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XVIe Forum de la Nation - Discours d'un militant nationaliste sur la paysannerie française
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XVIe Forum de la Nation - Discours de Gonzalo Martin (Democracia nacional)
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XVIe Forum de la Nation - Discours d'Yvan Benedetti
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XVIe Forum de la Nation - Discours d'Alexandre Gabriac
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Les Hommens rallient la Marche pour la vie
Par ce communiqué :
"Les HOMMEN Protect Kids, radicalement du côté des enfants, défendent et continueront de défendre les droits des plus faibles. Depuis bientôt un an, des bénévoles de la résistance HOMMEN se sont levés aux quatre coins de France pour combattre les idéologies ambiantes à grand coup de réalités naturelles incontestables. Loin d'une opposition temporaire à un texte de loi ou d'une simple protestation, c'est un véritable combat qu'il s'agit de continuer activement. Vous êtes responsables.
Les HOMMEN vous appellent à participer à la Marche pour la Vie le 19 janvier prochain à Paris. Tous les enfants doivent être défendus. Il est temps. Vous êtes les gardiens de la nature et de ses lois, vous êtes les soldats de la vérité, et les idéologies sectaires ne peuvent rien contre vous ! N'oubliez jamais que la victoire du mal, c'est l'inaction des hommes de bien ! La résistance du dimanche, c'est terminé. Venez. Nous, nous serons là. On vous attend."
Leur site http://hommen-officiel.fr/ -
Les associations qui soutiennent la Marche pour la vie
Après les évêques, voici les membres de la société civile qui soutiennent la Marche pour la vie du 19 janvier :
Florence Allard, auteur de « Le traumatisme post avortement », Gynécologue
Jean Christophe André Dumont président de Jurivie ( Belgique)
Jean Paul André Dumont président de Pro Vita (Belgique)
Bernard Antony président de l'AGRIF
Jean Philippe Audouy président de l'Association Familiale Louis et Zélie Martin
Rémy Bague président de la Life Parade
Henri Blocher, Professeur & Doyen honoraire à la Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine
Bourcier de Carbon, Démographe
Béatrice Bourges présidente du Collectif pour l'Enfant
Elisabeth Bourgois, Infirmière et écrivain
Antony Burckhardt, porte-parole de la Marche pour la Vie de Bruxelles
Carlo Casini, Président du Mouvement pour la Vie Italien et Député Européen
Le Comité d'accueil de l'enfant et d'aide aux Futures Mères
La Confédération Nationale des Associations familiales Catholiques
Jean-Pierre Dickès, Président de l'association catholique des Infirmières (A.C.I.M.) et éditeur des Cahiers Saint Raphael
Jacques Dupaquier, Membre de l'Institut, Historien
Alain Escada, président du Collectif "Papa, maman et moi" (Belgique)
Fédération Nationale de la famille Française
Femina Europa
Les Femmes et les enfants d'abord
Secours aux futures
Fondation Jérôme Lejeune
François Foucart, journaliste à France Inter puis à Radio Notre-Dame
Pierre Gastal, Femmes enceintes en difficulté
Christophe Geffroy, Directeur de la Rédaction de La Nef
Astrid Ghislain, Jeunes pour la vie
Ivan Gobry, Professeur des facultés
Pierre Goube de Laforest, Président du Centre d’Etudes sur la Reconnaissance de la Personne Humaine
Alain Guillo, UNEC
Yves Guyomar, Œuvre Chrétienne de la Cité Vivante
Joël Hautebert, Président de l'association Objection, Professeur des Universités
Jacques Hindermeyer, Institut national de réadaptation (fondateur) Professeur de médecine des facultés
Bernard Huck Faculté de Théologie évangélique de Vaux sur Seine Doyen
Institut d'études politiques Léon Harmel (IPLH)
