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tradition - Page 59

  • Éric Zemmour : « Quand le brasier de Notre-Dame enflamme les mémoires »

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    L’incendie de Notre-Dame a bouleversé les Français comme les étrangers - Photo Starface   

    En introduction à ce très bel article Le Figaro écrit : Face à Notre-Dame de Paris en flammes, toutes les querelles sur « les racines chrétiennes de la France » sont vaines et ridicules. (Figaro Magazine du 19.04).

    « ceux qui ne pleuraient pas sur la flèche en flammes n’étaient pas français. » 

    « Qu’il aille ou non à l’église, le Français a les Évangiles dans le sang. » En contemplant le spectacle dantesque de la cathédrale Notre-Dame de Paris en flammes, cette formule d’André Suarès prenait soudain tout son sens.

    C’était la France qui brûlait devant nos yeux incrédules et bouleversés. Notre histoire millénaire, notre « fille aînée de l’Eglise », des générations d’ouvriers français qui avaient mis des siècles à édifier cette œuvre d’art, tous nos rois qui défilaient en humbles pénitents, et notre Empereur qui s’y faisait sacrer ; et nos républiques qui venaient y quérir le secours de la Providence pour nos armées. Soudain, toutes les querelles sur «les racines chrétiennes de la France» devenaient vaines et ridicules. Si évidentes que tout argument paraissait superflu. Pour les étrangers qui se lamentaient, c’était une réalité qui ne se discutait pas. Pour paraphraser la formule de Marc Bloch, qui expliquait que ceux qui ne vibraient ni au sacre de Reims ni à la fête de la Fédération ne comprendraient jamais l’histoire de France, on pouvait dire que ceux qui ne pleuraient pas sur la flèche en flammes n’étaient pas français.

    La plupart l’ont compris. Pourtant, certains essayaient de biaiser, à l’instar de Jean-Luc Mélenchon qui, avec son habituel talent de rhéteur, emportait la cathédrale loin de sa foi catholique pour insister sur le rationalisme de ses ingénieurs qui, par le génie des calculs mathématiques, s’arrachaient à la tutelle de la superstition. Faire de la cathédrale le symbole de la lutte des hommes contre l’opium du peuple, il fallait le faire! Mélenchon l’a fait, en occultant soigneusement les ravages causés par la piétaille révolutionnaire ; en ne comprenant pas surtout, ou en faisant mine de ne pas comprendre, que ce style gothique, qui monte fièrement vers le ciel, incarne justement la quintessence de la synthèse chrétienne du Moyen Âge, qui met la raison au service de la foi, pendant que, de l’autre côté de la Méditerranée, à la même époque, on refusait que la raison vînt interférer dans la foi. Les deux civilisations s’éloignaient irrémédiablement l’une de l’autre.

    Sur les réseaux sociaux justement, des musulmans exultaient sans pudeur, en appelaient à la vengeance d’Allah sur ces infidèles qui, quelques jours plus tôt, s’étaient, paraît-il, moqués de La Mecque. Il faut préciser que certains de leurs coreligionnaires les sommaient de se taire. L’Union des mosquées de France appelait les musulmans à prier pour la cathédrale. Cette ambiance tendue nous rappelait que l’incendie de Notre-Dame n’était pas le premier, mais l’apothéose d’une succession de saccages d’églises intervenus depuis des mois et qui ne scandalisaient personne. Un Pakistanais était arrêté et condamné pour des destructions d’objets sacrés de la cathédrale Saint-Denis ; la police suivait une piste criminelle après l’incendie de Saint-Sulpice ; la justice condamnait une djihadiste, Inès Madani, qui avait tenté de mettre le feu à une voiture remplie d’explosifs devant la cathédrale Notre-Dame de Paris. C’était en 2016. Déjà.   

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    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Les inscriptions au Pèlerinage de Chartres sont ouvertes !

