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tradition - Page 361

  • [Vidéo] Une vidéo de la TV russe sur la manif du 24 mars

    Émission présentée par la télévision russe sur la manif du "mariage pour tous" à Paris.

    Reportage très intéressant, à regarder jusqu’au bout pour avoir l’intégralité du commentaire de la journaliste aux actualités internationales de la télé russe sur la manipulation des chiffres et la répression des CRS.

    Il est paradoxal que ce soit la Russie qui présente le 24 mars d’une façon plus honnête que nos medias habituels.


    La Faute à Rousseau

  • Interrogé par Lyon Capitale TV, Damien Rieu, porte-parole de Génération identitaire, affirme : “L’extrême gauche est jalouse de notre succès”

    LYON (NOVOpress) - Interrogé par Lyon Capitale TV, Damien Rieu, porte-parole de Génération identitaire, revient sur les événements marquants du mouvement, mais également sur les projets futurs, notamment la sécurité des citoyens. Il évoque également le soutien des Identitaires aux actions contre le mariage dit pour tous. Il discute enfin d’autres sujets.

    http://fr.novopress.info

  • Vers la fin de l'Institution matrimoniale ?

    Alors que Civitas organise ce qui sera la grande manifestation contre le mariage homosexuel le 18 novembre prochain à Paris, il importe de réfléchir à l'argumentaire que développent les catholiques pour expliquer leur prise de position. Dans chaque diocèse, les évêques ont eu à cœur de prendre position sur une question à propos de laquelle tout le monde sent instinctivement que c'est notre civilisation qui est en jeu. Pierre Carvin, analyste politique, nous propose une réflexion différente sur cette question apparemment si simple.
    Claire Thomas : Pierre Carvin, que vous inspirent les très nombreuses prises de position contre le mariage homosexuel qui proviennent souvent du milieu catholique ?
    Pierre Carvin : Cette mobilisation impressionnante est de bon augure dans l'immédiat. Ce qui me gêne, c'est qu'à propos de cette question, on invoque de manière un peu rapide et sans analyse le droit naturel, la nature. Le mariage monogame est de droit naturel certes, mais la polygamie l'est aussi... Puisque c'est le mariage monogame qui semble attaqué aujourd'hui, avec des éloges qui se multiplient à propos de la forme moderne de la polygamie que l'on appelle le polyamour, il faut bien peser les raisons de le défendre. Ce n'est pas un hasard si, au moment de la réforme grégorienne au XIe siècle, l’Église a pesé de tout son poids en faveur d'une institutionnalisation obligatoire du mariage. Il y a des raisons théologiques très importantes, à propos desquelles je ne suis pas compétent, mais il y a aussi de profondes raisons socio politiques qui jouent en faveur de la monogamie. On a perdu de vue les raisons de l'institution de la famille monogame... La nature n'explique pas tout. Il y a aussi un calcul rationnel, qui est d'ordre politique. Au Xe et XIe siècle, lorsque la réforme grégorienne a imposé le modèle chrétien à l'Occident barbare, la question qui se posait était celle de la dispersion des ressources et des patrimoines. Avec l'obligation légale du mariage monogame, on passe d'une structure tribale, où tout est plus ou moins collectif, à une société plus complexe où la constitution de patrimoines familiaux permet l'émergence d'une coopération sociale élargie. Dans une situation de rareté, le problème est de rassembler les informations (la culture, les mœurs, les coutumes) et de rassembler les ressources. C'est ainsi que peut se constituer un patrimoine pour une lignée. Le mariage monogame apparaît comme un moyen de concentrer les biens : c'est le premier stade d'un développement économique, social et donc spirituel.
    C. T. : Ce qui était vrai au XIe siècle ne l'est plus aujourd'hui...