Wilbert Kreiss Professeur de théologie Luthérienne en retraite
Henri Lafont Président de l'Association des Médecins pour le Respect de la Vie
Jean Legrand, Association pour le développement démographique
Birthe Lejeune, Vice-présidente de la Fondation Jérôme Lejeune
Jean Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune
Denis Lensel Journaliste & écrivain
Angela de Malherbe Centre d'Education pluridisciplinaire de la Personnalité Teen Star
Patrice Martineau Auteur compositeur
Roger Martineau Auteur compositeur
Philippe Maxence, Rédacteur en chef du bimensuel L’Homme Nouveau et écrivain
Rosny Minvielle, Professeur des facultés de droit
Elisabeth Montfort, Conseil Régional d'Auvergne; Ancien député européen, Conseillère régionale
Association Notre Dame de Kabylie
Papa Maman et Nous
Piero Pirovano, Président de Solidarité (Italie)
Samuel Potier Président de Fidelis Santé
Promouvoir
Reconquète
Michel Rouche, Professeur émérite à La Sorbonne
Jeanne Smits, directeur de Présent
SOS la Vie
Liliane Stevenson, Union Mondiale des Organisations Féminines Catholiques
Denis Sureau, Directeur de la Publication de « L'Homme Nouveau », « Chrétiens dans la Cité », « Transmettre »
Anne Sophie Tampe, Jeunes témoins de la Vie Humaine
Jean de Taurier, président du Pèlerinage Notre Dame de Chrétienté
Jean Louis Thes, Institut de Politique Familiale
Alain Toulza, Comité d'initiative pour la Dignité Humaine
La Trêve de Dieu
Union pour la Vie
Paul Wells, Faculté de Théologie réformée d'Aix en Provence
J C Willke, Président International Right To Life Federation
Gero Winkelmann, Doctors for Life (Allemagne)
http://www.lesalonbeige.blogs.com/ -
32 évêques soutiennent la Marche pour la vie
Voici les évêques qui ont officiellement apporté leur soutien à la Marche pour la vie du 19 janvier à Paris, parmi lesquels Mgr de Kérimel, évêque de Grenoble, en charge d'un groupe de travail au sein de la Conférence des évêques de France sur l'avortement :
Mgr Aillet, Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron
Mgr Arhanasios, Diocèse des Coptes Orthodoxes de France
Mgr Aubry, Diocèse de Saint Denis de la Réunion
Mgr Bagnard, évêque émérite, Diocèse de Belley-Ars
Cardinal Barbarin, Diocèse de Lyon
Mgr Batut, auxiliaire de Lyon
Mgr Benoit Gonin, Diocèse de Beauvais, Noyon et Senlis
Mgr Breton, évêque émérite, Diocèse d'Aire et Dax
Mgr Castet, Diocèse de Luçon
Mgr Cattenoz, Diocèse d'Avignon
Mgr Centène, Diocèse de Vannes
Mgr Coppenrath, évêque émérite, Diocèse de Papeete
Mgr Delmas, Diocèse d'Angers
Mgr Dognin, auxiliaire du diocèse de Bordeaux et Bazas
Mgr Fihey, évêque émérite, Diocèse de Coutances
Mgr Fort, évêque émérite, Diocèse d'Orléans
Mgr Frikart, évêque auxiliaire émérite, Diocèse de Paris
Mgr Jacolin, Diocèse de Mende
Mgr de Kerimel, Diocède de Grenoble, responsable au sein de la CEF du Groupe de travail sur le phénomène social de l'avortement
Mgr Kratz, auxiliaire du diocèse de Strasbourg
Mgr Lebrun, Diocèse de Saint Etienne
Mgr Le Saux, Diocèse du Mans
Mgr Le Vert, Diocèse de Quimper et Léon
Mgr Nourrichard, Diocèse d'Evreux
Mgr Perrier, évêque émérite, Diocèse de Tarbes-Lourdes
Mgr Poulain, évêque émérite, Diocèse de Périgeux
Mgr Ravel, Diocèse aux Armées
Mgr Rey, Diocèse de Fréjus-Toulon
Mgr Riocreux, Diocèse de Basse Terre
Mgr Séguy, évêque émérite, Diocèse d'Autun, Chalon et Mâcon
Mgr Séjourné, évêque émérite, Diocèse de Saint Flour
Mgr Thomazeau, évêque émérite, Diocèse de Nice
A venir, les autres soutiens de cette marche.
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Instinct de mort socialiste (suite) : le fanatisme des avortueurs contre la liberté d’expression et d’information
COMMUNIQUÉ DE LA FONDATION JÉRÔME LEJEUNE
Avortement banalisé au Parlement : il faut dire NON !