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    Message de la Direction des pèlerins :

    Ah qu’il est bon d’arriver enfin au week-end ! Qui ne se réjouit pas, les beaux jours aidant, de la perspective d’une grasse matinée avant de projeter une balade au soleil, une terrasse avec des amis, un barbecue familial, une sieste, la lecture d’un bon roman, une séance de cinéma… le week-end est fait pour se reposer ou partager des moments que la semaine travaillée met en suspend. Si le samedi reste souvent consacré aux accompagnements, activités ou supermarché, le dimanche assure dans ces 48h d’interruption, une pause garantie, aussi légitime que méritée, une bouffée d’oxygène, une expiration profonde et libératrice : enfin, on profite de la vie !

    Sauf que…il y a un week-end par an où ça peut ne pas se passer tout à fait comme ça ! Un week-end qui en plus de jouer les prolongations, propose un programme nettement plus engageant : mettre entre parenthèse la grasse matinée pour se lever à 5h (ou même n’avoir pas besoin de se lever si l’on est parti la veille au soir en car), démarrer sa journée en tenue décontractée par une messe chantée dans la mythique cathédrale Notre Dame de Paris, s’alléger de tout le superflu en concentrant 3 jours en un sac, troquer ses chaussures de ville pour de bonnes chaussures de marche qui entament ou poursuivent une histoire chargée de souvenirs, préférer le charme de la nature au bitume citadin, l’intimité du chapitre à la foule des magasins, la quiétude de la méditation à l’agitation d’un terrain de sport pour mettre à l’honneur et de manière exclusive le seul, l’unique, le Seigneur.

    Sortir ? Oui ! Plus que jamais ! Mais quitter la ville, son bruit, son fourmillement, pour retrouver la campagne, la Beauce, la forêt et la cathédrale, cette forêt de pierre. Quitter son confort, ses pantoufles et son petit-déjeuner, pour vivre trois jours inouïs, et inoubliables, qui prennent chaque année une saveur nouvelle, la question de la météo n’étant que l’élément extérieur d’une montée garantie vers le soleil de l’Eucharistie. Quitter son monde, ses habitudes pour se nourrir de la Foi catholique, boire à la source de la doctrine, se purifier dans le bain de la Confession, en un mot : se plonger en Chrétienté. Faire fie pendant 72h de ses contraintes, ses soucis, ses fardeaux, ses mails, ses whatsapp et sms, se couper de tout pour revenir à l’essentiel, se décharger de tout pour le confier dans la prière, prendre du recul et se donner la chance de repartir à zéro, avec un regard neuf, un cœur allégé, une âme revivifiée.

    Le mot est prononcé : Chartres ! Chartres sonne, Chartres t’appelle ! Chartres, c’est la cathédrale, étoile de la Beauce, tour de David, nef victorieuse chargée de blé et de grâces, vision radieuse du dimanche soir, miracle d’une procession du lundi après-midi, joie paisible d’une communion sainte.

    Chartres, ce n’est plus une mais deux colonnes immenses de plus de 250 chapitres, s’étalant sur plusieurs kilomètres, magiquement orchestrées par un SO à toute épreuve. La colonne des adultes, et la colonne des familles.

    Chartres, c’est la magie de centaines de visages d’enfants de 6 à 12 ans, qui marchent à leur rythme, encadrés par des chefs et des cheftaines énergiques, enthousiastes et dévoués pour leur donner la joie de l’effort, le sens de l’entraide, la soif de la sainteté. Car ils sont nos premiers missionnaires, le « paratonnerre du pèlerinage » selon la belle expression de notre cher abbé Coiffet.

    Chartres, c’est la vigueur naissante des Pastoureaux de 13 à 16 ans, adolescents conquérants, assoiffés de plénitude, accompagnés par une équipe de choc et des aumôniers de feu : quel meilleur bain pour les aider à grandir dans le beau et le vrai que ces 3 jours tournés vers l’exigence d’un idéal qu’ils n’entendent plus ailleurs ?

