 235

  • Prolégomènes : Réflexions introductives sur le concept de modernité au sein de l’antagonisme contemporain l’opposant à la tradition (1ère Partie)

    Dans le cadre de ce premier écrit, nous évoquerons ce que nous estimons représenter les véritables fractures des temps modernes. L’antagonisme opposant les peuples, les « civilisations », les cultures n’ayant pas sectionné leur lien avec leur tradition, leur héritage, leur sens du sacré, face aux autres, issus principalement des Etats prospères, riches matériellement, économiquement, mais souvent appauvris, proportionnellement d’ailleurs, quant à leur dimension spirituelle, traditionnelle, sacrée.

    Les guerres de religion de l’ancien monde, le recul de la tradition, les progrès des sciences ou, plus précisément, la concrétion et la disparition d’un certain nombre d’entre elles au profit de la Science, essentiellement mathématique, logique, matérielle, utilitariste et immanente, ont progressivement éloigné l’Homme de sa croyance au Ciel, au cosmos, aux muses, aux dieux, à Dieu.

    Ainsi, l’Homme moderne, las des mystères, ennuyé du doute, impatient du Ciel, décida de faire table rase du passé, persuadé (épaté devant ses propres découvertes mathématisables) que, reposant sur sa seule rationalité, il lui serait possible d’atteindre le bonheur, sa conception du monde lui donnant en effet l’assurance de résider dans une éternité unilinéaire, ce sens de l’Histoire allant forcément vers le mieux et ne pouvant retomber en-deçà d’un certain seuil.

    Se détournant d’une immortalité transfigurée promise après la mort, dans l’au-delà, il veut désormais une humanité éternelle dans ce bas monde bien visible, tangible, réel, sensible, car, pour lui, seul le tangible, le matériel lui est réel.

    Pourquoi l’offensive semble provenir singulièrement de l’Occident [1]?  Peut-être parce qu’elle demeure la dernière des grandes et illustres civilisations à ne pas avoir encore été déchue comme nous le rappelle Toynbee [2]. Héritière de l’Empire romain, fière, se sentant ou voulant croire à sa toute-puissance prométhéenne technico-scientifique, entendant jouer le rôle de législateur planétaire et universel, persuadée du bien-fondé de ses valeurs et que ses intérêts coïncident nécessairement avec ceux du reste de la planète, elle tente sans relâche d’uniformiser, à la manière procustéenne, le monde à son idéal.

    I – Antagonisme : modernité contre Tradition

    « Quand l’Amérique refait le monde », de Ghassan Salamé, illustre en effet assez bien ce qui se produit sous nos yeux depuis la Seconde Guerre mondiale. Le monde arabo-perso-ottoman musulman demeurait encore profondément traditionnel, donc religieux ; il était par conséquent une cible prioritaire pour étendre le règne de la modernité au reste de la planète, continuer la table rase du passé, des coutumes et mœurs ancestrales, pour « engendrer », d’ici une ou deux générations, « l’homme nouveau », au sein d’un ordre mondial inédit.

    Carl Schmitt nous a assez bien démontré combien il était nécessaire, pour faire de la politique, de désigner un ennemi, quitte à le fabriquer. En ces temps modernes, où la prolifération des médias couvre à 360° la vie d’un nombre croissant de « concitoyens » du monde, le photogénique, le « médiagénique » joue à plein. Le musulman brun, sombre, à la barbe fournie, au dialecte d’une phonétique agonale, accompagné d’une femme souvent drapée de noir, cela forme une figure visuelle parfaite pour incarner dans l’imaginaire de nos contemporains à la fois la crainte et le symbolisme du Mal.

    Ce qui différencie la civilisation du monde occidental moderne de la civilisation orientale, et même de la civilisation occidentale du Moyen-Age, est qu’elle ne repose plus sur la Tradition.

    Le progressisme est la croyance en un progrès indéfini, unilinéaire, reposant sur la rationalité humaine et sa capacité à fonder son bonheur à travers son seul génie, essentiellement Scientifique. Il pense qu’ayant atteint un certain niveau, il ne peut redescendre en-deçà d’un certain seuil. De cette manière, il se croit arrivé à un stade supérieur à tout ce que l’humanité a pu porter depuis son apparition sur la Terre.