    P. C. : L'institution familiale a émergé la première dans l'Occident médiéval. Quant à l’État, c'est une création de la modernité. Mais son émergence a profondément changé le paysage. Parce qu'il y a un Etat fort et redistributeur des biens aux individus, on n'a plus besoin aujourd'hui de communautés familiales protectrices. L'Etat revendique d'être le seul protecteur des individus, auxquels il donne toute liberté de vivre à leur guise. En tant qu'acteur rationnel, dans le jeu social, il a tout intérêt à concasser les réalités sociales autonomes et à s'imposer comme le seul arbitre du vivre ensemble, en prise directe avec chaque individu. Le risque ? Une montée inexorable vers le totalitarisme, les individus payant au prix fort de leur liberté spirituelle cette assistance, cette « assurance tout risque étatique », qui fait d'eux des adolescent perpétuels, incapables de gérer leur vie, de penser leur existence, de vivre autrement qu'au jour le jour.
    C. T. : Et l'Eglise dans tout ça ?
    P. C. : N'oublions pas, si nous nous intéressons à l'histoire, que l'Etat s'est toujours posé en rival de l'Eglise, contestant sa légitimité et son pouvoir direct sur les âmes comme sur les corps. Le théologien William Cavanaugh a écrit là-dessus des choses très importantes. A partir du XVP siècle, soit l'Eglise fait des concessions et Rome signe des concordats avec les Etats, soit, à travers la réforme protestante, l'Etat obtient que soient coupés les ponts entre Rome et l’Église locale...
    C. T. : Comment situez-vous le mariage homosexuel dans cette longue histoire du mariage ? Est-ce le signe de la fin d'une institution ?
    P. C. : L'idée du mariage homosexuel provient
    de l'oubli de cette fonction rationnelle (à la fois économique, sociale, culturelle, civilisationnelle) du mariage. La société est devenue une société d'individus. Ce que les individus demandent à l'Etat aujourd'hui, ce qu'ils cherchent dans ce qui reste d'une institution matrimoniale étatisée, c'est uniquement une reconnaissance de leur état de vie. Dans cette perspective nouvelle effectivement, toute morale mise à part, les homosexuels ont autant de droit que les hétérosexuels... C'est la logique démocratique, c'est la politique démocratique qui, comme l'explique l'Américain Charles Taylor, vise à donner un « droit égal à la dignité » (en l'occurrence au mariage). Dans cette logique individualiste, peu importe ce que l'on fait. La citoyenneté établit une égalité stricte de tous les comportements (sauf grave désordre) et donc le... droit égal à la dignité qui aboutit à cette invention, à haute portée symbolique, du mariage homosexuel. Le mariage homosexuel est avant tout le signe d'un nouveau progrès ( qui pourrait être irréversible dans notre civilisation) de l'esprit démocratique. Si nous ne faisons rien, viendra un temps - il n'est pas éloigné - où nier la possibilité pour les homosexuels de se marier et d'avoir des enfants sera réputé comme contraire à l'Egalité fondamentale et donc comme « antidémocratique ».
    C. T. : C'est ce « progrès démocratique » selon vous qui a poussé le pouvoir socialiste à faire de cette idée du mariage homosexuel un projet de loi ?
    P. C. : Non ! De façon beaucoup plus prosaïque, le Pouvoir socialiste, ici et maintenant, vise à récompenser une clientèle en lui accordant cet avantage particulier, qui signifie une reconnaissance pleine et entière par l’État de comportements réputés naguère comme déviants. C'est un marchandage politique, qui utilisera l'esprit démocratique pour s'imposer dans les mentalités. On touche à l'origine même de la civilisation ; et on veut faire en sorte que ce nouveau processus soit celui d'une véritable « politisation du mariage », d'un mariage dont l’État seul fixe les règles et les conditions. Le mariage ne sera plus ce mélange de nature et de convention, de raison sociale et de passions humaines qui en faisait une Institution unique. Ce sera une gratification sociale accordée à deux individus (ou plus, pourquoi pas ?) pour reconnaître l'authenticité d'un état affectif quelconque.    
    Propos recueillis par Claire Thomas  monde & vie . 20 octobre 2012

  • Puisqu’on vous dit qu’on ne lâche rien !

    Hier, un jogging sous tension a eu lieu au jardin du Luxembourg, à proximité du Sénat, au moment où la loi sur la mariage homosexuel était examinée… Un « jogging pour tous » sous étroite surveillance policière.


    Le Jogging Pour Tous au Luxembourg par ktvideo1

    Durant le « Jogging Pour Tous », cette jeune fille a été interdite hier d’entrée au jardin du Luxembourg… parce qu’elle portait un sweat rose et des baskets !

