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tradition - Page 63

  • Les francs-maçons mécontents de voir CIVITAS aux européennes

    Comme on pouvait s’en douter, la franc-maçonnerie n’a guère apprécié l’annonce de Civitas de présenter une liste aux élections européennes.
    Ainsi, le blog maçonnique Hiram écrit :

    CIVITAS TOUJOURS CONTRE LA FRANC-MAÇONNERIE

    Par Géplu dans Anti-maçonnerie

    Le site d’extrême-droite « Nous sommes Partout », déjà présenté ici, a publié le 18 janvier une interview d’Alain Escada, le président de Civitas (…) qui milite pour la « rechristianisation » de la France et qui s’est constitué en 2016 en parti politique.

    Escada y annonce que son parti va présenter une liste aux élections européennes, occasion qui lui permettra de « tenir sur la place publique un message décomplexé, catholique, patriote, pro-famille, anti-système et anti-mondialiste ». Il réaffirme que son parti n’est « pas démocrate », mais que la tribune électorale lui permettra de démonter « une série de mensonges imposés en dogmes républicains ».

    A la question « Quelle alternative souhaitez-vous proposer face à une Europe totalitaire et, n’ayons pas peur des mots, de filiation maçonnique ? », il répond : Nous allons tout simplement nous avancer dans cette campagne électorale comme un cheval de Troie anti-union européenne. (…) Civitas proposera des mesures radicales : le Frexit et la reprise en main de notre destinée, la mise en place d’une alternative à l’UE : un traité d’alliance des patries européennes, la remigration, l’organisation d’un blocus maritime mettant fin à l’arrivée incessante d’embarcations d’immigrés illégaux, l’inscription dans le marbre que l’Europe est chrétienne, avec toutes les conséquences civilisationnelles que cela implique, la promotion d’une vraie politique familiale et nataliste, l’interdiction des sociétés secrètes, le contrôle sévère des pratiques des lobbies auprès des institutions européennes,…

    Un vaste et bien joli programme…

    Voici l’entretien complet accordé par Alain Escada au site “Nous sommes partout” :

    Le parti catholique Civitas entend présenter une liste aux élections européennes de mai prochain. Son président, Alain Escada, entend tenir sur la place publique un message décomplexé, catholique, patriote, pro-famille, anti-système et anti-mondialiste.

    • Civitas est un parti politique depuis 2016 et a déjà participé aux élections législatives de 2017 en France, initiative qui n’a guère été couronnée de succès vu l’abstention massive et le boycott médiatique face à un parti catholique. Quelle leçon avez-vous tiré de cette expérience ?

    D’abord, il faut préciser que, n’étant pas démocrate et refusant toute démarche de compromission qui pourrait s’apparenter à ce que je qualifie volontiers de prostitution électoraliste, j’ai souvent répété aux membres de Civitas que notre camp politique ne gagnera pas le pouvoir par les élections, sauf circonstances exceptionnelles.
    Notre participation aux élections a pour premier objectif essentiel de pouvoir nous adresser à grande échelle aux Français. L’avantage des élections européennes est la circonscription unique : participer à ce scrutin nous permettra de toucher chacun de nos concitoyens. Et croyez-moi, nous tiendrons un discours sans langue de bois !
    Pour réformer la France, il faut d’abord atteindre et gagner les cerveaux et les âmes des Français. Cela passe par une première étape de réinformation. La tribune électorale peut y contribuer en démontant une série de mensonges imposés en dogmes républicains.

    • Visiblement, la leçon n’est pas négative puisque Civitas souhaite présenter une liste aux Européennes. Comment allez-vous faire face à un tel investissement ?

    Le défi financier est énorme, nous en sommes conscients. Peu d’électeurs imaginent le coût que représentent l’impression et la livraison des bulletins de vote à fournir dans tous les bureaux électoraux. Il nous faut rassembler au bas mot un million et demi d’euros. Pour un jeune et petit parti, sans subventions, c’est un enjeu de taille. Nous lançons donc une souscription spéciale. Nous nous fixons trois mois pour rassembler la somme. C’est le prix pour pouvoir libérer la parole et tenir sur la place publique un message décomplexé, catholique, patriote, pro-famille, anti-système et anti-mondialiste. Nul autre parti que le nôtre ne dira avec franchise et fermeté ce que nous nous préparons à démontrer aux Français.