    Le discours de la modernisation ne prétend plus exprimer des opinions particulières face à d’autres opinions possibles et revendique un statut différent, il reflète une nécessité inscrite dans le « réel » qu’il serait hors de propos de réfuter. Le militant officiel de ce système, forcément du côté du Bien, possède une supériorité ontologique par rapport à tout opposant : lui seul n’est pas dans le domaine de l’idéologie, mais lit le réel.

    Le brillant Castoriadis nous avertissait que « chaque société est un système d’interprétation du monde. Son identité est proprement ce système, un système de donation de sens » ; or  « si vous attaquez ce système d’interprétation, de donation de sens, vous l’attaquez plus mortellement que si vous attaquez son existence physique, et, en général, elle se défendra plus sauvagement. » Nous l’avons vérifié récemment en constatant l’impressionnante différence de traitement entre les casseurs et délinquants d’un côté, qui ont pu agir en quasi-impunité, et les manifestants pacifiques de La Manif’ Pour Tous de l’autre, objet de mesures de répression policière, tout comme les nombreuses arrestations arbitraires des porteurs de sweatshirts ou encore l’offensive contre les Veilleurs et autres sentinelles pacifiques.

    Peu à peu, à force de limiter les opportunités permettant, tant les confrontations idéologiques que de remettre en question les conceptions du monde que souhaitent nous imposer « les politiques », nous nous laissons enfermer dans la « caverne » platonicienne, l’enfermement dans l’idée fausse, l’arrêt de la quête de Vérité, cette quête de sens et de connaissance, du Bien, du Vrai.

    La méthode du système est la même depuis l’avènement des totalitarismes : si la mise à l’index, « la mise en joue des temps de trêves » disait Jules Vallès, ne suffit pas, alors on lance l’entreprise d’élimination de l’adversaire par la condamnation morale au nom du sacro-saint Bien (du quel ? on se le demande en ces temps de relativisme), du Progrès, de la Raison, des Lumières, de la Révolution.

    Nous estimons qu’il est nécessaire de rétablir la hiérarchie, la différenciation entre ce qui est mauvais, mieux, bien, mal, premier et dernier. Il est tout aussi nécessaire de réinstaurer la méritocratie tout en protégeant les plus faibles, aux premiers rangs desquels figurent nos enfants et nos anciens.

    Aux origines idéologiques de la discrimination positive, « l’injustice d’une répartition inégale des dons intellectuels et le prestige flatteur qui s’attache à la simple possession de dons supérieurs doivent être compensés par des mesures sociales destinées à empêcher que le talent individuel exploite ses grandes facilités » (Gracchus Babeuf ).

    Nous ne sommes pas en accord avec le précepte énoncé ci-dessus ; nous lui préférons encore l’aphorisme d’Héraclite : « Un pour moi dix mille, s’il est le meilleur. En effet, pour le bien général, il est évident que l’individu le mieux placé pour conseiller, effectuer une mission ou toute autre tâche doit avoir la possibilité de le faire. Comme Platon précisait : « Tout comme le médecin est le mieux placé pour savoir ce qui est dans chaque cas bon pour le corps, le sage est le plus à même de discerner ce qui dans chaque cas est bon pour l’âme. »

    Nous promulguons la supériorité du « Droit naturel classique », hissant la sagesse au-dessus du consentement, sur le « Droit naturel égalitaire », faisant primer le consentement sur la sagesse.

    Non pas que nous soyons opposés à la démocratie, mais cette dernière suppose des citoyens capables d’être gouvernés ET de gouverner, ce qui demeure, vu sous un angle réaliste, problématique.

    Car, comme le note Aristote, les lois sont érigées dans le but de rendre chaque citoyen de plus en plus vertueux (condition menant au bonheur).