     

    http://www.contre-info.com/

  • Le billet du Prince : LA FRANCE SOUVERAINE ?

    Cet après midi, nous avons écoute, la Princesse et moi, sur Radio Classique, la Passion selon Saint Jean de Jean Sébastien Bach. A l’image de ceux qui ont su exprimer cette Passion, la France conserve le souvenir de ce qu’elle fut, souveraine, belle. Elle rayonnait par sa culture et ses arts.

    Son industrie et son agriculture étaient enviées ou citées en exemple et le bras armé de sa diplomatie était respecté. La langue diplomatique était alors le français.

    Aujourd’hui, la France oubliée dans les limbes, la France moquée par la presse internationale, ne provoque aucune réaction de la part du "château" qui s’entoure d’une "barbe à papa" au centre de laquelle il a fait son cocon. Il ne peut ni ne veut entendre, voir ou dire. Et une grande majorité de la France commence à percevoir sa honte, sinon sa peur.

    Pourtant notre pays peut et doit, tel le phoenix, renaître de ses cendres. Si l’on ne peut compter sur ceux qui tiennent les commandes du bateau ivre, encore, toujours et trop occultés derrière un rideau de fumées, du moins, nous Français pouvons, nous devons compter sur nous même, sur nous seuls.

    En dépit du pouvoir de ceux qui pourraient le souhaiter pour eux même, en dépit des chiffres, en dépit des prédictions des Cassandre, notre pays est encore riche. il peut redevenir puissant et briller de toute sa souveraineté retrouvée grâce aux peuples de France, aimé et respecté de nos amis dans le monde, car ils existent. Certes les Français sont riches en projets politiques, culturels, scientifiques et technologiques, témoignage de la pluralité de cette belle terre et porteurs de leurs espérances. Ne laissons pas ces trésors disparaître dans les égouts de l’Histoire. Ne laissons pas l’Histoire se répéter comme en 1789, lorsqu’il s’était agît de faire évoluer une société bloquée par les normes et les privilèges, pour accomplir les mutations nécessaires et urgentes et permettre à la société d’évoluer, de croître et de vivre. Le redressement d’une société se bâtit par la base et sur des fondements : l’éducation, l’instruction, la culture et le sens de la solidarité. Habilement, les "grands ordonnateurs" tentent d’enfermer l’enseignement dans une caserne dont ils auraient obstrué fenêtres et portes. Sans contact avec l’extérieur, avec la vie. Chaque individu risquerait d’être, à son insu, formaté idéologiquement, et plus il est jeune, fragile et malléable, plus cela deviendrait sans retour.

    Interrogeons-nous sur les raisons des échecs scolaires croissants. Inconsciemment les jeunes attendent sans doute autre chose. Ils voudraient peut être, sans encore le savoir, que l’enseignement mobilise en eux les fondements archétypiels du monde intérieur de l’être, trop souvent rejetés par leurs "mentors". L’âme se nourrit de l’Esprit, mais également du monde extérieur. Celui-ci cultive l’image dans la beauté. Celle-ci épouse l’infini variété des rythmes naturels en les combinant selon les lois de la création.

    En parallèle nous subissons une révolution culturelle sans précédent, mais révolution sans réflexion profonde qui nous permet d’abolir le temps et l’espace et qui peut, de ce fait perturber, bouleverser celui qui n’y prend garde et se croit sans souci. La "toile" peut devenir outil merveilleux de créativité, de libération des contraintes ressenties obsolètes. Mais n’oublions jamais que la machine est faite pour l’Homme et non l’inverse. Comme il est facile de considérer passéiste tout ce qui, par un passé encore récent, indiquait des socles fondamentaux à notre société.

    Pourtant cet environnement ne saurait être que provisoire, passager. Et après ? Quel avenir ? Le rôle fondamental du pouvoir devrait être d’agir afin que l’avenir puisse s’ouvrir à la vie, et que l’être humain, "animal social" et s’il s’en donne la peine, sociable, puisse exercer sa responsabilité dans la vie de la cité et que chacun redevienne Seigneur en son domaine, dans les compétences qui lui sont siennes. Le pouvoir devrait avoir pour mission première de maintenir l’unité du pays et que chaque citoyen retrouve une pleine confiance en la justice. L’Etat n’a pas à s’impliquer dans les questions sociétales, alors qu’il ne fait pas ce pour quoi il existe : rétablir l’équilibre dans les finances publiques, faire baisser le chômage, relancer la croissance et veiller à la sécurité intérieure et extérieure de notre pays.