    • Quelle alternative souhaitez-vous proposer face à une Europe totalitaire et, n’ayons pas peur des mots, de filiation maçonnique ?

    Nous allons tout simplement nous avancer dans cette campagne électorale comme un cheval de Troie anti-union européenne. Nous allons démontrer comment ces institutions européennes sont les ennemies des peuples et des Nations. Cette Union Européenne est le temple des banksters cosmopolites et des forces occultes. Elle se permet d’imposer ses diktats aux Etats qui la composent, les gouvernants lui ayant abandonné leur souveraineté. Civitas montrera à travers mille exemples, dans les domaines les plus variés, de l’immigration à l’agriculture, de l’économie à la santé, comment cette Union Européenne va systématiquement à l’opposé du bon sens. Civitas dénoncera avec précision les incroyables gabegies dont se rendent coupables ces institutions européennes. Civitas proposera des mesures radicales : le Frexit et la reprise en main de notre destinée, la mise en place d’une alternative à l’UE : un traité d’alliance des patries européennes, la remigration, l’organisation d’un blocus maritime mettant fin à l’arrivée incessante d’embarcations d’immigrés illégaux, l’inscription dans le marbre que l’Europe est chrétienne, avec toutes les conséquences civilisationnelles que cela implique, la promotion d’une vraie politique familiale et nataliste, l’interdiction des sociétés secrètes, le contrôle sévère des pratiques des lobbies auprès des institutions européennes.

    • Quel regard Civitas, parti catholique, porte-t-il sur l’état de la France et en particulier sur le conflit des gilets Jaunes ?

    La France vit un réveil inattendu d’une partie de sa population. La révolte des gilets jaunes s’accompagne d’une défiance virulente à l’encontre des médias du système, des pseudo-élites et donneurs de leçons (de BHL à Yann Moix, pitoyables chiens de garde de la pensée unique), des partis politiques et des représentants de la république au sens le plus large (le président Macron, les ministres, les députés, les préfets, les hauts fonctionnaires, ainsi que la police politique du régime). Mieux encore, ici ou là, des gilets jaunes mènent des actions devant les Banques Rothschild et Lazard, demandent l’interdiction de la franc-maçonnerie ou l’abrogation de la loi Taubira. La prise de conscience se fait chaque jour plus grande. A mesure que monte la colère tombent les œillères !
    Bien évidemment, il faut faire la part des choses. Les gauchistes de tous poils sont également bien présents dans les manifestations de gilets jaunes et feront tout pour manipuler le mouvement. Mais c’est aux militants catholiques et nationaux d’être plus efficaces et intelligents et d’occuper le terrain avec persévérance.

    • Au delà des élections, avez-vous des projets pour vous développer et renforcer votre présence dans les régions françaises ?

    Le vrai enjeu pour nous, ce sont les élections municipales de 2020, particulièrement dans les petites communes de la France rurale. C’est là que nous pourrons connaître de réels succès, augmenter le nombre de nos élus locaux, conquérir des responsabilités et mener une véritable politique de reconquête au service du bien commun. Notre engagement sur l’échiquier des élections européennes, en augmentant notre visibilité, nous permet de développer notre implantation locale. Nous le constatons dès à présent. Et il faut bien en avoir conscience, la véritable reconquête se fera à partir de l’échelon local. C’est pourquoi nous voulons mettre en place ce que j’appelle des villages catholiques et gaulois.

    • Comment comptez-vous pallier l’absence de médiatisation due à votre statut de « bête immonde » et d’adorateur de Notre Seigneur Jésus Christ ?

    Nous n’avons ni l’argent des banquiers apatrides ni le soutien des ambitieux qui galopent au secours des victoires assurées. Il faudra donc redoubler d’imagination, utiliser au mieux les talents de chaque bénévole et faire de chaque euro dépensé une balle qui atteint sa cible. Nous miserons d’abord sur les médias alternatifs et dissidents – comme le vôtre – et sur les réseaux sociaux pour tenter de propager des messages percutants. Nous privilégierons aussi la présence sur le terrain, partout où s’exprime le Pays Réel. Nous avons la foi qui déplace les montagnes !