    On peut, sans trop s’avancer, conclure que, durant cette ère de modernité, le progrès s’est mesuré essentiellement en termes de production de matériels, utiles ou non, aucunement en progrès de « l’humain ». Et qu’est-ce qui singularise l’humain ? Sans nous plonger dans une analyse dépassant le cadre de notre article introductif, nous pouvons au moins dégager un point.

    Prenons la pyramide à trois niveaux du docteur en médecine, philosophe et théologien Pascal Ide : tout en bas de celle-ci réside ce qui est commun aux hommes, aux animaux et aux végétaux, à savoir l’aspect nutritif ; au deuxième étage, intermédiaire, se situe le caractère sensoriel, commun aux hommes et aux animaux ; enfin, le haut de cette pyramide se parachève dans la dimension spirituelle, unique au genre humain.

    Or, selon Aristote, « ce que les hommes partagent avec les animaux, on ne le considérait pas comme humain ». Cela nous amène au fait que seul le spirituel est propre à l’homme, donc véritablement humain. Et justement, c’est bien dans la guerre à cet acmé spirituel que réside la substance de l’antagonisme opposant la modernité à la tradition.

     II – L’auctoritas

    Chaque jour, partout en France, quels que soient la catégorie sociale, la région ou bien le domaine concerné (professionnel, sportif, politique, etc.), tout le monde se plaint sans cesse « qu’il n’y a plus d’autorité », mais peu nombreux sont ceux cherchant à comprendre comment nous en sommes parvenus à ce stade de dégénérescence.

    Nous allons simplement nous appuyer sur deux théoriciens talentueux, Hannah Arendt et Cornélius Castoriadis. La première nous démontre avec persuasion combien ce qu’elle nomme la « Trinité romaine », à savoir la trilogie : Tradition – Religion – Autorité, subit un délitement continuel depuis des décennies. Or, nous avons précisé combien l’époque moderne reposait sur sa singularité anti-traditionnelle : qui dit anti-tradition dit nécessairement anti-religion.

    Il est aisé de constater combien les trois religions monothéistes sont vilipendées, décrédibilisées sous différentes formes. La religion juive, compte tenu de l’Histoire, ne peut pas être attaquée aussi ouvertement que ne l’est la religion chrétienne. Ainsi le judaïsme est « subtilement » agressé de manière continue via l’antisionisme. Concernant la religion musulmane, il n’y a qu’à ouvrir un journal, la télévision, la radio : pas un jour où le musulman n’est pas décrit comme un barbu tribal, primaire et sanguinaire, doté des traits physiques et moraux les plus tors.

    Quant à la religion catholique, la plus ouvertement décriée, il s’agit d’une ringardisation généralisée, au mieux, combinant une association des « valeurs traditionnelles » aux « valeurs extrémistes », donc aux militants réactionnaires, voire carrément « fachos ».

    Castoriadis nous permet de mieux saisir les raisons pour lesquelles le fonctionnaire d’hier, l’ouvrier d’hier, le salarié d’hier, en bref l’individu d’hier, était différent de celui d’aujourd’hui, quant à son rapport à son activité salariale, à son œuvre, à sa hiérarchie, à ses clients, à son regard sur lui-même, à sa place dans la société :

    « (…) Le capitalisme n’a pu fonctionner que parce qu’il a hérité d’une série de types anthropologiques qu’il n’a pas créés et n’avait pas pu créer lui-même : des juges incorruptibles, des fonctionnaires intègres et wébériens, des éducateurs qui se consacrent à leur vocation, des ouvriers qui ont un minimum de conscience professionnelle, etc.

    Ces types ne surgissent pas et ne peuvent pas surgir d’eux-mêmes, ils ont été créés dans des périodes historiques antérieures, par référence à des valeurs alors consacrées et incontestables : l’honnêteté, le service de l’Etat, la transmission du savoir, le bel ouvrage, etc. Or nous vivons dans une société où ces valeurs sont, de notoriété publique, devenues dérisoires, où seuls comptent la quantité d’argent que vous avez empoché, peu importe comment, ou le nombre de fois où vous êtes apparu à la télévision. »

    Sociologiquement, intrinsèquement, ontologiquement, le citoyen du XXIème siècle n’est plus celui engendré au siècle précédent.