    Tous nous sommes conscients que les dépenses engendrées par le pouvoir sont en constante inflation et alourdissent la dette publique. Mais quel homme politique aurait le courage de supprimer ce que Napoléon avait instauré, l’inamovibilité des fonctionnaires, car le clientélisme politique s’effarouche lorsqu’on touche à l’obésité de la fonction publique, pour lui substituer des employés d’entreprises privées comme au Canada. Il faut, certes, du courage et du temps pour surmonter la déficience des forces de Sisyphe qui poussait son rocher jusqu’au sommet de la montagne (d’après la mythologie grecque). Si l’Etat nous montrait l’exemple et la voie à suivre,je ne doute pas que nous serions nombreux à l’aider pour supprimer les freins et les privilèges afin que le bateau France poursuive droit son cap. Par ailleurs la France terre d’asile, terre des droits de l’Homme est, tout comme l’Europe, prise actuellement en tenaille, entre son hospitalité, son respect de la liberté d’autrui et la nécessité urgente de ne pas mettre son identité propre en péril. On demeure stupéfait de constater l’importance accordée à l’islam eu Europe, terre de civilisation chrétienne, alors que l’on connait les paroles d’un Emir qui déclare haut et fort que l’Europe sera bientôt convertie à l’islam, toute l’Europe... L’implacable décision d’éliminer toute religion en France, d’obliger tout un chacun au nihilisme qu’implique la laïcité, serait-elle d’ouvrir grandes les portes à une seule religion, la charia ?, car la nature a horreur du vide.

    Louis XIV écrivait : "Délibérer à loisir sur toutes choses importantes et en prendre conseil de différentes gens n’est pas, comme les sots se l’imaginent, un témoignage de faiblesse ou de dépendance, mais plutôt de prudence et de solidité. C’est pourquoi je déterminerai un jour de chaque semaine, auquel ceux qui auraient pu me parler ou me donner des mémoires, auraient la liberté de venir dans mon cabinet et m’y trouveraient précisément appliqué à écouter ce qu’ils désireraient me dire."Je souhaiterais que ceux qui nous gouvernent puissent prendre exemple sur ce Roi qui a su donner tant de lustre à La France.

    Aujourd’hui on finit par reconnaître que ce Roi tant décrié a au moins donné à la France, ce qui lui permet de survivre : des palais dénommés furtivement et étrangement, les "ors de la République" et les musées de Versailles et du Louvre visités par les touristes du monde entier... Nul n’est parfait, c’est pourquoi "sans cesse sur le métier remettez votre ouvrage".

    Henri Comte de Paris Duc de France - IMRF

    http://www.actionfrancaise.net

  • Le Printemps français décore l’hébergement des associations inter-LGBT

    L’action s’est déroulée dimanche matin, à l’aube, dans le cinquième arrondissement de Paris, au coeur du quartier du Marais. Un groupe d’une trentaine de personnes du Printemps français a recouvert d’affiches « anti mariage pour tous » la façade de l’Espace Les Blancs Manteaux, un qui bâtiment héberge chaque année « Le Printemps des Assoces inter-LGBT » (Lesbiennes, gays, bi et Trans).

    La résistance ne semble donc pas céder un pouce de terrain ; elle l’occupe au contraire et manifeste une opposition croissante à laquelle elle donne une visibilité toujours plus nette. On ne lâche rien !


    Des anti mariage gay attaquent le local d'une... par leparisien

    http://www.contre-info.com/

  • Réfléchir & Agir

    Vous ai-je déjà dit à quel point la lecture du magazine « Réfléchir & Agir » était non seulement incontournable, mais carrément vitalobligatoire ? (Néologisme de mon cru, se prononçant avec un très léger temps d’arrêt au milieu du mot – vitalo… bligatoire – afin d’en renforcer l’impact !). Non !?!??

    Et bien je répare l’erreur : c’est purement incontournable… et vitalobligatoire !!! 

    Alors hop…

    Pour s’abonner, trouver la liste des dealers, etc. 