    Chartres, c’est l’immensité d’une Chrétienté adulte renouvelée, dont la jeunesse (moyenne d’âge 21 ans) dément toute désespérance du vieillissement de la fille aînée de l’Eglise, puisant aux racines de la Tradition depuis nos prédécesseurs, Péguy et André Charlier, au sein de 13 régions !

    Chartres, c’est la Pentecôte, la Babel baptisée, avec ses plus de 1300 pèlerins étrangers venus de tous les continents !

    Chartres, c’est un temps familial sous le regard de Dieu, petits et grands sous la même bannière répartis dans 40 chapitres, pour la première fois réunis en 3 régions (1000 adultes et 1000 enfants).

    Chartres, c’est un ciel emplumé de ceux que l’on appelle les anges gardiens, et il y en a plus de 3 000sur tous les continents : nos pèlerins qui ne peuvent pas marcher pour des raisons d’âges, physiques, de maternité, d’expatriation et auxquels s’associent les prisons, les monastères, les maisons de retraite et les paroisses spirituellement unis à la colonne avec le livret « ange gardien » et forts des paroles de Notre-Seigneur : « Là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis au milieu d’eux ».

    Chartres, c’est aussi la discrétion absolue d’un nombre incommensurable de bénévoles ; de la DIRPEL (direction des pèlerins), qui coordonne, organise, fait prier et chanter à tous les échelons (étrangers, province, Ile de France, régions, chapitres), qui forme les 750 chefs de chapitre et adjoints, qui pourvoit à l’accueil de chacun… jusqu’à la DIRSOUT (direction des soutiens), en charge de l’intendance, des cuisines, des toilettes, des achats, de la sécurité, du service d’ordre… Tous œuvrent dans la joie et dans l’ombre au service de chacun d’entre vous, chers pèlerins, pour que Chrétienté demeure !

    Chartres, c’est donc cette immense foule qui grandit chaque année pour se lancer à corps perdu dans ce challenge un peu fou, dont la finalité se résume en 3 mots : Chrétienté, Tradition, Mission.

    Chers amis, chers pèlerins, au week-end ordinaire, préférez l’extraordinaire et rejoignez le pèlerinage les 8, 9 et 10 juin 2019 : Chartres vous ouvre ses bras, inscrivez-vous et faites-le vite car l’anticipation est notre meilleur levier pour organiser ces 3 jours de manière la plus fluide et agréable pour vous. Il n’y a pas de plus grand bonheur pour nous que de recevoir les témoignages de tout ce que vous avez vécu et les grâces reçues chaque année : à l’impossible, nous sommes tenus !

    “Une seule condition : l’inscription, rapide et enthousiaste, à partir d’aujourd’hui même, sur www.nd-chretiente.com ! N’attendez pas : fatale est l’hésitation, mais heureuse la décision !”

    N’hésitez pas non plus à rejoindre les centaines de bénévoles qui oeuvrent à la réussite du pèlerinage, dans l’une des équipes de la logistique et du service d’ordre, pour le montage des tentes, le transport des sacs, les cuisines, les WC, la propreté, le transport des pèlerins…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/15/chartres-2019-les-inscriptions-sont-ouvertes-6144090.html

  • Salvini : une démarche réactionnaire cohérente

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    Comme on ne sait pas comment qualifier l’action de Matteo Salvini et qu’une partie importante du peuple italien la soutient, on le traite de fasciste. L’injure a beaucoup servi, à force, elle s’est banalisée mais elle peut toujours faire de l’effet sur ceux qui ont le nez collé sur l’actualité et ne connaissent pas l’Histoire.

    Je n’aurais jamais songé à écrire sur lui s’il n’avait pas récemment donné du corps à ce que je considère comme une démarche réactionnaire cohérente.

    Celle que globalement j’appelle de mes vœux.