    Source cliquez ici

    http://www.civitas-institut.com/2019/01/29/francs-macons-mecontents-de-voir-civitas-aux-europeennes/

  • Discours de lancement de la Marche pour la Vie

    A_Pouchol.pngLe 20 janvier 2019, Adélaïde Pouchol, rédactrice en chef adjointe de L'Homme Nouveau, était porte-parole de la Marche pour la Vie. Plusieurs milliers de manifestants ont bravé, une fois de plus, les conditions climatiques de début d'année civile, pour défendre la vie : de sa conception à sa mort naturelle. Nous mettons à votre disposition le discours de lancement de cette édition 2019. 

    Cette année, nous ne marcherons pas seulement pour la vie, nous marcherons aussi pour la liberté ! Loi sur le délit d’entrave numérique à l’IVG votée en 2017, projet porté en 2018 par Laurence Rossignol de supprimer la clause de conscience des professionnels de santé, crises d’hystérie dans les bureaux de Marlène Schiappa et déclarations incendiaires dès que quelqu’un ose remettre en cause le droit à l’avortement ou dénoncer les manipulations sur l’embryon... Faut-il continuer la liste de ces attaques multiples, incessantes, contre le droit à la vie et la liberté de conscience ?

    Nous posons aujourd’hui solennellement la question à Emmanuel Macron ainsi qu’à tout son gouvernement : à quoi ressemble un pays dans lequel les médecins, les sages-femmes et les infirmiers sont tenus de marcher au pas de l’État ?

    À quoi ressemble un pays où il est interdit de dire que toute vie humaine doit être respectée, même si elle est inattendue, fragile ou malade ?

    À quoi ressemble ce pays ? J’ai bien une idée et je vais vous donner un indice, c’est un mot qui commence par « dicta » et qui finit par « ture ».

    Il a fière allure, le pays des droits de l’homme... C’est clair, notre liberté de dire que l’avortement est un drame, notre liberté de dire qu’un enfant n’est pas une variable d’ajustement, notre liberté de réclamer une politique de santé respectueuse de toute vie, bref, cette liberté fait peur au gouvernement parce qu’elle met en cause la logique qui prévaut depuis la dépénalisation de l’avortement et qui a fait de l’enfant un droit dont disposent les adultes. 

    Nous qui marchons aujourd’hui, mais vous tous aussi qui nous écoutez, qui nous regardez passer et qui, peut-être, n’êtes pas d’accord avec nous..., vous êtes plus qu’un projet parental qui a bien fini ! Vous êtes une personne, que l’on vous ait désirée, aimée, attendue ou pas ! 

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de créativité, de solidarité et de courage politique que nous ne sachions pas répondre autrement que par l’avortement à la détresse d’une femme ?

    Sommes-nous, encore en 2019, à ce point dénués de sens commun que nous prenions pour une avancée sociale le fait de congeler le petit de l’homme en attendant que l’on veuille bien de lui ? Car il faut en prendre conscience : aujourd’hui, ce sont quelque 230 000 embryons congelés qui attendent dans les CECOS que l’on décide de leur vie ou de leur mort, soit l’équivalent de la ville de Bordeaux plongée dans l’azote liquide...

    Sommes-nous, encore en 2019, assez cruels pour regarder sans ciller se développer un marché de l’humain, où les enfants sont fabriqués, vendus, soldés... au gré des désirs des adultes ?

    Sommes-nous, encore en 2019, aveugles et incapables de voir combien l’avortement s’est banalisé au point qu’il est plus facile dans ce pays de se débarrasser d’un enfant que de prendre un rendez-vous chez un opticien ?

    « Occupez-vous de vous ! Laissez-nous avorter, c’est notre utérus et pas le vôtre », nous disent-elles ! C’est vrai... Et pourtant nous sommes là ! Nous sommes là parce que nous constatons depuis trop longtemps l’échec de cet individualisme et parce que l’on ne bâtit par une société avec de l’égoïsme mais avec de la solidarité, parce que l’on ne construit pas une société en refusant de se soucier d’autre chose que de son nombril. C’est vrai, c’est exigeant, c’est vrai, cela demande du courage et de la ténacité... Mais je crois que la France en est capable.

    Alors, aujourd’hui, et aussi longtemps qu’il le faudra, nous serons la voix des enfants qui ne pourront jamais parler.

    Nous serons le visage des femmes que l’on ne regarde pas pleurer. 

    Nous serons la protestation salutaire des professionnels de santé que l’on voudrait faire marcher au pas. 

    En un mot, nous sommes depuis treize ans déjà et nous serons cette année encore, le caillou dans la chaussure du moralement correct !