    Revenons à notre « Trinité romaine ». Nous avons vu comme la Tradition et la Religion étaient chaque jour prises d’assaut par différents instruments du « système » moderne ; il en résulte nécessairement un amoindrissement de l’autorité.

    Car d’où provient l’autorité ? Comme René Guénon nous l’a prodigieusement démontré, de tout temps, les rois tiraient leur pouvoir temporel d’une autorité spirituelle, dûment identifiable, respectée. Pourquoi les rois, empereurs allaient-ils se faire couronner, sacrer, à Reims ou ailleurs ? Pour bénéficier de cette légitimité, condition nécessaire à leur autorité, dimension obligatoire pour l’exercice de toute royauté, de tout pouvoir, de toute obéissance.

    Or aujourd’hui, quid de la Tradition dans le monde moderne ? De la religion ? Donc de l’autorité ? Que respecte-t-on ?

     

    Jonathan

    (à suivre)

    Notes :

    [1] Nous n’omettons pas le Japon, très en avance sur le plan technique, en robotique humanoïde notamment.

  • Le soutien des communautés à la Marche pour la vie

    Après les évêques et les associations, voici les communautés et les ecclésiastiques qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :

    • père Daniel Ange, Jeunesse et Lumière
    • père Philippe Barbier, Pères et frères Coopérateurs paroissiaux du Christ Roi
    • Abbé John Berg, supérieur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre
    • Abbé Emmanuel Berger, Berceau de sainte Anne, Curé de paroisse à Apt
    • Père Bernard, supérieur de la Famille Missionnaire de Notre-Dame
    • Abbé Amaury Cariot, Diocèse de Pontoise, Responsable Communication
    • Dom Louis Marie, père abbé de l'Abbaye Sainte Madeleine du Barroux
    • Abbé Philippe Laguérie, supérieur de l'Institut du Bon Pasteur
    • Abbé Hubert Lelièvre, Fraternité de prière l'Evangile de la Vie
    • Mère Marie Magdaleine, supérieure de la Famille Missionnaire de Notre-Dame
    • Marques-Gonçalves Manuel recteur du Sanctuaire Notre-Dame de Fatima (à Paris) 
    • Abbé Vincent Ribeton, supérieur du District de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre
    • Abbé Gérard Trauchessec, Institut de Christ Roi souverain prêtre
    • Mgr Gilles Wach, supérieur de l'Institut de Christ Roi souverain prêtre

    Michel Janva

  • Le meilleur des monde de Taubira et Vallaud-Belkacem

  • XVIe Forum de la Nation - Discours d'un militant nationaliste sur la paysannerie française

  • XVIe Forum de la Nation - Discours de Gonzalo Martin (Democracia nacional)

  • Les Hommens rallient la Marche pour la vie

    Par ce communiqué :

    "Les HOMMEN Protect Kids, radicalement du côté des enfants, défendent et continueront de défendre les droits des plus faibles. Depuis bientôt un an, des bénévoles de la résistance HOMMEN se sont levés aux quatre coins de France pour combattre les idéologies ambiantes à grand coup de réalités naturelles incontestables. Loin d'une opposition temporaire à un texte de loi ou d'une simple protestation, c'est un véritable combat qu'il s'agit de continuer activement. Vous êtes responsables.

    Les HOMMEN vous appellent à participer à la Marche pour la Vie le 19 janvier prochain à Paris. Tous les enfants doivent être défendus. Il est temps. Vous êtes les gardiens de la nature et de ses lois, vous êtes les soldats de la vérité, et les idéologies sectaires ne peuvent rien contre vous ! N'oubliez jamais que la victoire du mal, c'est l'inaction des hommes de bien ! La résistance du dimanche, c'est terminé. Venez. Nous, nous serons là. On vous attend."