    Rien n’est inscrit pour toujours dans le marbre, le fil du temps n’est pas progressiste par nature, il n’y a aucune honte à regretter, sur certains plans, le passé et la modernité superficielle peut être combattue par le courage politique.

    Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur, a en effet tenu sa promesse. Il a rétabli les mentions « père » et « mère » dans les documents administratifs, remplacées pas les expressions « parent 1 » et « parent 2 » par le gouvernement de centre gauche de Matteo Renzi en 2015.

    À ma connaissance, c’est le premier exemple d’une reconquête dans le domaine social et familial. D’une restauration par le bon sens.

    Le conservateur aurait pleuré sur aujourd’hui. Le réactionnaire se bat pour faire revenir ce qu’il y avait de meilleur hier. Ce qui aurait mérité de demeurer.

    Je ne m’illusionne pas.

    Il est tout à fait possible que, demain, une majorité écologico-socialiste-bobo poussée dans son dos par un vent conformiste revienne sur cette heureuse modification. Il est même concevable que pour satisfaire la situation particulière d’une minorité, elle impose l’exigence de celle-ci à la majorité et fasse triompher l’exception qui ne supporte plus de n’être pas la règle.

    Mais peu importe.

    Aussi détesté que puisse être Matteo Salvini par certains, celui-ci, j’en suis sûr, a ouvert une brèche qui ne sera pas à agrandir par les seuls « populistes ». En l’occurrence, il est d’autant plus à féliciter que le refus d’abandonner ce qui fut bon est infiniment plus difficile à assumer que le mol abandon à l’avenir.

    Un Salvini à réaction : a-t-on le droit, dans une France qui a peur de n’être pas à la mode, de l’approuver ?

    Extrait de : Justice au Singulier

    Philippe Bilger

    https://www.bvoltaire.fr/salvini-une-demarche-reactionnaire-coherente/

  • Le dîner annuel de Synthèse nationale, samedi 6 avril dernier à Paris, comme si vous y étiez...

    Les interventions d'Hugues Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationaleJean-Paul Chayrigues de Olmetta, Président de l'Association des Amis de Synthèse nationaleRoland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, et de Martial Bild, directeur de TV Libertés, notre invité d'honneur.

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    Lire aussi l'article sur cette soirée cliquez ici

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  • Georges Dumézil - La tripartition indo-européenne

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  • Macron, le fossoyeur de la Police ? – Journal du mardi 9 avril 2019

    Macron, le fossoyeur de la Police ?

    Un suicide tous les quatre jours dans la police. Depuis le début de l’année, déjà 31 membres des forces de l’ordre se sont données la mort… La perspective d’une année noire se profile sans qu’aucune décision politique ne soit à l’ordre du jour.

    Retrouvez le Zoom avec Laurent Cassiau « Un commandant de police à visage découvert »

    L’État d’urgence fiscale : la nouvelle boîte à outils ?

    Alors que le Grand Débat National touche à sa fin, le premier ministre, Edouard Philippe, a présenté les premières conclusions. Pour esquisser une sortie de crise, le chef du gouvernement met le cap sur l’exaspération fiscale. Une parade loin de répondre aux principales revendications des gilets jaunes.

    Retrouver l’émission Politique & Eco avec Philippe Nemo : L’impôt est-il légitime ?

    Institut Iliade : un 6e colloque pour la route

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-le-fossoyeur-de-la-police-journal-du-mardi-9-avril-2019

  • Espagne : la Reconquista avance

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    Alors que Vox, le parti souverainiste qui croît sans cesse, réunit des milliers de gens lors de ses rassemblements (15.000 à Barcelone, presque 9.000 à Leganés, ceinture rouge de Madrid), les partis du Système ne parviennent, en revanche, qu’à en rassembler quelques centaines. Voilà des chiffres qui contredisent ceux que les instituts de sondage donnent pour les élections du 28 avril, où ils ne créditent Vox que de 15 % des suffrages. Il est vrai que, lors des dernières élections andalouses, ils n’accordaient à Vox que 1 ou 2 députés, alors qu’il en a obtenu 12. Si le même pourcentage d’écart devait se répéter maintenant, Vox aurait… la majorité absolue au Parlement !