    Parce que notre liberté de choisir la vie n’est pas une option !

    https://www.hommenouveau.fr/2756/culture-de-vie---contreculture-de-mort/discours-de-lancement-de-la-marche-pour-la-vie.htm

  • Littérature & Politique • LA FONTAINE ET BOUTANG

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    La Fontaine politique de Pierre Boutang vient d'être réédité par les éditions les Provinciales. Quand langue, philosophie et politique trouvent leurs rythmes, leurs rimes et leurs sens.  

    La Fontaine aura accompagné Boutang toute sa vie. 

    Des articles, à la fin des années quarante, sur celui que Sainte-Beuve appelait « notre Homère », salués à ce point par Maurras, alors prisonnier, que celui-ci lui demande de les récrire en vue d'un livre - la lettre de 1950 du prisonnier de Clairvaux servira de préface à ce La Fontaine politique qui ne sortira qu'en 1981, avant un autre livre, moins épais, La Fontaine. Les « Fables » ou la langue des dieux, en 1995 : Boutang et La Fontaine ne se sont jamais quittés. 

    Pourquoi « notre Homère » ? Parce que, comme l'Iliade et l'Odyssée pour les petits Athéniens, les Fables de La Fontaine sont, devraient redevenir, la maïeutique de chaque petit Français, à savoir le lieu où la langue exprime, au plus haut point, le lien entre l'âme et le corps, la cité et l'universel, la race - il ne faut pas avoir peur du mot, qui n'a ici rien de biologique - et la civilisation, la force, qu'il faut réhabiliter, en ces décennies d'hypocrite faiblesse, et le spirituel que pourrait signifier, sinon, la force d'âme ? —, enfin, entre la raison et l'imagination - plus encore qu'entre le concept, mot que n'aimait pas Boutang, et l'image : l'intelligence des choses, ni des hommes, encore moins du cœur, n'est réductible à la raison ratiocinante, contrairement à ce que pensait Descartes. L'analogie - merci Thomas, merci Vico - n'est-elle pas maître des Fables, comme de l'Odyssée ? C'est pourquoi, « chaque fois qu'un enfant apprend sa langue, il imite et prolonge l'aventure capétienne du rassemblement d'une terre dans l'unité de sa parole maîtresse, gardienne de l'unité du cœur. » 

    Poésie et politique, au plus vrai de l'être humain  

    Avec La Fontaine politique, nous entrons dans un registre, encore jamais étudié avant Boutang, celui de la jonction de la poésie et de la politique à partir de La Fontaine - qui n'est pas l'étude biographique des rapports de La Fontaine avec le pouvoir royal. Le premier enseignement, des multiples que contient l'ouvrage, est que restauration du politique et restauration du langage vont de pair, puisque le langage assure le lien entre les membres d'une communauté : « Comme au spirituel pur, celui de la transcendance, la charité commande tout ainsi au spirituel politique, le juste parler, la parole vivante sont toute la morale et le corps même des autres biens. » Il existe donc bien un spirituel politique, fondant le juste sens d'un politique d'abord que les fables illustrent à leur manière, essentielle. Car la restauration de l'intégrité de la langue, en cela véritable restauration nationale, est le préalable de la restauration politique à la condition, toutefois, de reposer sur la langue des dieux que parlent les Fables, depuis toujours, et non cette langue des hommes, qui est celle, post-cartésienne, de l'ère démocratique. Langue des dieux qu'ils parlent, suprême paradoxe de l'analogie, à travers des animaux qui livrent, dans les fables, pour l'homme, le secret de ces universaux fantastiques, de ces genere fantastici, ces « "généralités" sans abstraction », qui sont l'expression d'un universel analogique pré-rationnel. Sont-ce eux que l'enfant expérimente dans son besoin de nommer, cette connaissance préscientifique des formes ou des essences ? Au contraire, moderne, Descartes l'est, ou plutôt la modernité est cartésienne, en tant qu'il est le premier à tourner le dos à l'homme et à l'histoire par « sa réduction de l'homme, (et de l'histoire par là même annulée) au discours de "l'âge de l'homme': » Et Boutang d'ajouter : « Descartes abandonne tout le territoire de l'imagination à la machine, et avec l'imagination le monde effectivement réel de la vie ». 