    Leur site http://hommen-officiel.fr/

  • Les associations qui soutiennent la Marche pour la vie

    Après les évêques, voici les membres de la société civile qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :

    Florence Allard, auteur de « Le traumatisme post avortement », Gynécologue
    Jean Christophe André Dumont président de Jurivie ( Belgique)
    Jean Paul André Dumont président de Pro Vita (Belgique)
    Bernard Antony président de l'AGRIF
    Jean Philippe Audouy président de l'Association Familiale Louis et Zélie Martin
    Rémy Bague président de la Life Parade
    Henri Blocher, Professeur & Doyen honoraire à la Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine
    Bourcier de Carbon, Démographe
    Béatrice Bourges présidente du Collectif pour l'Enfant
    Elisabeth Bourgois, Infirmière et écrivain
    Antony Burckhardt, porte-parole de la Marche pour la Vie de Bruxelles
    Carlo Casini, Président du Mouvement pour la Vie Italien et Député Européen
    Le Comité d'accueil de l'enfant et d'aide aux Futures Mères
    La Confédération Nationale des Associations familiales Catholiques
    Jean-Pierre Dickès, Président de l'association catholique des Infirmières (A.C.I.M.) et éditeur des Cahiers Saint Raphael
    Jacques Dupaquier, Membre de l'Institut, Historien
    Alain Escada, président du Collectif "Papa, maman et moi" (Belgique)
    Fédération Nationale de la famille Française
    Femina Europa
    Les Femmes et les enfants d'abord
    Secours aux futures
    Fondation Jérôme Lejeune
    François Foucart, journaliste à France Inter puis à Radio Notre-Dame
    Pierre Gastal, Femmes enceintes en difficulté
    Christophe Geffroy, Directeur de la Rédaction de La Nef
    Astrid Ghislain, Jeunes pour la vie
    Ivan Gobry, Professeur des facultés
    Pierre Goube de Laforest, Président du Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine
    Alain Guillo, UNEC
    Yves Guyomar, Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante
    Joël Hautebert, Président de l'association Objection, Professeur des Universités
    Jacques Hindermeyer, Institut national de réadaptation (fondateur) Professeur de médecine des facultés
    Bernard Huck Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine Doyen
    Institut d'études politiques Léon Harmel (IPLH)
    Wilbert Kreiss Professeur de théologie Luthérienne en retraite
    Henri Lafont Président de l'Association des Médecins pour le Respect de la Vie
    Jean Legrand, Association pour le développement démographique
    Birthe Lejeune, Vice-présidente de la Fondation Jérôme Lejeune
    Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune
    Denis Lensel Journaliste & écrivain
    Angela de Malherbe Centre d'Education pluridisciplinaire de la Personnalité Teen Star
    Patrice Martineau Auteur compositeur
    Roger Martineau Auteur compositeur
    Philippe Maxence, Rédacteur en chef du bimensuel L’Homme Nouveau et écrivain
    Rosny Minvielle, Professeur des facultés de droit
    Elisabeth Montfort, Conseil Régional d'Auvergne; Ancien député européen, Conseillère régionale
    Association Notre Dame de Kabylie
    Papa Maman et Nous
    Piero Pirovano, Président de Solidarité (Italie)
    Samuel Potier Président de Fidelis Santé
    Promouvoir
    Reconquète
    Michel Rouche, Professeur émérite à La Sorbonne
    Jeanne Smits, directeur de Présent
    SOS la Vie
    Liliane Stevenson, Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques
    Denis Sureau, Directeur de la Publication de « L'Homme Nouveau », « Chrétiens dans la Cité », « Transmettre »
    Anne Sophie Tampe, Jeunes témoins de la Vie Humaine
    Jean de Taurier, président du Pèlerinage Notre Dame de Chrétienté
    Jean Louis Thes, Institut de Politique Familiale
    Alain Toulza, Comité d'initiative pour la Dignité Humaine
    La Trêve de Dieu
    Union pour la Vie
    Paul Wells, Faculté de Théologie réformée d'Aix en Provence
    J C Willke, Président International Right To Life Federation
    Gero Winkelmann, Doctors for Life (Allemagne)

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/