Des modifications cruciales votées en catimini
Des évolutions législatives relatives à l’avortement sont en cours au Parlement. Ces modifications, enfouies dans un projet de loi qui ne concerne pas le sujet (Egalité Femmes/Hommes), interviennent sans débat. Des amendements qui banalisent l’avortement viennent d’être votés en commission (avant le débat en séance publique prévu le 20 janvier) :
En supprimant la notion de « détresse de la femme », l’avortement va devenir un droit (alors qu’il est aujourd’hui une dérogation). Cet acte contraire au respect de la vie, dépénalisé dans certaines circonstances, va devenir un acte comme un autre. Pour le constitutionnaliste Bertrand Mathieu « sur le plan des principes, c’est un véritable bouleversement » (voir l’interview intégrale sur le site de La Croix, et les principaux extraits ci-dessous*) Le délit d’entrave de l’avortement est étendu au domaine de l’information. Cela aura pour effet de risquer d’interdire les plateformes d’écoute des femmes enceintes et les sites internet qui avertiraient des dangers de cette pratique. [...]
LA SUITE ICI => http://hfo.r.mailjet.com/nl/0uiy/x178i.html?a=6aHj4T&b=78b688a0&c=0uiy&d=92749dbc&e=8eb1c70b&email=fmarcilhac%40netcourrier.com
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Instinct-de-mort-socialiste-suite -
Poutine a-t-il tout compris ?
La Russie prône la révolution conservatrice contre les déchéances
Jean Bonnevey
Ex: http://metamag.fr
L’homme qui vénère Staline et le général Denikine, qui se veut l’héritier d’une certaine grandeur soviétique se pose aussi en rempart de la tradition européenne. La Russie, dans un monde instable, doit être un rempart à l’hégémonie américaine et garantir les valeurs traditionnelles face à la déchéance du monde occidental. Toute la politique de Poutine tient en une phrase qui le désigne pour le mondialisme comme l’homme à abattre.
La troisième Rome est de retour
« Le monde devient de plus en plus contradictoire et agité. Dans ces conditions, c’est la responsabilité historique de la Russie qui se renforce », a déclaré M. Poutine lors de son adresse à la nation dans une salle d’apparat du Kremlin. Il s’agit de la responsabilité d’un « garant clé de la stabilité globale et régionale, et d’un État qui défend avec constance ses valeurs », a-t-il ajouté. « Nous ne prétendons pas à l’appellation de superpuissance, si on entend par là une ambition d’hégémonie mondiale ou régionale, nous ne nous attaquons aux intérêts de personne, n’imposons à personne notre parrainage, et ne faisons la leçon à personne », a déclaré M. Poutine, dans une allusion claire aux États-Unis. « Mais nous nous efforcerons d’être des leaders », a-t-il ajouté. Poutine, au pouvoir depuis plus de 13 ans et dont l’emprise sur le pays n’a cessé de s’affirmer, a aussi souligné sa détermination à faire aboutir le projet d’union économique eurasiatique de pays issus de l’ex-URSS, dans laquelle la Russie invite avec insistance l’Ukraine. Cette zone renforcée de libre-échange, qui se veut l'alternative à l'Est de l'accord d'association proposé par Bruxelles, regroupe aujourd'hui la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et demain, l'Arménie, voire le Kirghizstan.
M. Poutine a enfin présenté son pays comme la dernière place forte du « conservatisme », notamment dans la conception de la famille par rapport à une déchéance morale supposée du monde occidental. Il a prôné « la défense des valeurs traditionnelles qui constituent depuis des millénaires la base morale et spirituelle de la civilisation de chaque peuple ». Poutine incarne donc une sorte de révolution conservatrice face à la subversion politique et morale que veut imposer l’occident atlantique. «On procède aujourd’hui dans de nombreux pays à une réévaluation des normes morales», a déclaré M. Poutine. Mais la Russie refuse «la soi-disant tolérance, stérile, qui ne fait pas de différence entre les sexes», a-t-il ajouté. La Russie a été vivement critiquée en Occident après la promulgation en juin dernier par le président Poutine d’une loi punissant la «propagande» homosexuelle devant mineurs, un texte dénoncé par des défenseurs des droits de l’homme qui le jugent potentiellement discriminatoire.
