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Grégoire Boucher, le directeur des éditions TerraMare, explique à l'Homme Nouveau les raisons qui ont conduit à proposer cet agenda militant :
"Notre objectif depuis l’origine, il y a cinq ans, avec l’agenda Benoît XVI, était de nous opposer aux médias du système qui déversaient chaque jour des tombereaux d’ordures et d’injures sur l’Église et sur le Saint-Père. Cela devenait intolérable et il fallait réagir, afin d’apporter la contradiction par les faits et par les textes, d’éclairer les esprits et les consciences et convertir les sceptiques, les ignorants ou les opposants. Avec cet Agenda pour tous 2014, la démarche reste la même : militante et apostolique. Toucher les cœurs restés froids depuis un an, malgré tous nos efforts, ou réchauffer les cœurs qui se seraient refroidis, par fatigue ou découragement.
À qui s’adresse-t-il ?
À tous ! Tous ceux qui ont besoin de se nourrir pour ne pas se décourager, ceux qui vont l’utiliser pour faire de l’apostolat auprès de ceux qui n’ont pas encore compris l’importance de ce combat pour notre civilisation de la vie contre la culture de mort que veulent nous imposer tous ces croque-morts qui nous gouvernent.
Comment s’est opéré le choix des contributeurs ?
De manière totalement subjective ! Nous avons choisi de donner la parole aux acteurs dont l’action ou la réflexion a contribué, pendant l’année 2013, à éclairer les consciences et à faire grandir cette petite fille Espérance partout en France. Nous nous sommes interdits tout parti pris, volontairement, pour être fidèles à l’esprit de ce grand mouvement populaire qui n’appartient à personne. Dans cet esprit, nous avons même sollicité Virginie Tellenne, alias Barjot, dont le rôle est indéniable, malgré ses derniers dérapages, mais elle a décliné l’invitation. À l’inverse, nous nous sommes refusés à y convier ceux qui avaient trahi leurs engagements ou pire, leur parole, comme Jean-François Copé ou Hervé Mariton et tous les champions de la récupération politique et du retournement de veste.
« On ne lâchera rien, jamais » est un engagement sérieux et définitif, qui s’adresse à ceux pour qui une parole donnée a un sens. Beaucoup d’appelés, peu d’élus…
Comment analysez-vous cette année 2013 ?
C’est une année historique qui aura, à terme – long ou court – un poids aussi considérable, mais a contrario, que Mai 68. Il y a cinquante ans, les fils de la révolution marxiste, matérialiste et individualiste ont gagné une bataille, dont nous subissons encore les derniers soubresauts. Toutes les lois mortifères sur l’avortement, la peine de mort, le divorce, le quotient familial, l’ouverture des frontières, la perte des pouvoirs régaliens, l’euthanasie, la marchandisation des cellules souches et des embryons, l’extermination des enfants atteints de maladies génétiques, le pourrissement planifié et obligatoire de nos enfants dès la maternelle, voulu tant par les très sarkozistes Luc Chatel ou NKM que par l’idéologue Peillon ; sans oublier l’ouverture de salles de shoot et le projet de dépénalisation de la drogue… tout cela n’est pas seulement dans le roman prophétique de George Orwell, c’est devenu l’effrayante réalité imposée en France et partout dans le monde par les valets d’une mondialisation destructrice de la nature humaine, et qui veut faire de l’être humain un objet, un bien de consommation. Mais ce château de cartes va s’effondrer, comme se sont toujours effondrées les idéologies mortifères. Et 2013 marquera dans l’Histoire cet élan de vie, de survie même, qui une fois de plus sera issu de notre belle terre de France et aura été porté par un « peuple de géants ». [...]"
"Comme annoncé, Résistance Bourbonnaise à tenu ce weekend, à Moulins, sa première conférence sur le thème de la Résistance. Nous pouvons nous féliciter tant de la qualité des interventions de Béatrice Bourges et de Frédéric Pichon que de la forte mobilisation du public (70 personnes). D’autres conférences sont d’ores et déjà programmées. "
Résistance Bourbonnaise
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Moulins-CR-de-la-conference-du
Les Mères Veilleuses, un des mouvements issus de l’opposition à la loi Taubira, voulaient interpeller aujourd’hui la ministre de la famille, Dominique Bertinotti. Malgré la légalité de la manifestation, elles sont en ce moment retenues par les CRS, rue Saint Dominique:
http://medias-presse.info/les-meres-veilleuses-retenues-en-ce-moment-par-la-police/3549
La République doit reconnaître le peuple autochtone de France !
À l’égard de l’immigration, les concepts officiels ont évolué, passant de l’assimilation à l’intégration, puis à l’insertion, en attendant l’adaptation du pays d’accueil à l’accueilli. Le « modèle républicain » continue pourtant d’être promu verbalement par la classe politique (toutes tendances confondues). Mais un nombre croissant d’intellectuels (Camus, Tribalat, Millet, Juvin, notamment) prennent conscience qu’il serait plus exact de parler d’illusion républicaine. Le très officiel Commissariat général à la stratégie et à la prospective préconise d’ailleurs « d’adapter le modèle républicain à la société plurielle » (*). Cela conduit naturellement à poser la question des droits collectifs des autochtones. Pourquoi n’auraient-ils pas le droit de voir leur identité reconnue au même titre que les Kanaks en Nouvelle Calédonie ? Voilà ce qui se trouve au cœur du livre iconoclaste d’Antonin Campana, « La Nation Frankenstein ». Le cycle des Lumières approcherait-il de sa fin ?
Polémia.
Après le « coup d’Etat » de 1789, la République définit frauduleusement le peuple français comme un « corps d’associés vivant sous une loi commune » (Sieyès).
