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  • Hijab et préférence de civilisation, par Jean-Yves Le Gallou sur Radio Courtoisie

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    Le 1er mars 2019, Jean-Yves Le Gallou participait au Libre Journal de l’Identité sur Radio Courtoisie. Il y a notamment évoqué son dernier livre Européen d’abord et la polémique sur le hijab.

    Source : Radio Courtoisie

    https://www.polemia.com/hijab-preference-civilisation-jean-yves-le-gallou-radio-courtoisie/

  • JEUDI 7 MARS, SUR RADIO LIBERTÉS : ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR LA LÉGION ÉTRANGÈRE AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL

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    LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

  • Parmi les rendez-vous de mars :

    Samedi 16 mars :

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    Dimanche 17 mars :

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    Samedi 30 mars :

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  • Les idées à l’endroit n°22 : René Guénon et la Tradition primordiale

    Le métaphysicien René Guénon (1886-1951) est à la fois un auteur célèbre, dont la critique du monde moderne a exercé une influence considérable sur nombre de ses contemporains, et un grand méconnu qu’il était temps de mieux connaître. Quelle place faut-il lui attribuer dans l’histoire des idées ? Quatre spécialistes de sa vie et de son œuvre, Jean-Pierre Laurant, Xavier Accart, David Bisson et Pierre-Marie Sigaud répondent aux questions d’Alain de Benoist.

    https://www.tvlibertes.com/les-idees-a-lendroit-n22-rene-guenon-et-la-tradition-primordiale

  • Comment peut-on encore être royaliste en 2019 ? Introduction : Quand la République pousse au royalisme...

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    Comment peut-on encore être royaliste aujourd’hui ? C’est la question que j’ai beaucoup entendu ces dernières semaines, au moment où les Gilets jaunes avaient rouvert la possibilité du débat, comme une faille dans le globalitarisme ambiant, et que, dans les manifestations, dans la rue comme dans les cafés, la parole reprenait, un temps, le pouvoir, avant qu’elle soit à nouveau confisquée par le Pouvoir macronien dans un tourbillon de discours présidentiels et de manipulations médiatiques. Une question à laquelle j’ai toujours volontiers répondu, parfois trop brièvement, et qu’il ne me paraît pas inutile de traiter à nouveau, ne serait-ce que pour dissiper quelques malentendus et avancer quelques arguments en faveur d’une Monarchie royale qui, bien qu’encore trop lointaine, reste une solution institutionnelle possible et, à mon avis, souhaitable.

    Il y a évidemment une réponse a contrario à la question posée plus haut : comment peut-on encore être républicain alors que la République, depuis une quarantaine d’années, semble incapable de penser au-delà de l’élection suivante et de définir une politique d’Etat digne de ce nom, susceptible de relever les grands défis contemporains, qu’ils soient économiques, sociaux ou environnementaux ? Ces quatre dernières décennies sont celles des occasions manquées et des renoncements multiples, et cela s’est traduit par un recul sensible de la position de la France dans le monde, alors même que notre pays a des atouts considérables dans la compétition internationale contemporaine et sur la scène diplomatique mondiale. La France possède le deuxième espace maritime du monde, elle a une métropole et des territoires d’Outre-mer qui lui donnent une grande diversité, autant de milieux que d’humains, et de grandes possibilités, énergétiques, agricoles, touristiques ; elle fait partie des cinq membres du Conseil de sécurité de l’ONU et sa langue reste une des langues majeures de la diplomatie comme de la culture ; elle est une terre d’inventeurs et compte nombre d’écoles et d’universités mondialement reconnues ; etc. Mais la France est en République… C’est bien là le nœud du problème, de ce que l’ancien ministre Alain Peyrefitte nommait « le mal français ». 

    La simple comparaison historique suffit largement à comprendre aisément en quoi la Monarchie royale, malgré ses nombreux défauts et insuffisances, est plus avantageuse pour notre nation que la République qui, au long de ses cinq déclinaisons et malgré quelques beaux (mais courts) moments, n’a su que consommer, voire consumer, ce que la Monarchie royale avait constitué et épargné. C’est d’ailleurs quand la République imite la Monarchie qu’elle est la plus convaincante et la plus efficace, comme une sorte d’hommage du vice à la vertu !