La Russie avait auparavant réagi avec vigueur à la légalisation du mariage homosexuel dans plusieurs pays dont la France. « On exige de la société, aussi étrange que cela puisse paraître, qu’elle mette sur le même plan le bien et le mal», a encore déclaré M. Poutine. La Russie a, en la matière, «un point de vue conservateur, mais le conservatisme a pour but d’empêcher un mouvement en arrière et vers le bas, dans le chaos des ténèbres», a-t-il conclu, citant le philosophe orthodoxe Nicolas Berdiaev, qui avait été expulsé de Russie après la révolution de 1917. Voila un langage clair et qui explique tout.
S'agissant de l'Ukraine, Moscou «n'impose rien à personne», a déclaré le président russe. «Si nos amis [ukrainiens] le souhaitent, nous sommes prêts à poursuivre le travail», a-t-il simplement ajouté. Contre toute évidence, Moscou prétend que, même sans l'adhésion de Kiev, un pays de 46 millions d'habitants considéré comme le berceau spirituel de la Russie, son union douanière resterait suffisamment «puissante». Et dément avoir exercé toute «pression» sur les industriels ukrainiens. C’est moins convaincant.
En revanche il faut le croire quand il conclut : «Personne ne doit avoir d’illusions sur la possibilité d’obtenir la supériorité militaire sur la Russie. Nous ne l’accepterons jamais», a déclaré M. Poutine, rappelant avoir lancé un programme de réarmement du pays «sans précédent».
http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2013/12/18/temp-37422a257d0f2fe49cc4809d9b4f12be-5249748.html -
Confirmation : le mariage gay est bien illégal (délai de 6 mois dépassé)
Cet article fait suite au billet de Lucien Cerise (auteur de Oliganarchy) :
Le « mariage homo » toujours illégal en France : le vote truqué à l’Assemblée
Le gouvernement avait 6 mois jusqu’au 18 novembre 2013 pour prendre les ordonnances qu’il s’était engagé à prendre devant le Conseil Constitutionnel. Le délai est dépassé : l’habilitation est donc caduque et les mariages gays prononcés après le 18 novembre 2013 : parfaitement illégaux. Tout autre disposition serait contraire à la loi. Les maires doivent donc prendre leur disposition, dans l’attente du prochain passage devant le parlement…
Le mariage gay : le grand caprice de Pierre BergéMariage : des sénateurs accusent le gouvernement d’avoir trompé le Conseil constitutionnel Communiqué du sénateur Bruno Retailleau : "Bruno Retailleau, Sénateur de Vendée, et de nombreux collègues [24 sénateurs] accusent le Gouvernement d’avoir trompé le Conseil Constitutionnel, le Parlement et les Français au sujet de la loi sur le « Mariage pour Tous ».
Le mariage et l’adoption pour les couples de même sexe entrainent en effet un grand nombre de bouleversements qui nécessitent d’adapter les codes législatifs à cette nouvelle législation. Pour exemple, les mentions « Père » et « Mère » ne sont évidemment plus automatiques. A l’époque, le Gouvernement avait refusé d’adapter immédiatement les textes en vigueur, sans doute pour endormir l’opinion publique choquée que les termes de « père » et de « mère », ou d’ « époux » et d’ « épouse », disparaissent de notre patrimoine juridique. Alors que la contestation montait dans le pays, cette amputation aurait été la goutte d’eau qui aurait fait déborder le vase.
Mais parce qu’il fallait bien résoudre cette difficulté, le Gouvernement s’était engagé à prendre une série d’ordonnances, dans un délai de 6 mois après la promulgation de la loi. C’est sur cet engagement que cette loi a été votée par les parlementaires et validée par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a même expressément conditionné sa décision à la prise de ces ordonnances.
Or, le Gouvernement a laissé passer le délai légal de prise de ces ordonnances, qui courait jusqu’au 18 novembre dernier. Qu’il s’agisse d’une manœuvre politique ou d’une erreur matérielle, le résultat est le même : l’habilitation donnée par le Parlement est caduque, et le Gouvernement est dans l’obligation de repasser devant les députés et les sénateurs.
Bruno Retailleau et ses collègues sénateurs exigent donc que le Gouvernement se conforme à la loi, en demandant une nouvelle habilitation au Parlement. Toute autre décision serait un coup de force inadmissible contre nos institutions. Beaucoup de Français ont été heurtés par la loi sur le « mariage pour tous », qui bouleverse les fondements de notre civilisation. S’il s’avère que les conséquences de cette loi s’appliquent dans l’illégalité la plus totale, le Gouvernement prendra la responsabilité de réveiller leur colère." (salonbeige)
Source.