    Que se passe-t-il, en Espagne ? Il se passe que quelque chose d’énorme vient d’exploser. Et ce quelque chose a un nom : le sentiment national. Appelez-le nationalisme, si vous préférez, mais à la condition de lui enlever toute connotation chauvine : il n’en a aucune. Et lorsque ce qui éclate tient aux sentiments du cœur – à l’identité, à l’être – plutôt qu’à de simples raisons ou intérêts, c’est alors, et alors seulement, que les grandes choses, les grands mouvements historiques peuvent éclore.

    Le succès grandissant de Vox, l’enthousiasme et la ferveur qu’il suscite, tient sur trois grands piliers que Santiago Abascal, le jeune président de Vox, a d’ailleurs clairement expliqués lors de l’interview accordée à François Bousquet dans le dernier numéro de la revue Éléments.

    D’une part, le sentiment national : la lutte sans merci contre tous ceux qui, épris du grand dissolvant mondialiste (Soros, entre autres), voudraient liquider la nation espagnole et la remplacer par un essaim de petites unités chacune pourvue de sa propre cloche du village. Mais il y a plus. Affirmer la nation espagnole comme le fait Vox, cela veut dire en finir, aussi, avec la repentance que les gauches (toutes les gauches) et les libéraux (tous les libéraux) ont imposée à l’égard des deux faits majeurs de l’histoire espagnole : la Reconquista et la découverte et la colonisation de l’Amérique, la plus grande projection de la civilisation européenne jamais entreprise dans le monde.

    Le deuxième grand pilier du succès de Vox, c’est le combat contre toutes les aberrations du politiquement correct : féminisme, animalisme, idéologie du genre… Ajoutez-y la lutte contre le Grand Remplacement et vous aurez, a contrario, tous les grands objectifs de la gauche de Podemos et des socialistes qui, avec l’oligarchie, sont « les grands ennemis de l’Espagne », disait Santiago Abascal lors de son dernier grand meeting, tandis qu’il réservait le terme d’« adversaires » pour les deux partis libéraux (Partido Popular et Ciudadanos), qui se bornent, eux, à suivre lâchement de tels objectifs.

    Et pour le reste ? Le reste est, en quelque sorte, laissé dans une sorte de deuxième plan. Nous sommes dans une situation de véritable émergence nationale et civilisationnelle, une situation qui fait que tout, absolument tout, est axé sur ces trois grands piliers, les plus mobilisateurs, d’ailleurs, qui soient.

    Le fait de ne pas souffler mot sur les ciments de l’économie capitaliste, cela permet-il de considérer que Vox n’est, au fond, qu’un parti libéral ? Si on y tient vraiment, on peut le considérer, certes, pour ce qui est des questions économiques. Reste que le principe dernier du libéralisme n’est pas d’ordre économique. Sa véritable clé de voûte – Alain de Benoist l’a suffisamment expliqué dans ses travaux –, c’est l’individualisme qui pourfend l’identité collective et nie l’enracinement historique : ce grand tout organique qui est supérieur à la somme de ses parties.

    S’il en est ainsi, nul doute alors : aucun parti n’est plus antilibéral – ou disons plutôt illibéral – que Vox.

    Javier Portella

    https://www.bvoltaire.fr/espagne-la-reconquista-avance/

  • Le nouveau numéro de Terre et peuple magazine

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    Le commander cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/04/07/le-nouveau-numero-de-terre-et-peuple-magazine-6142210.html

  • Georges Dumezil sur les Indo- Européens

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    Les fonctions tripartites indo-européennes, est une thèse formulée par Georges Dumézil à partir de la mythologie comparée.