    Cette édition est non seulement bienvenue - et nous ne pouvons que saluer le courage des éditions Les Provinciales qui republient, un à un, les textes essentiels de Boutang -, elle forme également un beau livre, dont la conception fait penser à l'édition de la traduction du Banquet de Platon par le même Boutang, chez Hermann, accompagnée de dessins de Maria Elena Vieira da Silva. L'édition présente est illustrée de trente-six animaux à l'encre de Chine de Gérard Breuil. De la belle ouvrage, pour les yeux et l'esprit.   

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    Par Axel Tisserand

    La Fontaine Politique,
    Pierre Boutang
    Ed. Les Provinciales. 352 p. 26 €

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/01/19/la-fontaine-et-boutang-6121849.html

  • La Marche pour la vie dans la presse

    La Marche pour la vie dans la presse

    La loi du silence a été brisée : l’ensemble de la presse parle de cette 13e Marche pour la vie. Ceux qui ont participé aux premières marches pour la vie se souviennent que l’AFP ne daignait pas publier une dépêche…

    • France Info : “Les manifestants portent des foulards bleus sur lesquels on peut lire : “En marche pour la vie 20 janvier 2019.” “Macron, Macron, touche pas aux embryons“, scandent-ils aussi, derrière une banderole de tête affirmant “la vie n’offre aucune garantie, l’avortement ne laisse aucune chance”.”
    • Libération (AFP): “La marche d’aujourd’hui est «l’acte premier de la mobilisation citoyenne contre la révision de la loi bioéthique», a-t-il [Nicolas Sévillia] ajouté.”
    • RT France : “«L’avortement salit les consciences», «C’est mon corps pas ton choix», pouvait-on lire sur les nombreuses banderoles brandies par les protestataires, parmi lesquels figuraient de nombreuses familles et des religieux.”
    • Actu Orange : “Viviane Lambert, qui contestera lundi lors d’une nouvelle audience à Chalons-en-Champagne la procédure d’arrêt des soins pour son fils Vincent, en état végétatif depuis dix ans, s’est déclarée au micro “très impressionnée de voir tout ce monde pour défendre la vie”. “Nous commençons à être usés par cette histoire (…) mais Vincent résiste et nous résisterons avec lui jusqu’au bout”, a-t-elle ajouté.”
    • Le Monde : Des milliers d’opposants à l’avortement – 7 400 selon la préfecture de police – ont commencé à défiler, dimanche 20 janvier, à Paris à la treizième « marche pour la vie », pour dire « stop à la banalisation de l’IVG » et défendre la « clause de conscience » des médecins qui refusent de pratiquer des avortements. Estimant que « la banalisation de l’avortement n’a jamais été aussi forte » en France, les manifestants réclament une « politique de santé digne de ce nom, visant à diminuer »les quelque 220 000 IVG annuelles.
    • Le Parisien : “Les opposants à l’avortement ou encore à la PMA ont rassemblé un bon nombre de leurs partisans ce dimanche à Paris.”
    • Le Dauphiné : “Un sénateur argentin, Mario Fiad, a pris la parole en début de rassemblement pour «soutenir» la marche. Le Sénat argentin a voté en août contre l’avortement, après des débats marqués selon lui par de «très fortes pressions» venant d’organisations internationales.”
    • Huffington : “Plusieurs milliers de personnes, dont beaucoup de jeunes, ont commencé à défiler à Paris pour la 13e “Marche pour la vie””
    • JM Morandini : “dans le “contexte” du mouvement des gilets jaunes, Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche, a expliqué qu'”au-delà de la “détresse sociale”, c’est “aussi une souffrance immatérielle” qui s’exprime.”
    • Le Figaro : «Comme les “gilets jaunes”, nous dénonçons le mépris des politiques pour les citoyens. Nous sommes les exclus du grand débat national», jugeait Nicolas Sévillia, délégué général de la Marche pour la vie.”
    • Le Point : “Marie, 21 ans, étudiante en faculté de droit, participe elle depuis quatre ans à la marche. « Cette manif, elle représente tout ce qu’on veut défendre, ce qui est menacé par les nouvelles lois », dit-elle.”
    • Paris Match : “Venue en famille, avec son mari et ses trois enfants, Valérie de Beauregard “trouve incroyable” que l’objection de conscience des médecins puisse être remise en cause. “La liberté de l’homme, c’est la conscience”, souligne-t-elle. Elle veut aussi défendre, en s’opposant à la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes, “le droit à la filiation, qui est inaliénable”.
    • Valeurs Actuelles : “Une foule nombreuse et jeune.”

    https://www.lesalonbeige.fr/la-marche-pour-la-vie-dans-la-presse-4/

  • Beaucoup de monde à la Marche pour la Vie

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    Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont participé ce dimanche à Paris, entre la Porte Dauphine et le Trocadéro, à la Marche pour la Vie. Comme chaque année au milieu du mois de janvier les mouvements anti-avortements ont fait une véritable démonstration de force.