    Mais être royaliste ne signifie pas céder à la nostalgie facile et rassurante d’une ancienne forme institutionnelle qui a fait ses preuves mais a fini par s’évanouir dans la mémoire de nos contemporains et dans la fumée des révolutions françaises. Il convient de raisonner, au-delà de l’histoire, en politique, et démontrer, après mûre réflexion, tout l’intérêt d’une Monarchie royale pour notre pays comme pour ceux qui y vivent : une démonstration qui mérite, le plus tôt possible, le passage aux travaux pratiques… 

    (à suivre : le refus de la nostalgie et l’actualisation monarchiste)

    http://www.nouvelle-chouannerie.com/

  • Si Marlène Schiappa veut le dialogue, pourquoi refuse-t-elle de rencontrer La Manif Pour Tous ?

    Si Marlène Schiappa veut le dialogue, pourquoi refuse-t-elle de rencontrer La Manif Pour Tous ?

    La Manif Pour Tous prend acte des excuses de Marlène Schiappa :

    La secrétaire d’Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a évoqué mercredi dernier dans une interview à Valeurs Actuelles “l’existence d’une convergence idéologique” entre la Manif pour tous et “les terroristes islamistes”. Inqualifiables, ses propos ont suscité une vive émotion et un tollé unanime dans l‘opinion publique.

    3 jours après la publication de cette interview, Marlène Schiappa vient de « présenter ses excuses à toutes les personnes qui auraient pu se sentir sincèrement blessées ». Elle indique que son « but en politique n’est jamais de blesser qui que ce soit mais de débattre des idées. »

    Ses excuses doivent donc s’accompagner d’une véritable ouverture nouvelle au dialogue. Bien souvent, linsulte ou le rejet procèdent de lignorance ou de la méconnaissance. La Manif Pour Tous a toujours tendu la main au dialogue, sollicitant une rencontre avec Marlène Schiappa. Elle renouvelle aujourd’hui cette invitation au dialogue avec la Secrétaire d‘Etat à l’Egalité entre les femmes et les hommesEn acceptant de rencontrer La Manif Pour Tous et de parler en vérité, Marlène Schiappa constaterait combien le mouvement social attaché à la famille na rien à voir avec les caricatures et les faux procès dont il est la cible régulière. La mobilisation et l’engagement de La Manif Pour Tous sont sincères et désintéressés ; ne serait-ce qu’à ce titre, elle mérite la considération du gouvernement.

    Si Marlène Schiappa connaissait La Manif Pour Tous et son travail de fond au service des familles, jamais elle n’aurait tenu de tels propos ni provoqué cette indignation unanimement partagée.

    https://www.lesalonbeige.fr/si-marlene-schiappa-veut-le-dialogue-pourquoi-refuse-t-elle-de-rencontrer-la-manif-pour-tous/

  • Les Réprouvés d’Ernst Von Salomon : Grandeurs et limites de l’activisme

    Bréviaire de plusieurs générations d’aventuriers et de militants (de « gauche » comme de « droite »), « Les Réprouvés » est l’analyse la plus fine des grandeurs et des limites de l’activisme. A travers le récit d’Ernst Von Salomon, on découvre une époque troublée où les explosifs les plus violents étaient les esprits embrasés et où les hommes pouvaient encore jouer à avoir un destin. « Nous croyons aux instants où toute une vie se trouve ramassée, nous croyons au bonheur d’une prompte décision ».