    C'est ici > http://www.reflechiretagir.com/    

    réfléchir et agir,presse,magazine,saines lectures

    Réfléchir et Agir N°43 ( actuellement en kiosque ! )

    Entretien avec Jean-Paul Bourre / extrait.

    R&A : Dans votre dernier livre, il y a un très beau passage où vous dites que vous regardez les films de Carné, Audiard ou Verneuil, non plus pour leurs intrigues archiconnues mais pour leurs décors, tous ces détails qui fleurent bon la France d’avant (hélas). Je vous cite : « Le boucher porte le crayon à l’oreille. Il n’a pas encore de calculatrice. Il prend le temps de compter et de bavarder et on le voit à l’écran découper sa viande, la soupeser amoureusement, la faire goûter des yeux à ses clients ». Pouvez-vous expliquer ces charnelles madeleines de Proust à nos lecteurs… 

      Jean-Paul Bourre : C’est assez simple. La vérité, c’est que j’ai connu cette France des années cinquante, qu’on a du mal à imaginer aujourd’hui. Moins de monde dans les rues, des artisans, des atmosphères de bistrots, comme dans les villages, quand les quartiers de Paris avaient encore une âme. Le communautarisme n’avait pas encore été inventé. Il y avait la communauté des Français, c’est tout ; avec leurs musiques, les chansons populaires qui passaient à la radio, les films au cinéma, et qui exprimait parfaitement bien l’identité de cette époque, sans que le nom soit prononcé. C’était pas la peine. Toute la France respirait la même atmosphère, ce qui créait une sorte de lien entre les gens, une proximité. C’est une Atlantide oubliée aujourd’hui. Il reste toujours les films devenus « classiques du cinéma français » pour se souvenir.

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  • Devant le Sénat avec Civitas, on ne lâche rien!

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    Jeudi soir 4 avril, Civitas a rassemblé des défenseurs de la famille pour témoigner d’une sainte colère vis à vis du projet de loi Taubira et de l’autisme du président de la république et de son gouvernement.

    Après un discours offensif d’Alain Escada, le rassemblement s’est déroulé dans une ambiance priante autour de l’abbé de Cacqueray qui a mené la récitation du rosaire et les méditations concernant le salut de la France confrontée aux lois iniques.

    Vers 20h c’était plus de 500 personnes qui participaient à ce témoignage public de Foi, à l’occasion de cette bataille menée contre ce projet de loi dénaturant le mariage et la parenté.

    Au total ce sont près de 700 personnes qui a un moment ou l’autre se sont jointes au rendez-vous de Civitas.

    Dès ce soir 19H rue de Tournon devant le Sénat on y retourne, on ne lâche rien !

    http://fr.altermedia.info

     

  • Petit tour de France du Printemps français, le jeudi 4 avril

     

    Petit tour de France du Printemps français, le jeudi 4 avril

     

    Rassemblement du Printemps français organisé jeudi 4 avril à Lille. Crédit photo : DR

    PARIS (NOVOpress) - Depuis hier, jeudi 4 avril, la fameuse loi Taubira qui suscite la protestation de nombreux Français est étudiée devant les sénateurs. Moment crucial pour ce projet de loi. Le peuple, laissé de côté dans le débat a bien entendu décidé de s’y inviter, et ce de façon bruyante ! Le gouvernement devait s’y attendre…

     

     

    6h30 à Paris, devant le domicile de Chantal Jouanno, célèbre pour son soutien au projet de loi : la journée commence fort ! Une soixantaine de personnes, de belle humeur, se sont donnés rendez-vous devant le domicile de Chantal Jouanno, pour la réveiller en choeur ! Ils lui ont apporté des fleurs, et le petit déjeuner : tartines de nutella, café et jus d’orange, un charmant accueil pour le réveil.

     

    7h30 à Orange : à la sortie de l’autoroute, des opposants au projet de loi Taubira ont déployé une banderole, et distribué des tracts aux automobilistes.
    9h00 à Saint Maximilien dans l’Oise : Un comité d’accueil attendait le ministre JY Le Drian, en visite d’un lycée. Ils étaient une soixantaine et se sont fait entendre en musique : acordéon, sifflets, etc.