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    Plusieurs responsables politique comme Christian Baeckeroot, du Parti de la France (photo ci-dessus), Alexandre Simonot des Comités Jeanne ou Karim Ouchikh, Président du SIEL, sont venus apporter le soutien de leurs mouvements à cette manifestation.

    1797049867.jpgProfitant de l'occasion pour étendre le domaine des luttes, un tract de Synthèse nationale cliquez ici a été massivement distribué (à plus de 8000 exemplaires) pour sensibiliser les manifestants au scandale des éoliennes. Ce tract les invitait à lire le livre d'Alban d'Arguin Eoliennes, un scandale d'Etat cliquez ici.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La baisse de la natalité : conséquence du matraquage fiscal et social des familles

    La baisse de la natalité  : conséquence du matraquage fiscal et social des familles

    Selon Virginie Pradel, fiscaliste, membre de l’Institut fiscal Vauban, sur le Figarovox :

    […] Le principal coup de rabot fiscal a porté sur le quotient familial: le plafond de l’avantage fiscal en résultant, qui s’élevait encore en 2012 à 2 336 euros, a été abaissé successivement à 2 000 euros puis à 1 500 euros en 2014. Cette dernière baisse s’est traduite par une hausse moyenne annuelle d’impôt sur le revenu de 768 euros pour plus d’un million de familles. Et pour certaines d’entre elles, la note a même été beaucoup plus salée (+ 2 000 euros pour un couple avec trois enfants et 86 000 euros de revenus).

    Au rabotage du quotient familial s’ajoutent bien entendu toutes les hausses d’impôts survenues depuis plusieurs années; en particulier celles de l’impôt sur le revenu, de la taxe d’habitation, de la taxe foncière, de la TVA et de la taxe carbone.

    S’agissant ensuite des coups de rabot sociaux, le premier a touché la prestation d’accueil du jeune enfant (PAJE), laquelle regroupe plusieurs aides dont la prime de naissance et l’allocation de base. Pour mémoire, le montant de ces aides a tout d’abord été «gelé» en 2014 par le précédent gouvernement. Celui-ci a, ensuite, instauré une modulation des montants de l’allocation de base en fonction des revenus des millions de familles bénéficiaires, ce qui a divisé son montant par deux (l’aide mensuelle passant de 184 à 92 euros) pour celles dont les revenus dépassaient un certain plafond (environ 38 000 euros pour un couple avec deux salaires et un enfant).

    Et notre gouvernement actuel n’a pas manqué d’accélérer le rabotage de de cette prestation sociale depuis le 1er avril 2018. D’une part, en diminuant le montant de l’allocation de base à taux «plein» et à taux «partiel», ce qui représente une perte annuelle de 168 euros ou 84 euros pour plus d’un million de familles bénéficiaires. D’autre part, en diminuant les plafonds de ressources pour en bénéficier ; si bien que 6 % des parents d’enfants nés depuis avril 2018 ne peuvent plus du tout en bénéficier (de même que la prime de naissance) et que de nombreux autres ne peuvent plus bénéficier que de l’allocation à taux «partiel».

    Pour mieux comprendre l’impact de cette réforme, prenons l’exemple de Julie et Mathieu, qui perçoivent chacun un salaire net imposable de 1 700 euros par mois et qui ont accueilli leur premier enfant, Hugo, en mai 2018. Ils perçoivent chaque mois l’allocation de base à taux «partiel» s’élevant dorénavant à 85 euros. Or, si Hugo était né avant avril 2018, ils auraient bénéficié de l’allocation au taux plein s’élevant à 184 euros ; ce qui représente pour cette famille une perte mensuelle d’environ 100 euros et globale de près de 3 500 euros, l’allocation étant versée pendant 35 mois.