    « Peu importe ce qu’on pense. Ce qui compte c’est la manière de le penser »

    L’épopée romantique, ne doit pas faire oublier que ce récit est surtout un témoignage sur une expérience personnelle à laquelle l’Histoire a donné une dimension tragique. Von Salomon se garde de tomber dans le manichéisme, sachant par expérience que les idéologies ne sont que des masques pudiques pour les passions humaines. Reconnaissant la valeur de l’adversaire, que ce soit les insurgés communistes poursuivant sous d’autres drapeaux un combat comparable au sien ou bien Walter Rathenau, à qui il rend un hommage riche d’enseignement, il tire de son époque une morale de l’action qui transcende les clivages : « Agir, agir n’importe comment, tête baissée, se révolter par principe, tendre ses énergies par tous les moyens, avec toutes les audaces, le sang ne coule jamais en vain ! ». Les seuls être qui ne trouvent nulle grâce à ses yeux sont les bourgeois, leur lâcheté les lui rend à jamais méprisables.

    Malheureusement cet élan vital ne suffira pas pour faire triompher les valeurs portées par les « réprouvés ». Car le manque d’expérience politique et l’ignorance des forces en jeu amènera les soldats perdus à servir les intérêts de cette classe bourgeoise tant haïe. Qui ne s’enracine pas dans le peuple, se laisse emporter par le vent de l’Histoire. C’est toute l’ambiguïté d’une partie de cette génération de combattants qui s’était sacrifiée pour sa Nation. En réalité, celle-ci les avait cyniquement instrumentalisés alors qu’ils pensaient lutter pour des valeurs héritées, dignes d’êtres défendues. Néanmoins, ils s’étaient plutôt construit une Nation idéale mais, d’une certaine façon, concrètement vécue sur la ligne du front, au coeur de la guerre. Toutefois, que pouvait-elle valoir, lorsque que ces hommes revinrent à la vie civile? Condamner la médiocrité de la vie bourgeoise prosaïque témoigne bien d’une certaine conscience de l’aliénation vécue quotidiennement mais ne suffit pas, pour remettre clairement en question, les fondements du système ayant conduit à la boucherie de la guerre impérialiste.

    « La guerre est finie : les guerriers marchent toujours »

    Elevé pour servir un ordre qui s’écroule avec l’armistice de Novembre 1918, Von Salomon se retrouve orphelin d’un Empire idéalisé. Il va rejoindre les colonnes revenant du front et, qui comme lui se sentent perdues dans cette Allemagne au bord du chaos.

    Seules subsistent encore les valeurs guerrières forgées par les années de tranchées, la communauté fraternelle des camarades servant de refuge face aux bouleversement de leur époque. « La Patrie était en eux, et en eux était la Nation » écrit Von Salomon qui comprit que lorsque la majorité décide de capituler, il ne reste aux hommes libres qu’à rester fidèles à eux-mêmes.

    Ces troupes seront mises à contribution par la République de Weimar afin de liquider la révolution spartakiste dans un Berlin surréaliste, où la luxure des cabarets côtoie les derniers combats de rue. Sale besogne qui entachera les drapeaux des corps-francs. Les guerriers vont comprendre trop tard qu’ils ont sauvé leur pire ennemi, la bourgeoisie, et se condamner. C’est alors que vers l’Est de nouveaux combats éclatèrent. La nouvelle époque, celle du Baltikum, permit d’oublier l’amère « victoire » de Berlin. Voulant garantir les frontières de l’Allemagne à l’Est, ils furent utilisés par le système pour faire barrage à l’avancée communiste de la jeune Union Soviétique.

    Les « desperados de la Nation » traînèrent leurs guêtres de la Lettonie à la Silésie, combattant sans cesse pour finir une nouvelle fois poignardés dans le dos par le régime de Weimar. « Nous avons tendu la victoire comme une coupe précieuse sur nos mains prêtes au sacrifice. Mais ils l’ont laissé tomber par terre, et elle s’est brisée sur leurs pieds ». La marche vers l’Est avait été un moyen de fuir les bassesses de la démocratie, qui finirent pourtant par les rattraper. Leur retour à la vie civile les laissèrent sans repère : « A l’époque, l’Allemagne était pour lui un pays de soixante millions d’hommes qui avaient le sentiment de ne pas être à leur place et de quelques autres qui n’étaient pas du tout à leur vraie place ».