Le peuple français ? Un corps d’associés : du pur intellectualisme
Cette définition absurde, intellectualisme pur, réduit le peuple qui habite alors la France, peuple de lignée européenne, de culture européenne et de religion chrétienne, à une sorte de club constitué d’adhérents sans identité reconnue, soumis à un règlement intérieur qui se veut désamarré de toute référence identitaire particulière. Deux objectifs sont poursuivis :
– d’une part, rendre possible le projet républicain d’associer, par la grâce des « valeurs universelles » de la République, « tous les hommes de la terre » (Saint-Just), les « musulmans, les Chinois même, les hommes de toutes sortes » (Duport), jusqu’à constituer une véritable « République universelle ». Ce projet prendra corps à travers la politique républicaine de colonisation, puis d’immigration, d’intégration et de naturalisation, politiques qui découlent directement du « principe d’universalité » de la République, qui sont donc dans la « nature » de cette dernière et n’ont aucunement un caractère « accidentel » ;
– d’autre part, et comme à titre d’essai, «intégrer » pour commencer les quelques milliers de membres de la « nation juive » résidant alors au milieu du peuple français.
Cette intégration des juifs est révélatrice du schéma général, extensible à l’humanité entière. Clermont-Tonnerre donne le principe de base : « Il faut tout refuser aux juifs comme nation, et tout accorder aux juifs comme individus. Il faut qu’ils ne fassent dans l’Etat ni un corps politique ni un ordre. Il faut qu’ils soient individuellement citoyens. »
En fait, la République ne reconnaît aucun « corps intermédiaire » entre elle-même et l’individu judicieusement esseulé. Elle disloque les ordres, les corps de métier comme les peuples pour ne considérer que des citoyens qu’elle veut sans appartenances.
Ce qui est valable pour la « nation juive » l’est donc aussi pour le peuple français autochtone. Autrement dit, la République va tout accorder aux autochtones comme individus, tout leur refuser comme peuple particulier.
En 1789, cela n’a aucune importance et paraît sans doute bien théorique à nos ancêtres. Peuple autochtone de France et « corps d’associés » se recoupent parfaitement : tous les associés, ou peu s’en faut, sont des autochtones de lignée européenne, de culture européenne et de religion chrétienne.
Le mondialisme républicain
En 2013, le mondialisme républicain a rendu les choses bien différentes. Des millions d’individus extra-européens ont adhéré au club conformément au projet de 1789. « Corps d’associés » et peuple autochtone sont devenus deux réalités physiques complètement différentes qui ne recouvrent plus le même périmètre, d’autant que le peuple autochtone est en passe de devenir minoritaire au sein du « corps d’associés ».
Cet écart grandissant entre peuple autochtone et « corps d’associés » pose un sérieux problème de démocratie et de droit : les élus républicains sont, et se veulent, les représentants du « corps d’associés » et non du peuple autochtone, dont par ailleurs ils ne se privent pas de nier l’existence. Autrement dit, le peuple autochtone ne jouit pas du droit à disposer de lui-même puisque son destin dépend de plus en plus largement d’individus qui n’en font pas partie.
Alors de deux choses l’une : soit le peuple qui habitait la France avant 1789 a été exterminé, véritablement disloqué, et la République doit répondre de ce crime ; soit il ne l’a pas été et alors il faut convenir que ce peuple est aujourd’hui prisonnier d’un « corps d’associés » artificiel et instable qui l’étouffe, le masque et constitue une menace grandissante pour ses libertés et même son existence.
Si notre peuple n’a pas été disloqué, et des millions d’autochtones conscients de leur appartenance sont là pour le prouver, alors la République doit le reconnaître officiellement. Elle doit le reconnaître et le doter d’un statut particulier qui le protège et lui permette de jouir de droits spécifiques en tant que peuple autochtone, sur le modèle de ce qui a déjà été concédé au peuple kanak. La République n’est-elle pas égalitaire ?
Correspondance Polémia, 5/12/2013
Antonin Campana, La Nation Frankenstein/ Un Plaidoyer pour s’en libérer, éd. Oghama (oghama.fr), 150 pages.
Note :
(*) http://www.strategie.gouv.fr/blog/wp-content/uploads/2013/09/Synthese-FR10A-modelerepublicain.pdf
http://www.polemia.com/la-nation-frankenstein-un-plaidoyer-pour-sen-liberer-de-antonin-campana/
En réponse à une campagne intitulée «Couples imaginaires», dans lequel des hétérosexuels célèbres sont dépeints comme des duos homosexuels afin de promouvoir le « mariage » homosexuel, un groupe de jeunes Péruviens anonymes a lancé sa propre campagne de promotion du vrai mariage sur Facebook, campagne intitulée « Les vrais amoureux. »
La campagne sur Facebook, lancée le 25 novembre, a déjà rassemblé des dizaines de milliers de « j’aime ».
« Au Pérou, le vrai mariage n’est qu’entre un homme et une femme, et nous sommes de plus en plus nombreux à le défendre. Le nombre croissant de sympathisants qui nous envoient leur photo le démontre », a déclaré l’un des administrateurs de cette page Facebook.
Pour envoyer votre photo et joindre la campagne, visitez le page Facebook .
http://medias-presse.info/au-perou-la-jeunesse-defend-le-vrai-mariage/3505
D'une sentinelle :
"France 2 est passé prendre quelques images et quelques interview. C'était pour l'émission "Complément d'enquête" sur le sujet de l'humour subversif. De leur propre aveux ils espéraient voir des sentinelles faire des quenelles...
Les CRS en arrivant ont hésité à nous encercler et nous expulser face au nombre d'appareils et de caméras (entendu à la radio), ils se sont donc contentés de s'interposer entre le ministère et nous".