    À cette baisse sensible de la PAJE s’ajoute, au demeurant, une modulation depuis 2015 du montant des allocations familiales en fonction des revenus des familles. Pour celles percevant des revenus supérieurs à un certain plafond, elles ont été divisées respectivement par deux et par quatre. […]

  • Figures d’Europe : l’excellence du savoir-faire européen

    L’émission Figures d’Europe met en relief les réalisations contemporaines et concrètes des acteurs de la civilisation européennes : les européens du XXIème siècle. Loin de la culture muséale de la reproduction, Figures d’Europe met l’accent à la fois sur la tradition, la transmission et la création.

    Sans lignage, sans verticalité, l’homme n’est qu’une table rase où les règles de l’immédiat peuvent s’imprimer sans limites, souvent au service d’une vision purement matérialiste de la vie. Mais sans nouvelles formes la tradition peut se transformer en grincheux radotage.

    Au mitan se trouve la transmission. Transmettre les gestes, les valeurs, les ressources morales et techniques aux générations futures, pour qu’elles les fassent vivre et qu’elles les actualisent.

    A ce titre Figures d’Europe est une émission de reportages et non de studio, une émission de plein vent. Au centre se trouvent les Figures. Femmes et hommes qui incarnent une tradition vivante, pérenne, solaire. Artisans, artistes, industriels, chercheurs, écrivains, tous et toutes sont mémoire vive et vive création. Gastronomie, métiers de bouche, orfèvrerie, nouvelles technologies, art du vêtement, bande dessinée, aucun domaine ne nous est étranger pour autant qu’il soit incarnation du génie européen.

    Si pour des raisons pratiques Figures d’Europe se centrera au début sur des reportages en France, son dessein doit aller au delà et entrainer les spectateurs dans les pays de la grande Europe, de Brest à Vladivostok, d’Athènes à Oslo.

    Figures d’Europe produira six émissions en 2019 avec la volonté de devenir quasi mensuel avec dix émissions en 2020.

    Figures d’Europe est produit par TVL et animé par l’Institut Iliade pour la longue mémoire européenne. L’Iliade œuvre à l’affirmation de la richesse culturelle de l’Europe et à la réappropriation de leur identité par les Européens.
    Figures d’Europe est une des illustrations de cette mémoire vive.

  • Un nouveau numéro hors-série de Présent consacré à François Brigneau et à Jean Madiran

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    Chez votre marchand de journaux ou sur le site de Présent cliquez ici

    Vous pouvez aussi commander le précédent hors-série de Présent consacré au procès Méric cliquez là

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  • La Marche pour la vie s’affiche dans la presse

    La Marche pour la vie s’affiche dans la presse

    De Famille chrétienne à Valeurs Actuelles :

  • RAPPEL samedi 12 janvier : Paris Fierté honore Sainte Geneviève

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    Un communiqué de Paris Fierté :

    L’association Paris Fierté vous donne rendez-vous le 12 janvier pour sa traditionnelle Journée de la Fierté Parisienne, suivie d’une marche aux flambeaux en l’honneur de Sainte-Geneviève, patronne de Paris.
    Cette année, la Journée de la Fierté Parisienne honorera celles qui sont tout à la foi saintes, mères et guerrières, celles sans qui Paris ne serait rien : les Parisiennes.

    Samedi 12 janvier
    13 h : Journée de la Fierté Parisienne
    La Journée de la Fierté parisienne se tiendra dans une péniche. Vous pourrez profiter d'un bistrot Guinguette à la parisienne dans une ambiance familiale. Un espace dédié sera prévu pour les enfants.
    Le lieu d’amarrage exact de la péniche sera communiqué ultérieurement.

    18 h : Marche en l'honneur de Sainte-Geneviève
    La Marche en l’honneur de Sainte Geneviève débutera au pont de la Tournelle au niveau de la statue de Sainte-Geneviève (Paris V, métro Pont Marie, près de l’Île Saint Louis). Cette marche aux flambeaux, festive et animée, se terminera par un spectacle surprise.

    A la journée ou à la marche, ne fut-ce qu’un moment, seuls, en couple ou en famille... le 12 janvier 2019, vous êtes pris !

    Nous comptons sur tous les amoureux du Paris populaire et enraciné pour nous rendre visite et faire de cet événement unique un grand succès !

    La sécurité du public sera garantie pendant l'intégralité de la journée par un service d'ordre professionnel, en lien avec la Préfecture de Police.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/01/03/samedi-12-janvier-paris-fierte-honore-sainte-genevieve-6117748.html