    La Nation Impossible

    Condamnés à revenir vers ce monde qu’ils fuyaient, soldats sans armée, il ne leur restait qu’à devenir des terroristes. Ce plongeon dans la clandestinité donne à l’aventure un tournant individualiste qui fait de Von Salomon plus un aventurier qu’un militant. D’abord, dans la Ruhr occupée par les alliés, puis en menant un activisme débridé contre l’Etat. La violence que ces soldats perdus exerceront contre leur propre gouvernement ne pouvait être comprise par les masses.

    Le choix d’assassiner Walter Rathenau s’éclaire au soleil noir d’un nihilisme refusant totalement une société négatrice de leurs valeurs (dont le ministre social-démocrate était l’incarnation intolérable). Il fut donc leur victime expiatrice, non du fait qu’il était le responsable de l’armistice ou parce qu’il était d’origine israélite, mais parce qu’il incarnait, par sa valeur, l’avenir du système…

    Fournissant la voiture qui servit aux lieutenant de vaisseaux Kerm et Fischer pour abattre leur victime, Von Salomon sera traqué dans sa tentative de retrouver ses camarades encerclés. Ils se suicideront pour éviter la capture, ce destin ne sera pas offert à l’auteur. Arrêté, il passera plusieurs années en prison. Au bout de trois années d’isolement, on l’autorisera à recevoir un livre, Le Rouge et le Noir de Stendhal et à en écrire un, Les Réprouvés. Dès sa publication, il exercera une fascination qui est loin d’être éteinte.

    Von Salomon à sa sortie de prison devra assurer sa survie par de multiple petits boulots, avant de trouver sa voie comme scénariste pour les studios de cinéma. Amoureux de la France, il s’installe un temps au Pays Basque. Toujours en contact avec la mouvance national-révolutionnaire, il observe la montée du nazisme. Après la prise de pouvoir par Hitler, il refuse les honneurs que lui offre le régime et s’enferme dans un «exil intérieur» comparable à celui d’Ernst Jünger. A la fin de la Seconde Guerre Mondiale, il sera inquiété par les Américains . Ceux-ci n’ayant rien à lui reprocher au final, il sera libéré après plusieurs mois d’internement et reprendra son activité cinématographique,avant de mourir en 1972.

    Source

    https://voxnr.com/7466/les-reprouves-dernst-von-salomon-grandeurs-et-limites-de-lactivisme

  • Comprendre que le choc des civilisations est une menace pour l’Europe

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    Ligne Droite cliquez ici

    Nombreux sont ceux qui, dans les hautes sphères du monde occidental, n’ont pas pleinement pris en compte la dimension multipolaire du monde d’aujourd’hui et rejettent l’idée même du choc des civilisations. Ligne droite considère au contraire que cet antagonisme constitue une réalité incontournable du XXIe siècle. Une réalité qui conduit la plupart des civilisations mondiales à s’opposer à l’Europe, la civilisation qui les a dominées dans le passé et leur donne aujourd’hui des leçons de morale. Elles le font par des moyens aussi puissants que l’immigration, le terrorisme, la concurrence économique sauvage ou la colonisation culturelle et, ce faisant, menacent la survie même de l’Europe.

    Le monde est multipolaire

    Depuis la chute du mur de Berlin en 1988 et l’effondrement du bloc soviétique, le monde a en effet considérablement changé. Il n’est plus structuré par l’affrontement idéologique entre l’Est et l’Ouest et, s’il a cessé d’être bipolaire, il n’est pas devenu unipolaire pour autant car les États-Unis, certes sortis vainqueurs de la guerre froide, sont loin d’avoir rassemblé le monde autour d’eux. En effet, la mondialisation économique a fait émerger d’autres entités dont certaines retrouvent leur puissance passée et qui s’imposent désormais avec force sur la scène mondiale. Aussi la planète est-elle devenue clairement multipolaire.