     

    12h30 en Gironde : une centaine de personnes, jeunes et familles se sont rassemblés devant le conseil général de la Gironde pour interpeler leur sénateur Monsieur Philippe Madrelle

     

    Rassemblement de la Manif pour Tous devant le Sénat, Paris

    Rassemblement de la Manif pour Tous devant le Sénat, Paris. Crédit photo : DR

     

    18h00 à Paris devant le Sénat : des milliers de Français opposés au projet de loi se sont rassemblés pour insciter les sénateurs à les écouter, et à tenir compte de leur avis. Ils sont donc venus également munis de sifflets afin de se faire entendre ! (photo ci-contre)

     

    18h30 à Toulon : une opération klaxon a été menée, une petite centaine de véhicules se sont balladés dans le centre-ville, drapeaux flottant au vent et klaxonnant en rythme : « François, ta loi, on n’en veut pas ! »

     

    A Toulouse : environ 150 personnes se sont rassemblés devant le Capitole afin de faire entendre leur voix, eux aussi !

     

    19h00 à Lille : une soixantaine de personnes se sont rassemblées en plein centre, sur les marches de l’opéra, de façon spontanée, suite à un appel via Facebook (photo ci-dessus) et par sms, afin de se faire entendre à grands bruits : couvercles de casseroles, trompes de chasse et sifflets étaient de mise !

     

    19h15 à Carrière-sous-Poissy dans les Yvelines : des familles se sont rassemblées devant la mairie, pour que le maire de la ville, officiellement en faveur du mariage homosexuel, tienne compte de leur avis.

     

    19h30 à Lyon : entre 500 et 1000 personnes se sont rassemblées pour une Opération Casseroles ! Le but était de faire le maximum de bruit, afin de là encore se faire entendre. Des motos bruyantes finissaient le cortège. (détail ci-dessous)

     

    Ceci était le récit normal d’une journée printanière en France, et le printemps nous réserve encore plus d’une surprise !

     

    Marie Vermande

     

    Manif pour Tous à Lyon le 04 avril : le combat continue !

     

    La Presqu’île lyonnaise et les quais de la ville sont restés bloqués près d’une heure ce jeudi 04 au soir. Pour marquer le coup d’envoi du débat sur le projet de loi instaurant le mariage pour les couples homos au Sénat, le collectif « En marche pour l’enfance » organisait à Lyon un rassemblement à 19h30 place de la République (Lyon 2ème).

    Cet « happening surprise » s’est vite transformé en concert de klaxons pour accompagner les casseroles invitées à « s’exprimer » dans la ville. De Perrache à l’Hôtel de Ville, jusque sur les quais de Saône, la circulation s’est faite au ralenti, et plusieurs lignes de bus ont été déviées. En plus des Marseillaises reprises en cœur par toute la foule, l’un des points forts de la soirée fut sans conteste un cercueil imaginé par certains manifestants pour accueillir notre Marianne nationale.

    Les « groupuscules », nouvel argument censeur des pro-gays ?
    Aux pro-mariages homos qui prétendaient que la manifestation était le fait de soi-disant « groupuscules d’extrême-droite », les organisateurs rétorquent : « Cette manifestation appartient à tout le monde, ces gens [sic] sont des citoyens qui ont le droit de venir manifester et donner leur avis », selon Anne Lorne, porte-parole du ollectif « En marche pour l’enfance ». Elle rappelle également qu’il n’y eut aucun problème durant la dernière manifestation lyonnaise

    Valls aussi, devra se trouver d’autres bouc-émissaires
    N’en déplaise en effet à M. Valls, qui, comme nous l’indiquions dernièrement, s’était caché derrière ces prétendus groupuscules, leur imputant la responsabilité de l’impardonnable faute policière de l’utilisation de gaz lacrymogènes sur les familles, enfants compris, lors de la dernière manifestation parisienne.

    Dans une diatribe mensongère, il n’avait pas hésité à pointer du doigt le Bloc identitaire. Nous n’avons par contre entendu aucune réaction de ce dernier sur la manifestation d’hier soir. Le Bloc identitaire et Génération identitaire étaient pourtant présents, à travers leurs sections lyonnaise et dauphinoise, et aucun débordement ne fut à déplorer.

    Julien Lemaire http://fr.novopress.info