    Une réalité qui peine cependant à être reconnue par les Occidentaux. Les Américains continuent en effet de se comporter comme s’ils avaient le leadership mondial et leur hostilité obsessionnelle à l’égard de la Russie conduit à se demander s’ils ont réellement pris la mesure des mutations géopolitiques. Quant aux Européens, soumis comme toujours au politiquement correct, ils refusent la réalité du monde multipolaire, jugée non conforme à la vision mondialiste de la pensée unique. Il n’est donc pas étonnant dans ces conditions que le choc des civilisations qui résulte de cette nouvelle donne semble totalement absent de leurs préoccupations.

    Le choc des civilisations est une réalité

    Il s’agit pourtant d’une réalité majeure qui domine la scène internationale et détermine la plupart des conflits et des antagonismes que connaît le monde aujourd’hui. Les principaux pôles de puissance structurant la planète sont en effet tous porteurs d’une civilisation qui leur est propre et qu’ils affirment avec fierté. Tel est le cas de la Chine mais aussi de l’Inde et des États-Unis ainsi que de la Russie ou du Japon. C’est également le cas du monde musulman car ce dernier, s’il n’est certes pas organisé sur un territoire unique centralisé par un État fort, constitue néanmoins avec l’oumma des croyants une entité spécifique et puissante. Quant à l’Afrique et à l’Amérique du Sud, elles connaissent également l’émergence de fortes puissances tels le Brésil et, si elle ne se fourvoie pas, l’Afrique du Sud.

    L’Europe a suscité l’animosité des autres civilisations

    L’Europe est quant à elle un cas particulier car, si elle est porteuse d’une civilisation brillante et originale, rongée par la division et la bienpensance, elle ne constitue pas en l’état actuel un pôle de puissance géopolitique. Et, surtout, elle présente la singularité d’avoir été pendant de nombreux siècles la civilisation dominante, celle qui a conquis et soumis le monde entier, celle qui a imposé ses valeurs et sa culture à tous les peuples. Aujourd’hui, affranchis de cette tutelle, ceux-ci nourrissent à l’égard de l’Europe un sentiment sourd de revanche qui fait d’elle la cible des blocs civilisationnels qu’ils constituent désormais. Aussi subit-elle comme les États-Unis la rancœur de tous ceux qui ont eu autrefois à connaître son imperium.

    Cette situation est encore aggravée par la propension actuelle de l’Occident à vouloir imposer au monde entier ses principes et ses institutions, la démocratie et les droits de l’homme. Ce qui crée dans le monde une animosité croissante à son encontre, voire une hostilité qui se transforme en haine lorsque cette volonté d’imposer son modèle va jusqu’à l’emploi massif de la force armée comme ce fut le cas en Irak.

    Dans le choc des civilisations, l’Europe est la cible des autres puissances

    Dès lors, le choc des civilisations est bien réel, mais il ne se traduit pas comme certains pourraient le penser par un affrontement de toutes contre toutes. Il existe certes une concurrence entre les blocs civilisationnels qui prend parfois la forme d’affrontements locaux de nature identitaire mettant souvent aux prises des musulmans avec d’autres peuples. Mais, à l’échelle de la planète, le choc des civilisations est avant tout un antagonisme qui oppose toutes les civilisations à l’Occident et plus particulièrement à l’Europe. Celle-ci est donc bien, qu’on le veuille ou non, la principale  cible  du choc des civilisations, un choc qui s’apparente à une guerre plus ou moins larvée mais bien réelle. Car, contrairement à ce que l’on peut croire, ce choc des civilisations n’a rien de théorique ni de symbolique. Il ne s’agit pas d’une sorte de compétition culturelle mais d’un affrontement violent qui menace la survie même de l’Europe et se trouve être sous-jacent à tous les grands problèmes qu’elle rencontre aujourd’hui.

    Le choc des civilisations, c’est l’invasion migratoire et le terrorisme islamique

    Qu’est-ce en effet que l’immigration massive et incontrôlée que subissent les pays européens sinon une invasion non violente perpétrée par les civilisations musulmane et africaine qui cherchent à imposer à notre continent leurs peuples, leur culture et leur religion ? L’immigration de peuplement que nous subissons n’est finalement qu’une offensive pour substituer une autre civilisation à la nôtre et, avec ces mouvements migratoires, c’est le choc des civilisations qui s’impose sur notre sol.

    Il en va de même en plus violent avec le terrorisme islamique. Car ces attaques sanglantes lancées contre l’Europe sont bien le fait des tenants de la civilisation musulmane qui s’en prennent à la civilisation européenne et chrétienne.

    Le choc des civilisations, c’est la guerre économique provoquée par la libéralisation des échanges

    Sur le plan économique, le libre-échangisme sauvage a permis aux nations autrefois sous-développées, et principalement à la Chine, de lancer contre l’Europe une offensive industrielle et commerciale qui les a conduites à s’emparer d’une partie du potentiel économique européen. Comment en effet ne pas voir que, sous couvert de libéralisation des échanges, c’est une véritable guerre économique qui nous est faite et qui se traduit pour l’Europe par des pertes considérables de richesse génératrices de chômage et d’appauvrissement ?

    Le choc des civilisations, c’est l’offensive culturelle américaine

    Si l’on dissocie l’Europe du bloc occidental, force est aussi de constater que notre continent subit sur le plan culturel les assauts civilisationnels des États-Unis d’Amérique. La langue, les usages, les mœurs et les arts venus d’outre-Atlantique s’imposent à nous au point d’effacer ce qui faisait la spécificité culturelle de la civilisation européenne. Un processus qui n’a rien de naturel et qui s’apparente bien à une guerre, certes très feutrée mais bien réelle, engagée contre nous par les États-Unis dès la fin du second conflit mondial.

    Aussi faut-il regarder la réalité en face : l’Europe subit un choc des civilisations de très grande amplitude qui se manifeste à la fois sur le plan militaire avec le terrorisme, sur le plan identitaire avec l’immigration, sur le plan économique avec la mondialisation et sur le plan culturel avec l’américanisation.

    Il est donc temps que les Européens se réveillent et prennent conscience de la guerre civilisationnelle qui leur est faite. Il est grand temps qu’ils s’érigent enfin en un pôle de puissance pour défendre leur commune civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Matteo Salvini a fait tout l’inverse des députés LREM

    Matteo Salvini a fait tout l’inverse des députés LREM

    Lu sur Boulevard Voltaire :

    […] Le gouvernement italien, lui ne se moque pas de son peuple : en refusant l’immigration clandestine, il souhaite promouvoir la famille traditionnelle. Pour Matteo Salvini : « Nous ressentons l’exigence d’aider nos enfants à faire des enfants et pas à avoir de nouveaux esclaves pour remplacer les enfants que nous ne faisons plus », « l’avenir et la santé de l’Italie doivent être basés sur son taux de fécondité plutôt que sur le PIB« . En Italie, c’est refus de la main d’œuvre issue des migrations, relance de la natalité, non concession aux lobbys LGBT et promotion de la famille !

    Ironie du sort, c’est au mois d’août dernier, que ce même Matteo Salvini a fait exactement l’inverse de ce que propose Valérie Petit en remettant les mentions « pères » et « mères » dans les formulaires du ministère de l’Intérieur italien. Les bambini italiens ont un « papà » et une « mama », nos écoliers français eux, attendront sagement à la grille de l’école que parent 1 ou parent 2 viennent les chercher… Un tout autre programme, à l’heure où la France se précipite à Marrakech pour signer le Pacte de l’ONU d’organisation des migrations sûres, ordonnées et régulières…

    Mépris des préoccupations des Français qui souffrent, soucis de complaire à une idéologie d’un côté, enracinement et volonté de redonner fierté au peuple de l’autre. On comprend mieux pourquoi le gouvernement italien ne fait pas mystère de sa sympathie à l’égard du mouvement des gilets jaunes français. Plus préoccupé du sort des classes moyennes. Ce doit être ça un gouvernement populiste… ça fait envie.

    https://www.lesalonbeige.fr/matteo-salvini-a-fait-tout-linverse-des-deputes-lrem/